Acquérir le savoir est je trouve une des plus belles activités qui permet de mieux s’épanouir .. 
L’étude
L’étude a cela de bon qu’elle nous délivre du fardeau de notre oisiveté, et qu’elle nous empêche de courir hors de chez nous, pour aller dire et écouter des riens, d’un bout de la ville à l’autre.
Voltaire
Cela arrive a tout le monde de se sentir dans un mauvais jour, mais nous pouvons changer d’attitude pour rendre cette journée très belle
Vous sentez dépassé par les évènements ?
Photo : naturabilis.org
Une idée simple à mettre en pratique : si vous vous sentez vaincu et prêt à abandonner, prenez le temps de vous arrêter et dressez la liste des facteurs qui jouent en votre faveur, rien que des choses positives, les choses que vous avez réalisées, tous vos petits bonheurs. Ignorez alors les autres. Ne vous attachez pas aux forces hostiles et limitantes car elles prendront une proportion démesurée et surtout souvent injustifiée !
Michel Poulaert
Avoir cette inversion de la gauche et la droite n’est pas grave mais comme n’importe qui si c’est accompagner de malformations .. la c’est autre chose. Je travaillais avec une infirmière qui avait la même malformation que moi sauf que elle avait en plus son cœur a droite ..On s’appelait entre nous ma jumelle … En principe c’est pas vraiment un problème mais quand elle a eu un pacemaker ils ont eu beaucoup de misère a le placer et quand elle a du avoir un cœur poumons, malgré qu’ils ont essayer .. cela n’a malheureusement pas fonctionner …
Est-il possible d’avoir le cœur à droite ?
Photo : lookfordiagnosis.com
Oui c’est possible, dans le ca où nous aurions un situs inversus. Il s’agit d’une anomalie qui fait que le cœur est placé à droite et que plusieurs organes se trouvent du côté opposé à celui où ils devraient être, le foie est à gauche, l’estomac à droite, l’appendice a gauche …
Cette anomalie touche environ une personne sur 10 000. Et ce qui est le plus étonnant c’est que ce n’est pas grave du tout.
D’ailleurs on découvre la plupart du temps l’anomalie par hasard, lors d’une radiographie. On a découvert en faisant quelques expériences que la position des organes à gauche et à droite dépendait des gènes
La Semaine/Réponses à tout/Renée Charron/Avril 2011
De nouveau, des photos animalières qu’un amoureux de la nature a su mettre en valeur
Un retour au zoo
Photos animalières de Michel Guenanten
Eléphants d’Afrique 
A pattes de velours
Un mandarin timide 
Escargot sur son tapis rose 
Hippopotame 
Couple de perroquets verts 
Kangourous roux et gris 
Le regard du léopard 
Makis 
Faux pas 
La puissance de l’ours polaire 
Petit singe gourmand 
Lézard ton sur ton 
Au Québec nous avons la couleuvre tachetée, elle a été surnommée Milk Snake, ou serpent de lait, en anglais, parce qu’on la croyait capable de téter le lait au pis des vaches. Elle aime bien se nourrir de souris mais n’est pas dangereuse pour l’homme ..
Les couleuvres ne mordent pas ??
La morsure sure sans la mort sure
On trouve en France deux types de serpents : les couleuvres et les vipères. Les premières sont souvent, à tort, considérées comme totalement inoffensives voire comme n’étant pas vraiment des serpents.
Et pourtant, les couleuvres sont de vrais serpents, et sont fournies avec tous les accessoires, y compris des dents pour mordre et même, pour certaines espèces, des crochets et la capacité de produire du venin. C’est le cas, en France, de la couleuvre de Montpellier.
Et elles mordent. Les morsures de couleuvre sont parfois décrites comme très douloureuses, parfois comme totalement indolores, en fonction du degré de résistance à la douleur des personnes qui en ont fait l’expérience, mais ce qui est certain c’est que lorsque la couleuvre mord, elle ne fait pas semblant
Elle enfonce ses dents dans la peau, provoquant une multitude de petites plaies qui saignent au bout de quelques secondes. Ces plaies sont généralement assez nettes et il convient d’essayer de garder son sang-froid — ce qui est plus facile à dire qu’à faire — afin d’éviter de tirer brusquement sur la gueule du serpent au risque de se déchirer la peau et de blesser l’animal (tous les reptiles présents sur le territoire français sont strictement protégés).
Ce qui est vrai, cependant, c’est que la plupart des espèces que l’on trouve en Europe n’ont pas de crochets et que, lorsqu’elles en ont, ces crochets se trouvent au fond de la gorge de l’animal et donc non mis en œuvre lors d’une morsure. Morsures qui ne sont donc pas dangereuses au regard des autres morsures animales. Leurs dents de petites tailles provoquent des plaies nettes et peu profondes et, sauf allergie toujours possible, le venin des couleuvres est globalement inoffensif, contrairement à celui des vipères Par ailleurs, le risque de contamination est bien moindre qu’en cas de morsure de chien, la couleuvre n’étant porteuse d’aucune maladie transmissible à l’homme.
Les poissons qui sont plus développés ont un cerveau plus fonctionnel donc, aptes a communiquer entre eux
QUAND LES POISSONS DIALOGUENT pour mieux se propager !
Le développement d’une partie du cerveau de certains mormyridés aurait contribué à une plus grande diversification de l’espèce.
De l’électricité dans l’air… 
Ils vivent dans des eaux troubles et communiquent grâce à des signaux électriques émis à la base de leur queue.
Qui sont-ils ? Ce sont les mormyridés, célèbres grâce à la star de la famille, le poisson-éléphant (Gnathonemus petersii). Mais il en existe bien d’autres : cette famille regroupe en effet plus de 200 espèces. Une famille si nombreuse que cela a intrigué les chercheurs.
Photo : .nobaknou.fr
Pourquoi tant d’espèces ? Pour répondre à cette question, les chercheurs se sont livrés à diverses expériences. Après avoir placé des électro-récepteurs dans l’eau, ils ont enregistré les signaux électriques émis par 26 espèces de mormyridés et se sont alors aperçus que chaque espèce de poissons possédait son propre dialecte.
Comme ces poissons vivent dans des eaux troubles, ils ne peuvent faire confiance qu’aux signaux électriques pour reconnaître les individus de leur propre espèce. Or, en regardant d’un peu plus près le cerveau de ces poissons, en particulier une région impliquée dans la reconnaissance des signaux électriques, les chercheurs ont noté que cette zone cérébrale jouait un rôle important dans l’apparition de nouvelles espèces : plus elle est développée, plus les poissons deviennent capables de reconnaître leurs semblables et plus les espèces se diversifient. Les chercheurs pensent que c’est l’évolution du cerveau de ces poissons qui aurait conduit à leur spéciation rapide.
Romain Lejeune
C’est une bonne raison pour ne pas se laisser tenter vers la facilité de réduire les graisses sur certaines parties du corps. L’exercice et une bonne alimentation demeure la meilleur solution
Liposuccion : Le gras retiré se reforme dans d’autres zones du corps 
Crédit photo : archives TVA Nouvelles
Agence QMI
Après une liposuccion, les cellules graisseuses ont tendance à de reformer dans des endroits inattendus, rapporte le site internet Health News.
Selon une étude de l’Université du Colorado, des patients non obèses ayant subi une liposuccion pour retirer du gras au niveau des hanches et de la région inférieure de l’abdomen ont constaté que de nouveaux dépôts graisseux étaient apparus ailleurs sur leur corps.
La liposuccion est une procédure chirurgicale simple qui consiste à retirer l’excédent de gras situé entre la peau et les muscles dans diverses parties du corps.
Pour y parvenir, on injecte de grandes quantités de liquide dans les dépôts graisseux puis on aspire le mélange de cellules graisseuses et de liquide. Cette technique permet au patient de perdre rapidement du poids, et ce, sans régime ni exercice physique, ce qui en fait une procédure très populaire.
Les auteurs principaux de la recherche, les Drs Teri L. Hernandez et Robert H. Eckel, constatent qu’à peine un an après avoir subi une liposuccion, les patients ont noté une réapparition des dépôts graisseux dans des zones inattendues, comme les épaules, les bras et la zone supérieure de l’abdomen.
Ils en ont conclu que le retrait de cellules graisseuses dans le bas du corps entrainait une réapparition du gras dans le haut du corps.
Selon le Dr Rudolph Leibel, cela pourrait s’expliquer par le fait que la liposuccion détruit la structure sous la peau. C’est pourquoi les cellules graisseuses ne reviennent pas là où elles ont été retirées.
Les résultats de cette étude ont été publiés dans la revue scientifique Obesity.
Nuage Ciel d'Azur 