Les émotions


Qu’on soit triste ou fâcher, qu’on soit heureux ou en colère nos émotions nous mènent parfois la vie dure .. Savoir les gérer, savoir se reprendre pour ne laisser que les bonnes émotions naviguer au long des jours
 
la-voile

 

Les émotions 

«N’oublions pas que les petites émotions sont les grands capitaines de nos vies et qu’à celles-là nous y obéissons sans le savoir.»
 
Vincent Van Gogh  

Le saviez-vous ► L’expression : On n’est pas sorti de l’auberge‏


Avec l’origine de cette expression, il est vrai qu’on est vraiment pas sortie de l’auberge … C’est une grande difficulté de sortir du pétrin …
 
On n’est pas sorti de l’auberge
  

Se dit lorsque l’on se trouve dans une situation inextricable.

Il existe deux explications pour cette expression:
 

1. Gilles Henry explique dans son Petit Dictionnaire des Expressions Nées de L’Histoire que l’expression “on n’est pas sorti de l’auberge” trouve son origine dans une affaire criminelle de l’Ardèche au début du XIXe siècle. L’affaire de “l’Auberge rouge”, à Peyrebeille, dans laquelle il y aurait eu 26 ans de crimes commis par le couple Martin (Pierre Martin et Marie Breysse) et Jean Rochette, le domestique afin de s’enrichir soit cinquante victimes.

 

 

 

Tout aurait commencé le 26 octobre 1831 lorsque Jean-Antoine Enjolras, riche cultivateur, est retrouvé mort tout près de l’auberge du couple retraité. L’affaire fit grand bruit à l’époque on attribua aux aubergistes toutes les morts suspectes de la région et leur condamnation à la peine capitale par la guillotine devant l’auberge ne reposa que sur le seul témoignage d’un vagabond disant avoir été témoin du meurtre du cultivateur: Laurent Chaze.

 

 

 

Cette histoire inspira de nombreux auteurs dont:

 

 

 

•Balzac avec son conte philosophique s’inspirant des rumeurs sur l’histoire de l’Auberge Rouge.
•Nathalie Chevalier avec son livre L’affaire de l’auberge rouge qui retrace ces crimes.
•Claude Autant-Lara avec son film l‘Auberge rouge où Fernandel en soutane tente d’arracher avec succès des griffes d’un aubergiste malintentionné les pauvres voyageurs de passage
2. Le mot “auberge” serait un mot d’argot signifiant prison. 
 Ceci lié au fait qu’un prisonnier en contrepartie de sa captivité reçoit le gîte et le couvert.

 

 Ce qui donnerait toute la signification de l’expression “on n’est pas sorti de l’auberge” dans le sens de la difficulté et de la peine à fournir pour entreprendre une tâche difficile voire insurmontable.

 

Renaissance


L’hiver ferme tranquillement la porte, laissant quelques larmes givrés dans un jardin aux milles perles … La vie renait.. neige fondante ici, fleurs naissantes la-bas … Les oiseaux clament a qui veux entendre leur arrivée a grandes envolée … la nature se parfume a l’arome du printemps
 
Renaissance
 
L’escargot
escargots
© Stéphane Picot 
 
Douceur de saison
douceur de saison
© Bertrand Kulik
 
En chasse
en chasse
© Stéphane Picot
 
Tenue de soirée
cygne
© Joëlle Millet
 
Perles d’eau
perles d'eau
© Georges Sandrin
 
Brume et soleil
brume et soleil
© Francis Vanderveken
 
Chat
chat
© Pascal Toureille
 
L’Ouette d’Égypte
ouette d'égypte
© Christelle Milesi
 
Ambassadrices du printemps
ambassadrices du printemps
 © Christelle Milesi
 
Il fait trop chaud pour travailler
chien
© Cathy Scheuer
 
Acrobate de mars
acrobate de mars
© Christelle Milesi
 
Les deux mouettes
mouettes
© Liliane Salmon

Changements climatiques: le Canada n’est pas prêt


Au pays, les pires catastrophes dont nous sommes généralement témoins sont les feux de forêts, des inondations, quelques épidémies d’insectes, mais pas vraiment d’épidémie mortelle pour nous, de temps en temps un été très secs … et l’hiver des tempêtes, verglas … et le vent en toute saison .. mais nous n’avons pas de volcan, de tremblement de terre majeur, pratiquement pas d’ouragan, de tornade, pas de tsunamies .. bref on peut dire du moins au Québec que nous sommes choyés malgré tout .. mais les changements climatiques vont peut etre changer les choses .. Sommes nous vraiment prêt .. ??? Des régions au Canada sont beaucoup plus a risques et les solutions d’urgence ne sont pas vraiment pensé pour relever les défis
 
 
Changements climatiques: le Canada n’est pas prêt
 
Par Rémi Maillard
 

Une étude menée par des chercheurs montréalais indique que les pouvoirs publics négligent les conséquences du réchauffement climatique sur la santé. 
 

Photo: iStockphoto
 
«Quand on parle des effets sur la santé des changements climatiques, les Canadiens ne pensent pas forcément qu’ils sont concernés. Pourtant, les projections montrent que le Canada devra affronter de nouveaux risques sanitaires liés au réchauffement, comme le virus du Nil occidental, la maladie de Lyme, voire le paludisme», affirme Lea Berrang-Ford, coauteure de l’étude et professeure adjointe au Département de géographie de l’Université McGill, à Montréal. 
Des vagues de sécheresse et d’inondations au Canada


«Les Canadiens pourraient également vivre de plus en plus d’épisodes de sécheresse, de vagues de chaleur et d’inondations, poursuit la chercheuse. Parfois les impacts de ces événements extrêmes seront directs, avec des victimes ou des récoltes détruites, mais certains secteurs économiques risquent aussi d’être touchés, notamment l’agriculture.» 

 Enfin, le réchauffement climatique aura des répercussions spécifiques dans le nord du Canada, souligne Lea Berrang-Ford:

 
«Les différentes modélisations qui ont été faites indiquent que le Grand Nord sera l’une des régions les plus affectées du monde. Il y aura de très importantes élévations de la température, ce qui risque d’entraîner des problèmes en matière de sécurité alimentaire pour les populations locales.» 
 Un hiver court aux graves conséquences

Coauteur de l’étude et colauréat du prix Nobel de la paix en 2007 avec des membres du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), James Ford étudie les effets des changements climatiques sur les populations du Grand Nord depuis plusieurs années. Son constat est sans appel: jusqu’à deux tiers des communautés inuites qui habitent des régions reculées vivent dans l’incertitude de pouvoir se nourrir correctement. 

 
La raison? De 20 à 50 % des aliments que consomment les Inuits proviennent de la chasse.
 
«Comme la saison froide dure de moins en moins longtemps, la rupture des glaces survient plus tôt, ce qui occasionne de graves dangers pour les chasseurs et limite leur capacité à se procurer de la nourriture dans le respect de leurs traditions», explique Lea Berrang-Ford. 
 Des investissements trop limités

Or, au lieu de se préparer à affronter cette nouvelle donne, le gouvernement fédéral agit au coup par coup et sans vision à long terme,
déplore Lea Berrang-Ford. Au cours de la dernière décennie, Ottawa a investi 16 millions de dollars dans 105 projets consacrés aux conséquences des changements climatiques sur la santé, soit… 5 ¢ par Canadien et par an, critique-t-elle. 
 

«Le gouvernement doit élaborer une stratégie à long terme pour affronter les risques qui s’en viennent, planifier des actions concrètes et coordonnées.» 

 Choisir des priorités

Pour redresser la barre, la chercheuse a établi quatre priorités:

 
mettre sur pied une politique nationale pour faciliter l’adaptation des différentes provinces à la nouvelle réalité;
déterminer quelles agences ou quels ministères dirigeront réellement les recherches afin d’éviter les conflits de compétences, tant au plan provincial que fédéral;

coordonner les résultats obtenus par chaque organisme de recherche, spécialement les Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC);
mieux cibler les objectifs et la taille des projets et augmenter leur financement.  

 
Adopter une telle stratégie n’a rien d’utopique. Ottawa pourrait s’inspirer de ce qui existe déjà en Australie et au Royaume-Uni, par exemple, où les pouvoirs publics ont su se doter des outils nécessaires pour faire face aux prochains défis des changements climatiques», conclut Lea Berrang-Ford. 
 
http://www.protegez-vous.ca

Quand les tatous donnent la lèpre…


Raison de plus pour laisser les animaux dans leur habitats naturels sans chercher a les domestiqués .. Surprenant quand même qu’à notre époque nous entendons encore parler de la lèpre mais heureusement, il existe un traitement ..il est dommage par contre que ceux des pays les plus touchés ont autant de malades .. ont t’ils acces au médicaments ???? Quoi qu’il en soit, ces animaux n’ont pas a etre exterminée .. nous avons juste a les laisser tranquille
 
Quand les tatous donnent la lèpre…

Loin de l’Inde où cette maladie n’est pas rare, on recense aux États-Unis quelques cas de lèpre. La maladie aurait été transmise par les tatous. 
Quand les tatous donnent la lèpre...
La maladie, qui touche plusieurs personne en Inde, fait maintenant des ravages aux États-Unis
© Shutterstock
 

Des cas de transmission directe de la lèpre de tatous à des humains ont été confirmés aux États-Unis, selon des travaux d’une équipe américano-suisse de recherche publiés le 27 avril dans le New England Journal of Medicine. 
 
Recourant à des analyses avancées de l’ADN combinées à des recherches sur le terrain, ces chercheurs ont découvert l’émergence d’une nouvelle souche du bacille de la lèpre (Mycobacterium leprae) dans le sud des États-Unis jamais observée auparavant. 
 
Cette souche est transmise aux humains par des contacts avec des tatous infectés. Ces animaux appartiennent à l’une des plus anciennes lignées de mammifères. 
 
Cette étude confirme que la souche de Mycobacterium leprae trouvée chez des tatous et celles présentes chez la plupart des humains infectés dans le sud sont «essentiellement identiques», souligne Singh Pushpendra, de l’École Polytechnique Fédérale de Lausanne en Suisse, un des principaux co-auteurs de cette communication faite en collaboration avec des scientifiques de l’Université de Louisiane. 

 

Ce petit animal qui semble si inoffensif est pourtant un porteur potentiel de la maladie.
© AFP Photo/Matthias Hiekel

 

Infectés par des tatous

 

 

Il n’y a que 150 cas de lèpre recensés chaque année aux États-Unis, et la plus grande partie des personnes infectées ont travaillé dans des régions du monde comme en Inde où cette infection est endémique, expliquent les auteurs de l’étude.
 
Mais un tiers de ces sujets, n’ayant jamais voyagé hors des États-Unis, paraissent avoir été infectés par des tatous, ce qui est jugé plus préoccupant, selon ces chercheurs. Ils précisant que ces animaux sont avec les humains les seuls vecteurs de transmission de la lèpre.
 
Les scientifiques savent depuis les années 1970 que les tatous sont des porteurs potentiels de la maladie, probablement introduite par les immigrants européens il y a 500 ans.
 
La découverte de ce réservoir infectieux de la lèpre chez les tatous conduit les auteurs de cette étude à fortement décourager de fréquents contacts avec ces animaux et la consommation de leur viande. Ils préconisent une surveillance de leur habitat pour savoir s’il s’étend.
 
L’étude a porté sur 33 tatous sauvages dont on savait qu’ils étaient infectés avec la bactérie de la lèpre, et sur 50 personnes ayant contracté la maladie.
 
La nouvelle souche de bactérie de la lèpre a été trouvée chez 28 tatous et 22 patients n’ayant jamais été hors des États-Unis.
 
Pourquoi les tatous?
 
Ces scientifiques ignorent pourquoi les tatous sont porteurs de la bactérie, à part le fait que leur température corporelle de 32° en font un incubateur idéal.
 
La lèpre se transmet par les gouttelettes d’origine buccale ou nasale de patients sévèrement atteints mais n’est pas très contagieuse.
 
Sans traitement, elle peut entraîner des lésions nerveuses aboutissant à une faiblesse et à une atrophie musculaires, ainsi qu’à des incapacités irréversible.
 
On peut facilement traiter la lèpre au moyen de la polychimiothérapie pendant 6 à 12 mois, un traitement très efficace avec peu d’effets secondaires.
 
Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), il y a plus de 213 000 cas de lèpre dans le monde surtout en Asie et en Afrique.
 
http://fr.canoe.ca

Maman, j’ai mal au ventre…


Je trouve intéressant l’approche du mal de ventre chez les enfants .. car parfois ce mal de ventre n’est pas vraiment physique mais ce sont des maux qui sont pourtant réel.. En temps qu’adulte nous avons ce genre de malaise mais nous avons appris tant bien que mal a le gérer .. Alors qu’enfant trouver une bonne méthode et il s’en sortira plus grand
 
Maman, j’ai mal au ventre…
 
Maman, j'ai mal au ventre...
Photos.com
 Silvia Galipeau
La Presse
 

L’anxiété est un mal commun chez les enfants. Qui s’exprime de mille et une façons. Et qui se cache parfois derrière de banals maux de ventre. Entretien avec l’auteure d’un guide pratique destiné aux enfants pour apprendre à changer ses lunettes noires en lunettes roses.
 
C’est LE bobo le plus souvent évoqué. Et malheureusement, l’un des plus durs à diagnostiquer. Et pourtant. S’il cache parfois de vrais problèmes physiques, il peut aussi, souvent, révéler une angoisse, un stress, une peur bleue d’un mal invisible, quoique très concret. Juste là, dans les tripes.


Si vous avez consulté tous les médecins possibles et que votre enfant n’a pas de problème physique, alors lisez la suite. Car c’est justement pour toutes ces crampes incompréhensibles que la psychoéducatrice Susie Gibson Desrochers vient de publier un livre: Pourquoi j’ai mal au ventre, guide pratique de l’anxiété chez l’enfant de 7 à 12 ans, aux éditions Logiques.
 

Pourquoi de 7 à 12 ans, spécialement? Parce que les techniques ici proposées (et le livre est un véritable guide pratique pour les enfants) s’adressent spécialement à ce groupe d’âge.
 
«On fait appel à la lecture, à l’écriture. Peut-être qu’après 12 ans, on utiliserait d’autres techniques», explique l’auteure, qui travaille au CSSS du Lac-Témiscamingue.

 

Si le livre s’adresse ici surtout aux enfants qui souffrent d’angoisse pathologique, il est aussi drôlement pratique pour traiter tous ces petits maux de ventre que nos enfants connaissent tous, un jour ou l’autre, mais qu’on ne sait pas nécessairement comment guérir. Comment aborder. Comment gérer, finalement. Vous savez, la petite crampe avant un exposé oral, la veille d’un examen, à la rentrée scolaire ou avant un match du Canadien…

 

 «L’anxiété, on en vit tous, explique-t-elle.C’est très sain, et c’est vital. Sauf si cela dure longtemps, est trop intense, et que, du coup, l’enfant ne participe plus pleinement à sa vie d’enfant.»
Si votre famille déménage et que votre enfant se met à avoir mal au ventre, rien de plus normal, illustre-t-elle. 

«C’est sain. Il vit un grand changement.» 

Mais si les maux de ventre deviennent trop intenses, durent trop longtemps et que votre enfant laisse du coup tomber toutes ses activités préférées, alors là non, ce n’est plus normal. 

 


«L’anxiété, indique la psychoéducatrice, c’est une réaction face à un danger qui ne sera potentiellement jamais là. L’enfant anticipe, a peur, sans jamais véritablement l’affronter. On dit qu’il fait de l’évitement.»

D’où l’importance d’agir. Comment? L’auteure propose plusieurs exercices aux enfants, notamment le jeu du «journal de bord» pour amener l’enfant à signaler quand il a mal au ventre, et tenter de comprendre pourquoi. Apprendre à se connaître, quoi. 

«Mettre des mots sur les maux, résume l’auteure,et trouver d’où vient le mal de ventre.»
Une fois le doigt sur le bobo, la psychoéducatrice propose l’exercice des «lunettes noires» et des «lunettes roses». 

 «L’idée, c’est d’apprendre à l’enfant à faire des liens. En lui disant que là, il voit avec des lunettes noires, mais qu’il peut aussi voir avec des lunettes roses.» 

Un exemple? Imaginez que fiston a un exposé oral demain. Mal de ventre assuré. Pourquoi? Parce que ça n’ira pas bien, il ne va pas réussir?

«Il faut prendre conscience de cette petite voix intérieure, de ce qu’elle nous dit, et des lunettes noires qu’elle nous met.» Ensuite, proposer des «lunettes roses»: «Tu peux faire l’exposé à maman, à papa, voir comment ça se passe. Bien? Alors pourquoi ça n’irait pas aussi bien demain? Mets tes lunettes roses.»
 
Un exercice applicable à toutes sortes de situations, que ce soit la phobie du chien du voisin, la peur des foules ou la première journée au camp, tout seul comme un grand.

«Moi, les lunettes noires et roses font partie de ma vie, confie Susie Gibson Desrochers, mère de trois enfants. Pour tous les événements de la vie qui sont plus tracassants, dit-elle, on ne minimise pas, on ne dramatise pas, mais on essaye de trouver une solution à l’inconfort.»
 
À tester, à la prochaine rentrée ou la veille d’un examen, d’une compétition de natation ou du prochain vaccin, tiens!
 
Pourquoi j’ai mal au ventre, guide pratique de l’anxiété chez l’enfant de 7 à 12 ans, Susie Gibson Desrochers, éd. Logiques, 137 p., 19,95$
 
http://www.cyberpresse.ca