Parole d’enfant ► Allo qui est au téléphone ?‏


Un petit futé ce petit homme !!!
  
Allo qui est au téléphone ?
 
 
« Eliott, 2 ans, écoute ma conversation téléphonique, puis me demande
 
« t’appelle qui ? ».

Je réponds « j’appelle la piscine pour savoir quand elle ouvre. »
Il me répond « n’importe quoi, ça parle même pas une piscine. » »

 
Eliott 2 ans 

Qui est responsable


Oui il arrive des événements qui ne sont pas de notre pouvoir, mais cela arrive et nous devons nous ajuster et en tirer le meilleur partie possible ..  Cela me fait penser a Lulla .. qui après avoir mit un nom sur son état de santé, elle a décider non pas se croisés les bras, mais bien de lutter pour rester autonome … 
 
 
Qui est responsable 
 
Coucher de soleil sur mer
Photo : linternaute.com/© Thomas FOINET
 
Nous avons tendance à rejeter nos responsabilités sur des personnes ou des événements que nous ne maîtrisons pas. En ce faisant, nous admettons ne pas être acteur de notre vie : « c’est la faute de… ».
 
Si parfois c’est une vérité, c’est vous qui donnez un sens à ce qui vous arrive. La seule chose que nous pouvons changer : ce sont les perceptions des événements. 
 

Michel Poulaert 

Le saviez-vous ► D’où vient le clavier QWERTY ?‏


Fallait y penser pour réduire le problèmes les branches des lettres des machines à écrire qu’elles se coincent ensemble Mais sachez qu’il peut avoir des différences entre QWERTY ici au Québec, qu’ailleurs au Canada ou dans d’autres pays qui utilisent QWERTY Par contre l’AZERTY je le trouve beaucoup moins pratique pour la langue française.

 
D’où vient le clavier QWERTY ?
 
 
Photo : publicdomainpictures.net
 

D’une tentative de «décongestionner» les claviers des machines à écrire, serait-on tenté de répondre. En fait, les premières machines à écrire avaient la fâcheuse caractéristique de se bloquer, spécialement à cause du fait que des lettres très utilisées étaient placées trop proches les unes aux autres sur le clavier
 
En 1873, Christopher Latham Sholes, un inventeur américain, a eu l’idée de se séparer des lettres comme le A et le E.
 
En distribuant les lettres les plus utilisées un peu partout sur le clavier, il réussi à réduire de façon considérable les probèmes de blocage sur les machines et a permis à l’écrivain en devenir de taper son manuscrit en toute sérinité. Le QWERTY était né !

7  Jour /Extra Histoire/Fév. 2011

Les trompe-l’oeil


Les trompe l’oeil sont fascinant que ce soit fait par un artiste en dessin ou en photos. Certains trompe l’oeil sont seulement etre au bon endroit au bon moment pour donner le meilleur effet trompeur
  
Les trompe-l’oeil 
  
La neige en feu
 

 

la neige en feu

Les flammes de la cheminée se reflètent sur les vitres de la fenêtre donnant sur le jardin… © Christiane Raymondie – Galerie photo 

Une force de baleine

 une force de baleine©Fred Delforge – Galerie photo  

Où s’arrête le trompe l’oeil ?
 

 
où s'arrête le trompe l'oeil

© Mario Siotto – Galerie photo

 

 

En apesanteur ?

 
 
en apesanteur ?

© Bertrand Kulik – Galerie photo

 

Deux girafes pour le prix d’une
  
deux girafes pour le prix d'une
© Céline Boursier – Galerie photo
  
Echec et mat
  

echec et mat
© Jean-Pierre Sanguine – Galerie photo

  
Sushi foot

 
sushi foot

© Florian Dejardin – Galerie photo  

La Tour Eiffel, cette allumeuse

 
 
la tour eiffel, cette allumeuse

© Marie-Laure Pillon – Galerie photo  

La grande échelle

 
la grande échelle

© Roland Berrou – Galerie photo

 

L’immeuble-Titanic

 
 
l'immeuble-titanic

© Stéphane Picot – Galerie photo  

Un peu de repos

 
 
un peu de repos

© Jérémy Daheron – Galerie photo  

Le marcheur de la Lune
 

 

le marcheur de la lune

Le feuillage du haut d’un arbre devant l’appareil donne l’illusion d’une forme humaine. © Jean-Pierre Vandamme junior – Galerie photo  

La montagne qui crache de l’eau
  
la montagne qui crache de l'eau
© Cécile Bernis – Galerie photo  
La mangeuse de soleil
  
la mangeuse de soleil
© Mélanie – Galerie photo

 

Gardez-vous le rythme?


Notre coeur, le moteur qui fait fonctionner notre coeur. Il faut en prendre soin pour continue a battre de tout son coeur
 
Gardez-vous le rythme?
 
Journal de Montréal
Ronald Denis – Docteur en médecine, chirurgien et traumatologue
N’hésitez pas à consulter votre docteur si vous pensez souffrir d’arythmie.
Photo: Journal de Montréal

Derrière notre sternum, entre nos deux poumons, légèrement à gauche du milieu de notre poitrine, à peine plus gros que notre poing, notre coeur, s’il tient le rythme, fait «boum boum» entre 60 et 100 fois par minute. Environ 100 000 fois par jour. Si, sans que cela soit justifié, la cadence devient plus rapide, ou moins rapide, ou si elle devient irrégulière, on parle alors d’arythmie cardiaque.
 
BOUM BOUM
 
Notre coeur est composé de quatre cavités : deux oreillettes et deux ventricules. Dans la paroi de l’oreillette droite, un ensemble de petites cellules musculaires, hautement spécialisées, forme ce qui est appelé le «noeud sinusal», point de départ d’une petite impulsion électrique qui, en se déplaçant, donne le rythme en entraînant les contractions des cavités de notre coeur. Chacune de ses moitiés a un rôle distinct.
 
La fonction du côté droit est de retourner le sang pauvre en oxygène aux poumons pour éliminer le dioxyde de carbone et le réoxygéner. Transporté par la veine cave, le sang appauvri pénètre dans l’oreillette droite puis, à l’intérieur du ventricule droit qui, à chaque contraction, le pousse (boum) vers les poumons par l’artère pulmonaire. Ensuite, le sang renouvelé est reçu par l’oreillette du côté gauche du coeur, puis dans son ventricule qui, en se contractant à son tour, le projette (boum) dans tout notre corps en empruntant les artères. 
 
Il n’y a pas de norme reliée à la fréquence cardiaque. Au fil d’une journée, celle-ci peut varier en permanence suivant l’heure, la prise de médicaments, la consommation de café ou d’alcool, l’activité que nous réalisons ou, tout simplement en fonction de notre état émotionnel.
 
On peut parler d’arythmie, le trouble cardiaque le plus fréquent, si, sans raison le justifiant, la fréquence s’élève au-dessus des 100 battements par minute ou chute sous les 60 battements. La première situation est qualifiée de « tachycardie » et la seconde de « bradycardie « .
 
CAUSES
 
Les causes de l’arythmie cardiaque sont multiples. Le vieillissement en est une, mais également, par exemple, le stress, la consommation excessive de tabac, d’alcool ou de café, d’un excitant ou la prise de cocaïne, l’usage de certains médicaments, la déshydratation, l’artériosclérose et l’athérosclérose, des problèmes de l’appareil respiratoire, l’embolie pulmonaire ou l’insuffisance coronarienne.
 
L’arythmie cardiaque n’est pas à prendre à la légère. Certains types d’arythmie augmentent le risque de complications parmi lesquelles l’accident vasculaire cérébral et l’insuffisance cardiaque.
 
SYMPTÔMES
 
L’arythmie cardiaque n’est pas toujours accompagnée de symptômes. D’autre part, en éprouver ne signifie pas nécessairement qu’il s’agit d’un problème sévère. Certains individus présentent plusieurs signes d’arythmie sans qu’il ne s’agisse d’un problème sérieux tandis que d’autres, qui n’éprouvent aucun symptôme, souffrent de sérieux troubles cardiaques.
 
Parmi les personnes à risque, mentionnons celles qui souffrent d’obésité, celles qui sont sous certaines médications, celles qui abusent de l’alcool, du tabac ou du café ou d’autres excitants ou celles qui souffrent d’un trouble cardiaque, de diabète, d’hypertension ou d’apnée du sommeil.
 
Un pouls irrégulier, lent ou rapide, des palpitations, des étourdissements ou des vertiges, la chute de tension artérielle ou la perte de connaissance sont des signes d’arythmie cardiaque. Dans certains cas d’arythmie, la faiblesse, l’essoufflement injustifié ou des douleurs à la poitrine peuvent apparaître. Dans ce dernier cas, une visite à l’hôpital s’impose sans tarder. Dans les autres cas, vos symptômes ne sont pas à négliger et devraient être soulignés à votre médecin qui devrait probablement vous faire passer un électrocardiogramme.
 
PRÉVENTION
 
Vous souhaitez garder votre coeur en bonne santé? Mangez sainement et faites de l’activité physique. Mettez-y du coeur!
 
Vous avez plus de 65 ans? Il est démontré que marcher ou jardiner vous fera du bien. Évitez de fumer, maîtrisez votre stress, consommez de l’alcool modérément ainsi que la caféine.
 
Souvenez-vous qu’on ne retrouve pas la caféine que dans le café, mais également, dans le thé, les boissons gazeuses, le chocolat et certains médicaments disponibles sans ordonnance.
 
Enfin, si votre fréquence cardiaque s’emballe lorsque vous croisez une personne, toujours la même, c’est effectivement un symptôme particulier. Toutefois, votre arythmie est bien normale et la meilleure chose qui peut vous arriver est que l’autre personne éprouve le même symptôme que vous !
 

Un nouveau Passe-Partout pour nos enfants‏


Vous souvenez-vous de Passe partout ? En tout cas mes enfants ont aimé ces émissions .. et mes deux plus jeunes voulaient toujours que je leur chante «Le jour court après la nuit …» pour leur dodo … Voila, une autre émission qui promet d’être aussi populaire visant le coté pédagogique.
 
Un nouveau Passe-Partout pour nos enfants
   
La nouvelle série 1, 2, 3...Géant.
 
 

Photo: fournie par Télé-Québec
 Silvia Galipeau
La Presse
 
Tenez-vous bien: Télé-Québec vient de lancer une toute nouvelle émission pour enfants, qui se veut rien de moins que le «nouveau Passe-Partout». Baptisé 1, 2, 3 … Géant, l’émission, qui sera diffusée dès cet automne, cible les tout petits de deux à cinq ans. Le tournage a commencé la semaine dernière.
 
Voilà donc qu’après Cornemuse, Macaroni Tout Garni, Toupie et Binou et Toc Toc Toc, Télé-Québec nous propose maintenant 1,2,3… Géant. Mais attention, il ne s’agira pas là d’une série comme une autre. Comme avec Passe-Partout il y a trente ans, les objectifs sont ici pédagogiques. S’inscrivant dans la politique de lutte contre le décrochage scolaire (notamment la fameuse stratégie Tous ensemble pour la réussite scolaire), la pdg de Télé-Québec a été très claire:
  
«Télé Québec peut avoir une contribution dans ce : tous ensemble. Comment? En préparant les enfants pour la vie à l’école, a-t-elle affirmé. En créant l’équivalent de ce que Passe-Partout a fait pour les enfants dans les années 1970, mais avec les préoccupations des enfants d’aujourd’hui.»
 
La ministre de l’Éducation Line Beauchamp, dont le ministère versera 900 000 dollars sur trois ans (souvenez-vous à l’époque, Passe-Partout avait été créée par des fonctionnaires du ministère de l’Éducation), a tenu à applaudir la démarche:
 
«Les enjeux du décrochage scolaire ne se décident pas nécessairement à 14 ans. Les études prouvent toute l’importance de la petite enfance. Dès trois ans, on peut mesurer le développement cognitif et la confiance en soi des enfants, lesquels sont déterminants pour le succès scolaire.»
 
1,2,3 … Géant (auxquels collaborent aussi la Fondation Chagnon, Avenir d’enfants, Québec en forme et la télé ontarienne TFO), une série fantastique tout droit sortie de l’univers du conte, ne sera pas ouvertement pédagogique, mais aura des “fondements pédagogiques”, a nuancé la conceptrice Carmen Bourrassa (muse, déjà, de Cornemuse, Toc Toc Toc et Passe-Partout). Je ne vous raconterai pas tous les détails du récit (mon collègue Hugo Dumas va certainement s’en charger demain!) mais sachez qu’on a voulu (avec l’aide de chercheurs de l’UQAM, de l’Université de Montréal et de l’université d’Ottawa)  introduire ici trois éléments déterminants. 
 
D’abord, histoire d’être dans l’air du temps, le rôle principal a été attribué ici à un homme, un père et éducateur masculin.
 
Ensuite, l’accent sera mis sur la maîtrise du langage (tant pour les jeunes Québécois que les nouveaux arrivants), par le biais de comptines et autres jeux de mots.
 
 Enfin, une attention toute particulière sera portée à l’”autocontrôle” la maîtrise de soi, l’écoute, bref, la patience. Des personnages, les Soussis (incarnés par des marionnettes), de grands gaffeurs, se chargeront quant à eux d’incarner moins la réussite, que le droit à l’erreur. 
 
Qu’en pensez-vous? Beau projet? Beau défi, aussi? À l’aire du web, pensez-vous effectivement que la télé peut toujours jouer un rôle important dans la préparation à la scolarisation de nos enfants?
 
Avouez que cela change du discours alarmiste sur les jeunes, l’obésité, et l’immobilité (devant les écran, précisément!)
 

http://blogues.cyberpresse.ca

La nouvelle série 1, 2, 3…Géant.

Agressions sexuelles: il faut dénoncer


Un sujet difficile et trop souvent tabou et pourtant il est très important d’en parler pour dénoncer les agressions .. qu’on soit adulte, enfant, ado, homme ou femme, Cette semaine, dans ma ville, un jeune gaçon de 10 ans se promenait en vélo dans un parc et il s’est perdu et a demandé son chemin a un homme qui était présent … Cet homme la violé !!! Le jeune garçon s’est réfugié dans une maison avoisinante et la police a été appelé. Grâce a la rapidité de la plainte, l’homme fut arrêté très vite …
Alors parlez-en …
 
Agressions sexuelles: il faut dénoncer
 
Nous sommes actuellement au coeur d’une campagne pour inciter les gens à dénoncer les agressions sexuelles. Des images qui bouleversent, des mots qui blessent. Mais dans la vraie vie, c’est encore pire. 
 
Par Julie Pelletier – Sexologue 
 
Agressions sexuelles: il faut dénoncer
 
© Shutterstock
 
Les agressions sexuelles anéantissent la vie des victimes en les privant de ce qu’elles ont de plus cher: la sécurité d’être. Que savez-vous réellement des agressions sexuelles? Avez-vous déjà été victime? Que faire, comment réagir, à qui s’adresser quand on soupçonne des agressions? Voici des réponses. 

Les agressions sexuelles, c’est quoi?
 
L’agression sexuelle est un crime perpétré, dans 98 % des cas, par un homme. Les victimes sont des femmes et des filles (à un peu plus de 80 %), mais aussi des hommes, des enfants, des adolescents de toutes les races, les cultures, les religions, peu importe l’orientation sexuelle de la victime et de l’agresseur. Ce délit n’a aucun lien avec le milieu social ou l’endroit où il est commis.
 
Certains groupes sont plus à risque que d’autres, de par leur vulnérabilité (en voici des exemples):
 
les filles, les adolescentes et les femmes jusqu’au milieu de la vingtaine;
les filles et les femmes de tous les âges qui ont un handicap.
 
Les victimes d’agressions sexuelles ne sont aucunement responsables de ce qu’un agresseur leur fait subir. Jeanne, une femme de 38 ans, nous confie:
 
«J’avais huit ans quand mon beau-père a commencé à me faire des choses. Enfant, j’étais une petite fille ricaneuse, aimante et certainement un peu charmeuse. Mon père me manquait beaucoup à cette époque-là et je me souviens des nuits passées à pleurer et à attendre qu’il vienne me délivrer de ce cauchemar. Il n’est jamais venu. Ma mère non plus. Elle ne m’a pas crue quand je lui ai dit que Réjean me faisait mal en touchant mon entrejambe et en m’obligeant à lui faire des choses qui me faisaient vomir. Elle me traitait d’agace et je l’ai longtemps crue. Jusqu’à ce que je rencontre une femme dans mon milieu de travail alors que j’avais 22 ans (à qui j’en avais parlé) et qui m’a dit: « Mais tu n’étais qu’une petite enfant, il n’avait pas le droit de te faire ça. » Ç’a été l’élément déclencheur, j’ai pleuré, pleuré et tellement pleuré. Je n’ai pas été capable de le dénoncer. Il est mort il y a trois ans, d’un cancer, et je ne suis pas allée à ses funérailles. Ma mère ne me le pardonne pas, car elle croit que j’ai tout inventé et que c’est à cause de moi qu’il est mort de cette maladie. Je dois travailler fort en thérapie pour me défaire de tout ce fardeau et de toute cette culpabilité. Je n’ai pas de vie amoureuse, je n’en veux pas. Je suis brisée et je me sens tellement seule.»
 
Qui commet ces actes répréhensibles et où?
 
La majorité du temps, les agressions sexuelles dont les personnes sont victimes sont commises par des gens qu’elles aiment, qu’elles connaissent ou en qui elles ont confiance. Donc, ces crimes sont commis dans des endroits comme la maison familiale, chez un ami, dans une voiture, à l’école, dans un club, lors d’une fête, au travail, dans un bureau de professionnel…

Vous avez le droit de dire non
 

Au Canada, la loi exige qu’une personne obtienne votre consentement avant d’entreprendre toute activité de nature sexuelle avec vous (y compris votre amoureux…). Donner votre consentement, c’est donner la permission à l’autre de vivre une sexualité avec vous. L’autre N’A PAS votre consentement si:
 
vous dites non;
vous ne donnez aucune réponse;
vous êtes en état d’ébriété ou avez consommé des drogues et que vous avez les facultés affaiblies ou que vous ne savez pas ce que vous faites;
l’autre personne vous menace, vous manipule, vous force ou exerce des pressions sur vous pour que vous disiez oui;
l’autre personne ment par rapport à ce qu’elle veut faire avec vous;

vous êtes un enfant ou une jeune personne (et JAMAIS cet enfant ou cette jeune personne ne pourra consentir à avoir une activité sexuelle avec un adulte);
 
Vous avez le droit, dans n’importe quelle situation et avec n’importe qui, d’établir vos limites et de choisir de ne pas avoir d’activités sexuelles avec cette personne. Vous avez le droit de dire NON à toute activité sexuelle non désirée.

Si ça arrive
 

racontez ce qui s’est passé à quelqu’un en qui vous avez confiance;
rendez-vous à l’hôpital le plus rapidement possible, idéalement dans les 72 heures suivant l’agression, dans la mesure où les médecins pourront faire des prélèvements pour détecter des preuves physiques de l’agression qui pourront servir devant les tribunaux;
ayez confiance en votre jugement: ce n’est pas de votre faute;
allez chercher de l’aide psychologique et du support;

donnez-vous le temps de guérir.
 
Il est très important d’aller chercher de l’aide, de dénoncer votre agresseur afin qu’il soit traduit en justice. Malheureusement, actuellement, les statistiques nous disent que seuls 10 % des agressions sont dénoncées. Il faut changer cela. Faites-le pour vous, pour votre fille, pour les autres femmes, pour les filles de ces autres femmes… Dénoncez, on ne le dira jamais assez.

Que faire si vous, ou un de vos proches, êtes victime d’agression sexuelle
 
Appelez votre service de police;

Appelez votre centre local de services communautaires (CLSC);
Appelez un centre d’aide aux victimes d’actes criminels (CAVAC) 1-866-532-2822;

Appelez un centre d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (CALACS) 1-888-933-9007;
 

Sources: Santé et services sociaux Québec 
 
http://fr.canoe.ca