Et s’il existait une solution à mes problèmes ?


Si nous essayons plutôt a voir nos problèmes comme des défits a réussir. La façon qu’on voit les choses peut donner un regain a les résoudre c’est une question d’attitude
 
Et s’il existait une solution à mes problèmes ?
 
 
« Je n’ai pas échoué. J’ai simplement trouvé 10.000 solutions qui ne fonctionnent pas. » Thomas Edison
 
Cette réplique, le grand Edison l’a faite à l’un de ses amis lorsque celui-ci tentait de le ramener « à la raison » et d’abandonner ses incessantes expériences d’où allait naître… l’ampoule à filament.
Il s’y repris à tellement de tentatives, obstiné, déterminé, que son entourage se décourageait pour lui alors que lui, il gardait la vision d’un résultat satisfaisant : il allait y arriver !
 
Edison avait « la vision » de ce qu’il voulait créer, inventer, mettre en œuvre. Il savait qu’il y avait quelque chose à trouver. Ses visions, sa foi en elles et en la réussite ont fait de lui l’un des plus grands inventeurs du monde moderne.
 
Sa vision était simple : « ce n’est pas parce que cela n’existe pas que c’est impossible ».
 
Au même titre, il n’existe pas qu’une seule solution aux problèmes… essayez et essayez encore sans vous décourager en gardant l’espérance et la foi que vous réussirez à vous en sortir !
 
Apprenez à vous poser des questions qui commencent par « et si ». Vous verrez que cela ouvrira votre esprit aux possibilités.
 
Et si vous croyez avoir tout essayé, alors remettez tout à plat comme si vous n’aviez pas encore trouvé LA réponse. Sachez qu’il existe une multitude de réponses aux « problèmes ».
 
Et si le problème n’existait que dans votre perception de l’événement ?
 
Pourquoi votre « problème » ne le serait pas chez un autre alors qu’il l’est pour vous ?
 
Et si ce n’était qu’une question de perception, donc de « vision » que vous vous faites d’un événement ?
 
Et si vous étiez convaincu qu’il y a vraiment une solution ?
 
Que décideriez-vous ?
 
Cette pensée stimulera la créativité et la clarté d’esprit. Cette pensée deviendra une attitude qui vous donnera des ailes et tirera vers le haut ! De plus, si on ne trouve pas de « solution », après avoir fait le tour de toutes les possibilités… c’est que peut-être il ny a pas de « problème ». A réfléchir…
 
Avez-vous aussi remarqué qu’Edison ne parle pas de « 10.000 problèmes » ou « 10.000 échecs » ?
 
Les mots que nous utilisons dans les processus de réussites ont énormément d’impact sur nos ressentis. Le cerveau réagit en fonction de ces mots…
 
Personne ne naît avec une prédisposition à l’échec. Nous pouvons tous réussi
 
Michel Poulaert

Le saviez-vous ► Entre chien et loup‏


Quand les choix sont difficile il faut y voir plus clair pour mieux discerner ce qui est mieux … ou ce qui se passe
 
Entre chien et loup
 
 
Photo : futura-sciences.com
 
La distinction entre les deux bêtes est essentielle pour y voir clair. C’est le soir ou le matin, quand le jour est si sombre: qu’on ne saurait distinguer un chien d’avec un loup.
 
Ce fut toujours l’heure propice aux mauvaises rencontres, et aussi, heureusement, aux rendez-vous galants.
 

Joconde: les restes de Lisa Gherardini vont être exhumés


Quand on trouve des ossements cela sert a raconter l’histoire mais lors d’exumation je me demande si vraiment c’est nécessaire pour confirmer ou infirmer une théorie dans le domaine de l’art ..
 
Joconde: les restes de Lisa Gherardini vont être exhumés
 
Joconde: les restes de Lisa Gherardini vont être exhumés
ROME – Des chercheurs italiens vont exhumer les restes de Lisa Maria Gherardini qui aurait inspiré, selon la thèse traditionnelle, la Joconde de Léonard de Vinci.
 
Ils espèrent ainsi déterminer si l’épouse du riche marchand de soie Francesco del Giocondo a effectivement servi de modèle au peintre.
 
Le responsable du projet lancé mardi à Florence, Silvano Vinceti, a précisé que l’exhumation doit débuter fin avril dans le couvent de Sainte-Ursule dans le centre de la ville. AP
 

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Mère nature est devenue un monstre pour les petits Japonais


Vivre des catastrophes adultes n’est pas tout a fait pareil que le vivre enfant, mais cela n’est pas autant facile de gérer les émotions face aux inquiètudes … Mais arriver a faire un semblant de routine aide les enfants a mieux les surmonté… mais ils resteront quand même à jamais marqué
  
Mère nature est devenue un monstre pour les petits Japonais
 
Des enfants évacués de la région de Fukushima.

 
Des enfants évacués de la région de Fukushima.
Photo AFP
Associated Press
Karakuwa
 

Dans une salle de classe, des enfants sont assis en cercle, jouant aux cartes. Ils rient, bavardent, et parfois dansent. Mais derrière cette apparente normalité, les petits Japonais seront sans doute à jamais marqués par la catastrophe du séisme et du tsunami du 11 mars.
 
Les enfants possèdent une «formidable» capacité d’adaptation, constate la psychologue Susie Burke, chargée des traumatismes liés aux catastrophes naturelles à l’Australian Psychological Society. «Mais cela ne signifie pas qu’ils ne sont pas profondément traumatisés et touchés par ce qui se passe» autour d’eux.
 
Jusqu’à 25 000 personnes pourraient avoir été tuées par le séisme et le tsunami qui ont dévasté les côtes nord-est du Japon et endommagé la centrale nucléaire de Fukushima Dai-ichi. Des dizaines de milliers de personnes se retrouvent sans abri.
 
Pour les enfants, le monstre, c’est désormais Mère nature: le sol sur lequel ils jouent peut trembler et se fissurer, l’océan dans lequel ils nagent peut se transformer en vague géante et destructrice, l’air qu’ils respirent peut être contaminé par des particules radioactives dangereuses.

Où que leur regard se porte, les petits Japonais sont confrontés aux conséquences de la catastrophe: ils sont assis sur des matelas dans une salle de classe froide qu’ils appellent désormais «maison». Une vieille femme pleure non loin de l’école, se demandant si sa mère a été tuée par le tsunami. Un professeur tripote un détecteur de radioactivité pour s’assurer que la situation ne s’aggrave pas.
 
Fumie Unoura, dix ans, garde un souvenir vivace de la journée du 11 mars. Elle était en classe lorsque la terre a commencé à trembler. Avec ses camarades, ils s’étaient réfugiés sous leurs tables. Lorsque le tremblement avait cessé, ils étaient sortis pour constater que leur ville n’était plus que décombres.
 
«J’ai vu la poussière s’élever», raconte-t-elle devant un abri de la ville côtière de Rikuzentakata.
 
Lorsque le tsunami est arrivé, elle a couru aussi vite que possible. Elle a sauvé sa vie, rien de plus. Sa maison a été détruite. Elle dort sur le sol d’un gymnase avec sa famille et plus d’un millier d’autres survivants. Sa console de jeux électronique lui manque. Son père, Masanari Unoura, est bénévole dans le refuge. L’avenir le préoccupe constamment.
 
«Nous, les parents, devons penser à énormément de choses, alors que les gamins sont dans l’ensemble libres», affirme-t-il.
 
Mais pour les experts, les choses ne sont pas aussi simples. Ainsi, s’ils se prolongent, les bouleversements de la vie quotidienne peuvent causer encore plus de dégâts que la catastrophe elle-même, affirme la psychologue Gaithri Fernando, auteure d’une étude sur les conséquences du tsunami de 2004 dans l’océan Indien sur les enfants sri-lankais.
 
Selon cette enseignante de l’Université d’État de Californie, il peut être très perturbant pour ces enfants de découvrir brutalement qu’ils ne disposent plus d’eau pour se laver, de lit pour dormir et d’école où retrouver leurs amis. Pour les experts, ramener une certaine routine, même inhabituelle, peut être efficace.
 
C’est ce que font Masanari Unoura et sa famille. Chaque matin, ils se joignent à d’autres pour des exercices de gymnastique diffusés à la radio. Ils prennent le petit déjeuner en famille, puis Fumie et sa soeur aînée Shiho jouent jusqu’au déjeuner. Régulièrement, le professeur de Fumie s’arrête pour lui remettre des devoirs, ce qui fait râler la fillette, note son père dans un sourire.
 
En structurant ainsi la journée, il est possible d’éviter des dommages psychologiques à long terme, considère Susie Burke.
 
«Cela leur donne le sentiment que leur monde est prévisible, et lorsque nous sentons que les choses sont prévisibles, nous commençons à nous détendre, explique la psychologue australienne. Une catastrophe nous fait comprendre ou penser que le monde est imprévisible.»
 
L’organisation internationale Save the Children a créé des espaces sécurisés dans la zone du tsunami où les enfants peuvent se retrouver et jouer.
 
«Au départ, ils évoquaient avec moi des histoires de séisme, puis de tsunami, et maintenant de leurs craintes des radiations», rapporte un porte-parole du mouvement, Ian Woolverton. Mais «être seul, c’est ce dont ils ont le plus peur».
 
Dans un refuge de Kesennuma, un groupe de garçons jouent au basket-ball, alors que des bénévoles d’une église de Tokyo proposent des massages aux personnes âgées.
 
Yohei Sugawara, 16 ans, explique que le tsunami a détruit le premier étage de sa maison. Un incendie a fini le travail. Ces derniers temps, il s’est créé une nouvelle routine.
 
«Je donne un coup de main au refuge tous les matins. Puis nous essayons de nettoyer le lieu où se trouvait notre maison et de chercher ce qui peut être sauvé». Mais sa situation est moins difficile, assure-t-il, que celle d’un ami dont les parents ont été tués

Sanctions plus sévères contre la cruauté envers les animaux


Cela serait bien  si le Québec emboiterais le pas et voir meme des sanctions plus sévère … car c’est inadmissible des horreur qu’on peut voir .. il n’y a plus de limite a faire souffrir un animal
 
Sanctions plus sévères contre la cruauté envers les animaux
 
Politique - Sanctions plus sévères contre la cruauté envers les animaux
 
La première ministre, Christy Clark   

© Agence QMI 

 

VANCOUVER – Le gouvernement de la Colombie-Britannique va accroître la sévérité des sanctions contre la cruauté faite aux animaux à la suite du massacre d’une centaine de chiens de traîneau survenu après les Jeux olympiques de Vancouver en 2010.

En vertu de modifications législatives à venir, une personne reconnue coupable de cruauté envers un animal sera passible d’une amende maximale de 75 000 $ et de deux années d’emprisonnement. La loi actuelle prévoit une amende pouvant aller jusqu’à 10 000 $ et un maximum de six mois derrière les barreaux.
 
Les vétérinaires devront aussi rapporter aux autorités les cas de cruauté qu’ils observent dans le cadre de leur travail.
 
Ces mesures annoncées mardi par le gouvernement Clark font suite aux recommandations qu’avait émises le Groupe de travail sur les chiens de traîneau de la province.
 
«Les Britanno-Colombiens ont clairement indiqué que le traitement cruel ou inhumain des chiens de traîneau ou de tout autre animal est tout simplement inacceptable», a souligné la première ministre Christy Clark.
 
En janvier 2011, WorkSafeBC, l’équivalent de la Commission de la santé et de la sécurité au travail de la province, avait dédommagé un conducteur de traîneau à chiens pour stress post-traumatique.
 
L’homme, qui n’est pas identifié, aurait été obligé d’abattre les chiens avec un fusil ou de leur trancher la gorge, pour ensuite jeter les corps dans une fosse commune. Il a affirmé que ce massacre a été commis en raison de la baisse du tourisme suivant les Olympiques d’hiver de Vancouver.
 
Un vétérinaire avait refusé de participer à l’euthanasie des animaux, qu’il jugeait en santé, selon WorkSafeBC. Robert Fawcett, ancien directeur de la compagnie de traîneau à chien Howling Dogs Tour, de Whistler, a récemment affirmé que les animaux étaient «vieux», «malades », « qu’ils ne pouvaient être adoptés», et qu’ils devaient ainsi être euthanasiés.
 

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