L’esprit positif


L’attitude que nous avons fait ce que notre journée sera 
 
L’esprit positif
 
Rayons de soleil à travers les nuages
 
Photo : mesimages.ch/michel jeandupeux
  
« Un état d’esprit positif t’aide non seulement à imaginer ce que tu veux être, mais t’aide aussi à le devenir. »
 
Wally Amos  

L’important, c’est de semer


Il suffit d’un bonjour dit a un passant pour que celui ci se redresse bien droit pour afficher un sourire … il suffit de quelques instants pour donner un peu de bonheur a une personne …. 

L’important, c’est de semer
 

 

 L’important, c’est de semer,
un peu, beaucoup, sans cesse,
les graines de l’espérance…

Sème le sourire :
qu’il resplendisse autour de toi.

Sème ton courage :
qu’il soutienne celui de l’autre.

Sème ton enthousiasme,
ta foi, ton amour,
les plus petites choses,
les riens.

Aie confiance,
chaque graine enrichira un petit coin de terre.

 
Auteur inconnu 

Le saviez-vous ► Est-il préférable de ne pas recongeler un produit décongelé ?‏


Personnellement, c’est une chose que je ne fais jamais, de recongeler des produit qui ont été gelé, mais c’est bien de savoir le pourquoi … 
 
Est-il préférable de ne pas recongeler un produit décongelé ?
 
Lorsque nous congelons un aliment, la température de celui-ci s’abaisse progressivement et apparaissent des cristaux, qui avec leur pointes déchirent la paroi des cellules, leur contenu qui n’est pas tout à fait gelé, s’échappe. Lorsque nous décongelons l’aliment, le contenu des cellules continue de fuir. 
 
De leur côté, les bactéries se réveillent et elles disposent d’une nourriture qu’elles n’ont pas en temps normal, alors elles prolifèrent beaucoup plus vite
 
Il faut donc consommer l’aliment rapidement. Si l’on effectuait un second cycle de décongélation, de nouvelles bactéries viendraient s’ajouter et l’aliment pourrait devenir nuisible .

La Semaine/Tout Connaître/Fév. 2011

Des enfants génétiquement désobéissants


Quand on parle de désobéissance, ce sont ceux qui semblent plus souvent que les autres a défier toutes autorités, les règles etc … pas des passages nornaux du a l’âge .. Peut-être que cela serait une bonne approche quoiqu’on étiquerait des personnes pouvant peut-être transmettre ce problème génétique
 
Des enfants génétiquement désobéissants ?
 

Certains enfants seraient plus enclins à afficher un mépris des règles à différents moments de la période préscolaire. La stabilité de ce caractère dépendrait à 90 % de facteurs génétiques.
Photo: Ethermoon

 
Chez certains enfants, la persistance du mépris des règles pendant la petite enfance aurait une forte composante génétique, suggère une étude menée par un groupe de psychologues.
 

Certains enfants sont plus enclins à afficher un mépris des règles, bien des parents pourront en témoigner. La stabilité de ce trait pendant la petite enfance serait largement ancrée dans les gènes, révèle une étude qui vient de paraître dans Behavior Genetics, sous la plume d’Amélie Petitclerc, Michel Boivin et Ginette Dionne, de l’École de psychologie, et de leurs collègues Daniel Pérusse et Richard Tremblay, de l’Université de Montréal
 
Les chercheurs ont évalué l’influence des facteurs génétiques et environnementaux sur le mépris des règles dans un groupe de 597 paires de jumeaux, dont 40 % étaient monozygotes. Grâce à la collaboration des mères, ce trait a été mesuré lorsque les enfants avaient 20, 32, 50 et 64 mois à l’aide d’un questionnaire mesurant la fréquence de la désobéissance, l’absence de remords après coup et la répétition du comportement même après punition. La présence de jumeaux monozygotes – de «vrais» jumeaux partageant 100 % de leurs gènes -, et de jumeaux hétérozygotes – qui partagent en moyenne 50 % de leur bagage génétique – a permis aux chercheurs de quantifier la part des gènes et celle de l’environnement dans les résultats obtenus aux quatre tests.
 
Les analyses montrent que, à un temps donné, la contribution des facteurs génétiques au mépris des règles est relativement modeste. Elle s’établit à 17 % à 20 mois puis à 34 %, 37 % et 30 % lors des évaluations subséquentes.
 
Par contre, les facteurs génétiques expliqueraient plus de 90 % de la similitude entre les scores obtenus à chaque évaluation.
 
«Bien que les enfants puissent montrer plus ou moins de mépris des règles à différents moments pendant la période préscolaire, certains enfants demeurent plus enclins que d’autres à afficher ce type de comportements, souligne Amélie Petitclerc. Cet aspect plus stable de leur comportement est expliqué en majeure partie par des facteurs génétiques et non par des facteurs environnementaux.»
 Souvent associé à d’autres comportements problématiques, le mépris des règles est un comportement perturbateur qui peut perdurer chez l’enfant. Pour cette raison, les chercheurs proposent d’offrir des services ciblés aux familles où les parents ont une histoire de comportements perturbateurs, c’est-à-dire des problèmes persistants de comportements agressifs, conflictuels ou délinquants pendant l’enfance.
 
 «Ces personnes risquent de transmettre à leur enfant une prédisposition génétique à adopter de tels comportements, avance Amélie Petitclerc. Les services, qui pourraient commencer pendant la grossesse, auraient comme objectif d’améliorer le milieu de vie familial et les compétences des parents, de les aider à favoriser le développement de leur enfant et de mieux composer avec ses comportements problématiques.»
 Source: Jean Hamann – Université Laval
 
http://www.techno-science.net 
 

Quand l’euthanasie n’est pas une euthanasie


J’ai bien de la misère avec l’euthanasie dans une société dites civilisés surtout quand les animaux pourraient vivre en toute tranquillité mais faute de foyer … Comment se fait-il qu’on se bat contre la disparitions d’espêces menacés et qu’on est obligé de faire des refuges d’animaux qui sont quasi toujours pleins du a l’inconscience des êtres humain … Mais un moment donné l’euthanasie devient acceptable, alors elle doit etre fait sans que l’animal souffre
 
Quand l’euthanasie n’est pas une euthanasie
 
Quand l’euthanasie n’est pas une euthanasie
© Shutterstock

Suite au reportage-choc diffusé à l’émission de télé Enquête, le 21 avril dernier, sur les pratiques plus que douteuses de la fourrière Le Berger Blanc, j’ai ressenti l’urgent besoin de faire le point sur l’euthanasie d’animaux de compagnies en médecine vétérinaire.
 
 Par Annie Ross – Docteure en médecine vétérinaire | Collaboration spéciale 
 Quand j’ai enfin arrêté de pleurer toutes les larmes de mon corps après ce fameux reportage, j’ai alors fermé la télévision, mais les images de détresse et de souffrance animale sont restées imprimées dans ma tête et dans mon coeur. Je suis et je reste scandalisée par ce que j’ai vu. Ce n’est tellement pas ça, une euthanasie! 
 
Comme tout bon vétérinaire au Québec, il y a longtemps que j’ai perdu le compte du nombre d’euthanasies de chats et de chiens que j’ai dû réaliser en pratique courante et en urgence… J’en ai malheureusement des centaines à «mon actif»… Il n’y a rien de drôle ni de facile là-dedans, mais c’est un acte vétérinaire qui doit être fait dans les règles de l’art et avec la plus grande compassion. Certainement pas comme ce que j’ai vu dans le reportage… 
D’ailleurs, sur ce point, un communiqué de l’Ordre des médecins vétérinaires du Québec (OMVQ) a été publié dès le lendemain du reportage (www.omvq.qc.ca) et ils sont formels en écrivant:
 
«Ce qui a été diffusé est contraire aux normes de pratique, aux règlements en vigueur et à la Loi sur les médecins vétérinaires. La situation est illégale en plus d’être inacceptable.» 
La définition de l’euthanasie

 

Le mot «euthanasie» provient des mots grecs Eu, qui veut dire bien et Thanatos qui veut dire mort. En d’autres termes, l’euthanasie est l’acte d’un vétérinaire qui provoque la mort d’un animal d’une «bonne» façon, c’est-à-dire tout en douceur, mais rapidement, sans douleur et sans stress.
 
Encore une fois, le communiqué de l’OMVQ est clair et limpide à ce sujet: 

«Les grands principes reconnus pour l’euthanasie doivent favoriser une perte de conscience rapide et la mort rapide de l’animal sans lui causer de douleur. Le professionnel doit minimiser le stress de l’animal et assurer son bien-être avant et pendant l’intervention. La mort de l’animal doit être dûment et rapidement vérifiée. Le médecin vétérinaire et les gens sous sa supervision doivent agir avec beaucoup de respect et de compassion.»

Comment ça devrait se passer au juste?
 
Le chien ou le chat qui doit être euthanasié reçoit généralement une première injection, sous-cutanée ou intramusculaire, contenant un ou plusieurs médicaments tranquillisants. Le but de cette première étape, la sédation, est de rendre l’animal confortable, plus «relax» et de diminuer son niveau de stress. Il sera alors, en quelques minutes, «dans les vapeurs», si on peut le dire ainsi!
 
La tranquillisation n’a pas toujours lieu. Tout dépend de l’animal devant nous. Si ce dernier est très calme, amorphe, en état de choc, comateux ou moribond par exemple, la sédation ne sera sans doute pas nécessaire. Elle est toujours préférable dès que l’animal démontre un peu d’anxiété.

Après la tranquillisation, l’euthanasie
 
L’euthanasie comme telle se fait généralement à l’aide d’une injection intraveineuse de barbituriques bien spécifiques. On utilise la veine céphalique, située sur le dessus de la patte avant ou encore la veine saphène, située sur le côté de la patte arrière. Les choses se passent rapidement à ce moment.
 
La première chose qui se produit est la perte de conscience de l’animal. On peut imaginer que les choses se passent exactement comme lorsqu’on est anesthésié pour une chirurgie. L’anesthésiste nous demande de compter jusqu’à trois, mais on ne se rend même pas à deux! On est déjà «parti»: aucune conscience, aucune douleur, aucun souvenir…
 
Suivant la perte de conscience, parce qu’on utilise un barbiturique spécifique pour l’euthanasie, la respiration et le coeur de l’animal vont alors s’arrêter, doucement, et le décès sera confirmé.

Toute autre méthode est-elle acceptable?
 
Voici la réponse de l’OMVQ à ce sujet:  

«Différentes voies d’injection du produit euthanasiant peuvent être utilisées selon l’espèce. L’injection intraveineuse demeure la méthode à privilégier pour les chiens et les chats. L’injection intracardiaque devrait être réservée à des cas spécifiques et être pratiquée dans des circonstances particulières où l’animal est inconscient, sous l’effet de tranquillisants ou de forte sédation ou sous anesthésie générale. Une injection intrathoracique telle que pratiquée dans le reportage n’est pas une méthode appropriée puisqu’elle entraîne un stress intense, des douleurs importantes et retarde le décès de l’animal.»

Infos-conseil
 
Si vous devez faire euthanasier votre animal de compagnie, je vous suggère d’être présent lors de cette intervention. En effet, on peut dire que, de façon générale, votre animal se sentira plus en sécurité en votre présence et, donc, sera plus calme et rassuré si vous êtes avec lui.
 
http://fr.canoe.ca 

Le Botox bloquerait les perceptions


Pas comprendre les perceptions du visage est selon moi, un handicape qui peut occassionner des problèmes avec l’entourage,
 
Le Botox bloquerait les perceptions

Une étude datant d’il y a un an montre que les produits cosmétiques qui paralysent les muscles du visage, comme le Botox, limitent l’expression des émotions. Une nouvelle étude montre que ce type de produits peut également limiter la perception des émotions d’autrui. 
 
Le Botox bloquerait les perceptions
© AFP Photo
D’après un article publié dans USA Today, des chercheurs de University of Southern California (USC) et de l’université de Duke aux États-Unis ont comparé les réactions de plusieurs groupes de patients à des images de visages exprimant diverses émotions. L’un des groupes était traité au Botox ou au Restylane, et l’autre avec un gel qui amplifie les signaux musculaires du visage. 
«Les personnes qui ont recours au Botox sont moins aptes à comprendre les émotions d’autrui», conclut David Neal, professeur de psychologie à USC.
Il poursuit en expliquant que la compréhension des expressions d’autrui passe par l’imitation de leurs mimiques faciales. 

Cause à effet

Pour résumer, David Neal explique que «si les signaux musculaires allant du visage au cerveau sont limités, vous êtes moins aptes à lire les émotions» et à l’inverse, «lorsque les signaux musculaires sont amplifiés, vos facultés de perception des émotions augmentent».


L’étude, qui soulève un nouveau problème lié à l’utilisation du Botox, ouvre également la voie à de nouvelles applications du gel qui amplifie les signaux musculaires, qui pourrait être utilisé pour «traiter les gens qui ont du mal à comprendre les émotions d’autrui en raison de problèmes mentaux», souligne le blog Jezebel.

 L’étude complète a été publiée dans la revue Social Psychology and Personality Science le week-end dernier. Article de USA Today: http://usat.ly/hv3dkV.
 
http://fr.canoe.ca

Kate et William: le baiser qui fâche… une demoiselle d’honneur de 3 ans


On ne peut pas passer a coté du mariage de Kate et William étant très médiatisé.. que l’on soit ou non pour la monarchie .. Au Québec, nous inutilité de la royauté mais .. ce mariage a été très apprécié par beaucoup de monde .. C’était un beau mariage et surtout un mariage qui a été voulu par les deux tourtereaux .. Bref, ce petit moment cocasse est mignon je trouve même si ce n’est pas nécessairement a cause du baiser .. mais plutot de la fatigue …
 
Kate et William: le baiser qui fâche… une demoiselle d’honneur de 3 ans
 
La petite Grace van Cutsem prend un air renfrogné alors que le prince William embrasse son épouse Kate à Londres le 29 avril 2011
Le baiser échangé par Kate et William sur le balcon de Buckingham, à la grande joie de milliers de badauds, n’a apparemment pas que des heureux: une des demoiselles d’honneur a été surprise en train de se boucher les oreilles d’un air renfrogné.

Sur les photos qui ont immortalisé cet instant, on voit la filleule du prince William, Grace van Cutsem, 3 ans, appuyée sur la rambarde du balcon, les mains sur les oreilles, regardant, maussade sous sa couronne de fleurs, la foule en contrebas.

Derrière, les jeunes mariés s’embrassent sous les vivats de la foule.

Kate s’est ensuite penchée pour réconforter l’enfant, dont le mouvement d’humeur semble avoir été déclenché par le bruit assourdissant des clameurs du public.

Grace faisait partie, avec cinq autres enfants, du groupe des demoiselles et garçons d’honneur de la mariée, qui ont tenu de l’avis général leur rôle à la perfection, hormis cet accroc. Et un autre faux-pas de la petite fille de Camilla, Eliza Lopes, 3 ans également, qui, pendant la cérémonie, a tripoté à plusieurs reprises les ornements floraux de ses cheveux, craignant apparemment qu’ils ne s’effondrent inopinément.

 © 2011 AFP

http://actualites.ca.msn.com

Les émotions


Qu’on soit triste ou fâcher, qu’on soit heureux ou en colère nos émotions nous mènent parfois la vie dure .. Savoir les gérer, savoir se reprendre pour ne laisser que les bonnes émotions naviguer au long des jours
 
la-voile

 

Les émotions 

«N’oublions pas que les petites émotions sont les grands capitaines de nos vies et qu’à celles-là nous y obéissons sans le savoir.»
 
Vincent Van Gogh  

Le saviez-vous ► L’expression : On n’est pas sorti de l’auberge‏


Avec l’origine de cette expression, il est vrai qu’on est vraiment pas sortie de l’auberge … C’est une grande difficulté de sortir du pétrin …
 
On n’est pas sorti de l’auberge
  

Se dit lorsque l’on se trouve dans une situation inextricable.

Il existe deux explications pour cette expression:
 

1. Gilles Henry explique dans son Petit Dictionnaire des Expressions Nées de L’Histoire que l’expression “on n’est pas sorti de l’auberge” trouve son origine dans une affaire criminelle de l’Ardèche au début du XIXe siècle. L’affaire de “l’Auberge rouge”, à Peyrebeille, dans laquelle il y aurait eu 26 ans de crimes commis par le couple Martin (Pierre Martin et Marie Breysse) et Jean Rochette, le domestique afin de s’enrichir soit cinquante victimes.

 

 

 

Tout aurait commencé le 26 octobre 1831 lorsque Jean-Antoine Enjolras, riche cultivateur, est retrouvé mort tout près de l’auberge du couple retraité. L’affaire fit grand bruit à l’époque on attribua aux aubergistes toutes les morts suspectes de la région et leur condamnation à la peine capitale par la guillotine devant l’auberge ne reposa que sur le seul témoignage d’un vagabond disant avoir été témoin du meurtre du cultivateur: Laurent Chaze.

 

 

 

Cette histoire inspira de nombreux auteurs dont:

 

 

 

•Balzac avec son conte philosophique s’inspirant des rumeurs sur l’histoire de l’Auberge Rouge.
•Nathalie Chevalier avec son livre L’affaire de l’auberge rouge qui retrace ces crimes.
•Claude Autant-Lara avec son film l‘Auberge rouge où Fernandel en soutane tente d’arracher avec succès des griffes d’un aubergiste malintentionné les pauvres voyageurs de passage
2. Le mot “auberge” serait un mot d’argot signifiant prison. 
 Ceci lié au fait qu’un prisonnier en contrepartie de sa captivité reçoit le gîte et le couvert.

 

 Ce qui donnerait toute la signification de l’expression “on n’est pas sorti de l’auberge” dans le sens de la difficulté et de la peine à fournir pour entreprendre une tâche difficile voire insurmontable.

 

Renaissance


L’hiver ferme tranquillement la porte, laissant quelques larmes givrés dans un jardin aux milles perles … La vie renait.. neige fondante ici, fleurs naissantes la-bas … Les oiseaux clament a qui veux entendre leur arrivée a grandes envolée … la nature se parfume a l’arome du printemps
 
Renaissance
 
L’escargot
escargots
© Stéphane Picot 
 
Douceur de saison
douceur de saison
© Bertrand Kulik
 
En chasse
en chasse
© Stéphane Picot
 
Tenue de soirée
cygne
© Joëlle Millet
 
Perles d’eau
perles d'eau
© Georges Sandrin
 
Brume et soleil
brume et soleil
© Francis Vanderveken
 
Chat
chat
© Pascal Toureille
 
L’Ouette d’Égypte
ouette d'égypte
© Christelle Milesi
 
Ambassadrices du printemps
ambassadrices du printemps
 © Christelle Milesi
 
Il fait trop chaud pour travailler
chien
© Cathy Scheuer
 
Acrobate de mars
acrobate de mars
© Christelle Milesi
 
Les deux mouettes
mouettes
© Liliane Salmon