Profitez de la saison !!


J’admet que le printemps ne nous a pas donné ses plus chaud rayons, mais au moins il n’a pas de neige et de temps glacial

Profitez de la saison !!


Photo : linternaute.com/© Eric Bousset

«Ne pensez pas à l’automne. Il viendra bien à temps, tout comme l’hiver. Profitez au contraire du bonheur que vous donnent Les vrais beaux jours sous les grands arbres verts.»

Charles Trenet

Je me suis encore fait avoir : ma naïveté me pèse !


On se sent parfois manipuler par les autres, d’ou un sentiment d’obligation a obtempérer a leur demande et ce même si au fond le cœur n’y ai pas .. Savoir dire non, ce n’est pas être égoïste, mais c’est de s’affirmer sur ce que nous sommes nous même

Je me suis encore fait avoir : ma naïveté me pèse !

Vous arrive-t-il de conclure que vous avez été probablement naïf, trop gentil, trop généreux ?
« Trop bon, trop c… ». Cela ne vous rappelle rien ?
Sommes-nous parfois trop bons envers notre entourage ou faisons-nous preuve de naïveté maladive ?

Je ne sais pas vous, mais moi je me suis posé souvent cette question après avoir eu le sentiment d’avoir été trahi par des personnes à qui j’ai beaucoup donné ou après m’avoir investi dans des projets qui me semblaient ambitieux.


Pourtant, je continue à donner avec sincérité et beaucoup de plaisir. Je refuse de céder à l’aigreur. Naïf ou qualité de cœur ? La gentillesse et le don de soi riment ils avec naïveté ?

L’ingénuité, lorsqu’elle est « contrôlée », à quelque chose de magique, de pur, de sain et c’est quelque chose de très personnel. Certains rêves peuvent rimer avec naïveté.

Est-ce mal ?

En gestalt-thérapie on parle de « confluence » pour expliquer ce processus qui nous mène à abdiquer et faire des compromis avec notre propre personnalité au profit de l’autre.

Souvent, sans réellement en avoir conscience, dans un espoir profondément ancré d’être aimé en retour et pour certains, attendre de l’autre qu’il nous aimera de la même façon qu’on les aime.

Ce symptôme peut causer quelques problèmes lorsqu’il est récurrent. Un excès de confiance en l’autre peut créer des troubles tels que le renoncement total à soi ou le refus de passer de l’état d’innocence infantile à celle d’adulte.


L’une des résultantes de ce besoin de plaire ou par crainte d’être jugé, fiché, catalogué, on n’arrive plus à dire « non ». Dans l’excès, ceci peut créer des parasitages qui affectent notre amour propre : on n’existe plus pour soi même, mais pour les autres, pour être reconnu ou accepté.

Il se peut que vous vouliez avoir une confiance inconditionnelle au genre humain, ne chercher que ce qu’il a de bon en lui. Il est vrai que cette approche inconditionnellement positive motive et stimule. Pour certains elle est vitale, c’est une question de survie émotionnelle ou tout simplement d’état d’esprit. Nous ne voulons pas sombrer dans le négativisme sociétaire qui nous entoure. Et puis au fond, c’est vrai : dans l’absolu, l’Homme est bon. Parfois maladroit, certes, mais cela n’enlève rien à ses « bonnes intentions », non ?

Que faire alors si cette vision positive de l’entourage semble n’être qu’une naïveté récurrence ?

Pouvons-nous faire la différence entre réalité, perceptions et croyances ?


Certaines « réalités » sont à l’opposé de nos « croyances » et nos « espoirs ».

N’est pas cela la naïveté : croire en des choses ou en des qualités qui ne sont pas ?
Où est la frontière entre espérer en quelque chose et se borner sur une utopie ?
En quoi consiste la foi en soi ou en d’autres ?

Pas facile et chacun pourra donner une réponse qui lui est propre.

 

Explorez vos états internes. Posez-vous, par exemple, ce genre de questions :

Pourquoi suis-je (trop) naïf(ve) ?
Ai-je la sensation de fonctionner en adulte ?

Suis-je capable de renoncer à tout ce que j’ai cru jusqu’à présent et d’accepter un réalité peut-être douloureuse ?

Ne vous culpabilisez pas. La vie est un apprentissage perpétuel.

Chaque jour, grâce aux expériences de la vie, nous acquérons un peu plus d’intelligence émotionnelle.


Parfois, la naïveté est tout simplement la résultante de manque d’information : on ne sait pas mieux.

Osez dire non, osez vous affirmer, osez défendre votre vision, vos rêves et vos ambitions. Pour vous ils sont réels. Assurez-vous qu’ils sont réalisables en sortant parfois du mode « rêve » vers un mode « analyse ».

Si ce travail d’introspection vous semble infructueux, n’hésitez pas à faire appel à un professionnel.

Michel POULAERT.

5 trucs à faire avec des guimauves


Ah les guimauves qui brulent sur le feux de camps miammmmmm mais oui on peut les utilisé qu’ailleurs que dans les friandises, les feux de camps et autres somptueux dessert

5 trucs à faire avec des guimauves

Nous adorons tous les tremper dans le chocolat fondu et ils font partis de l’équipement complet lors d’un week-end en camping, mais les guimauves sont aussi de bonnes solutions aux pires dégâts.

Tiré de Produits ordinaires, usages extraordinaires, Sélection du Reader’s Digest, 2007

 

Se vernir le ongles de pieds


Placez des guimauves entre vos orteils pour les maintenir écartés pendant la pose du vernis.


Empêcher la cassonade de durcir

Glissez quelques guimauves dans votre paquet de cassonade. Elle gardera sa consistance poudreuse pendant plusieurs semaines.

Éviter qu’un cornet de crème glacée fuie

Placez une guimauve au fond du cornet avant d’y déposer la crème glacée.

 

Arrêter les coulures de bougie

Pour éviter que des coulures de bougie se répandent sur un gâteau d’anniversaire, enfoncez les petites bougies dans une guimauve avant de les poser sur le gâteau. La cire fondra sur les guimauves.

 

Napper des petits gâteaux


Placez une guimauve sur chacun de vos petits gâteaux environ 1 minute avant la fin de la cuisson au four. Vous obtiendrez un délicieux nappage.


http://selection.readersdigest.ca

Naissance exceptionnelle d’un kiwi blanc


Des oiseaux qui sont protégé et un couple de kiwis ont fait toute une surprise a ceux qui les protège

 

Naissance exceptionnelle d’un kiwi blanc

L'oisillon, un mâle baptisé Manukura, nom de dignitaire en langue maorie, a vu le jour le 1er mai.
L’oisillon, un mâle baptisé Manukura, nom de dignitaire en langue maorie, a vu le jour le 1er mai.
Photo: AFP
Agence France-Presse
WELLINGTON

Un kiwi rare de couleur blanche est né en Nouvelle-Zélande, couronnant la plus fertile des saisons depuis l’ouverture d’un sanctuaire pour protéger l’oiseau emblématique du pays, ont annoncé vendredi des responsables de l’Environnement.

L’oisillon, un mâle baptisé Manukura, nom de dignitaire en langue maorie, a vu le jour le 1er mai, dans le sanctuaire de Pukaha, au nord de la capitale Wellington, a-t-on indiqué de même source.

«Autant que nous sachions, il s’agit du premier oisillon tout blanc né en captivité», a déclaré Bob Francis, président du sanctuaire Pukaha.

Les kiwis sont habituellement bruns mais le spécialiste a souligné que l’oisillon appartenait à un groupe génétique qui porte des taches blanches sur son plumage, ouvrant la possibilité qu’un animal naisse tout blanc. M. Francis a précisé qu’il ne s’agissait pas d’un albinos.

Cette année, 14 oisillons ont vu le jour dans ce sanctuaire, contre une moyenne de deux par an entre 2005 et 2010.


Emblème de Nouvelle-Zélande, le kiwi, oiseau atypique doté d’un long bec et qui ne vole pas, est menacé par des prédateurs comme les chiens, les chats, les rats ou les furets. Il ne subsisterait que 70 000 kiwis en Nouvelle-Zélande et plusieurs sous-espèces sont menacées.

Dans le sanctuaire de Pukaha, créé en 2001, des pièges ont été installés pour limiter le nombre de prédateurs, tandis que chaque oeuf est mis à l’abri dans une pouponnière.


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Dix-sept pyramides découvertes en Égypte


La technologie de l’espace viens de démontré grâce a un satellite qu’il est possible de faire des recherches archéologiques et les résultats sont époustouflantes ..

Dix-sept pyramides découvertes en Égypte

Dix-sept pyramides découvertes en Égypte

 

Archives AP
Agence France-Presse

Un trésor archéologique de quelque 17 pyramides et de milliers de tombes et maisons anciennes a été découvert en Égypte par l’archéologue américaine Sarah Parcak grâce l’usage révolutionnaire d’images d’un satellite de la Nasa.

Des excavations ont déjà confirmé la présence de plusieurs de ces vestiges, dont deux pyramides, selon ces travaux dévoilés mercredi par la chaîne britannique BBC, qui a financé les fouilles.

«Je ne pouvais pas croire que nous avions pu ainsi découvrir autant de sites dans toute l’Égypte», déclare le Pr Parcak de l’Université d’Alabama à Birmingham, pionnier de l’archéologie dite de l’espace, une discipline émergente, sur un blog de l’université.

«Excaver une pyramide est le rêve de tout archéologue», ajoute Sarah Parcak.

Cette archéologue et son équipe ont fait des fouilles sur ces sites pour déterminer comment des images satellites peuvent être utilisées en archéologie.

Pendant plus d’un an, Sarah Parcak a utilisé des images d’un satellite de la Nasa orbitant à 700 km d’altitude, prenant une multitude de clichés haute-définition et à infrarouge de la nécropole de Saqqarah et Tanis, un important site archéologique dans le nord-est de l’Égypte.

La puissance de ces caméras permet de distinguer des objets de moins d’un mètre de diamètre sur le sol.


L’imagerie infrarouge fait la distinction entre les différents matériaux enterrés, ce qui permet de repérer les structures se trouvant sous la surface, comme d’anciennes maisons en briques d’argile, un matériau d’un plus grande densité que le sol environnant.

Les infrarouges produisent ainsi des images faisant ressortir la forme des habitations, des tombeaux et des temples.

«Ceci nous montre combien nous avons sous-estimé à la fois la taille et l’étendue des vestiges des sociétés humaines du passé», souligne Sarah Parcak dans une interview à la BBC.

Cette nouvelle technologie repousse les limites de l’archéologie traditionnelle.

 

L’outil satellitaire «nous donne une perspective bien plus étendue sur les sites archéologiques», explique le Pr Parcak.

«Indiana Jones est de la vieille école, nous sommes passés à autre chose, désolée Harrison Ford», a ironisé Sarah Parcak.

La BBC diffusera lundi un documentaire intitulé Les cités perdues d’Égypte relatant l’expédition de Sarah Parcak.

Si les autorités égyptiennes n’étaient au début pas convaincues par ces recherches, le résultat des premières excavations à Tanis ne leur ont laissé aucun doute.

«Une maison vieille de 3000 ans que l’imagerie satellite avait révélée a été ainsi exhumée et les contours de la structure correspondaient quasi parfaitement aux images du satellite. Ce fut une véritable validation de la technologie», explique Sarah Parcak.

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Sol troué à Charlesbourg «Du jamais vu»


Des crevasses qui sont apparus sans qu’on sachent encore la cause .. Serais-ce des nappe d’eau souterraine qui rend le sol plus mou a certains endroits ? j’espère qu’on ne mettras pas cela sur la faute des extraterrestres

Sol troué à Charlesbourg «Du jamais vu»

Kathryne Lamontagne
Sol troué à Charlesbourg - «Du jamais vu»
Les experts qualifiant la situation d’«inusitée» et de «jamais vue».
©Agence QMI/ Journal de Québec/ Jean-François Desgagnes

QUÉBEC –

Les experts qualifiant la situation d’«inusitée» et de «jamais vue», il faudra environ deux semaines et une batterie d’expertises diverses pour connaitre les causes exactes des affaissements de terrains survenus au cours des derniers jours, dans l’arrondissement de Charlesbourg.

C’est du moins ce qu’a affirmé Daniel Lessard, directeur du Service d’ingénierie de la Ville de Québec, lors d’un point de presse organisé à proximité de la côte de la Sucrerie, dans le secteur de Notre-Dame-des-Laurentides, où se trouve la quarantaine de crevasses.

«C’est la première fois qu’on a une situation de cette ampleur. C’est un phénomène tout à fait inusité. Tous les spécialistes qu’on a consultés arrivent à la même conclusion», a laissé entendre l’ingénieur.

Quatre expertises


Afin de percer le mystère de ce sol troué, pas moins de quatre expertises seront effectuées simultanément sur un périmètre de quelque 600 mètres carrés. Par mesure de sécurité, les experts vérifieront en premier lieu si la quinzaine de bâtiments inscrits à l’intérieur de cette zone ont la capacité structurale de résister à certaines déformations, advenant le cas où d’autres crevasses se formeraient.

Les spécialistes en ingénierie et en géophysique effectueront aussi trois études croisées qui permettront d’effectuer une sorte d’«échographie» du sol, à l’aide d’un balayage de radars et de propagation d’ondes, notamment. Une partie de ce travail s’est d’ailleurs entamée, vendredi.

«En analysant tout ça, on pourra fixer les anomalies et les zones problématiques. On va pouvoir savoir ce qui se passe sous terre et par la suite, qu’est-ce qu’on fera comme intervention», a expliqué M. Lessard.

Situation stable

Mise à part une crevasse qui a gagné en amplitude, au courant de la semaine, la situation est jugée relativement stable. Le périmètre de sécurité demeure le même, mais pourrait être élargi selon les résultats des différents tests.


Rappelons que ces trous, qui font l’objet d’une attention particulière depuis une semaine, ont commencé à apparaître au cours des derniers mois. Face à cette menace, la Ville a recommandé à une quarantaine de résidents de quitter les lieux, à la suite d’une rencontre tenue mercredi.

À l’heure actuelle, 18 d’entre eux ont été pris en charge par le Croix-Rouge.
Selon Yvan Lépine, du service des communications de la Ville de Québec, il est fort possible que d’autres citoyens aient décidé de trouver refuge chez des amis ou des membres de leur famille. Tous bénéficient actuellement d’une aide financière de la Ville, jusqu’au 9 juin.

Une autre rencontre d’information entre la Ville et les citoyens est prévue le 7 juin.

Propriétaires inquiets

«On vient de perdre la valeur de notre maison. Est-ce que vous êtes intéressés d’acheter une maison où il y a un risque à côté? C’est ça notre problème.»

La quarantaine de crevasses qui ont pris naissance à proximité de la côte de la Sucrerie, dans Notre-Dame-des-Laurentides, a de quoi inquiéter Claude, dont la maison est située à quelques pas des mystérieux trous.

S’il craint pour sa sécurité, Claude appréhende aussi l’impact qu’un tel phénomène pourrait avoir sur la valeur de sa maison. «C’est inquiétant», a-t-il laissé tomber.

Quitter les lieux

En attendant de voir le dénouement de cette situation, sa conjointe, Andrée, et lui, ont finalement décidé de quitter leur résidence, par mesure de sécurité. Ils iront séjourner chez une de leur fille, pour une période indéterminée.

«On veut quitter. On va quitter. La Ville et la sécurité civile nous suggèrent de quitter par mesure de sécurité et c’est ce qu’on va faire. Je trouvais ça inquiétant», a laissé tomber la dame, qui habite à cet endroit depuis près d’une trentaine d’années.

Où rester?

Un autre résident, Michel Pageau, a quant à lui décidé de rester chez lui. La maison qu’il habite depuis 12 ans n’a, selon lui, subi aucun dommage. L’homme compte bien surveiller de près les résultats des études entamées, hier.

«C’est spécial. Ce n’est pas une affaire que tu vois tout le temps. Comme tout le monde, je veux savoir c’est quoi», a-t-il avancé.

http://fr.canoe.ca/