L’amitié


L’amitié n’est pas quelque chose d’acquis .. elle doit se travailler si nous ne voulons pas la voir s’enfuir …
 
L’amitié
 
papillon bleu
Photo : linternaute.com/© Thomas Dulaurent
 
«L’amitié n’a pas âge ni de temps. Elle peut naître comme elle peut mourir à tout moment.»

 

 

Vasco Varoujean 

Desiderata


Pendant toute notre vie nous apprenons bien des choses, nous courrons après le temps … mais nous oublions de nous arrêter et prendre conscience des vrais valeurs qui doivent guider notre vie
 
Desiderata
 
jardin zen

 

Photo : mcphotographie.aminus3.com/Cathie

 

Reste calme au milieu du bruit et de l’impatience

 

et souviens-toi de la paix qui découle du silence.

Autant que tu le peux, mais sans te renier, sois en bons termes avec tout le monde.

Dis ce que tu penses, clairement, simplement et écoute les autres,
même les sots et les ignorants ; eux aussi ont quelque chose à dire.

 
Évite les gens grossiers et violents car il ne sont que tourments pour l’esprit.

Si tu te compares aux autres, tu risques de devenir vaniteux ou amer,
vu qu’il y aura toujours quelqu’un de plus grand ou de plus petit que toi.

 
Sois fier de ce que tu as fait et de ce que tu veux faire.

Aime ton métier, même s’il est humble ; c’est un bien précieux en notre époque troublée.

Sois prudent dans tes affaires, car on pourrait te jouer de vilains tours.

Mais que ceci ne te rende pas aveugle à ce qu’il y a de beau ;
bien des gens luttent pour un idéal et, partout sur la Terre, on fait preuve de courage.

 
Sois toi-même, surtout dans tes affections.

Fuis par-dessus tout le cynisme en amour,
car il persiste même après avoir desséché ton coeur et désenchanté ton âme.

 
Permets-toi de t’enrichir de l’expérience des ans,
te défaisant progressivement de tes puérilités.


Affermis-toi pour faire face aux malheurs de la vie.


Mais ne te détruis pas par une imagination maladive :
bien des peurs prennent naissance dans la fatigue et la solitude.

Malgré la saine discipline qui s’impose, sois bon envers toi-même.
 
Tu es un enfant de l’univers, tout comme les arbres et les étoiles :
tu as le droit d’être ici.


Et même si cela n’est pas clair en toi,
sois assuré que tout se passe dans l’univers selon ses règles propres.

Par conséquent, sois en paix avec ton Dieu, quelle que soit en toi son image.

Et par-delà tes peines et tes aspirations, au milieu de la confusion de la vie,
sois en paix avec ton âme.


Dis-toi qu’en dépit de ses faussetés, de ses ingratitudes, de ses rêves brisés,
le monde est tout de même merveilleux.

Répands la bonne humeur.
Et tâche d’être heureux.

 
Poème écrit en 1927
Par Max Ehrmann (1872-1945)
Traduit pas Hubert Claes en septembre 1996 

Le saviez-vous ► Quel animal le plus dangereux pour l’être humain ?‏


Je suis contente que cette grenouille ne vit pas au Québec, si elle serait importé et lâcher dans notre environnement, cela serait sûrement une vraie catastrophe environnementale ..
 
Quel animal le plus dangereux pour l’être humain ?
 
Photo : grenouilles.free.fr
 

L’animal le plus dangereux de tous est une grenouille vénimeuse d’Amérique du Sud. Sa peau produit un poison ultraviolent. 
 
En effet, une seule grenouille peut tuer des certaines de personnes. C’est le poison le plus puissant qu’on connaisse. Autrefois, les Indiens enduisaient leurs flèches de ce venin pour empoisonner l’ennemi 
 
La Semaine/Réponses à tout/René Charron/ Mars 2011 

Des dizaines d’espèces d’oiseaux en déclin‏


Des oiseaux déclinent d’autres augmentent .. certains disparaissent a cause de l’homme et d’autres s’installent ou restent toutes l’années pour presque les mêmes raisons de nos actions .. Une chose de sur, un monde sans oiseaux serait un monde bien triste
 
Des dizaines d’espèces d’oiseaux en déclin
 
Des dizaines d'espèces d'oiseaux en déclin

Jadis en quantité innombrable, le moineau domestique est en plein déclin.
Photo: Bernard Brault, La Presse
  Pierre Gingras
La Presse
 

Au moment où l’effervescence printanière gagne une multitude d’oiseaux qui se préparent à nicher, des scientifiques s’interrogent sur l’avenir de plusieurs espèces.
 
Les résultats préliminaires obtenus dans le cadre de l’Atlas des oiseaux nicheurs du Québec, dont le but est de déterminer la distribution des oiseaux qui se reproduisent ici, indiquent que la population de dizaines d’espèces indigènes a connu une baisse considérable au cours des dernières années. Par contre, d’autres, beaucoup moins nombreuses toutefois, sont en pleine expansion.
 
La situation de plusieurs hirondelles (rustiques, des rivages, noires et à front blanc), de l’engoulevent bois-pourri, de l’engoulevent d’Amérique, un oiseau autrefois abondant dans le ciel de Montréal, et surtout du martinet ramoneur dont les effectifs ont considérablement baissé au cours des récentes décennies, inquiète les biologistes. Même l’universel moineau domestique est en déclin.
 
Plusieurs espèces qui fréquentaient jadis les terres abandonnées de nos banlieues sont aussi en chute libre parce que ces espaces vitaux diminuent comme peau de chagrin. C’est le cas du goglu des prés, de la maubèche des champs ou encore de la sturnelle des prés, des oiseaux qu’il était assez facile d’observer autour de Montréal il y a une vingtaine d’années à peine. D’autres comme le tyran tritri, la bécasse d’Amérique, la perdrix grise, le pluvier kildir ou encore le vacher à tête brune, oiseau parasite qui fait pourtant élever ses petits par les autres, voient aussi leurs populations décroître.

Des 443 espèces déjà signalées au Québec, seulement 278 vivent sur place ou viennent y élever leurs petits. Certains experts estiment que la diminution pourrait toucher près de la moitié d’entre elles.
 
Responsable de la coordination de l’Atlas pour Environnement Canada, le biologiste Michel Robert précise cependant qu’il faudra attendre que la compilation des données soit terminée, à la fin de 2014, pour avoir un portrait précis de l’évolution de nos oiseaux. Mais déjà, si l’on compare les résultats obtenus l’an dernier avec ceux du premier Atlas publié en 1995, il est évident que la situation de nombreuses espèces est précaire.

Plusieurs facteurs sont en cause.

 

 

 «Les oiseaux qui se nourrissent exclusivement d’insectes, particulièrement ceux qui les capturent en vol, comme les engoulevents, les hirondelles ou les martinets déclinent, indique le scientifique. La situation n’est pas particulière au Québec et pourrait être attribuable à la baisse considérable d’insectes, un problème probablement lié à l’agriculture intensive sur tout le continent. Dans certains cas comme chez l’hirondelle rustique, c’est la rareté des lieux de nidification qui pose problème. Le réchauffement climatique et les pratiques agricoles (les bêtes élevées en enclos, l’élimination des zones tampons, le fauchage très hâtif, etc.) sont également en cause.»

 

Par ailleurs, de nombreuses espèces migratrices sont malmenées dans les lieux d’hivernage, en Amérique centrale et en Amérique du Sud, en raison de la destruction des habitats et de l’utilisation massive des pesticides qui empoisonnent la chaîne alimentaire. Par exemple, la sarcelle à ailes bleues, un canard qui voit souvent son nid détruit par les coupes hâtives du fourrage au Québec, est abondamment chassée sur les sites d’hivernage.
 
***
 
DES PERDANTS
 
Le moineau domestique
 
Introduit d’Europe par des lâchers aux États-Unis dans les années 1850 et même à Québec en 1868, le moineau domestique s’est merveilleusement adapté à son nouveau milieu. Au point qu’à peine 20 ans plus tard, le 20 juillet 1889, La Presse titrait en une: Mort aux moineaux. La disparition du cheval de nos rues et plus récemment, la modification de l’architecture urbaine, l’élevage en enclos et la concurrence livrée par un nouvel arrivant, le roselin familier, ont tous contribué au déclin du moineau qui s’est accentué depuis deux ou trois décennies
 
L’hirondelle rustique
 
L’hirondelle rustique, notre hirondelle des granges, doit composer avec une baisse considérable des lieux de nidification, les bâtiments de ferme étant moins nombreux et plus modernes. La chute des populations d’insectes volants aurait aussi contribué à la dimunition de la population. Le gigantesque ouragan Wilma, à l’automne 2005, en pleine période migratoire, serait également responsable d’une hécatombe dans la population. Cette espèce migre jusqu’en Argentine.
 
Le martinet ramoneur
 
Étonnante évolution que celle du martinet ramoneur, oiseau de petite taille, encore présent dans le ciel montréalais, toujours en vol ou presque, souvent confondu avec l’hirondelle. La colonisation ayant décimé les arbres où il nichait, l’espèce s’est installée dans les cheminées qui cessaient de fumer durant la saison de reproduction. Quelques siècles plus tard, les cheminées disparaissaient en quelques décennies ou étaient grillagées en raison de la réglementation. À cela s’ajoute la rareté des insectes volants. Résultat: un déclin d’effectifs de plus de 90% au cours des récentes décennies. Aujourd’hui, la population totale ne dépasse guère les 4000 individus. L’oiseau hiverne en Amérique du Sud (Chili, Pérou, Équateur, Brésil).
 
DES GAGNANTS
 
L’urubu à tête rouge
 
Souvent appelé à tort vautour à tête rouge, l’urubu est un nouveau venu au Québec. Même si on l’imagine beaucoup plus dans les étendues désertiques du Sud que dans la forêt boréale. La première mention de nidification, dans l’Outaouais, date de 1986. Ce charognard au charme particulier est maintenant en pleine expansion et on le trouve aussi bien au Témiscamingue qu’en Abitibi ou sur la Côte-Nord. De nombreux individus sont signalés chaque année dans la région métropolitaine, même en plein coeur de Montréal. Le réchauffement climatique, la grande population de chevreuils et la circulation automobile, qui lui procure des milliers de carcasses, seraient en cause.
 
Le dindon sauvage
 
Jadis présent dans le sud du Québec au XVIIIe siècle pour ensuite disparaître en raison de la chasse intensive, comme ce fut le cas aussi dans une bonne partie des États-Unis, le dindon sauvage fait un retour remarquable sur le territoire québécois ces dernières années, notamment en Estrie et en Montérégie. Ces oiseaux proviennent à l’origine des États américains limitrophes où le dindon a été réintroduit. Le réchauffement climatique a favorisé le dindon mais certaines populations ailleurs au Québec, comme dans l’Outaouais, doivent leur existence aux lâchers réalisés par la Fédération des chasseurs et pêcheurs du Québec.
 
Le cardinal rouge
 
Le cardinal rouge, une espèce familière particulièrement prisée des amateurs d’oiseaux en raison de son vif coloris, est en nette progression vers l’est, notamment dans la région de Québec où il était absent il y a 20 ans. Cette expansion territoriale aurait aussi été favorisée par les hivers plus doux de même que par la présence de mangeoires installées par les amateurs pour observer et nourrir les oiseaux durant la saison froide.
 
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Le bouleau: l’arbre qui cause le plus d’allergie


Je plains ceux qui souffrent d’allergie .. car nous allons vers l’époque de saison qu’il y a des pollens qui voleront a leur rencontre …
 
Le bouleau: l’arbre qui cause le plus d’allergie

Agence QMI  
 
Flore - Le bouleau: l'arbre qui cause le plus d'allergie
La taille des grains de pollen du bouleau est inférieure à la moyenne de ceux des autres arbres de la forêt québécoise.  

© Agence QMI / Archives 

 

PARIS – Le bouleau est classé parmi les arbres au potentiel allergisant le plus élevé, rapporte le site Santé log

Le Réseau National de Surveillance Aérobiologique français souligne que cet arbre se caractérise par une production de pollen élevée.
 

De plus, la taille des grains de pollen du bouleau est inférieure à la moyenne, ce qui contribue à leur meilleure pénétration dans les voies respiratoires. 
 
Lorsqu’il est transporté par le vent, le pollen de bouleau bénéficie aussi, de par sa taille, d’une très bonne dispersion dans l’air. 
 
Au contact des bronches et des voies respiratoires, les grains de pollen entraînent une réaction allergique plus ou moins sévère chez les personnes qui y sont sensibles. 
 
Au Québec, le risque d’exposition au pollen du bouleau est habituellement élevé dès la fin avril et durant tout le mois de mai. 
 
Selon la Fondation canadienne d’allergie, d’asthme et d’immunologie, de 20 % à 25 % des Canadiens souffriraient de rhinite allergique. 
 
Les symptômes seraient d’ailleurs plus prononcés qu’auparavant, phénomène qui pourrait notamment s’expliquer par l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre. Ceux-ci auraient pour effet d’augmenter la production de pollen des plantes et des arbres. 
Outre les traitements (médicaments, insensibilisation), il faut limiter au maximum le contact avec les allergènes. Ainsi, on devrait éviter les activités en plein air quand la concentration de pollen est élevée (surtout, entre 7 h et 13 h), on ne devrait pas faire sécher son linge à l’extérieur, on devrait garder les fenêtres de la maison fermées et utiliser un système de climatisation ou de filtration de l’air. 

http://fr.canoe.ca 

Le Tai-Chi contre la défaillance cardiaque chronique


Le Tai-chi me semble être comme une danse très lente avec une chorégraphie mesuré pour chaque membres du corps .. C’est une poésie de l’ame transmit au corps et à l’esprit …
 
Le Tai-Chi contre la défaillance cardiaque chronique
 
 
Un homme pratique le Tai-Chi dans un parc de Pékin.
Un homme pratique le Tai-Chi dans un parc de Pékin.

Photo: Archives AP
Agence France-Presse
Washington
 

La pratique d’une gymnastique inspirée du Tai-Chi, un art martial chinois, contribuerait à améliorer la qualité de vie, l’humeur et l’efficacité de l’exercice chez des patients souffrant de défaillance cardiaque chronique, révèlent des travaux publiés lundi.

«Le Tai-Chi est sans danger (…) et pourrait améliorer la qualité de vie et l’humeur de malades frêles souffrant de défaillance cardiaque», explique le Dr Gloria Yeh, du Beth Israel Deaconess Medical Center et professeur adjointe à la faculté de médecine de l’Université de Harvard, l’une des auteurs de cette étude parue dans les Archives of Internal Medicine datées du 25 avril.

 

Historiquement, les personnes atteintes de défaillance cardiaque chronique étaient considérées comme trop fragiles pour faire de l’exercice. Jusqu’à la fin des années 80, la recommandation standard de la médecine était d’éviter des efforts physiques,note l’étude.

 

 

 

«Les résultats préliminaires de cette étude laissent penser que le Tai-Chi pourrait avoir des bienfaits chez de tels malades mais ils n’ont pas été vérifiés lors d’essais cliniques étendus», observent ces chercheurs.

Pour cette recherche, ils ont assigné cinquante personnes souffrant de défaillance cardiaque chronique à une heure de Tai-Chi deux fois par semaine pendant douze semaines.
 
Un autre groupe de cinquante participants souffrant de la même affection, d’âge comparable, ont suivi les exercices généralement recommandés consistant notamment à une marche de six minutes bi-hebdomadaires.
 
A la fin de l’étude, aucune différence n’était mesurable en termes d’oxygénation mais les participants soumis au Tai-Chi ont connu une plus grande amélioration de leur qualité de vie et de leur bien-être.
 
Ces derniers ont aussi montré davantage de confiance à pratiquer eux-mêmes certains exercices associés au Tai-Chi, selon ces chercheurs.
 
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