

Vous est-il déjà arrivé de vous poser la question pourquoi chaque individu vit un même événement différemment ? Alors que les uns peuvent s’irriter d’une situation, d’autres en rient.
Pourquoi les uns peuvent y puiser de la force et d’autres sombrent dans de grandes déceptions voire de grandes colères ?
Les uns voient dans la vie un verre à moitié plein alors que d’autres le voient à moitié vide.
Pourquoi les uns réagissent avec calme alors que d’autres explosent de colère ?
L’événement est pourtant le même pour l’un que pour l’autre et il arrive que l’on reste consterné face à ce que nous considérons comme une « réaction démesurée ». Du moins, selon notre point de vue, nos sensibilités, nos perceptions…
La citation introduit impeccablement ce questionnement : nous vivons et ressentons les choses de façons différentes parce que nous ne regardons souvent qu’une seule « face » d’une situation.
Notre bagage psycho-socio-émotionnel forme notre personnalité et nos perceptions. Ce sont ces perceptions qui guident nos réactions. Bien entendu c’est très simplifié, mais dans ce processus complexe qui est engendré par une multitude de facteurs, c’est comme cela que cela marche. Si nous comprenons cela, il est alors possible de remettre en question notre façon de percevoir notre monde, surtout si ces perceptions nous paralysent et pourrissent la vie.
Peut-être que votre interlocuteur, votre collègue ou votre conjoint a eu une vie difficile qui influence sa réaction face à un cas de figure qui pour vous semble pourtant si simple. Il fait alors une association qui vous semble, à vos yeux, disproportionnée. Il a peut-être juste eu une dure journée ou des soucis. Son état émotionnel a des conséquences sur ses réactions que lui-même ne pourra peut-être pas identifier.
D’autres se mettrons en mode « défensif », il vous semble impossible de dire quoi que ce soit sans qu’il se braque… Et pourtant la situation ou votre intention vous semblait tellement sincère…
Les comportements face à des situations de vie sont le résultat de l’état dans lequel on se trouve à un moment « T ».
Nos ressources et notre « cadre de référence » ne nous permettent pas toujours de réagir de façon optimale ou objective.
Ce qui est important d’intégrer, ce qui aide lorsque vous vous trouvez dans une situation que vous jugez « complexe », c’est de prendre conscience qu’un comportement n’est pas la personne. Ainsi, il vous sera possible de ne pas porter de jugement. Un comportement est le résultat d’un moment « T », ne vous laissez pas emporter dans des sentiments de culpabilité, de honte, de colère, de généralisation ou de stigmatisation.
Changer les événements ou votre entourage est impossible. Tout comme nous ne pouvons pas changer le passé. Vous ne les gérez pas.
Les seules choses sur lesquelles vous pouvez travailler, ce sont vos perceptions et vos propres comportements face à ces cas de figure. Vous pouvez ainsi considérablement vous simplifier la vie !
Nous avons tous des attentes de la vie. Ces attentes nous mettent dans des états émotionnels différents.
Par exemple, nous aspirons tous à l’amour, à en donner et à en recevoir non ?
La clé du succès de l’épanouissement et de la paix de l’âme réside entre autres à contrôler ses états internes.
Laissez-moi développer ceci :
Si nos états internes sont aux prémices des comportements, on doit alors trouver les raisons qui les engendrent et ce qui les créent.
Un état se compose de deux éléments principaux : nos représentations internes et notre physiologie. Votre représentation du monde et votre interprétation des situations créent l’état dan lequel vous êtes et par conséquence le comportement que vous allez adopter.
Par exemple, comment réagissez-vous envers votre collègue de travail, qui à nouveau, a fait des erreurs dans son rapport ? Ou envers votre conjoint qui, à nouveau, a oublié de sortir les poubelles ?
Eh bien, l’état dans lequel vous vous trouvez au moment où vous constatez ces choses influera sur votre réaction qui peut varier d’un jour à l’autre.
Il ce peut que, toute la journée, vous vous êtes imaginé une poubelle vide parce que vos parents viennent ce soir en visite et que vous attendiez de votre conjoint un minimum syndical de soutien et d’initiative, alors que lui… il n’a rien fait d’autre que d’oublier comme d’habitude, mais n’a pas eu la même perception que la vôtre. C’est vrai quoi, d’habitude cela ne vous met pas dans ces états là ! Et il ne comprend pas et la situation prend des ampleurs grotesques…
Ou alors vous savez d’avance que votre conjoint a un rendez-vous important à préparer et, le connaissant, vous ne vous attendez pas à voir cette poubelle vidée. Mais vous le comprenez, il n’a pas la tête à ça en ce moment. Votre démarche émotionnelle vous met dans un tout autre état, alors que le résultat est le même : la poubelle est tellement pleine qu’elle est à deux doigts de vomir…
Mais votre perception était différente et elle a conduit à un comportement différent.
Bien entendu, nos réactions trouvent leurs sources dans notre plus jeune enfance et dans toute notre vie. Parfois nous ne faisons qu’imiter les réactions de nos parents et, inconsciemment, nous imitons des modèles qui se sont répété maintes et maintes fois.
Il est possible de vivre les choses différemment lorsque nous comprenons que c’est l’état interne dans lequel nous nous trouvons qui influe sur nos perceptions et nos comportements. C’est la raison pour laquelle il nous arrive de réagir différemment en fonction de ce que beaucoup identifie comme « mon humeur du jour ». L’humeur n’est qu’un état causé par des événements extérieurs, pas toujours identifiables. Mais nous pouvons maîtriser ces humeurs, vraiment !
Ce que nous pouvons changer, avec de l’exercice, ce sont nos perceptions des choses qui influeront sur nos comportements.
Nous ne pouvons pas changer le monde qui nous entoure, nous ne pouvons pas changer les « autres », nous ne pouvons pas changer la carte de monde des autres, ni notre passé, mais nous pouvons changer nos perceptions, notre vision. En prenant le temps et envisager que d’autres possibilités sont possibles, envisager des leçons constructives à tirer de vos expériences, vous ouvrez déjà votre esprit à un changement d’état et vous vous sentirez beaucoup mieux.
Nous choisissons notre façon de réagir ! Ne nous cherchons pas d’excuses puisées dans un passé qu’on ne changera pas ! Concentrez-vous sur les possibilités, sur l’avenir à construire !
Personne ne naît avec la prédisposition de voir la vie en noir ou d’échouer !
Inspirez-vous de gens qui ont vécu leur vie en acteur et ne l’ont pas fait dépendre des événements.
Leurs histoires sont inspirantes, et si eux ils ont réussit, alors vous aussi vous pourrez réussir !
Ne vous laissez pas décourager par la déception et le négativisme ! Vous pouvez vous aussi réussir à vous épanouir !
Michel POULAERT
7 Jours/histoire/ Mars 2011
Seules quelques régions au Canada sur les côtes est et ouest pourraient y échapper. Mais, déjà, Statistiques Canada croit que ces régions pourraient aussi goûter à cette chaleur.
Toutefois, le climatologue David Phillips rappelle que plus de journées chaudes pourraient causer plus de journées de smog.
http://tvanouvelles.ca
Le manque de sommeil est l’une des causes du gain de poids. Entre autres parce qu’en dormant peu, «on est exposés à notre environnement obésogène plus longtemps». «On est généralement plus fatigués, moins enclins à aller au gym et bouger», explique Jean-Philippe Chaput, de l’Université d’Ottawa.
Photo: François Roy, La Presse
Marie Allard
La Presse
Manger trop, bouger peu mène au gain de poids, on le sait. Mais d’autres facteurs méconnus se cachent derrière les silhouettes rebondies, a dit à La Presse Jean-Philippe Chaput, de l’Université d’Ottawa, qui vient de remporter le Prix du meilleur jeune chercheur canadien en obésité.
1) Le manque de sommeil
«Quand on manque de sommeil, plusieurs hormones en lien avec la prise alimentaire, comme la cortisone, la leptine et la ghréline sont perturbées, explique M. Chaput. Cela fait en sorte qu’on a davantage faim lorsqu’on dort moins.»
En dormant peu, «on est aussi exposés à notre environnement obésogène plus longtemps, fait valoir le chercheur. On est généralement plus fatigués, moins enclins à aller au gym et bouger.»
Plus troublant: dormir peu en suivant une diète faible en calories favorise la perte de masse maigre plutôt que la perte de graisse. Pourquoi?
«Ce n’est pas encore clair, mais comme notre cerveau fonctionne plus en étant debout longtemps, peut-être puise-t-on dans nos protéines musculaires pour les transformer en glucose pour notre cerveau», avance M. Chaput.
2) Le travail mental
Travailler à l’ordinateur pendant 45 minutes plutôt que de se reposer aussi longtemps entraîne une dépense énergétique supérieure de… 13 minuscules kilojoules. Mais après avoir bossé devant l’écran, les participantes à une étude de M. Chaput ont mangé 959 kilojoules de plus qu’après le repos!
Le travail mental augmente la prise alimentaire, probablement parce que le cerveau veut une compensation après un stress subit», indique le chercheur.
3) Le manque de calcium
C’est dégoûtant, mais utile: «L’ingestion d’aliments contenant du calcium entraîne une augmentation de l’excrétion du gras dans les matières fécales», dit M. Chaput.
«Les polluants sont stockés dans notre matière graisseuse et y sont dormants, indique M. Chaput. Mais lorsqu’on perd du poids, on voit une hyperconcentration des polluants au niveau sanguin. Ils attaquent alors différents organes.»
«Ça peut expliquer pourquoi on plafonne dans un contexte de perte de poids», estime le chercheur.
«Le message à faire passer, c’est qu’il est important de maigrir progressivement, souligne-t-il.On ne recommande que de 5 à 10% de perte de poids, ce qui permet d’observer des bienfaits au niveau cardiovasculaire et autres.»
Être mince n’est pas prioritaire, c’est être en santé qui l’est.
Vous pensez que j’exagère? Vous êtes donc de ceux qui, comme moi, ont un vieux chien de 14 ans à la maison, que vous aimez tendrement, ou encore un adorable chat qui vit avec vous depuis dix ans déjà.
Eh bien, vous êtes peut-être une exception…
Faites stériliser vos animaux, surtout les chats s’ils vont dehors. Ce n’est pas uniquement une question de santé, cette fois-ci! Cela évitera de contribuer au surpeuplement et à l’augmentation des chats errants au Québec.
Crédit photo : Agence QMI
Par Daniel Renaud | Le Journal de Montréal
L’homme arrêté hier pour le meurtre de Jolène Riendeau a été relâché par les autorités après un interrogatoire qui aura duré plus de douze heures.
Selon ce qu’avait appris le Journal, il a déjà agressé sexuellement des enfants et a des antécédents judiciaires en la matière.
La police n’a cependant pas confirmé l’information de façon officielle et s’est contentée d’indiquer que l’individu est «bien connu».
Visiblement, les enquêteurs avaient ce suspect dans leur mire depuis quelque temps déjà. L’individu, âgé de 47 ans, a été arrêté «sur l’île de Montréal», à peine 48 heures après l’annonce de la découverte du corps de la fillette disparue il y a douze ans.
On ne connaît pas l’identité de l’homme. Encore hier, la police a laissé filtrer aux compte-gouttes les renseignements sur cet important développement.
Dolores Soucy, la mère de Jolène Riendeau, tenant le portrait robot de sa fille. (Crédit photo: Agence QMI – 2 août 2010)
Parents prudents
Il était environ 9h vendredi matin lorsqu’un enquêteur des Crimes majeurs de la police de Montréal a communiqué avec la directrice d’Enfants-Retour, Pina Arcamone, pour lui dire qu’un suspect avait été arrêté et que l’annonce allait en être faite dans les minutes suivantes.
« Il était rempli d’émotion et a pleuré un peu », raconte-t-elle.
«Ils ont réagi positivement. Ils constatent que les policiers font bien leur travail et veulent que ça aboutisse», dit-elle.
«Mais cela fait douze ans que ces gens vivent des hauts et des bas. Ils se sont fait une carapace pour se protéger. Ils sont contents, mais en même temps prudents. Ils attendent que des accusations soient portées avant de crier victoire. Ils ont peur d’être déçus», ajoute Mme Arcamone.
Témoin recherchée
Par ailleurs, vendredi, les policiers n’étaient toujours pas parvenus à rencontrer une amie d’enfance de Jolène Riendeau qui a confié jeudi à TVA avoir vu la fillette en milieu de soirée, le 13 avril 1999.
La femme a dit notamment avoir aperçu Jolène Riendeau devant le Centre Saint-Charles, sur la rue Hibernia, vers 20 h, alors que les autorités ont toujours dit que c’est à 16 h, dans un dépanneur situé à l’angle des rues Charlevoix et Knox, qu’elle avait été vue pour la dernière fois.
«C’est impossible pour nous de confirmer cette nouvelle information actuellement. Nous n’avons pas encore été capables d’entrer en contact avec cette femme», affirme le sergent Ian Lafrenière de la police de Montréal.