

Nous sommes à l’époque où les classes sociales se mélangeaient encore moins qu’aujourd’hui.
Par conséquent, ils étaient souvent invités à des réceptions ou des cocktails chez leurs nombreux amis.
Alors qu’une grande soirée se préparait, Agathe demanda à Fanny, l’une de ses meilleures amies, s’il était possible qu’elle lui prête son beau bracelet de diamants. Bien entendu, elle accepta en lui demandant d’y faire très attention, car ce bijou avait pour elle une grande valeur affective.
Agathe heureuse remercia son amie et lui promis d’y faire attention.
La soirée fut plaisante, elle se sentait bien à l’aise avec ce beau bracelet. Mais au cours de la soirée Agathe se rendît compte que la merveilleuse parure avait disparue de son poignet. Paniquée et affolée elle chercha le bijou dans tous les coins derrière chaque tables, chaque plantes, chaque verres ; en vain.
Ne voulant absolument pas l’avouer à son amie, elle décida de racheter le même bijou. Agathe était aisée mais pas assez pour se permettre un tel achat. Refusant de l’avouer à son amie, elle décida de faire un crédit pour acheter le bijou à l’identique.
A moitié soulagée elle remit le bijou à son amie Fanny en la remerciant de lui avoir fait confiance.
Cependant ce crédit était très lourd,… trop lourd. Le couple n’arrivait plus à en assumer les échéances. Ils décidèrent de leur maison, leur voiture, leurs biens,… Ils acceptèrent tous deux plusieurs petits boulots afin de joindre les deux bouts.
C’est alors qu’un jour comme les autres pendant qu’Agathe balayait les trottoirs, vêtue de sa salopette de travail, sale, sabots aux pieds, son amie cru la reconnaître.
– « Agathe ? C’est bien toi ? »
Elle se cachait le visage.
Elle reprit – « Agathe ? C’est toi ? »
– « Oui », répondit-elle timidement.
– « Mais que t’est-il arrivé ? »
– « Te souviens-tu du soir où tu m’avais prêté ce beau bracelet ?… Je l’ai perdu, me refusant de te l’avouer, j’ai vendu maison et biens pour te racheter le même. Je ne pouvais pas te décevoir, je ne voulais pas perdre ton amitié. Je n’ai pas osé te dire que j’avais perdu ce bracelet. »
– « Mais ma pauvre Agathe, le mien était faux il ne valait pas 80€ »…
(histoire inspirée de « la parure » de Guy de Maupassant, 1884)
© Julie Larsen Maher / WCS Bronx Zoo / ZooBorns
© Mehgan Murphy / Smithsonian Institution / ZooBorns
Wowwwww c’est quelque chose de trouver un tel insecte, imaginez une belle grosse araigées avec des pattes longues et fines de 15 cm .. c’est extraordinaire … Hummm je sens que certaines personnes sont bien contente qu’elles n’existent plus a notre époque Allez savoir pourquoi ??
Une araignée géante au jurassique
Photo: Selden et al
L’araignée fossile découverte en Mongolie
Des scientifiques de l’université du Kansas ont mis à jour le fossile d’une araignée la plus grande jamais découverte à ce jour. Avec ses pattes de près de 15 cm, l’animal a été déniché dans des cendres volcaniques au fond d’un ancien lac.
Il s’agit d’une femelle de la famille des néphiles. Les chercheurs qui ont baptisé leur trouvaille Nephila jurassica précisent dans la revue Biology Letters, que l’arachnide serait le plus grand jamais découvert, mais aussi le plus ancien fossile mis au jour pour cette espèce.
En effet, les fossiles mis à jour jusqu’à maintenant dataient d’environ 35 millions d’années alors que le nouveau spécimen daterait de 165 millions d’années!
« Son corps n’est pas le plus gros, mais si vous ajoutez la longueur des pattes, c’est certainement la plus grande », explique Paul Selden, responsable des recherches.
Un spécimen très bien conservé
L’animal qui a peut-être été surpris et enseveli par les cendres d’une éruption volcanique s’avère extrêmement bien conservé et laisse voir des détails impressionnants.
« On ne voit pas que les poils sur les pattes, mais aussi des petits éléments tels que les trichobothries qui sont très, très fins, indique Paul Selden.Ceux-ci sont utilisés pour détecter les vibrations de l’air. Il existe parmi eux un groupe très marqué et ils sont d’une taille très distincte et typique du genre Nephila. »
Les néphiles actuelles vivent dans des régions tropicales et sub-tropicales. Les femelles construisent des toiles parmi les plus grandes connues, pouvant faire jusqu’à 1,5 m de diamètre. Elles présentent par ailleurs un dimorphisme sexuel très important avec les mâles, beaucoup plus petits.
Les chercheurs aimeraient bien maintenant trouver un spécimen mâle de la même période pour savoir si cette caractéristique existait déjà il y a 165 millions d’années.
Radio-Canada.ca avec
BBC News
http://www.radio-canada.ca
Sa qualité et sa quantité affectent aussi bien notre santé physique que notre santé psychologique.
Nous savons tous à quel point on se sent mal quand on manque de sommeil. Même une seule nuit à mal dormir peut miner notre humeur, mettre notre jugement en déroute et faire de la journée une longue et pénible épreuve frappée du sceau de la mauvaise humeur.
«Or, la physiologie humaine n’a pas changé avec l’arrivée de l’électricité», dit la Dre O’Brien. «Les êtres humains continuent d’avoir besoin de sept à huit heures de sommeil par nuit.»
Robert Garnier et Linda Roughead, thérapeutes en santé mentale à Crowsnest Pass, en Alberta, affirment que les Canadiens manquent de sommeil et que cela a des répercussions jusque sur leur état de santé.
«Les gens qui manquent de sommeil ont tendance à prendre du poids, en mangeant trop et en choisissant les mauvais aliments», estime Linda Roughead.
Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi, lorsque vous êtes fatigué parce que vous avez mal dormi, vous ressentez un appétit démesuré pour les aliments à teneur élevée en gras ou en glucides? Cela s’explique par le fait que notre corps réagit naturellement à la fatigue en utilisant des sources d’énergie autres que les graisses. Les changements hormonaux stimulent notre appétit et le corps continue d’emmagasiner des graisses.
«Nous sommes faits pour bouger», explique Mme Roughead. «Notre corps s’adapte de lui-même et quand il ne bénéficie pas d’assez de sommeil, nos hormones sont stimulées pour accroître notre appétit.»
On peut ainsi dire que moins les gens dorment, plus ils sont lourds. Des statistiques démontrent en effet que les patients qui affichent un surpoids dorment en moyenne 1,8 heure de moins que les gens plus minces.
Un esprit sain dans un corps sain
En plus d’assurer le maintien d’un poids équilibré, le sommeil aide le coeur, les niveaux d’insuline, le système immunitaire, les muscles, la peau et pratiquement tous les organes de notre corps. Et ce n’est là que le côté physique de la chose.
Sur le plan psychologique, notre jugement est affecté, notre créativité s’amenuise, notre mémoire, notre concentration et même notre compréhension sont affectées de manière négative lorsque le nombre de nos heures de sommeil est inadéquat.
Les experts s’accordent pour dire que le sommeil peut mettre en péril notre capacité à conduire autant que peut le faire l’alcool, et que les gens qui ne dorment pas pendant de longues périodes fonctionnent de la même façon que ceux qui sont ivres.
«Le sommeil est une période essentielle pour l’organisme, car il lui permet de guérir, de se réparer, de faire le plein d’énergie et de se régénérer», dit la Dre O’Brien.
On dort comme on vit
Le problème, selon Robert Garnier, est que notre façon de vivre décourage le sommeil. Tout ce qui compte, c’est d’être occupé et productif et notre tendance à tout faire toujours très vite est aux antipodes de ce qu’est le sommeil – s’abandonner et s’endormir.
«La façon dont nous vivons dans la journée se reflète dans notre façon de dormir», affirme-t-il.
Si certains privilégiés arrivent à dormir dès que leur tête se pose sur l’oreiller, bien des gens ont de la difficulté à trouver le sommeil. Certaines personnes tombent rapidement endormies, mais se réveillent à plusieurs reprises durant la nuit et ne sont pas capables de se rendormir ensuite. D’autres encore vivent des périodes d’insomnie aux limites du supportable.
Les experts s’accordent pour dire que de saines habitudes vous aideront à profiter d’une bonne nuit de sommeil et à faire en sorte que votre corps et votre esprit fonctionnent comme il se doit.
Des habitudes à prendre
♦ Allez au lit et levez-vous à des heures régulières.
♦ Augmentez votre exposition à la lumière du jour – pour les Canadiens, cela veut dire sortir au grand air le plus souvent possible pendant l’hiver.
♦ Faites de l’exercice.
♦ Créez une routine de détente avant d’aller au lit – ralentissez.
♦ Évitez d’utiliser la chambre à coucher comme bureau.
♦ Réduisez la lumière et le bruit au minimum dans la chambre – débarrassez-vous de la télé et retournez le radio-réveil vers le mur pour ne pas voir les chiffres!
♦ Gardez la chambre sombre, silencieuse et fraîche.
♦ Évitez les siestes après 15 heures.
♦ Réduisez votre consommation de liquides en soirée.
♦ Évitez la caféine et l’alcool, surtout le soir.
♦ En soirée, limitez votre utilisation du téléphone cellulaire et d’autres appareils électroniques.
♦ Évitez de consommer des aliments lourds, gras, épicés ou difficiles à digérer avant de vous coucher.
♦ Ne vous «forcez» pas à vous endormir. N’allez au lit que si vous vous endormez vraiment.
♦ Cessez de vous en faire. Au besoin, écrivez la liste de vos préoccupations, de vos soucis et de vos problèmes au cours de la soirée et mettez-la de côté. Faites de même avec la liste des choses que vous avez à faire le lendemain. Consigner le tout par écrit a quelque chose d’étonnamment réconfortant et est fantastique pour retrouver votre efficacité dans la journée.
Alors, bonne nuit!
http://fr.canoe.ca
Les États-Unis ont annoncé l’adoption de nouvelles directives relatives à l’établissement de la maladie d’Alzheimer.
Selon les Instituts nationaux de la santé (NIH), cette mise à jour intervient au moment où les connaissances de la médecine évoluent et permettent une meilleure compréhension de la maladie d’Azlheimer, la forme incurable de démence la plus répandue chez les personnes âgées.
La recherche sur la maladie d’Alzheimer a beaucoup évolué au cours des vingt-cinq dernières années, et ajuster les critères du diagnostic pour tenir compte de ces percées est nécessaire pour encourager et accélérer la recherche qui va bénéficier aux patients. — Dr Richard Hodes NIH
Les critères cliniques utilisés depuis 27 ans décrivaient le dernier stade de l’évolution de la maladie, alors que les symptômes de la démence s’étaient déjà manifestés.
Nouveaux critères
Les nouvelles directives prennent en considération toutes les étapes connues du développement de la maladie, qui évolue graduellement et peut provoquer des changements dans le cerveau plus d’une décennie avant qu’elle ne devienne apparente.
Les nouvelles directives retiennent trois phases :
► La première (dite préclinique) décrit des changements dans le cerveau, y compris un début d’accumulation de plaques séniles formées d’un peptide (ß-amyloïde) qui finit par entraîner la mort des neurones.
► La seconde phase correspond à des symptômes de déficience mentale comme des épisodes de perte de mémoire suffisamment évidentes pour être notées et mesurées, mais pas assez prononcées pour entraîner la perte d’autonomie.
► La troisième et dernière phase est celle de la démence telle qu’elle est déjà décrite par la médecine actuellement.
Les outils
L’utilisation de techniques d’imagerie du cerveau et de biomarqueurs aide maintenant à déterminer si des changements dans le cerveau et le reste du corps signalent la maladie.
Les neurologues recourent de plus en plus à ces biomarqueurs pour observer l’évolution de la pathologie. Toutefois, ceux-ci constituant un instrument très nouveau, ils ne peuvent pas être utilisés couramment pour poser un diagnostic clinique.
Encore récemment, il fallait attendre une autopsie pour confirmer le diagnostic.
Le saviez-vous?
Environ 500 000 Canadiens, dont 120 000 Québécois, sont atteints de la maladie d’Alzheimer.
Radio-Canada.ca avec
Agence France Presse
http://www.radio-canada.ca
Jérôme Lemay, âgé de 77 ans, qui s’était écrasé à la Place des Arts le 31 mars dernier, a rendu l’âme hier soir à la Cité de la santé de Laval.
On lui avait diagnostiqué un cancer. Son fidèle ami, Jean Lapointe, pleure « son frère.»
«On vient tout juste de me téléphoner. Je m’en attendais. Je l’ai vu il y a deux jours. Il était très mal en point. J’ai une peine immense », nous a dit sous le choc Jean Lapointe au bout du fil.
Ça devait être le grand retour des Jérolas 35 ans plus tard et la vie en a décidé autrement.
« Il est mort pratiquement sur scène en me tenant la main en interprétant la chanson Et si on chantait ensemble. Nous étions si heureux. Cette tournée était notre cadeau de vie. Ça ne devait pas être nos adieux. J’ai tellement de peine, ça me fait très mal. Jérôme était mon frère, mon ami, mon homme de scène. Je ne pensais pas le perdre si tôt.
« Mais c¹est une délivrance, car il avait très mal. Son cancer était près des poumons. Tout est allé très vite. Au moins, je sais qu’il a pu vivre dans la peau des Jérolas sur scène avant de mourir. C’est ma consolation »a ajouté un Jean Lapointe.
Le milieu culturel québécois vient de perdre ses Jérolas.
« Je veux que les gens retiennent l’histoire de deux gars heureux sur scène », tient à dire Jean Lapointe tout en disant salut à son fidèle ami.