Les enfants ont besoin d’une surveillance constante


Cette disparition du petit Adam Benhamama est dramatique surtout avec son problème d’autisme et de surdité …mais cela fait rappeler que tous les enfants ont un coté curieux et qui explore leur environnement sans pour autant en connaître tous les dangers .. c’est important d’avoir un oeil sur eux
 
Les enfants ont besoin d’une surveillance constante
 
 
MONTRÉAL – Face à la disparition du petit Adam Benhamama, à Laval, la Société de sauvetage du Québec lance un appel à la vigilance.
 
L’enfant de 3 ans, porté disparu depuis une semaine, a été vu pour la dernière fois en train de jouer avec sa petite soeur près d’une résidence, en bordure de la rivière des Mille-Iles.
 
Constatant l’impossibilité d’ériger des clôtures aux abords de tous les cours d’eau, le président de la Société de sauvetage, Raynald Hawkins, souligne que la surveillance constante d’un adulte est primordiale.
 
M. Hawkins précise qu’il ne faut surtout pas culpabiliser les parents qui ont eu la douleur de perdre un enfant par noyade. Il fait remarquer que 15 ou 20 secondes d’inattention peuvent suffire à un enfant pour s’éloigner et sombrer dans un lac ou une rivière
 
Raynald Hawkins ajoute que, si un adulte doit s’absenter pendant quelques minutes, il devrait s’assurer que les enfants sous sa surveillance l’accompagnent.
 

http://actualites.ca.msn.com

Maladies des végétaux: une serre sous haute surveillance


Découvrir le moyens de sauver l’environnement advenant l’idée qu’une épidémie surviennent chez les plantes … en plus étudier les maladies d’ailleurs au cas ou, qu’une épidémie soit du a une plante provenant de l’extérieur du pays … C’est un peu comme fait un laboratoire pour découvrir des remèdes sur des maladie de l’homme dans le fond.
 
 
Maladies des végétaux: une serre sous haute surveillance
 
Nicole Benhamou, directrice du Centre de recherche en horticulture, travaille sur un nouveau produit qui a un effet spectaculaire sur la croissance des plantes.
 
Nicole Benhamou, directrice du Centre de recherche en horticulture, travaille sur un nouveau produit qui a un effet spectaculaire sur la croissance des plantes.
 
Le Soleil, Patrice Laroche
 Claudette Samson
Le Soleil
 
(Québec) En apparence, c’est une serre comme les autres. Pourtant, le bâtiment de verre qui longe le boulevard Hochelaga, à côté de l’Envirotron, est un lieu hautement protégé de recherche sur les maladies affectant les végétaux. Sous la gouverne de l’Université Laval, elle est en fait la seule serre de confinement d’un tel niveau de sécurité accréditée au Canada. 
 
Gendarme des lieux, Carole Martinez s’assure du respect constant par tout un chacun des règles de sécurité. Un électricien distrait l’a appris à ses dépens, après être entré dans une salle de confinement sans revêtir le survêtement, les chaussons et la cagoule de rigueur. Il a dû laisser ses vêtements à la désinfection et repartir en boxer et en survêtement jetable, raconte-t-elle en riant. L’électricien, lui, ne l’avait pas trouvée drôle.
 
Il n’y a pas si longtemps, pourtant, la recherche sur les phytoravageurs n’était absolument pas encadrée au Canada. Ce n’est que depuis 2008 qu’une loi impose des normes strictes, régies par l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA), comme cela se faisait déjà pour les animaux. Depuis, les centres de recherche doivent être accrédités selon des niveaux allant de 0 à 3, et l’Université Laval a été la première, en février 2010, à obtenir les niveaux 2 et 2+ , soit les plus élevés existant pour les serres. Le 3 est quant à lui réservé aux laboratoires, et seule l’Université Western, en Ontario, le détient pour l’instant
 
D’autres projets de serres sont en voie d’obtenir un permis de niveau 2, dont Agriculture et Agroalimentaire Canada, à Saint-Jean-sur-Richelieu, pour de la recherche sur les maladies de la pomme de terre.

Si de telles précautions sont nécessaires, ce n’est pas pour protéger les gens, mais plutôt l’environnement.Imaginez, illustre Mme Martinez, qu’une maladie n’existant pas ici s’échappe dans la nature. On a bien vu dans le passé les dommages pouvant résulter de l’arrivée soudaine d’une maladie, d’un champignon ou d’un insecte arrivé chez nous à l’occasion d’échanges commerciaux. Il n’y a qu’à penser à la maladie hollandaise de l’orme. La serre est donc construite de manière à éviter toute sortie accidentelle des agents infectés : joints scellés, double vitrage, sas, apport d’air plus élevé pour le maintenir à l’intérieur lors des ouvertures de portes, caméras installées en permanence sur les structures pour déceler le moindre bris, déchets contaminés… Ajoutez à cela des rondes de sécurité en permanence, une équipe d’entretien spécialement formée et capable d’intervenir dans les 30 minutes, et, bien sûr, un strict contrôle des entrées et des sorties.
 
Inspections surprises
 
Tout incident doit être déclaré à l’ACIA et des visites d’inspection surprises ont lieu régulièrement. L’accréditation est quant à elle revue tous les deux ans. Cela dit, toutes les salles ne sont pas protégées autant en tout temps, cela dépend des recherches qui s’y déroulent.
 
Les installations permettent aussi de tester de nouveaux produits avant leur homologation, des organismes transgéniques ou encore des plantes susceptibles d’être importées.
 
http://www.cyberpresse.ca

Japon – Séisme de magnitude 7,1 près de Fukushima


Au derniere nouvelles que j’avais lue, la fuite du réacteur se déversais toujours dans l’océan … et aujourd’hui ce nouveau tremblement de terre, probablement pas de victime, mais c’est de très moment a passer pour les Japonais …  certains journeaux parlent plutot de 6.6
  
 
Japon – Séisme de magnitude 7,1 près de Fukushima

 
Japon - Séisme de magnitude 7,1 près de Fukushima
Le nord-est du Japon a été frappé lundi par un puissant séisme de magnitude 7,1.

 
La secousse a été ressentie à 8 h 16 GMT près d’Iwaki, ville de la préfecture de Fukushima où est située la centre nucléaire de Fukushima-Daiichi, selon l’Institut américain de veille géologique (USGS).
 
L’avis d’alerte au tsunami émise par les autorités a été levé, rapporte la télévision publique NHK.
 
Ce nouveau tremblement terre survient un mois jour pour jour après le séisme et le tsunami du 11 mars qui ont fait plus de 27 000 morts et disparus.
 
L’alimentation électrique de trois réacteurs de la centrale nucléaire accidentée, qui avait été coupée au moment du séisme, a depuis été rétablie.
 

http://actualites.ca.msn.com