Je trouve cette citation que c’est un appel de comprendre l’importance de ce que nous faisons subir a la Terre
Le linceuls
Photo: creatie.ch
«Ce que vous appelez la couche végétale de ce globe, c’est mille et mille linceuls superposés l’un sur l’autre par les générations.»
Claude Tillier
Archives du 16 mai 2011
Le Saviez-vous ► O.K.

Le sigle “O.K.” est couramment utilisé, mais l’origine de cette expression américaine reste incertaine; il existe plusieurs explications dont voici les plus courantes:
Il paraîtrait que dès 1840, l’expression “O.K.” est popularisée lors de la campagne de réélection des démocrates à New York. Les partisans de Martin Van Buren créèrent le “Democratic OK Club” pour le soutenir. Cet “OK” jouait à la fois sur le sens bostonien précité de “O.K.” et sur l’abréviation de “Old Kinderhook”, le surnom de Martin Van Buren, venu de sa ville natale Kinderhook dans l’état de New York. Martin Van Buren perd les élections, mais l’abréviation lui subsiste, popularisée en fait surtout par les multiples utilisations qui en ont été faites par les anti-démocrates au cours de la campagne, telles “Out of Kash” (à court d’argent), “Out of Kredit” (sans aucun crédit) ou bien “Out of Klothes” (sans vêtements).
•Une dernière théorie prétend que l’expression américaine “O.K.” viendrait du grec: elle était employée, paraît-il, par les dockers grecs qui travaillaient sur le port de New York. Quand une caisse était prête à être embarquée ou débarquée, ils écrivaient dessus à la craie “Ola Kala” (tout est bon), en abrégé: “OK”…
Comme le dit Gilles Henry dans son Petit dictionnaire des expressions nées de l’histoire, “nous resterons sur la réserve et continuerons de dire simplement et clairement: “d’accord”, lorsqu’il le faudra.”
Guerre et Pommes
Une petite vidéo pour se détendre … La fin est vraiment cocasse …
Guerre et Pommes
Les hommes dont les conjointes sont enceintes ont besoin d’attention


ManSoo Yu, un chercheur de l’Université du Missouri aux États-Unis, a effectué un sondage auprès de 132 femmes enceintes et de leurs conjoints. Il a constaté que la grossesse génère beaucoup de stress chez l’homme, ce qui peut avoir une influence néfaste sur la santé de la mère et du fœtus.
Il a aussi remarqué que les hommes gèrent les enjeux relatifs à la grossesse de la même façon qu’ils font face au stress financier, alors que les femmes ont plutôt une approche basée sur les émotions.
«Mieux comprendre ces différences aidera les praticiens à mieux conseiller et à aider les parents qui attendent un enfant», explique ManSoo Yu.
Cette recherche a été publiée dans la revue scientifique Journal of Advanced Nursing.
http://sante.canoe.com
De l’importance de la poussière


Une des composantes principales de la poussière est la peau humaine. Celle-ci contient du squalène, un hydrocarbure qui a la propriété d’éliminer l’ozone. Il y a de quoi arrêter de s’inquiéter en regardant les particules de notre corps s’accumuler autour de notre lecteur de DVD…
« La poussière est faite de particules de… personnes qui sont passées dans une pièce », explique Charles Weschler, qui a mené une étude dont les résultats ont été annoncés cette semaine par la American Chemical Society. « Mais c’est une manière un peu dégoûtante de voir la poussière. »
Les êtres humains perdent continuellement leur peau. Ils peuvent se débarrasser de près de 500 millions de cellules par jour. À cette vitesse, deux à quatre semaines seraient nécessaires à ce qu’une personne renouvelle toutes les cellules de son corps. Ce sont ces particules de peau qui purifient l’air. Le squalène qu’elles contiennent neutralise l’ozone.
Pourtant, si plusieurs voient l’ozone d’un bon oeil, ils n’ont pas tout à fait tort. Quand il est haut dans l’atmosphère, le gaz protège les humains des rayons ultraviolets. Sur terre et dans l’air que nous respirons, toutefois, l’ozone est un polluant. Selon le Centre canadien d’hygiène et de sécurité au travail, même les faibles concentrations d’ozone peuvent nuire aux voies respiratoires supérieures et aux poumons.
Dans leur étude, publiée dans le journal Environmental Science and Technology , qui est évalué par les pairs, Charles Weschler et ses collègues ont étudié l’impact que pouvait avoir la poussière dans l’élimination de l’ozone dans des maisons et des garderies du Danemark.
L’étude révèle que la présence d’ozone peut être réduite de deux à 15 %, selon la quantité de squalène qui se trouve dans la poussière. Et les bienfaits ne s’arrêteraient pas là.
L’étude de M. Weschler s’est concentrée sur la poussière retombée. Mais le chercheur croit que la poussière peut aussi se coller aux surfaces comme les fenêtres ou les bureaux, et que cette couche de squalène pourrait réduire la présence d’ozone de manière encore plus importante que ce qui a été calculé.
La poussière n’est pas la seule source de squalène dans notre environnement. En fait, nous en sommes couverts!
Aux États-Unis, le National Institute for Occupational Safety and Health évalue présentement certains de ces composés.
La Presse Canadienne
http://actualites.ca.msn.com
Inondations : Un toit pour les animaux des sinistrés


Judy Saint-Thomas a le cœur sur la main et un amour inconditionnel pour les animaux.
«Les animaux ne pouvaient aller nulle part, les personnes ne voulaient pas partir de leur maison sans leurs animaux. Alors, nous autres, on les a emmenés la ferme pour qu’eux autres puissent aller au motel, puis continuer leur vie»,a-t-elle indiqué.
«Ce n’est pas facile. Mon mari l’a fait souvent en bateau, en canot, en tracteur, un peu partout. C’est épouvantable. Il y a des maisons qui sont complètement inondées, et des chiens qui sont debout sur leur chenil», a raconté la femme.
Dans le plus gros de la crise, Mme Saint-Thomas, son mari et son associé ont accueilli une vingtaine d’animaux, dont un cheval et une chèvre. Actuellement, ils en hébergent une quinzaine à leur ferme.
Une animalerie leur a fourni gratuitement de la nourriture. Les municipalités touchées par les inondations et la police ont même recours à eux maintenant.
«Le plaisir que ça peut donner aux gens de savoir que leurs animaux sont sains et saufs, sont nourris et sont au sec, c’est important. C’est tout ce qu’ils ont», a ajouté Judy Saint-Thomas