Ils en rient alors que moi, ça me met en colère !


Ah nos perceptions, nos émotions guident nos réactions et pour couronner le tout personne ne réagit de la meme facon, ne percoit de la meme facon …. Est-ce dramatique, ou non ? Ca dépend de notre état d’âme ..
 
Ils en rient alors que moi, ça me met en colère !


Vous est-il déjà arrivé de vous poser la question pourquoi chaque individu vit un même événement différemment ?  Alors que les uns peuvent s’irriter d’une situation, d’autres en rient.
 
Pourquoi les uns peuvent y puiser de la force et d’autres sombrent dans de grandes déceptions voire de grandes colères ?

Les uns voient dans la vie un verre à moitié plein alors que d’autres le voient à moitié vide.

 
Pourquoi les uns réagissent avec calme alors que d’autres explosent de colère ?
 
L’événement est pourtant le même pour l’un que pour l’autre et il arrive que l’on reste consterné face à ce que nous considérons comme une « réaction démesurée ». Du moins, selon notre point de vue, nos sensibilités, nos perceptions…
 
La citation introduit impeccablement ce questionnement : nous vivons et ressentons les choses de façons différentes parce que nous ne regardons souvent qu’une seule « face » d’une situation.
 
Notre bagage psycho-socio-émotionnel forme notre personnalité et nos perceptions. Ce sont ces perceptions qui guident nos réactions. Bien entendu c’est très simplifié, mais dans ce processus complexe qui est engendré par une multitude de facteurs, c’est comme cela que cela marche. Si nous comprenons cela, il est alors possible de remettre en question notre façon de percevoir notre monde, surtout si ces perceptions nous paralysent et pourrissent la vie.
 

Nous sommes tous uniques et notre « carte du monde » est très personnelle, différente de celle des autres. La vôtre n’est pas la mienne. Je peux, au mieux essayer de la « lire », de l’interpréter, mais ce ne sera jamais mon « territoire » et vice versa.

Au même titre que tous les terrains géologiques sont uniques, une carte topographique vous donnera au mieux et avec précision le relief d’un paysage. Vous savez alors à quoi vous attendre. Mais cette carte ne vous dira pas si quelque chose à changé, s’il y a un nouvel obstacle, un arbre qui est tombé, un ruisseau qui déborde,… Elle n’est pas le territoire.

Peut-être que votre interlocuteur, votre collègue ou votre conjoint a eu une vie difficile qui influence sa réaction face à un cas de figure qui pour vous semble pourtant si simple. Il fait alors une association qui vous semble, à vos yeux, disproportionnée. Il a peut-être juste eu une dure journée ou des soucis. Son état émotionnel a des conséquences sur ses réactions que lui-même ne pourra peut-être pas identifier.
 
D’autres se mettrons en mode « défensif », il vous semble impossible de dire quoi que ce soit sans qu’il se braque… Et pourtant la situation ou votre intention vous semblait tellement sincère…
 
Les comportements face à des situations de vie sont le résultat de l’état dans lequel on se trouve à un moment « T ».
 
Nos ressources et notre « cadre de référence » ne nous permettent pas toujours de réagir de façon optimale ou objective.
 
Ce qui est important d’intégrer, ce qui aide lorsque vous vous trouvez dans une situation que vous jugez « complexe », c’est de prendre conscience qu’un comportement n’est pas la personne. Ainsi, il vous sera possible de ne pas porter de jugement. Un comportement est le résultat d’un moment « T », ne vous laissez pas emporter dans des sentiments de culpabilité, de honte,  de colère, de généralisation ou de stigmatisation.
 
Changer les événements ou votre entourage est impossible. Tout comme nous ne pouvons pas changer le passé. Vous ne les gérez pas.
 
Les seules choses sur lesquelles vous pouvez travailler, ce sont vos perceptions et vos propres comportements face à ces cas de figure. Vous pouvez ainsi considérablement vous simplifier la vie !
 
Nous avons tous des attentes de la vie. Ces attentes nous mettent dans des états émotionnels différents.
 
Par exemple, nous aspirons tous à l’amour, à en donner et à en recevoir non ?
 

Ou encore d’avoir beaucoup d’argent ou de succès social ou encore de trouver la paix dans la vie ou de ne plus laisser nos peurs maîtriser nos (in)actions.
Ces attentes, la vision que vous vous faite des choses, vont influencer nos perceptions.

 

 

La clé du succès de l’épanouissement et de la paix de l’âme réside entre autres à contrôler ses états internes.
 
Laissez-moi développer ceci : 
Si nos états internes sont aux prémices des comportements, on doit alors trouver les raisons qui les engendrent et ce qui les créent.
 
Un état se compose de deux éléments principaux : nos représentations internes et notre physiologie. Votre représentation du monde et votre interprétation des situations créent l’état dan lequel vous êtes et par conséquence le comportement que vous allez adopter.
 
Par exemple, comment réagissez-vous envers votre collègue de travail, qui à nouveau, a fait des erreurs dans son rapport ? Ou envers votre conjoint qui, à nouveau, a oublié de sortir les poubelles ?
 
Eh bien, l’état dans lequel vous vous trouvez au moment où vous constatez ces choses influera sur votre réaction qui peut varier d’un jour à l’autre.
 
Il ce peut que, toute la journée, vous vous êtes imaginé une poubelle vide parce que vos parents viennent ce soir en visite et que vous attendiez de votre conjoint un minimum syndical de soutien et d’initiative, alors que lui… il n’a rien fait d’autre que d’oublier comme d’habitude, mais n’a pas eu la même perception que la vôtre. C’est vrai quoi, d’habitude cela ne vous met pas dans ces états là ! Et il ne comprend pas et la situation prend des ampleurs grotesques…
Ou alors vous savez d’avance que votre conjoint a un rendez-vous important à préparer et, le connaissant, vous ne vous attendez pas à voir cette poubelle vidée. Mais vous le comprenez, il n’a pas la tête à ça en ce moment. Votre démarche émotionnelle vous met dans un tout autre état, alors que le résultat est le même : la poubelle est tellement pleine qu’elle est à deux doigts de vomir…
 
Mais votre perception était différente et elle a conduit à un comportement différent.
 
Bien entendu, nos réactions trouvent leurs sources dans notre plus jeune enfance et dans toute notre vie. Parfois nous ne faisons qu’imiter les réactions de nos parents et, inconsciemment, nous imitons des modèles qui se sont répété maintes et maintes fois.
 
Il est possible de vivre les choses différemment lorsque nous comprenons que c’est l’état interne dans lequel nous nous trouvons qui influe sur nos perceptions et nos comportements. C’est la raison pour laquelle il nous arrive de réagir différemment en fonction de ce que beaucoup identifie comme « mon humeur du jour ». L’humeur n’est qu’un état causé par des événements extérieurs, pas toujours identifiables. Mais nous pouvons maîtriser ces humeurs, vraiment !
 
Ce que nous pouvons changer, avec de l’exercice, ce sont nos perceptions des choses qui influeront sur nos comportements.
 
Nous ne pouvons pas changer le monde qui nous entoure, nous ne pouvons pas changer les « autres », nous ne pouvons pas changer la carte de monde des autres, ni notre passé, mais nous pouvons changer nos perceptions, notre vision. En prenant le temps et envisager que d’autres possibilités sont possibles, envisager des leçons constructives à tirer de vos expériences, vous ouvrez déjà votre esprit à un changement d’état et vous vous sentirez beaucoup mieux.
 
Nous choisissons notre façon de réagir ! Ne nous cherchons pas d’excuses puisées dans un passé qu’on ne changera pas ! Concentrez-vous sur les possibilités, sur l’avenir à construire !
 
Personne ne naît avec la prédisposition de voir la vie en noir ou d’échouer !
 
Inspirez-vous de gens qui ont vécu leur vie en acteur et ne l’ont pas fait dépendre des événements.
 
Leurs histoires sont inspirantes, et si eux ils ont réussit, alors vous aussi vous pourrez réussir !
 
Ne vous laissez pas décourager par la déception et le négativisme ! Vous pouvez vous aussi réussir à vous épanouir ! 
 
Michel POULAERT

Le saviez-vous ► L’histoire du sachet de thé‏


Voilà la petite histoire du sachet de thé .. mais personnellement j’aime bien les feuilles de thé ou de tisane qu’on fait filtré …de temps a autres …
 
Le sachet de thé 
 
questmachine.org

Le sachet de thé est né grâce à un marchant de thé américain, Thomas Sullivan. Pour faire des économies, il décide d’expédier ses échantillons de thé à ses clients dans des sachets de soie cousus.
 
Sans le savoir, il sonne le glas des grosses boîtes métalliques, chères et difficilement transportables, utilisées habituellement.
 
Cette nouvelle formule est immédiatement adoptée par les clients de Sullivan qui y voient un côté pratique indéniable. Plus la peine de s’enquiquiner à filtrer les feuilles de thé, car le sachet est désormais infusé directement dans la théière. La révolution est en marche.

En 1929, Adolf Rambold, un Allemand, se met en tête d’améliorer l’idée de Sullivan. Pour que le thé diffuse ses saveurs sans altération, il propose un système a deux poches rehaussées d’une agrafe et d’un petit bout de ficelle. Cette création permettra la production de masse de les années 30
 
Qu’il soit dans un écrin de mousseline, de soie ou de papier, le thé a conquis le monde entier. Aujourd’hui, l’empaquetage en sachets représente 95 % de la consommation en Occident ..
 

7 Jours/histoire/ Mars 2011 

À travers le Canada L’été sera chaud


Bon après un hiver assez neigeux pour certaines régions, au printemps plusieurs municipalités vivent les deux pieds dans l’eau et beaucoup doivent évacué .. voila qu’on nous annonce un été chaud .. Je pense qu’on va s’ennuyer un petit peu de l’hiver
 
À travers le Canada L’été sera chaud
 

 L'été sera chaud

Crédit photo : Environnement Canada
 
TVA Nouvelles Après un printemps frais et pluvieux, les Canadiens peuvent s’attendre à un été chaud.
En effet, Statistiques Canada prédit un été plus chaud que la normale à travers le pays. Les mois de juin, de juillet et d’août pourraient apporter des températures au-dessus de la moyenne.  

Seules quelques régions au Canada sur les côtes est et ouest pourraient y échapper. Mais, déjà, Statistiques Canada croit que ces régions pourraient aussi goûter à cette chaleur.
 
Toutefois, le climatologue David Phillips rappelle que plus de journées chaudes pourraient causer plus de journées de smog.
 
http://tvanouvelles.ca

Les causes méconnues du gain de poids


J’aime beaucoup cette approche expliquant d’autres liens reliés au surpoids et que l’auteur attache l’importance de souligner que ce n’est pas d’être mince qui prime mais d’être en santé … disons que trouver son poids santé est l’idéal en ayant de bonnes habitudes de vie
 
Les causes méconnues du gain de poids
 
Le manque de sommeil est l'une des causes du gain de poids. Entre autres parce qu'en dormant peu, «on est exposés à notre environnement obésogène plus longtemps». «On est généralement plus fatigués, moins enclins à aller au gym et bouger», explique Jean-Philippe Chaput, de l'Université d'Ottawa.

Le manque de sommeil est l’une des causes du gain de poids. Entre autres parce qu’en dormant peu, «on est exposés à notre environnement obésogène plus longtemps». «On est généralement plus fatigués, moins enclins à aller au gym et bouger», explique Jean-Philippe Chaput, de l’Université d’Ottawa.
Photo: François Roy, La Presse
 Marie Allard
La Presse
 

Manger trop, bouger peu mène au gain de poids, on le sait. Mais d’autres facteurs méconnus se cachent derrière les silhouettes rebondies, a dit à La Presse Jean-Philippe Chaput, de l’Université d’Ottawa, qui vient de remporter le Prix du meilleur jeune chercheur canadien en obésité.
 
1) Le manque de sommeil

  «Quand on manque de sommeil, plusieurs hormones en lien avec la prise alimentaire, comme la cortisone, la leptine et la ghréline sont perturbées, explique M. Chaput. Cela fait en sorte qu’on a davantage faim lorsqu’on dort moins.»

 
Le jour suivant une nuit de quatre heures, des hommes ont mangé 22% plus de calories qu’au lendemain de huit heures de sommeil, selon une étude parue en 2010.

  En dormant peu, «on est aussi exposés à notre environnement obésogène plus longtemps, fait valoir le chercheur. On est généralement plus fatigués, moins enclins à aller au gym et bouger.»

Plus troublant: dormir peu en suivant une diète faible en calories favorise la perte de masse maigre plutôt que la perte de graisse. Pourquoi?

 

  «Ce n’est pas encore clair, mais comme notre cerveau fonctionne plus en étant debout longtemps, peut-être puise-t-on dans nos protéines musculaires pour les transformer en glucose pour notre cerveau», avance M. Chaput.

2) Le travail mental
 
Travailler à l’ordinateur pendant 45 minutes plutôt que de se reposer aussi longtemps entraîne une dépense énergétique supérieure de… 13 minuscules kilojoules. Mais après avoir bossé devant l’écran, les participantes à une étude de M. Chaput ont mangé 959 kilojoules de plus qu’après le repos!

  Le travail mental augmente la prise alimentaire, probablement parce que le cerveau veut une compensation après un stress subit», indique le chercheur.

 
Solution: il est important de contrebalancer le travail à l’ordi par de l’activité physique régulière.

3) Le manque de calcium

  C’est dégoûtant, mais utile: «L’ingestion d’aliments contenant du calcium entraîne une augmentation de l’excrétion du gras dans les matières fécales», dit M. Chaput.

 
Explication: le calcium se lie aux acides gras dans notre tractus gastro-intestinal.
 
Autre avantage du calcium: il facilite le contrôle de l’appétit. Des femmes obèses suivant une diète de perte de poids ayant bu chaque jour du lait fournissant 1000 mg de calcium n’ont pas eu de désir accru de manger. Un groupe-témoin, avec la même diète et la même quantité de protéines, sans ce calcium, a vu son désir de manger augmenter.
 
Petite info: une tasse de lait procure 314 mg de calcium.
4) Les polluants organochlorés
 
Bien que bannis depuis des années, les polluants organochlorés, comme le DDT, sont toujours dans la chaîne alimentaire.
 

  «Les polluants sont stockés dans notre matière graisseuse et y sont dormants, indique M. Chaput. Mais lorsqu’on perd du poids, on voit une hyperconcentration des polluants au niveau sanguin. Ils attaquent alors différents organes.»

 
Atteinte, la glande thyroïde se met à produire moins d’hormones, ce qui ralentit le métabolisme et fait brûler moins de calories.

  «Ça peut expliquer pourquoi on plafonne dans un contexte de perte de poids», estime le chercheur.

  «Le message à faire passer, c’est qu’il est important de maigrir progressivement, souligne-t-il.On ne recommande que de 5 à 10% de perte de poids, ce qui permet d’observer des bienfaits au niveau cardiovasculaire et autres.»

Être mince n’est pas prioritaire, c’est être en santé qui l’est.

  «Le plus important, c’est d’avoir un mode de vie sain, conseille M. Chaput.Bien s’alimenter, bouger, avoir une bonne gestion du stress, une bonne hygiène de sommeil. Peu importe notre poids, ce n’est pas un problème, jusqu’à une certaine limite. Tant que notre mode de vie est sain.»
 

http://www.cyberpresse.ca 

Les Québécois, de mauvais «parents» pour les animaux?‏


C’est vraiment pas un titre honnorant pour nous .. !!! Nous avons vraiment un problème avec notre comportement avec les animaux domestiques .. En que Québeçois nous sommes fiers de nos différences alors que certaines différences avec le reste du Canada voir avec d’autres pays est vraiment désolant …
 
Les Québécois, de mauvais «parents» pour les animaux?

Au-delà de cette horrible histoire qui concerne le Berger Blanc, il faudrait vraiment se demander si nous n’avons pas un gros problème de société sur les bras…
Les Québécois, de mauvais «parents» pour les animaux?
 
© Shutterstock 
 
Par Annie Ross – Docteure en médecine vétérinaire
 
Suite au reportage choc diffusé à l’émission de télé Enquête, le jeudi 21 avril, sur les pratiques plus que douteuses de la fourrière Le Berger blanc, plusieurs d’entre nous sont tout simplement choqués et s’insurgent, avec raison! Mais, au-delà de cette horrible histoire de cruauté, il faudrait vraiment se demander si nous n’avons pas un gros problème de société sur les bras… 
 
Car, en effet, le nombre d’animaux domestiques abandonnés et qui se retrouvent dans les différents refuges du Québec est tout simplement effarant et inquiétant! 
 
Et, alors que les refuges pour animaux sont surpeuplés et débordent, que les usines à chiots pullulent au Québec et produisent encore plus de petites bêtes, les Québécois que nous sommes achètent encore et encore, sans réfléchir, sur un coup de tête, des animaux domestiques à l’animalerie du coin pour s’en départir, quelque temps plus tard, comme de vulgaires mouchoirs que l’on jette aux poubelles après usage. 
 
Les Québécois que nous sommes, capables de changer la couleur du Québec en une soirée avec le déferlement d’une vague orange, fiers de nos différences culturelles et «trippant» sur le Canadien de Montréal même s’il a perdu, ne sont pas de bons propriétaires ou de bons «parents» d’animaux…

Vous pensez que j’exagère? Vous êtes donc de ceux qui, comme moi, ont un vieux chien de 14 ans à la maison, que vous aimez tendrement, ou encore un adorable chat qui vit avec vous depuis dix ans déjà.
Eh bien, vous êtes peut-être une exception…
 

Ouvrez-vous les yeux et regardez bien ces statistiques: 

Des chiffres qui parlent
 
Près de la moitié (45 %) des ménages québécois ont un animal de compagnie, mais ils ne gardent cet animal qu’en moyenne deux ans (alors que la longévité des chats et des chiens va souvent au-delà de 12 ans).
Le Québec est le numéro un, le champion, de l’abandon d’animaux domestiques en Amérique du Nord, car nos chiffres dépassent toutes les provinces canadiennes et les États américains.
Au Québec, beau temps, mauvais temps, nous abandonnons un demi-million d’animaux de compagnie chaque année.
Ces animaux atterrissent généralement dans un refuge quelconque et la grande majorité d’entre eux, soit environ 80 %, sont éventuellement euthanasiés.
Au Québec, il y a près de 1 800 usines à chiots qui produisent «à la chaîne» annuellement 4 000 000 de petites bêtes qui seront vendus ici et ailleurs, au Canada et aux États-Unis.
Au Québec, nous sommes, grosso Modo, 8 millions de gens et nous abandonnons 500 000 animaux domestiques par année. Pour bien comparer, sachez qu’en France, ils sont environ 63,4 millions d’habitants (soit huit fois plus que nous) et ils abandonnent seulement 100 000 animaux (cinq fois moins que nous)
On estime que la moitié des abandons d’animaux, soit 50 %, se font généralement autour du 1er juillet, au moment des déménagements.
 
Se responsabiliser en tant que propriétaires d’animaux
 
Il faut d’abord comprendre qu’avoir un animal, ça coûte cher et ça demande beaucoup de temps et d’investissements. Il faut être responsable tout au long de la vie de cet animal! Pensons-y deux, trois et même quatre fois avant de devenir propriétaire. Ce n’est pas un briquet Bic que l’on jette dès qu’il fonctionne un peu moins bien!
Retenez-vous un peu: ne faites pas d’achat impulsif! N’offrez jamais un animal en cadeau. Il faut mûrir ses réflexions longuement avant de devenir propriétaire…
 
Il faut arrêter d’encourager l’industrie des usines à chiots! Pour ce faire, on ne doit pas acheter un animal sans avoir vu de ses propres yeux l’endroit où il est né et a été élevé. Et cet endroit, vous le voulez confortable et charmant.
 
Les animaleries et les achats douteux en ligne ou dans les petites annonces sont donc à proscrire, car on ne peut être sûr de la provenance de l’animal…Visez plutôt d’obtenir votre animal d’un éleveur consciencieux ou d’un particulier sympathique qui a une seule portée à offrir.
Encore mieux! Optez donc pour l’adoption dans un refuge. Arrêtez de faire tourner la roue. D’ailleurs, il y a une belle publicité québécoise très récente à ce sujet: L’adoption c’est l’option. Vous pouvez la visionner sur YouTube:

Faites stériliser vos animaux, surtout les chats s’ils vont dehors. Ce n’est pas uniquement une question de santé, cette fois-ci! Cela évitera de contribuer au surpeuplement et à l’augmentation des chats errants au Québec.

http://fr.canoe.ca 

Meurtre de Jolène Riendeau Le suspect relâché


Les policiers font bien de ne pas donner trop d’informations mais ce qui est plus choquant c’est que c’est quand meme un pédophile reconnu par la police … Èt les enfants eux n’ont pas le meme doit d’être protégé ? Bref, ce que j’espère c,est que la police arrivera bientôt a trouver qui est coupable, car la famille vit toujours dans une attente sans fin
 
Meurtre de Jolène Riendeau Le suspect relâché
 
Le suspect relâché

 

Crédit photo : Agence QMI

Par Daniel Renaud | Le Journal de Montréal 

L’homme arrêté hier pour le meurtre de Jolène Riendeau a été relâché par les autorités après un interrogatoire qui aura duré plus de douze heures.

Selon ce qu’avait appris le Journal, il a déjà agressé sexuellement des enfants et a des antécédents judiciaires en la matière.

La police n’a cependant pas confirmé l’information de façon officielle et s’est contentée d’indiquer que l’individu est «bien connu».

Visiblement, les enquêteurs avaient ce suspect dans leur mire depuis quelque temps déjà. L’individu, âgé de 47 ans, a été arrêté «sur l’île de Montréal», à peine 48 heures après l’annonce de la découverte du corps de la fillette disparue il y a douze ans.

On ne connaît pas l’identité de l’homme. Encore hier, la police a laissé filtrer aux compte-gouttes les renseignements sur cet important développement.

On ignore notamment si le suspect habitait dans le secteur de la victime, dans Pointe-Saint- Charles, à l’époque du crime, et s’il connaissait Jolène Riendeau.
 

Dolores Soucy, la mère de Jolène Riendeau, tenant le portrait robot de sa fille. (Crédit photo: Agence QMI – 2 août 2010) 

Parents prudents

Il était environ 9h vendredi matin lorsqu’un enquêteur des Crimes majeurs de la police de Montréal a communiqué avec la directrice d’Enfants-Retour, Pina Arcamone, pour lui dire qu’un suspect avait été arrêté et que l’annonce allait en être faite dans les minutes suivantes.

Mme Arcamone a ensuite téléphoné aux parents de Jolène pour leur annoncer la nouvelle. C’est M. Riendeau qui a répondu.
 
« Il était rempli d’émotion et a pleuré un peu », raconte-t-elle.

«Ils ont réagi positivement. Ils constatent que les policiers font bien leur travail et veulent que ça aboutisse», dit-elle.

 «Mais cela fait douze ans que ces gens vivent des hauts et des bas. Ils se sont fait une carapace pour se protéger. Ils sont contents, mais en même temps prudents. Ils attendent que des accusations soient portées avant de crier victoire. Ils ont peur d’être déçus», ajoute Mme Arcamone.

Témoin recherchée

Par ailleurs, vendredi, les policiers n’étaient toujours pas parvenus à rencontrer une amie d’enfance de Jolène Riendeau qui a confié jeudi à TVA avoir vu la fillette en milieu de soirée, le 13 avril 1999.

La femme a dit notamment avoir aperçu Jolène Riendeau devant le Centre Saint-Charles, sur la rue Hibernia, vers 20 h, alors que les autorités ont toujours dit que c’est à 16 h, dans un dépanneur situé à l’angle des rues Charlevoix et Knox, qu’elle avait été vue pour la dernière fois.

«C’est impossible pour nous de confirmer cette nouvelle information actuellement. Nous n’avons pas encore été capables d’entrer en contact avec cette femme», affirme le sergent Ian Lafrenière de la police de Montréal.

http://tvanouvelles.ca