Le linceul


Je trouve cette citation que c’est un appel de comprendre l’importance de ce que nous faisons subir a la Terre

 
Le linceuls
 
 
Photo: creatie.ch
 
«Ce que vous appelez la couche végétale de ce globe, c’est mille et mille linceuls superposés l’un sur l’autre par les générations.»

Claude Tillier

Le Saviez-vous ► O.K.‏


Une habitude que tout le monde connait de dire O.K quand nous avons compris, que tout est correct …
 
O.K.

Photo : dhub.org

D’accord.

 


Le sigle “O.K.” est couramment utilisé, mais l’origine de cette expression américaine reste incertaine; il existe plusieurs explications dont voici les plus courantes:
 
L’origine la plus ancienne et la plus probable est proposée par les travaux de recherche d’Allen Walker Read dans les années 60. Il indique que la première apparition écrite connue de cette abréviation a été trouvée dans le journal de Boston (Massachusetts – USA), le “Morning Post”, daté du 23 mars 1839, dans un article qui parle d’une abréviation de “oll korrect”, une altération phonétique de “all correct” pour “tout va bien”, tout comme il y a eu auparavant “OW” pour “all right” transformé en “oll wright”. Ces sigles seraient le résultat d’un engouement pour les abréviations comiques qui se sont épanouies vers les années 1830-1840.

Il paraîtrait que dès 1840, l’expression “O.K.” est popularisée lors de la campagne de réélection des démocrates à New York. Les partisans de Martin Van Buren créèrent le “Democratic OK Club” pour le soutenir. Cet “OK” jouait à la fois sur le sens bostonien précité de “O.K.” et sur l’abréviation de “Old Kinderhook”, le surnom de Martin Van Buren, venu de sa ville natale Kinderhook dans l’état de New York. Martin Van Buren perd les élections, mais l’abréviation lui subsiste, popularisée en fait surtout par les multiples utilisations qui en ont été faites par les anti-démocrates au cours de la campagne, telles “Out of Kash” (à court d’argent), “Out of Kredit” (sans aucun crédit) ou bien “Out of Klothes” (sans vêtements).

 

L’expression “O.K.” serait attribuée à Andrew Jackson (1767-1845), héros de la 2e guerre d’Indépendance puis président des États-Unis, peu soucieux de l’orthographe. Il aurait ainsi commis deux fautes en écrivant de manière abrégée “Oll Korrect” en lieu et place de “All Correct” qui signifiait: “tout est correct”, “tout va bien”, “c’est parfait”, “d’accord”. Notons cependant que cette théorie qui porte atteinte à la réputation de ce personnage semble être une légende.

 

Une autre hypothèse, très controversée, propose comme origine l’amalgame entre la lettre O et le chiffre 0, très ressemblants, dans des rapports de batailles sudistes lors de la guerre de Sécession. Il était écrit “Zéro Killed” (0 killed) lorsqu’il n’y avait eu aucune victime, ce qui aurait donné naissance à la contraction ” ”O.K.” ‘, qui signifierait par voie de conséquence“tout va bien”.

Une dernière théorie prétend que l’expression américaine “O.K.” viendrait du grec: elle était employée, paraît-il, par les dockers grecs qui travaillaient sur le port de New York. Quand une caisse était prête à être embarquée ou débarquée, ils écrivaient dessus à la craie “Ola Kala” (tout est bon), en abrégé: “OK”…

Comme le dit Gilles Henry dans son Petit dictionnaire des expressions nées de l’histoire, “nous resterons sur la réserve et continuerons de dire simplement et clairement: “d’accord”, lorsqu’il le faudra.”

 
http://www.mon-expression.info

Les hommes dont les conjointes sont enceintes ont besoin d’attention


Bien des hommes se sentent un peu oublier quand leur conjointe est enceinte et que les attentes de l’un comme de l’autre peuvent être différentes ..
 
Les hommes dont les conjointes sont enceintes ont besoin d’attention
 
 
© Shutterstock / Agence QMI
 
COLUMBIA, Missouri – Lorsqu’une femme est enceinte, c’est généralement vers elle que l’attention est tournée. Or, une étude révèle que son conjoint a aussi besoin qu’on s’occupe de lui.

ManSoo Yu, un chercheur de l’Université du Missouri aux États-Unis, a effectué un sondage auprès de 132 femmes enceintes et de leurs conjoints. Il a constaté que la grossesse génère beaucoup de stress chez l’homme, ce qui peut avoir une influence néfaste sur la santé de la mère et du fœtus.

Il a aussi remarqué que les hommes gèrent les enjeux relatifs à la grossesse de la même façon qu’ils font face au stress financier, alors que les femmes ont plutôt une approche basée sur les émotions.

Les hommes ont indiqué recevoir du soutien émotionnel de la part de leurs conjointes, alors que les femmes indiquent recevoir une aide plus concrète, par exemple lorsque leurs conjoints les aident à accomplir des tâches ménagères. Le chercheur suppose qu’il est possible que les femmes donnent davantage de soutien émotionnel parce qu’elles considèrent que c’est important, alors que les hommes estiment qu’il est préférable d’apporter un soutien plus concret.

«Mieux comprendre ces différences aidera les praticiens à mieux conseiller et à aider les parents qui attendent un enfant», explique ManSoo Yu.
Cette recherche a été publiée dans la revue scientifique Journal of Advanced Nursing.
 
http://sante.canoe.com

De l’importance de la poussière


La poussière n’est pas vraiment un ennemi mais aussi un allié qui l’aurait cru … Cependant, il impose quand même de dépoussièré les lieux, car trop de poussière n’est pas mieux .. Mais il serait peut-être avantageux d’utiliser un linge humide que d’utiliser des produits qui en combinaison avec la poussière serait encore plus dangereux pour nous a long terme
 
De l’importance de la poussière
 
Étude - De l'importance de la poussière
Vous n’avez pas eu le temps d’épousseter en fin de semaine?Pas de problème, la poussière pourrait être bien moins nuisible que vous ne le croyez! En fait, l’éternel ennemi du ménage purifierait l’air en neutralisant l’ozone, qui nuit à nos poumons. 

Une des composantes principales de la poussière est la peau humaine. Celle-ci contient du squalène, un hydrocarbure qui a la propriété d’éliminer l’ozone. Il y a de quoi arrêter de s’inquiéter en regardant les particules de notre corps s’accumuler autour de notre lecteur de DVD… 
 
  « La poussière est faite de particules de… personnes qui sont passées dans une pièce », explique Charles Weschler, qui a mené une étude dont les résultats ont été annoncés cette semaine par la American Chemical Society. « Mais c’est une manière un peu dégoûtante de voir la poussière. » 
 
Les êtres humains perdent continuellement leur peau. Ils peuvent se débarrasser de près de 500 millions de cellules par jour. À cette vitesse, deux à quatre semaines seraient nécessaires à ce qu’une personne renouvelle toutes les cellules de son corps. Ce sont ces particules de peau qui purifient l’air. Le squalène qu’elles contiennent neutralise l’ozone. 
 
Pourtant, si plusieurs voient l’ozone d’un bon oeil, ils n’ont pas tout à fait tort. Quand il est haut dans l’atmosphère, le gaz protège les humains des rayons ultraviolets. Sur terre et dans l’air que nous respirons, toutefois, l’ozone est un polluant. Selon le Centre canadien d’hygiène et de sécurité au travail, même les faibles concentrations d’ozone peuvent nuire aux voies respiratoires supérieures et aux poumons. 
 
Dans leur étude, publiée dans le journal Environmental Science and Technology , qui est évalué par les pairs, Charles Weschler et ses collègues ont étudié l’impact que pouvait avoir la poussière dans l’élimination de l’ozone dans des maisons et des garderies du Danemark. 
 
L’étude révèle que la présence d’ozone peut être réduite de deux à 15 %, selon la quantité de squalène qui se trouve dans la poussière. Et les bienfaits ne s’arrêteraient pas là. 
 
L’étude de M. Weschler s’est concentrée sur la poussière retombée. Mais le chercheur croit que la poussière peut aussi se coller aux surfaces comme les fenêtres ou les bureaux, et que cette couche de squalène pourrait réduire la présence d’ozone de manière encore plus importante que ce qui a été calculé. 
 
La poussière n’est pas la seule source de squalène dans notre environnement. En fait, nous en sommes couverts! 
 

  « Les huiles naturelles de la peau, du front ou du nez, comme les huiles responsables des empreintes de doigts que nous laissons, contiennent toutes du squalène », selon M. Weschler, qui est professeur à l’École de santé publique de la UMDNJ-Robert Wood Johnson Medical School du New Jersey.
 
  « En fait, le squalène est la composante chimique présente en plus grande quantité dans les huiles qui recouvrent la surface de notre peau. »
 
 Les humains sont d’impressionnants « puits à ozone », note le chercheur. 
 
Mais attention, avant de ranger votre plumeau à jamais, tenez compte de quelques mises en garde
 
 Évidemment, un niveau d’ozone abaissé n’empêchera pas vos invités qui sont allergiques à la poussière d’éternuer. Aussi, les effets du composé squalène-ozone sur la santé sont peu connus. Selon M. Weschler, toutefois, ces composés sont potentiellement moins nuisibles que ceux formés par la combinaison de l’ozone avec les produits de nettoyage. 

Aux États-Unis, le National Institute for Occupational Safety and Health évalue présentement certains de ces composés. 
 
La Presse Canadienne 
 
http://actualites.ca.msn.com

Inondations : Un toit pour les animaux des sinistrés


L’entraide lors des catastrophes peuvent venir sur toutes ses formes a chaque leur moyens .. et pour les animaux c,est aussi une planche de salut de savoir que des personnes ont aussi pensé a leur situation précaire autant pour l’hébergement que pour la nourriture
 
Inondations : Un toit pour les animaux des sinistrés
 
Inondations - Un toit pour les animaux des sinistrés
Ian Coomber, Judy St. Thomas, leur petite fille Patricia et une amie Annie Tremblay hébergent, à la ferme Coomber Ranch.  
© Agence QMI / Charles-William Pelletier 
 
SAINT-BERNARD-DE-LACOLLE – Les sinistrés de la Montérégie n’ont plus à s’inquiéter pour leurs petits compagnons. Les animaux peuvent dorénavant trouver refuge gratuitement, grâce à la générosité d’une femme qui possède une ferme à Saint-Bernard-de-Lacolle.

Judy Saint-Thomas a le cœur sur la main et un amour inconditionnel pour les animaux. 

  «Les animaux ne pouvaient aller nulle part, les personnes ne voulaient pas partir de leur maison sans leurs animaux. Alors, nous autres, on les a emmenés la ferme pour qu’eux autres puissent aller au motel, puis continuer leur vie»,a-t-elle indiqué.

 
Son mari et elle n’habitent pas près des zones inondées. Saint-Blaise, par exemple, est situé à une vingtaine de minutes de leur ferme.
 
  «Ce n’est pas facile. Mon mari l’a fait souvent en bateau, en canot, en tracteur, un peu partout. C’est épouvantable. Il y a des maisons qui sont complètement inondées, et des chiens qui sont debout sur leur chenil», a raconté la femme.
 
Dans le plus gros de la crise, Mme Saint-Thomas, son mari et son associé ont accueilli une vingtaine d’animaux, dont un cheval et une chèvre. Actuellement, ils en hébergent une quinzaine à leur ferme.
 
Une animalerie leur a fourni gratuitement de la nourriture. Les municipalités touchées par les inondations et la police ont même recours à eux maintenant.
 
  «Le plaisir que ça peut donner aux gens de savoir que leurs animaux sont sains et saufs, sont nourris et sont au sec, c’est important. C’est tout ce qu’ils ont», a ajouté Judy Saint-Thomas