Tout le monde connait l’expression sauver par la cloche … mais est-ce qu’à l’origine c’était pour se sauver d’un travail ardu … quand j,étais petite on m’a parler de la grippe espagnole et des gens enterrés vivant mais qui pourtant semblaient morts et c’est a cause justement de ses erreurs qu’est venu l’expression sauver par la cloche
Sauver par la cloche
Photo : lavieengris.com
Avec le nombre de cloches et de sonneries auxquelles nous sommes exposées quotidiennement, cette expression semble bien anodine.
À l’école, lors d’une leçon de mathématiques ou autres matières moins populaires, les élèves sont sauvés par la cloche de la récréation. Ou encore, dans nos domiciles, les sonneries et alarmes nous sauvent des incendies, des cambrioleurs et nous rappellent même la fin du cycle de la sécheuse.
Pourtant, comme la plupart des expressions, son origine diffère considérablement de l’interprétation actuelle. Même si cette expression n’est pas née au Canada, elle a quand même traversé l’Atlantique jusqu’au Nouveau Monde et est toujours utilisée aussi fréquemment dans nos foyers.
L’espérance de vie très courte et les épidémies qui rageaient avaient souvent pour effet de remplir les cimetières très rapidement. Donc, il était commun d’enterrer les défunts dans la même fosse qu’une personne décédée seulement quelques mois auparavant.
Plus d’une fois, il a été constaté que le «mort précédent» avait tenté de se libérer en grattant son cercueil de bois, et même quelquefois en allant jusqu’à gratter la pierre tombale surplombant sa fosse.
On réalisa donc que certaines personnes avaient été enterrées encore vivantes. Le manque de ressources médicales adéquates ou, dans certains cas, l’urgence d’enterrer les morts en temps d’épidémie pour éviter la contamination expliquent ces «erreurs».
Pour éviter pareille torture, on décida d’accrocher une corde au poignet du défunt (du moins, on l’espérait) laquelle était attachée à une cloche à l’extérieur de la fosse.
Un surveillant de nuit était assigné au cimetière afin de s’assurer que la cloche ne sonnerait pas. Et si par malheur celle-ci sonnait, on s’empressait de déterrer le survivant.
Nos cousins anglophones appellent depuis longtemps le quart de travail de nuit, le «graveyard shift». Ces deux expressions sont directement liées.
http://www.expressottawa.ca
Quelle mort atroce j’en ai , encore une fois , la chair de poule.
Ayoye, toute une façon de faire!!
veux-tu bien me dire où tu trouve toutes ces histoires abracadabrantes?
Ben tu sais moi je suis ben curieuse ca peut etre en lisant un article qui me donne un lien ou que j’entends parler qq chose soit en famille, ami ou encore dans un reportage, dans un films, une revue, je note pour faire une recherche et voir ce que ca donne …
Mais ce cas .. je l’avais entendu dans un film ou une série a tv .. alors j’ai noté puis j,ai fait la recherche sur le web et c’est exactement la meme chose que j’avais entendu …
Bisous ptit frere a demain j’espere
mon dieu c’est épouvantable, une histoire pour l’halloween lol
Je pense que c’était justement une télé-série qui se passait a la nuit d’haloween … en tout cas .. l’origine de l’expression a vraiment existé