

John Howard Payne
John Howard Payne
« La pire des défaites, celle d’avoir refusé le combat. » (Gérard d’Abovile, extrait de ‘l’Atlantique à bout de bras’.)
Tant de raisons pour regretter nos choix et nos actions « ratées ».
On peut avoir le sentiment de n’être capable de rien, de finalement ne jamais réussir.
Notre société, dans laquelle les excès sont nombreux et concentré sur les réussites, rend une vie simple et les notions de « simplicité » bien compliqué. Elle nous fait oublier les essentiels et les fondamentaux. On nous bombarde d’images de « perfection » et de « performances » qui finissent par stigmatiser les réalités du monde et on en arrive à penser que, finalement, on n’est pas à la hauteur.
Au final, qu’est ce qui vous motive réellement ?
Ne devrions-nous pas plutôt chercher une vie plus riche sans devoir parler d’ « abondance » ?
Simplifier sa vie résoudrait pas mal de problèmes et de préjugés sur ce que nous sommes.
Nos cultures nous apprennent à chercher avec complexité, à tenir compte de tellement de facteurs, que lorsque nous devons prendre des décisions, tout semble tellement complexe et prendre des proportions vertigineuses. Nous cherchons alors souvent des concepts qui embrouillent notre esprit et nous nous créons des modèles inatteignables !
Parfois, peut-être, il nous arrive de faire trop de choses à la fois.
Choisissez un seul objectif à la fois, par ordre de priorité et atteignez-les un par un, vous verrez c’est gratifiant en motivant !
Laissons-nous alors porter vers des pensées simples :
Qui suis-je réellement et quelle sont mes valeurs ?
Si j’enlève tous mes masques, qui suis-je vraiment ?
Ne vous arrêtez pas à ce que « les autres » vous ont dit : c’est subjectif. Ce n’est que l’interprétation de ce qu’ils pensent savoir de vous. Ce n’est pas réellement vous ! Même vos proches peuvent se tromper sur ce que vous êtes !
Regardez-vous dans un miroir. Si si, allez, osez ! Vous êtes seul, personne ne vous regarde et personne ne vous juge.
Commencer par accepter ce que vous voyez et ce qu’il y a derrière ce visage : masque ou mon vrai moi ?
Faites preuve de tolérance envers vous-même !
Commencez par vous pardonner. Vous pardonnez de ne pas avoir réussi l’une ou l’autre chose. Soyez convaicnu que tout n’était pas essentiel non plus. Votre passé est derrière vous et quel qu’il soit, faites de l’avenir ce que bon vous semble !
Contrairement à ce que beaucoup pensent, La réussite n’est pas dépendante de votre éducation ni de votre milieu social, mais de votre volonté, de votre désir profond de vouloir y arriver !
Si vous éprouvez des difficultés à trouver des victoires, cherchez les réussites de votre vie, aussi petites vous semblent-elles, considérez-les comme tels ! Félicitez-vous et soyez convaincu qu’il y en aura d’autres !
Prenez un peu de recul et imaginez ce que vous donneriez pour conseil si la personne dans ce miroir… est l’un de vos amis.
Que lui conseilleriez-vous s’il était à votre place ?
Soyez sincère : pensez-vous vraiment ce que vous lui diriez ?
Reprenez alors encore un peu plus de recul et imaginez-vous voir cet « ami » vous dire cela à vous… Qu’en penseriez-vous ?
Soyez patients envers vous-même. Donnez-vous le temps. Faire des erreurs fait partie des apprentissages de la vie et forment votre personnalité ! Ne soyez pas aigris par la défaite : elle rend fort !
Je reviens à cette métaphore qui m’est chère : si quelqu’un tombe, qui resterait vautré à terre sans se relever aussitôt et automatiquement ?
Ce ne sont pas les chutes qui nous bloquent, mais l’immobilisme, le découragement et le sentiment de ne pas pouvoir y arriver ! Que diriez-vous à quelqu’un bloqué au sol alors qu’il vient de tomber et ne se relève pas parce qu’il croit qu’il en est incapable ?
Nous nous relevons tous lorsque nous chutons ! Et même quand la chute est rude et douloureuse, on s’efforce toujours de se relever, personne n’envisage de rester plaqué au sol. Cette image, est aussi l’image de la vie : on peut toujours se relever, même si parfois, une main tendue peut être utile !
Qu’il en soit aussi de même pour vos « chutes émotionnelles » et vos « épreuves » : RELEVEZ-VOUS et continuez votre parcours. Vous pouvez-y arrivez !
Vous pouvez vous aimer !
Vous avez tout en vous pour y arriver, cherchez vos capacités : elles sont en vous !
Personne est incapable de réussir, tout le monde fait des erreurs, vous n’êtes pas la seule personne à en faire !
La Semaine/Trucs et astuces/Séverine Galus/Avril 2011
Chien, chat et rat …
Photo: François Roy, Archives La Presse
Associated Press
Hopewell, New Jersey
Une ville du New Jersey a adopté un règlement encadrant les relations entre les poules et coqs dans les poulaillers.
Des paléontologues péruviens ont annoncé mardi avoir découvert récemment dans le nord amazonien du Pérou une centaine d’insectes datant de 20 millions d’années, en excellent état de conservation et fossilisés dans de l’ambre
La découverte, dans une couche d’ambre du bassin du fleuve Santiago, consiste en des morceaux d’ambre mesurant jusqu’à 12 centimètres de long et renfermant divers types d’insectes (diptères, coléoptères, arachnides), a indiqué le Musée paléontologique de Chiclayo, qui encadre les recherches.
Une conservation de grande qualité
L’ambre est une huile résine fossilisée, relativement translucide, qui permet une conservation et une observation de grande qualité des organismes prisonniers.
Dans le cas des fossiles découverts début avril dans la province d’Amazonie, «les détails les plus minimes des insectes sont visibles», et dans un cas «on peut identifier des restes de poils d’un mammifère rongeur», souligne le Musée.
«L’importance de la découverte est de pouvoir déterminer, à partir des espèces prises dans l’ambre, les insectes qui vivaient en Amazonie pendant la période néogène», il y a entre 23 et 2 millions d’années, a indiqué à l’AFP le paléontologue Klaus Honninger, directeur du musée.
Elle confirmerait en l’occurrence qu’il n’y a guère eu de changements en Amazonie, où le climat humide était déjà humide et la faune variée.
Le prélèvement d’ADN à partir d’insectes fossilisés prisonniers d’ambre pour recréer des dinosaures vivants constituait la clé de voûte du scénario du film Jurassic Park en 1993.
http://fr.canoe.ca
Ces chercheurs avaient déjà réussi à recréer en 2008, des cœurs de rat et de cochon en utilisant des cellules souches et des cellules musculaires issues du cœur de chaque animal.
L’expérience a réussi et ils ont décidé de la reproduire, mais avec des cellules souches provenant de cœur humain cette fois.
Les chercheurs n’ont toutefois pas essayé de les greffer sur des animaux, car les organes sont demeurés trop petits.
Les chercheurs estiment que les cœurs humains vont commencer à battre d’ici quelques semaines. Ils ne comptent toutefois pas les greffer sur des patients.
Les scientifiques espèrent pouvoir dans le futur, développer des cœurs issus des propres cellules d’un patient. Cela éviterait que l’organisme du receveur ne rejette le cœur greffé et de devoir lui administrer des traitements antirejet.
« Il y a de nombreux obstacles à franchir pour générer un cœur tout à fait fonctionnel, mais je prédis qu’il pourrait être possible de faire grandir des organes entiers pour des transplantations », explique le Dr Doris Taylor, auteure principale de l’étude.