

Le fer se rouille, faute de s’en servir, l’eau stagnante perd de sa pureté et se glace par le froid. De même, l’inaction sape la vigueur de l’esprit.
Léonard de Vinci
Le fer se rouille, faute de s’en servir, l’eau stagnante perd de sa pureté et se glace par le froid. De même, l’inaction sape la vigueur de l’esprit.
Léonard de Vinci
Extrait du livre « le pouvoir de choisir » de Annie Marquier
Il est tellement facile aujourd’hui d’avoir des informations au moment que l’on est disponible alors inutile de mettre les nouvelles a des moments ou de jeunes enfants peuvent voir et entendre ce qui se passe dans le monde et si quand même on les mets au courrant c’est important de faire des mises au point avec eux sur ce qu’ils en pensent ..
Le tsunami et les cauchemars des enfants
Photos.com
Silvia Galipeau
Cyberpresse
La question se pose malheureusement trop régulièrement. À chaque catastrophe naturelle, en fait: que faut-il dire, et surtout montrer, aux enfants ?
Cette fois-ci, les images en provenance du Japon sont particulièrement effrayantes, potentiellement traumatisantes. Je ne sais pas pour vous mais chez nous, en plus, le raz-de-marée, allez savoir pourquoi, a toujours figuré au top des préoccupations des enfants. Alors je vous relance la question: dans ce cas précis, que faut-il, ou pas, montrer aux enfants?
Le Globe&Mail a interrogé une psychologue spécialisée dans les troubles d’anxiété: Sandra Mendlowitz (l’entrevue est reproduite ici). Sa réponse est toute simple, limite catégorique: dans ce cas précis, dit-elle, ne regardez tout simplement pas la télé avec vos enfants. Compris? Éteignez, un point c’est tout.
Pourquoi? Parce que les images des vagues, des maisons et autres voitures emportées, diffusées ad nauseam à la télé, peuvent être très traumatisantes pour un enfant. Les enfants les plus à risques? Les plus jeunes, évidemment, mais aussi ceux qui sont exposés à répétition.
« C’est la surexposition qui a un impact négatif sur l’enfant », dit-elle.
D’où le conseil: on éteint. Point.
D’ordinaire, on peut penser exposer un enfant de plus de six ans aux actualités. Mais dans ce cas précis, les vidéos pouvant tellement frapper l’imaginaire, elle suggère carrément d’éviter tout visionnement jusqu’à 12 ans.
Pas facile, à l’ère de You Tube, direz-vous. D’où l’importance de discuter avec votre enfant, dit-elle: qu’est-ce que tu as déjà vu, qu’est-ce que tu as entendu, qu’est-ce que ça te fait, qu’est-ce que tu en penses. Et surtout, surtout, de préciser que ça n’arrivera pas ici, que c’est fini, que les parents sont là pour le protéger, etc.
Pour les plus vieux, enfin, le désastre peut servir de prétexte pour se lancer dans l’action: pourquoi pas faire un don familial à la Croix-Rouge, par exemple, faire du bénévolat dans un organisme charitable, conclut-elle. Objectif: impliquer l’enfant, l’initier à la coopération, pour éviter qu’il ne se sente impuissant
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On le sait qu’Internet est une belle invention, car nous en profitons mais malheureusement elle a aussi de très mauvais côté et en temps qu’utilisateurs, adultes équilibrés (j’ose espérer) aider a mieux rendre cet environnement virtuel sécuritaire pour les enfants. C’est en éduquant nos enfants qu’on pourrait probablement diminuer les victimes
Cyberpédophilie: attention aux réseaux sociaux
MONTREAL – Si les réseaux sociaux sur Internet facilitent la communication, ils permettent également aux prédateurs sexuels et aux cyberpédophiles de mieux s’organiser.
C’est ce que concluent les auteurs de l’ouvrage «Cyberpédophiles et autres prédateurs virtuels», qui paraîtra jeudi prochain.
Un des coauteurs, Patrice Corriveau, qui est également enseignant au Département de criminologie à l’Université d’Ottawa, soutient que les réseaux sociaux facilitent l’accessibilité à la pornographie juvénile.
En entrevue à La Presse Canadienne, il a indiqué que les amateurs sont de moins en moins isolés et qu’ils peuvent désormais s’organiser en réseaux, notamment afin de s’échanger des images ainsi que des conseils.
Pendant un mois, les auteurs, sous la supervision de la Sûreté du Québec (SQ), ont infiltré trois réseaux de groupes de nouvelles concernant la pornographie juvénile, notamment pour observer l’interaction entre les amateurs.
M. Corriveau souligne qu’il s’agit de la première étude francophone réalisée avec des données qui ne proviennent pas d’études diverses ou de sources journalistiques.
Il estime maintenant que pour lutter efficacement contre la cyberpédophilie, les autorités doivent notamment bénéficier de meilleurs moyens techniques.
M. Corriveau rappelle que le rôle des parents est primordial pour contrer ce phénomène, rappelant que ces derniers ne doivent pas nécessairement démonitiser les nouvelles technologies, mais plutôt éduquer leurs enfants sur le sujet.
Même si certains parents ne sont pas habitués aux nouvelles technologies et aux réseaux sociaux, ils ont quand même un rôle à jouer pour être au courant de ce qui pourrait être à risque pour leurs enfants, croit l’enseignant à l’Université d’Ottawa.
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