Parler des autres


C’est tellement facile de parler des autres surtout pour dire ce qu’on aime pas … pourtant nous devrions plutôt nous regarder ….
 
 
  

Parler des autres

Cancaner sur les autres est certainement un défaut, mais c’est une vertu quand c’est appliqué à soi-même. 
 

Nelson Mandela  

Le papillon qui n’arrive pas à sortir de son cocon


Nous avons tous besoin de faire nos propres expériences, de surmonter nous-mêmes nos épreuves, nos aléas qui surviennent au cours de notre vie pour mieux apprendre tout au long de notre vie
  
Le papillon qui n’arrive pas à sortir de son cocon

Un homme qui se promenait vit un cocon dans un petit trou.

Il s’arrêta de longues heures à observer la chrysalide, devenue papillon, qui s’efforçait de sortir par ce petit trou. Après un long moment, le papillon semblait faiblir et lui donnait l’impression qu’il allait abandonner. L’homme était convaincu que le jeune papillon avait fait tout ce qu’il pouvait pour sortir de ce trou, sans succès. Alors, il décida de l’aider : il prit un canif et ouvrit le cocon.

Le papillon sortit aussitôt mais son corps était maigre, faible et engourdi, ses ailes étaient peu développées et bougeaient à peine. L’homme continua à l’observer, pensant que d’un moment à l’autre, les ailes du papillon s’ouvriraient et seraient capables de supporter le corps du papillon pour qu’il puisse prendre son envol.
 

Il n’en fut rien !

Et le pauvre papillon passa le reste de son existence à se traîner par terre avec son maigre corps et ses ailes rabougries.

 
Jamais il ne put voler.  
 
Auteur : inconnu

Truc Express ► Désodoriser un plat en terre cuite‏


Un petit facile pour résoudre ce petit problème d’odeur
 
Désodoriser un plat en terre cuite
 

Les plats en terre cuite sont parfaite pour mijoter de bons petits mets, comme un tajine. 
 
Seul problème : ils ont tendance à garder les odeurs qui s’imprr`gnement dans la terre cuite. 
 
Pour les faire disparaître, il suffit de nettoyer le plat avec du mac de café que l’on aura bouilli. Le plat perdra alors toute senteur, et vous pourrez vous en servir pour une recette différente.
 
La Semaine/Trucs et astuces/Fév. 2011

Les gènes de l’intelligence


Un sujet intéressant qui peut-etre donnera un élan pour l’aide aux garderies pour avoir un meilleur programme .. Il est vrai quand un enfant a la chance de vivre dans un milieu aisé cela peut lui permettre d’élargir ses horizons mais je crois que même chez les plus pauvres, si les parents sont a l,écoute c’est possible de les aider a mieux grandir .. Par exemple, quand j’ai eu ma fille, nous n’étions pas vraiment riche et tout comme mes garçons, elle n’a jamais été inscrite a des clubs, du sport etc, très peu a la garderie, mais par contre chez nous, le vocabulaire est enrichi, les mots croisées, scrabble, lectures, observations, la débrouillardise etc a été notre force Aujourd’hui, ma fille est infirmière bacheliere , fini une maitrise et viens d’obtenir un poste de cadre et elle a que 23 ans ..
 
Les gènes de l’intelligence
 
Elliot Tucker-Drob croit que les résultats de sa plus récente étude militent en faveur de l?augmentation du financement des garderies, particulièrement en milieu défavorisé. Il souligne «qu?une intervention auprès des parents (pauvres), pour qu?ils encadrent mieux le développement cognitif de leurs enfants, a un très grand impact».
 
Elliot Tucker-Drob croit que les résultats de sa plus récente étude militent en faveur de l?augmentation du financement des garderies, particulièrement en milieu défavorisé. Il souligne «qu?une intervention auprès des parents (pauvres), pour qu?ils encadrent mieux le développement cognitif de leurs enfants, a un très grand impact».

Photo: Patrick Sanfaçon, La Presse
Mathieu Perreault
La Presse

L’impact des revenus sur le développement cognitif est visible dès l’âge de 1 à 2 ans, a constaté le psychologue texan Elliot Tucker-Drob.
 
Ces résultats, obtenus après l’étude de 750 paires de jumeaux, ont fait les manchettes en mars. Mais les médias ont surtout retenu un autre aspect de ses travaux: chez les riches, l’influence des parents sur le développement intellectuel de leurs enfants s’avère limitée. Mathieu Perreault s’est entretenu avec lui.
 
Q: Comment vous êtes-vous intéressé à cette question?

R: Le débat sur les gènes et l’environnement dure depuis longtemps. Il a surtout été caractérisé par une opposition entre deux visions: les chercheurs qui considéraient que les gènes expliquent tout, et ceux qui pensent que tout se passe après la naissance. On a tout récemment réalisé qu’il n’y a pas de conflit entre ces deux visions, parce que l’environnement influence le développement des gènes de l’intelligence.
 
Q: Pouvez-vous résumer vos résultats?
 
R: D’autres chercheurs ont montré cette interaction des gènes et du milieu socio-économique à l’école primaire. Nous sommes les premiers à le montrer dès l’âge de 10 mois. L’effet grandit avec le temps. Nos données pour les enfants de 2 ans montrent que chez les 5% les plus pauvres, l’influence des parents, s’ils parlent à leur enfant, l’encouragent dans ses jeux, explique presque la totalité des variations de développement cognitif. Chez les 5% les plus riches, seulement la moitié de la variation de développement cognitif s’explique par les différences d’investissement parental, le reste dépend des gènes.

Q: Les résultats aux tests cognitifs à 2 ans prédisent-ils la performance scolaire?

R: En général, oui. Nous avons suivi ces enfants jusqu’à l’âge de la maternelle, et même si nos analyses ne sont pas encore publiées, je peux vous dire que la relation entre les résultats à l’âge de 2 ans et à la maternelle est très bonne. Les meilleurs à 2 ans sont toujours les meilleurs à 6 ans.

Q: Comment le niveau socio-économique influence-t-il le développement cognitif?

R: L’une de nos hypothèses est que les parents n’ont pas seulement une influence directe, mais aussi indirecte. Par exemple, si un enfant est intéressé par un type de jouets, comme un casse-tête, les parents des milieux favorisés auront plus de facilité à lui fournir davantage de ces jouets. Si le parent ne répond pas aux besoins de l’enfant, son développement sera entravé. Ce type d’action indirecte n’est pas bien mesuré par les évaluations de la compétence parentale. C’est ce qui explique que dans les milieux aisés, l’influence parentale semble moins importante.

Q: Qu’en est-il des parents riches qui confient leurs enfants à une gardienne (nanny)?

R: Des études ont montré que chez les familles pauvres, plus les parents travaillent, moins l’enfant est stimulé par ses parents. Dans les familles riches, il n’y a pas de relation entre stimulation et le travail. Quand ils rentrent à la maison, les parents riches peuvent se consacrer à leurs enfants, parce que les tâches ménagères ont été confiées à des employés. On peut aussi considérer que chez les très riches, avoir une gardienne qui vit à la maison parce qu’ils travaillent beaucoup est l’équivalent de payer très cher pour avoir une excellente supervision pour ses enfants. C’est l’équivalent d’avoir une très bonne garderie.

Q: Les médias ont rapporté que l’investissement parental a moins d’impact sur le développement cognitif chez les riches que chez les pauvres. Est-ce une distorsion de votre travail?

R: Il est exact que dans les milieux plus riches, l’environnement parental joue un rôle moins grand que dans les milieux plus pauvres. L’aisance matérielle permet à ces enfants d’exprimer leurs gènes, qui jouent donc un rôle plus grand dans le développement cognitif. On peut considérer que c’est une preuve que les parents riches portent une attention exagérée à la réussite de leurs enfants, que ceux qui doivent être bons à l’école le seront quel que soit le nombre de tuteurs qu’on engagera. Mais il reste tout de même une influence parentale. Et je trouve beaucoup plus important d’insister sur le fait que dans les milieux pauvres, une intervention auprès des parents, pour qu’ils encadrent mieux le développement cognitif de leurs enfants, a un très grand impact.

Q: Vos résultats ont-ils des implications pour le financement des garderies?

R: Je ne veux pas faire de recommandations spécifiques Mais j’imagine que ces résultats sont très utiles pour ceux qui veulent augmenter le financement des garderies, particulièrement en milieu défavorisé.

Q: Vaut-il mieux pour un enfant pauvre d’aller à la garderie, ou que ses parents reçoivent de l’aide financière ou pédagogique?

R: J’ai fait d’autres recherches sur l’intervention préscolaire, qui montrent que plus on intervient tôt, plus on a un effet à long terme. Mais il est aussi établi que les interventions auprès des parents des milieux défavorisés peuvent avoir des effets. Il faudrait mesurer l’impact de deux programmes auprès de populations semblables pour voir quelle approche est plus efficace financièrement.

Q: Et pour le financement des universités? Vaut-il mieux avoir des droits de scolarité moins élevés pour aider les étudiants de milieux défavorisés?

R: D’autres études montrent qu’il vaut mieux investir tôt dans le développement et qu’au collégial, il est très difficile d’avoir un impact. En ce sens, il vaudrait mieux réserver les subventions aux garderies et à l’école primaire, à la limite au secondaire. Mais il est certain que rien n’est impossible à changer. Alors même à l’université, on peut contrer l’effet de la pauvreté.

Q: Est-il possible que les gens pauvres aient plus souvent des mauvais gènes, ou alors que les gens riches aient plus souvent des bons gènes, pour ce qui est de l’intelligence?

R: C’est une question qui mérite d’être étudiée. Le problème, c’est que plusieurs gènes sont impliqués dans le développement cognitif. Aucun d’entre eux n’a d’effet très marquant à lui seul. Alors, il est très difficile d’analyser la distribution de ces gènes dans la population.

Q: Vous écrivez que le volume du cerveau peut prédire les capacités cognitives. Cette hypothèse n’a-t-elle pas été discréditée depuis un siècle?

R: Les tentatives d’établir ce lien au XIXe siècle ont échoué. Mais depuis 15 ans, des chercheurs ont utilisé l’imagerie médicale pour mesurer des régions très précises du cerveau. Leurs résultats sont assez convaincants. Il semble y avoir une relation modérée entre la taille de différentes régions du cerveau et les résultats aux tests cognitifs. La génétique semble jouer un rôle dans le développement de ces régions. Les mêmes gènes ont été liés à leur taille et aux résultats de certains tests cognitifs.

Q: Qu’étudiez-vous en ce moment?
R: Nous allons essayer de mieux comprendre les mécanismes liant génétique, milieu socioéconomique et développement cognitif. Je m’intéresse aussi au vieillissement cognitif et au développement de la personnalité, toujours par rapport aux gènes et au milieu
 

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Comprendre et combattre l’intimidation


Je crois qu’il est important de comprendre le processus de l’intimidation pour mieux la combattre. Mais moi je pose des question après avoir vue 3 émission de Denis Lévesque sur ce sujet avec des victimes a l’émission. Comment se fait-il que du moins ceux-la ont averti les professeurs et directeurs, que les parents étaient au courant et l’école leur disait que leur enfants exagéraient voir même que c’était des mensonges … Comment se fait-il que ce sont les victimes dont des filles violées ont du changé d’école( qui était beaucoup plus loin que leur demeure) et que les agresseurs sont resté a la même école ???? Faudrait peut-être aussi sensibiliser le personnel des écoles pour ne pas prendre a la légère ce genre de comportements … Alors qu’en dehors de l’école nous devrions aussi en temps qu’adulte etre sensibilisé a l’intimidation face aux jeunes
 
Comprendre et combattre l’intimidation
 

La solitude est l'ingrédient majeur qui maintient le jeune et souvent même ses parents dans une situation d'impuissance. Il faut tout un réseau et non seulement des individus pour mettre fin aux situations isolées comme pour faire de la prévention.
La solitude est l’ingrédient majeur qui maintient le jeune et souvent même ses parents dans une situation d’impuissance. Il faut tout un réseau et non seulement des individus pour mettre fin aux situations isolées comme pour faire de la prévention.
 
Photo: Archives PC
  Rose-Marie Charest
La Presse
 
L’intimidation en milieu scolaire semble de plus en plus répandue, ne serait-ce que par l’ajout de la cyberintimidation au problème existant. Les effets sur les victimes ne sont plus à démontrer. Ils vont de l’atteinte de l’estime de soi à la baisse de performance scolaire, à la dépression, à l’abandon scolaire, aux idées et même aux gestes suicidaires. Sa prévalence comme sa gravité en font un problème de société qui appelle à la mobilisation de nombreux acteurs non seulement dans l’intervention, mais aussi dans la prévention.
 
Il nous faut d’abord différencier l’intimidation des conflits habituels ou des chicanes courantes entre enfants. Ici, il ne s’agit pas d’un mouvement d’agressivité pour obtenir quelque chose, mais bien d’une forme répétée de violence qui vise à rabaisser l’autre, souvent sans aucun gain secondaire apparent. L’agresseur a besoin d’affirmer sa position de supériorité en plaçant l’autre dans une position d’infériorité. Il y a ici plus que la victime et le bourreau. Il y a les tiers, témoins directs ou virtuels du mal infligé à l’autre. Leur rôle n’est pas banal: l’intimidateur cherche un public qui, même silencieux et passif, le reconnaît comme le plus fort et contribue ainsi à maintenir son statut de supériorité. De son côté, la victime est d’autant plus humiliée qu’il y a des observateurs de son impuissance à se défendre. C’est d’ailleurs pourquoi elle a tendance à ne pas se confier.
 
Le silence néfaste
 
Pourquoi les observateurs se taisent-ils? Sont-ils si nombreux à être violents, à manquer d’empathie? Je ne le crois pas. S’ils venaient à la rescousse de la victime, ils pourraient craindre d’être la prochaine victime. De manière plus subtile, ils risqueraient ainsi d’être identifiés au plus faible. Or, l’identification, aussi partielle soit-elle, à la faiblesse d’un autre ou à un autre plus faible est menaçante même à l’âge adulte, là où l’identité est pourtant développée. Cela l’est encore davantage pour les jeunes. Chacun sait bien qu’il y a à l’intérieur de lui faiblesses et forces, pouvoir et impuissance. L’alliance tacite avec l’abus de force et de pouvoir pourrait être l’attitude choisie comme pour jouer à mettre à l’extérieur de soi et à distance ses propres faiblesses et impuissances. Si je me moque de l’autre, si j’accompagne celui qui le fait, cela confirme que je ne suis pas comme ça.

L’exemple le plus frappant d’une telle dynamique est celui du jeune qui se fait traiter de «tapette». À l’adolescence, le doute sur sa propre identité sexuelle est très répandu. Si l’autre est traité de «tapette», je ne me porterai pas à sa défense au risque d’être insulté à mon tour. De plus, si je m’associe à ceux qui rient de lui, je confirme que je ne le suis pas.
 
La force du réseau
 
La solitude est l’ingrédient majeur qui maintient le jeune et souvent même ses parents dans une situation d’impuissance. Il faut tout un réseau et non seulement des individus pour mettre fin aux situations isolées comme pour faire de la prévention. Les jeunes ont besoin d’être sensibilisés aux divers rôles que ces situations peuvent les inciter à jouer, souvent malgré eux, à la souffrance qu’ils peuvent infliger, à la médiocrité d’une valorisation ainsi obtenue, au pouvoir et à la responsabilité de chacun même lorsqu’il n’est pas directement impliqué. Au-delà de tout, ils doivent être convaincus que l’intimidation n’est pas un jeu et qu’il n’y a pas de gagnant. Les parents, les professeurs, les éducateurs et tous les adultes susceptibles d’être observateurs ou acteurs de cette chaîne de comportements bénéficieraient aussi d’une meilleure connaissance du phénomène et des ressources qui sont à leur disposition pour agir efficacement, c’est-à-dire ensemble.
 

Rose-Marie Charest est présidente de l’Ordre des psychologues du Québec.
 
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De l’athérosclérose diagnostiqué sur une momie


Quand on pense connaître les causes d’une détoriation d’un organe et qu’après certaines recherches qu’on avait raison mais aussi tord .. c’est qu’il a probablement une disposition a l’être humain d’être atteind par certaines maladies en particulier … mais quoi qu’il en soit, un bon train vie aide surement a diminuer les risques et ou a mieux guérir
 
De l’athérosclérose diagnostiqué sur une momie

 

De l'athérosclérose diagnostiqué sur une momie

 
Photothèque La Presse
Agence France-Presse
Nouvelle-Orléans

 
Le plus ancien cas connu d’athérosclérose, un épaississement des artères, a été diagnostiqué sur la momie d’une princesse égyptienne, selon une étude présentée dimanche lors d’un important symposium de cardiologie à La Nouvelle-Orléans, aux États-Unis.
 
Les chercheurs savaient depuis longtemps que les anciens Égyptiens connaissaient ce problème de plaques adipeuses qui se forment sur la paroi interne des artères, mais cette découverte laisse penser que cette pathologie est plus courante, et peut-être plus mystérieuse, qu’on ne le croyait jusqu’ici.
 
«Nous avons tendance à envisager les maladies du coeur et des artères coronaires comme étant liées au mode de vie moderne, du fait qu’elles se sont répandues dans les pays en développement au fur et à mesure qu’ils se sont occidentalisés», souligne Gregory Thomas, de l’Université de Californie à Irvine, l’un des auteurs de l’étude.
 
Mais les découvertes faites en étudiant les momies égyptiennes «montrent qu’il manque un élément dans notre compréhension des maladies cardiaques et que nous ne sommes peut-être pas si différents de nos ancêtres».
 
Les chercheurs ont réalisé des images par tomographie aux rayons X de 52 momies égyptiennes pour déterminer la présence éventuelle d’athérosclérose. Sur les 44 dont ils ont pu étudier les vaisseaux sanguins et le coeur, près de la moitié présentaient une accumulation de calcium dans les parois des vaisseaux.
 
La plus ancienne des momies présentant cette particularité était celle d’une princesse dont on pense qu’elle a vécu entre 1580 et 1550 av. J.-C. et qu’elle est probablement morte peu après avoir atteint ses 40 ans, selon les chercheurs.
 
Malgré un régime alimentaire plus léger, comportant notamment peu de viande et malgré le fait qu’ils ne fumaient pas de cigarettes, les anciens Égyptiens avaient des problèmes de santé comparables à ceux de nos contemporains.
 
Cela ne signifie pas qu’il faille ignorer les résultats des recherches actuelles, met en garde Adel Allam, de l’université Al-Azhar du Caire, coauteur de cette recherche.
 
«Des études récentes ont montré que le fait de ne pas fumer et de réduire la tension artérielle et le niveau de cholestérol permet de retarder la calcification des artères», souligne-t-il.
 

«D’un autre côté, on peut tirer de cette étude la conclusion que les humains sont prédisposés à l’athérosclérose, c’est pourquoi il faut prendre les mesures nécessaires pour qu’elle survienne le plus tard possible», conclut-il.

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