

La pomme n’est pas juste bonne a croquer ou a cuisiner, elle peut rendre quelques petits services précieux pour éviter le gaspillage
5 trucs à faire avec les pommes
Une pomme par jour peut faire plus que d’éloigner le médecin pour toujours. Découvrez comment les pommes peuvent vous aider, entre autres, à devenir meilleur cuisinier.
Attendrir la chair du poulet rôti
Pour que votre poulet rôti soit moelleux et juteux, farcissez-le avec une pomme avant de l’enfourner.
Préserver la fraîcheur d’un gâteau
Pour prolonger la durée de vie d’un gâteau fait maison ou acheté dans le commerce, il suffit de le stocker avec une demi-pomme ; il restera moelleux beaucoup plus longtemps que si vous le rangiez tout simplement au réfrigérateur.
Faire mûrir des tomates vertes
Enfermez les tomates encore vertes pendant quelques jours dans un sac en papier avec 1 pomme bien mûre pour 5 ou 6 tomates
Ramollir la cassonade
Placez le bloc qui s’est formé dans un sac à congélation avec une tranche de pomme. Fermez hermétiquement le sac et mettez-le dans un endroit bien sec. Au bout de 1 ou 2 jours, la pomme aura absorbé l’humidité et le sucre aura retrouvé sa consistance poudreuse.
Neutraliser un excès de sel
Si vous vous apercevez en cours de cuisson que vous avez mis trop de sel dans votre plat de légumes ou de viande, ajoutez-y quelques tranches de pomme (ou de pomme de terre). Retirez-les après une dizaine de minutes de cuisson, elles auront absorbé le sel excédentaire.
Parce que la Terre est belle
«Nous avons d’abord testé la mémoire à court terme de personnes jeunes et âgées, puis nous avons comparé les résultats», explique Mervin Blair, auteur principal de l’étude.
«De manière générale, nous avons constaté que les personnes âgées présentaient une mémoire à court terme moins bonne que les jeunes adultes, précise M. Blair. Ces derniers retenaient et assimilaient plus facilement l’information que leurs aînés.»
La deuxième étape consistait à déterminer s’il existe une période où la capacité de supprimer l’information sans importance − aussi appelée «inhibition» – se modifie. Pour cela, les participants devaient réagir à des images affichées dans un ordre aléatoire.
«Les personnes âgées présentaient une faible inhibition et réagissaient sans cesse à des images qui n’étaient plus pertinentes», indique M. Blair.
«Une faible inhibition annonce un déclin des facultés à se rappeler et à traiter l’information de la mémoire à court terme, souligne M. Blair. En fait, les personnes âgées ont plus de mal à éliminer l’information non pertinente de leur conscience, ce qui se répercute sur leurs autres aptitudes mentales.»
M. Blair suggère aux personnes qui ont des problèmes de mémorisation d’exercer leur concentration et de désencombrer leur mémoire. D’après lui, le cerveau des aînés continuerait de fonctionner de façon optimale.
Il leur suffirait de le stimuler, que ce soit en apprenant une langue, en faisant des mots croisés, en participant à des activités sociales ou en pratiquant un exercice physique.
http://sante.canoe.com
Photo: Radio-Canada/Yvon Thériault
Un chercheur de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT), Venceslas-Claude Goudiaby, a mis au point un logiciel qui simule la croissance du pin gris et de l’épinette noire après le débroussaillage.
« Au lieu de couper pour tester des scénarios sylvicoles, on peut couper virtuellement et simuler sur des périodes assez longues, de 100 ans, de 120 ans, pour voir ce que ça va donner en terme de croissance », explique M. Goudiaby.
« Il est bien possible qu’ils s’en servent pour regarder avec plus d’attention si oui ou non ils vont faire des éclaircies », souligne-t-il.
Je pense qu’il est important de surveillez les donnés par rapport aux pesticides sur l’être humain .. Si les femmes enceintes et en plus le foetus en a meme a faible quantité, un poison demeure un poison
Étude sur l’impact des OGM: des pesticides dans le sang
C’est la première fois que la présence de résidus de pesticides d’OGM dans le sang des femmes est démontrée.
Photo: François Roy, La Presse
Claudette Samson
Le Soleil
(Québec) Une étude indépendante réalisée à Sherbrooke auprès de femmes enceintes, de leurs foetus et de femmes non enceintes révèle la présence de résidus de pesticides issus d’aliments transgéniques dans le sang de chacun de ces groupes.
Sans vouloir alerter outre mesure la population, l’auteur conclut à la nécessité de poursuivre les analyses d’impact des organismes génétiquement modifiés (OGM) sur les humains. Professeur-chercheur au département de gynécologie-obstétrique de la faculté de médecine de l’Université de Sherbrooke, Aziz Aris s’intéresse particulièrement à la toxicité d’origine environnementale sur les foetus et les mères. Or, dit-il, l’impact des OGM a été abondamment testé sur les animaux, mais jamais sur les humains. C’est la première fois que la présence de résidus de pesticides d’OGM dans le sang des femmes est démontrée.
Il a fallu trois ans au chercheur pour mettre au point la méthodologie de détection. La recherche a porté sur deux groupes de plantes transgéniques les plus utilisées : celles qui produisent elles-mêmes un pesticide (toxine Bt) et celles qui résistent aux pesticides appliqués autour d’elles pour tuer la compétition végétale.
Le groupe cible était formé de 69 femmes, dont 30 enceintes, ayant une alimentation typique des personnes vivant en zone industrialisée. Toutes étaient des citadines de Sherbrooke, et aucune ne travaillait avec des pesticides ou n’avait de rapport étroit avec la campagne ou un fermier. C’est d’ailleurs ce tri serré qui explique le nombre restreint de participantes, expliquait hier le chercheur en entrevue téléphonique. Le sang des foetus a quant à lui été prélevé sur le cordon, dès la naissance.
Les résultats obtenus sont clairs. La toxine Bt, produite par les plantes elles-mêmes, a été retrouvée chez 93 % des femmes enceintes, 69 % du groupe témoin et 80 % des foetus. Pour le deuxième groupe de plantes, des résidus de glufosinate ont été trouvés chez 100 % des femmes enceintes et de leurs foetus, et 67 % des femmes non enceintes.
Faible dose
Les concentrations relevées sont faibles. «On ne parle pas d’intoxication aiguë», dit le chercheur.
Toutefois, ajoute-t-il, la toxicologie moderne nous a enseigné que même une toxicité à faible dose (de type homéopathique) peut avoir des effets à long terme.
En déduit-il qu’il vaudrait mieux appliquer le principe de précaution avec les OGM? Le scientifique se fait prudent dans sa réponse. Les plantes transgéniques ont aussi démontré leur apport positif, dit-il. Cependant, il estime qu’il est important d’en savoir davantage et de poursuivre les analyses d’impact sur les humains, et non seulement sur les animaux.
«Il ne faut pas alarmer les gens, mais il ne faut pas fermer les yeux non plus.»
Hier, Greenpeace Québec a publié un communiqué disant que cette étude confirme les craintes
L’organisme souligne qu’environ 70 % du maïs au Québec est génétiquement modifié (OGM) et inclut la toxine Bt.
Le Dr Aris rappelle quant à lui que le Canada a été parmi les premiers pays à autoriser les plantes transgéniques, en 1996, et qu’il est parmi ceux où l’on en retrouve le plus.
Les résultats de l’étude, financée par un fonds québécois de recherche en santé, seront publiés dans la revue scientifique américaine Reproductive Toxicology.
http://www.cyberpresse.ca