L’amitié


Il est vrai que l’amitié va bien au-delà des mots, la présence et l’écoute a certains moments est beaucoup plus apprécié .. mais encore pour avoir cet ami parfait, il faut aussi l’être soi-même

L’amitié

 

 

 

La vraie amitié n’a pas besoin de mots pour venir en aide à l’autre.
 
Alice Parizeau

L’orgueil ou la confiance en soi ?


Parler de soi, se valoriser, donner des conseils … n’est pas de l’orgueil mais en faire trop de tout cela pour se centrer que sur nous .. cela devient lourd pour les autres .. car l’orgueil est vraiment écrasant ..
 
L’orgueil ou la confiance en soi ?
 
Paon faisant la roue - On peut voir un paon, mais il ne fait pas forcément la roue. C'est même assez rare.
photos.linternaute.com/© didier bicking
 
« Si écrire, agir, c’est une manifestation de l’orgueil, ne pas vouloir écrire, agir, faire, ce peut être encore de l’orgueil. »
Eugène Ionesco
 
Souvent cité dans les écrits religieux, considéré comme l’un des sept péché capitaux, synonyme d’arrogance, fierté, suffisance, vanité ou prétention, que comprenons-nous du mot « orgueil » ?

Il semble qu’il peut avoir autant d’interprétations que de personnalités. Le mot est chargé d’images négatives et une personne trop confiante en elle est souvent qualifiée et condamnée d’orgueilleuse ou de narcissique.

Qu’en est-il réellement ? Où est la frontière entre « orgueil » et « confiance en soi » ? Est-ce qu’avoir confiance en soi et parler de soi, de ses expériences, de ses talents est toujours de l’orgueil ?

Nous pouvons approfondir deux directions principales : celle de la personne dont l’estime propre est excessive, parfois exagérée voire complètement mensongère, et celle de la personne qui reconnait ses capacités légitimes et réelles sans démesure.
 
La différence entre le fanfaron et le modeste, c’est la démesure. Certains considèrent que l’humilité c’est de pas se mettre en avant, ne pas énumérer ses talents, ses capacités, ses réussites, complètement s’effacer… Mais alors, lors d’un entretien d’embauche sommes-nous tous orgueilleux puisque nous parlons de nous ? Le DRH veut savoir de quoi nous sommes capables, quelles sont nos compétences. Est-ce de l’orgueil que d’énumérer avec confiance et fierté tout ce dont nous sommes capables ? Et puis, aux yeux de nos amis, de notre entourage qui reconnait en nous des aptitudes, devons-nous devenir de faux modestes en affirmant que nous ne sommes pas si capables qu’ils semblent le dire ? Certains tombent dans cet excès :ils se dévalorisent injustement et se font du tort ! D’autres sont de faux modestes dans une quête de compliments, c’est de l’hypocrisie.

Il n’y a aucune honte à admettre que nous avons réalisé quelque chose d’admirable !

Arrêtons de dire par automatisme : « naaa, c’est pas terrible » ou
« mwouais, d’autres auraient fait mieux » ou « je ne suis pas convaincu que cela soit si bien » alors que votre entourage est en pleine admiration pour ce que vous avez accompli !

Acceptez ces compliments ! Acceptez-les comme une forme sincère de reconnaissance !

Et puis, il y a cette autre forme d’orgueil : « je suis comme je suis et je ne changerai jamais, les autres n’ont qu’à m’accepter tel(le) que je suis ! ».

Le refus total d’admettre que nous avons quelque chose à améliorer, à changer, à éliminer… Le refus de sortir de « sa zone de confort » en prétextant que ce sont les autres autour de nous qui doivent se plier à mon-moi-tel-que-je-suis-point-final. Le refus total de se mettre en danger cache parfois des douleurs et des plaies émotionnelles bien profondes. Celui qui veut guérir de ces plaies n’en guérira jamais s’il (elle) ne prend pas le risque de changer son point de vue, son attitude, sa vision, son comportement. En voulant se protéger de l’avenir on s’enferme dans un passé qui étouffe notre progression et notre épanouissement profond quitte à blesser nos proches. Tant pis pour eux… Comme Eugène Ionesco l’a dit :« ne pas vouloir agir est de l’orgueil ».

Que penser encore de cette forme d’orgueil où nous savons toujours mieux que l’autre ce qui est bon pour lui. Certains s’improvisent psychiatres ou médiums ou encore coaches. Mais sommes-nous réellement capables de juger pour l’autre ce qui est bon pour lui, aussi proche soyons-nous d’eux ? Pour réellement en être capables, nous devrions pouvoir entrer dans la vie émotionnelle de la personne et personne ne le peut ! Avez-vous déjà entendu parler de « la carte du monde de l’autre n’est pas mon territoire » ?

Métaphore puissante : nous avons tous accès aux cartes du monde des autres, nous pouvons la lire, l’interpréter, la mémoriser, mais cela reste le territoire de l’autre. Laissons la liberté aux autres d’exprimer leur vie comme ils le ressentent sans s’imposer dans la leur. Cela ne veut pas dire qu’il ne faut pas réconforter, guider, accompagner, conseiller avec mesure. Ici encore comprenons que le respect de l’autre c’est aussi respecter ses émotions telles qu’il (elle) les vivent.

Penser mieux savoir que l’autre, c’est prendre le risque de s’identifier à un cas qui n’est va vécu comme nous pourrions le vivre nous même, ce n’est donc plus objectif même si notre conseil nous semble béton.

Vouloir aider l’autre avec toute la sincérité possible n’est pas gage de bon conseil, souvenons-nous de cela. Sincérité ne rime pas forcément avec vérité. Ce n’est pas parce que nous sommes sincères que nous avons le bon conseil ou les bonnes paroles Où est l’orgueil dans ce concept ? A réfléchir.

Parlons encore de l’orgueil du moment : vouloir devenir célèbre. Si le narcissisme® avait été une marque déposée, son propriétaire serait aujourd’hui multimilliardaire ! Dans ce monde archi médiatisé, nous cherchons à nous faire connaitre, on devient tous des micro-célébrités grâce aux blogs ou à… Facebook. Ici encore, l’excès est le thermomètre de cet orgueil.
 
Voici alors mes conclusions :
 
Parler de soi n’est pas de l’orgueil. Ne parler que de soi et ne pas voir les autres, ça l’est.
Partager ses talents n’est pas de l’orgueil. Ne pas voir que d’autres en ont aussi, ça l’est.
S’aimer et s’accepter soi-même n’est pas de l’orgueil. Ne pas aimer les autres, ça l’est.
Dire que nous « en sommes capables » n’est pas de l’orgueil. Ne pas pouvoir le faire, ça l’est.
Etre modeste n’est pas de l’orgueil. Chercher des compliments par fausse modestie, ça l’est.
Donner des conseils n’est pas de l’orgueil. S’entendre parler sans écouter l’autre, ça l’est.
Prendre du temps pour soi n’est pas de l’orgueil. Ne pas en donner aux autres, ça l’est.
Admettre que nous avons réussi n’est pas de l’orgueil. En parler avec démesure, ça l’est.
Parler d’un parcours atypique n’est pas de l’orgueil. Ecraser les autres pour se valoriser, ça l’est.
Etre heureux d’être qui nous sommes n’est pas de l’orgueil. Penser que les autres doivent nous ressembler, ça l’est.

 
Sachons reconnaître nos compétences avec mesure, respect et intégrité envers les autres.
 
Michel POULAERT.  

Le saviez-vous ► Les oiseaux de Tchernobyl‏


Les erreurs humaines ont couté la vie a bien des gens, mais l’homme quand il condamne un lieu, on interdit l’entrée alors que les animaux ne sont pas protéger contre nous, et nos erreurs, eux n’ont rien a redire et en subissent les conséquences
 
Les oiseaux de Tchernobyl
 

Photo : 20minutes.fr

Voler dans la zone sinistrée de Tchernobyl n’est franchement pas recommandé.

Sans le savoir, les oiseaux en font leur frais. 

Dans une étude récente, des chercheurs ont montré que la taille du cerveau de jeunes oiseaux de Tchernobyl était, en moyenne inférieure de 5% à la normale. Une conséquence directement liée aux effets des radiations rémanentes. Les oiseaux atteints risquent d,avoir des facultés cognitives plus faibles 
 
7 jours/science/mars 2011 

Une évaluation santé «maison» en sept étapes‏


Quand on va voir le vétérinaire, il est souhaitable de pouvoir donner des indices pour orienter d’une façon particulière l’examan … Bref, quand on connait bien son animal, on voit assez vite quand quelque chose cloche

 
Une évaluation santé «maison» en sept étapes
 
Une évaluation santé «maison» en sept étapes
© Shutterstock
Par Annie Ross – Docteure en médecine vétérinaire 

 
Entre les visites chez le vétérinaire, on devrait s’assurer que tout va sur des roulettes en faisant une petite «inspection» en règle de la condition de notre animal le plus fréquemment possible. 
 
Rien ne vaut un examen physique prodigué par un vétérinaire! Nous avons l’oeil et le doigté et nous sommes formés pour déceler les petits et les gros problèmes de santé de votre animal. Voilà pourquoi les vétérinaires recommandent au minimum un examen physique annuel pour votre animal. 
 
Mais entre les visites chez le vétérinaire, on devrait s’assurer que tout va sur des roulettes en faisant une petite «inspection» en règle de la condition de notre animal le plus fréquemment possible. Voici sept choses à vérifier chez votre animal pour vous assurer qu’il est sur la bonne voie sur le plan de sa santé physique et mentale. 

Son niveau d’énergie et son comportement
 
Faites un retour sur la dernière année qui vient de passer. Est-ce que votre animal a conservé le même niveau d’énergie? Semble-t-il plus calme ou plus fatigué qu’avant ou, au contraire, est-il plus en forme que jamais et semble avoir un regain de jeunesse? Tout changement apparent du niveau d’énergie, qu’il soit à la hausse ou à la baisse, peut indiquer un problème de santé.
 
Prenez le temps d’évaluer le comportement normal de votre animal. Logiquement, il devrait être alerte et enjoué n’est-ce pas? Il devrait aussi avoir un cycle de sommeil régulier. Tout changement devrait vous mettre la puce à l’oreille: manque d’intérêt, abattement, anxiété, agressivité, augmentation du temps de sommeil, égarements, diminution ou augmentation des contacts avec l’humain, etc. C’est peut-être le seul signe d’un problème de santé physique ou mental.

L’appétit et la soif
 
Comme dirait Obélix: «Quand l’appétit va, tout va!» Ici aussi, tout changement dans le modèle alimentaire de votre animal devrait vous inquiéter: un manque d’appétit, un refus de manger ou, au contraire, une augmentation manifeste de l’appétit… N’attendez pas trop longtemps avant de consulter. Par exemple, un chat qui arrête de se nourrir peut rapidement développer un problème de foie grave, la lipidose hépatique, en seulement deux ou trois jours d’anorexie!
 
Ce qui devrait aussi vous aiguiller vers un problème de santé, c’est l’augmentation de la soif. Si votre animal boit de plus en plus d’eau, posez-vous des questions! Le diabète, l’insuffisance rénale, l’hyperthyroïdisme, certains problèmes de foie et même des cancers peuvent expliquer, entre autres, ce changement particulier. N’attendez pas que le problème s’aggrave avant de consulter…

L’urine et les selles
 
Portez une attention particulière aux habitudes urinaires de votre animal chaque jour. Tout changement peut évoquer un problème: une augmentation ou une diminution de la fréquence ou de la quantité d’urine; un changement d’odeur ou de couleur. De même, il faut se préoccuper d’un animal qui devient soudainement «malpropre». Quelque chose ne va pas, à coup sûr!
 
Disons que ce ne sera peut-être pas plaisant pour vous, mais on doit vérifier l’état, la texture et la quantité de crottes de notre animal quotidiennement! Un animal en santé devrait déféquer une à deux fois par jour. Les selles devraient être bien formées et de couleur brune. Des selles trop fréquentes, molles ou liquides ainsi que noirâtres ou contenant beaucoup de mucus ou de sang sont des signes imminents de problèmes de santé!

Une respiration de type «zen»?
 
Un animal en santé devrait avoir une respiration régulière, et ce, sans effort. Comment voir si votre animal semble faire plus d’efforts pour respirer? S’il respire la bouche ouverte (surtout pour les chats), s’il semble essoufflé, s’il contracte son abdomen en respirant, s’il semble ne pas pouvoir se coucher confortablement ou s’il tousse.

Beau pelage, peau saine et pieds de velours
 
Le pelage d’un animal devrait être lustré et bien fourni. La perte de poil devrait être minimale. La peau saine ne devrait pas sentir mauvais et ne devrait pas piquer. Elle ne devrait être ni sèche, ni huileuse et ne révéler aucune lésion, rougeur, masse ou nodule quelconque.
 
Pour les pattes, encore là, regardez bien la peau puis les coussinets et les griffes. On ne veut pas voir de lésion, de masse, d’enflure, de suintement ou de rougeur excessive.

Une face d’amour et une belle gueule en plus
 
Regardez bien les yeux, les paupières, le museau et les oreilles! Les yeux doivent être clairs et vifs. Pas de voile ni opacité. Pour chacun de ces organes, on ne veut pas voir d’enflures, de masses, de déformations, de rougeurs, de plaies, d’écoulements ou de démangeaisons. 

Pour ce qui est de la gueule, on devrait voir de belles dents blanches sans tartre, des gencives lisses et de couleur rose, aucune lésion ni saignement, ni rougeur excessive autour des dents et, finalement, on ne devrait pas percevoir d’odeur nauséabonde. 

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Faille majeure dans un traitement contre la sclérose en plaques


La science médicale avance pas à pas et certaines fois a pas de géants mais il arrive qu’à certaines occassions, quand tous les espoirs sont permis .. qu’ils tombent de haut et doivent orienter leur recherche autrement
 
Faille majeure dans un traitement contre la sclérose en plaques
 
© Shutterstock / Agence QMI

 

EDMONTON – Des chercheurs de l’Université d’Alberta ont découvert une faille majeure dans un traitement potentiel contre la sclérose en plaques.
 
Ils ont en effet constaté que les cellules T ou cellules thymodépendantes, c’est-à-dire une forme de globules blancs qui protègent l’organisme contre les infections, peuvent s’attaquer et détruire les neurones du cerveau.

Cette découverte va plonger dans l’embarras les chercheurs qui voulaient miser sur les cellules T afin de développer un traitement contre la sclérose en plaques et d’autres maladies auto-immunes. Ils se basaient sur les résultats positifs de tests effectués sur des animaux de laboratoire avec des cellules T.

 
  «Toutefois, lorsqu’elles sont activées, ces cellules peuvent tuer. Du moins, c’est ce qui s’est produit dans le cadre de nos propres expérimentations», explique Fabrizio Giuliani, coauteur de l’étude,qui ajoute que d’autres recherches devront être réalisées avant de commencer à utiliser ces cellules pour traiter la sclérose en plaques.
 
La sclérose en plaques est une maladie complexe et imprévisible, qui affecte la vue, l’ouïe, la mémoire, l’équilibre et la mobilité. Bien qu’elle soit le plus souvent diagnostiquée chez les jeunes adultes de 15 à 40 ans, elle peut aussi toucher les enfants, dont certains aussi jeunes que trois ans. Chaque jour, trois nouveaux cas de sclérose en plaques sont diagnostiqués au Canada. Les femmes sont trois fois plus à risque que les hommes.
 

Plusieurs médecins prescrivent des placebos


Ce n’est pas vraiment la prescription des placebos qui me dérange car, je crois aussi que cela peut avoir des effets positifs chez certaines personnes sans pour autant mettre du chimique .. mais c’est de prescrire pour faire plaisir au patient …
 
Plusieurs médecins prescrivent des placebos

Agence QMI


© Shutterstock
Les médicaments que vous a prescrits votre médecin n’en sont peut-être pas vraiment…

Des chercheurs de l’Université McGill, à Montréal, ont découvert que de nombreux médecins prescrivent à leurs patients des placebos – un composé chimique neutre sans effet thérapeutique – ou des médicaments à des doses si faibles qu’ils n’ont strictement aucun effet.
 
En fait, un médecin ou un psychiatre sur cinq administrerait ou prescrirait un placebo. Par ailleurs, 35% des psychiatres auraient également prescrit des médicaments à des doses inférieures au minimum recommandé pour obtenir un effet thérapeutique
 
Bien que plusieurs médecins disent prescrire des placebos pour «faire plaisir» à leurs patients qui souhaitent sortir du cabinet médical avec une ordonnance en main, 60% des psychiatres interrogés dans le cadre de la recherche déclarent croire à l’effet thérapeutique des placebos. L’«effet placebo» ferait en sorte qu’une personne qui pense recevoir un traitement actif se sentirait mieux par un mécanisme psychologique d’autosuggestion. Seulement 2% des psychiatres ne croient pas à l’effet placebo. 
 
   «Les psychiatres semblent accorder beaucoup d’importance aux effets que peuvent avoir les placebos sur le corps et l’esprit, a expliqué le professeur Amir Raz, auteur principal de l’étude. Cependant, bien que de nombreux médecins croient en l’effet placebo, les connaissances scientifiques limitées dans ce domaine, ainsi que certains enjeux éthiques, empêchent de débattre de la façon dont on pourrait l’utiliser au mieux en milieu médical.»
 
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