

Jules Renard
Jules Renard
On dit qu’une image vaut milles mots .. alors toutes ces images vaut encore bien plus que cela .. c’est un monde qui a changer dans l’espace d’une vague
Galerie de photos : Bien du travail au Japon
TVA Nouvelles Après le violent séisme et le tsunami dévastateur qui ont ravagé le pays, les Japonais s’affairent à commencer la reconstruction de leur pays, qui s’annonce longue et coûteuse.
Voici une série de photos qui donnent une meilleure idée de l’état du pays.
Toutes les photos : (Crédit photo: AFP)
http://tvanouvelles.ca
Mais quel sorte de parents va donner de l’alcool a de si jeunes enfants ? Comment peut-on hypothéquer la santé d’un enfant par une telle négligence ?
Alcoolique à trois ans
Photo: Photothèque La Presse
Agence France-Presse
Londres
Un enfant de trois ans a été soigné pour alcoolisme dans un hôpital britannique, indiquent des statistiques diffusées lundi par le NHS, système de santé public.
L’enfant, dont l’identité n’a pas été révélée, fait partie des 13 jeunes âgés de moins de 13 ans qui ont été soignés pour alcoolisme par le NHS entre 2008 et 2010, a indiqué le National Health Service (NHS).
Soixante-dix enfants âgés de 13 à 16 ans ont dû recevoir des soins pour consommation excessive d’alcool tandis que 106 adolescents du même âge ont reçu un traitement pour alcoolisme, a-t-on précisé de même source.
Selon une enquête européenne réalisée en octobre 2009, les Britanniques sont les plus grands consommateurs d’alcool de l’UE. Le sondage, réalisé auprès de 27 000 ressortissants des 27 pays de l’Union européenne, avait révélé que 43% disent consommer une à deux boissons alcoolisées par jour, 24% confessent 3 à 4 boissons, 12% entre 5 et 6, 6% entre 7 et 9 et 6% admettent en boire 10 ou plus.
Il y a, selon cette enquête de l’UE, abus d’alcool avec 5 verres au moins lors d’une seule sortie, ce qui est le cas en fin de soirée pour 24% des Britanniques, soit un sur quatre.
C’est sûr quand on voit ce qui se passe au Japon on peut se questionner ce qu’il arriverait si cela se passait au Québec. Car rien n’est assuré que le Québec soit toujours épargné des catastrophes naturelles .. A savoir si les risques sont semblables ou non qu’au Japon. Peut-être que les risques sont différents mais cela vaut-il vraiment la peine de continuer une énergie que si elle s’échappe elle fera plus de dégats que de service rendus
Séisme et accident nucléaire: envisageables au Québec?
Des officiers de police japonais circulent près de la centrale nucléaire Fukushima. Un réacteur de la centrale nucléaire de Fukushima 1, impossible à maîtriser depuis vendredi, a explosé dimanche midi.
Photo: Reuters
Anabelle Nicoud
La Presse
Si le Québec peut être touché par une secousse sismique, celle-ci a peu de risques d’être d’une ampleur comparable à celle que vient de connaître le Japon.
La côte est du Canada peut en effet voir des séismes d’une amplitude comprise entre 6 et 7, mais des secousses plus importantes sont possibles dans l’ouest du pays. Chose certaine, le Canada a adopté des normes de construction adaptées à ces risques.
«Il y a des règles de bâtiment très strictes et qui tiennent compte de la possibilité de séismes, surtout pour l’Ouest», dit Fiona Ann Derbyshire, professeure au département des sciences de la Terre et de l’atmosphère de l’UQAM.
Quant à l’accident nucléaire, les risques sont présents, mais différents de ceux que connaît le Japon.
«Il y a des risques, mais d’un autre type», croit André Bélisle, président de l’Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique.
La zone de Bécancour, où est installée la centrale nucléaire Gentilly-2, présente beaucoup moins de risques sismiques que la région de Fukushima, au Japon.
«Mais il y a ce danger potentiel qu’on ne peut négliger. On est face à une vieille centrale, où des rénovations sont nécessaires depuis longtemps.»
La menace d’accident nucléaire au Japon a suscité, hier, des remises en question sur le nucléaire, notamment en France. Au Québec, l’interrogation est là aussi.
«Pourquoi maintenir ces dinosaures en activité? demande André Bélisle. On peut produire de l’énergie propre, renouvelable, sans impact sur l’environnement. Pourquoi prendre tous ces risques alors qu’on a des énergies propres?»
À Bécancour, l’actualité japonaise n’a toutefois pas semé la panique parmi les citoyens, assure le maire de la ville, Maurice Richard. M. Richard rencontrera Hydro-Québec aux côtés d’ingénieurs indépendants.
«On va s’attabler avec Hydro-Québec pour discuter de ce qui peut être fait. Je pense qu’il y a beaucoup à apprendre des Japonais.»
Bécancour est doté d’un plan d’évacuation, mais, par souci d’amélioration de son système d’alerte, la Ville a récemment lancé un appel d’offres public afin de concevoir un nouveau système pour joindre les citoyens en quelques minutes seulement.
«Ici, le phénomène de la centrale est bien connu. Les gens ne sont pas inquiets, ça fait partie de notre vie. C’est une de nos dangerosités, mais nous la gérons de façon unique», assure-t-il.
La Terre a eu encore des spames destructrices au Japon. Les gens du pays déjà éprouvé n’ont pas d’autres choix que d’attendre que la crise de leur patrie se calme pour de bon ..
Fort séisme de magnitude 6 au sud-ouest de Tokyo
Agence France-Presse
L’épicentre était situé tout près du mont Fuji, que l’on voit en arrière-plan de la ville de Tokyo.
© AFP / Archives / Kazuhiro Nogi
TOKYO – Un fort séisme de magnitude 6 s’est produit mardi soir au sud-ouest de Tokyo, où les immeubles ont tremblé.
L’épicentre était situé dans la préfecture de Shizuoka, à 120 km environ au sud-ouest de la capitale, et à proximité du mont Fuji, zone où les secousses ont été les plus fortement ressenties, a précisé l’Agence de météorologie japonaise.
L’hypocentre était à seulement 10 km de profondeur, a-t-elle précisé.
L’institut de géophysique américain (USGS) a pour sa part évalué la magnitude de cette nouvelle secousse à 6,1.
Les deux réacteurs nucléaires qui se situent au plus près de cette zone continuent de fonctionner normalement, selon les informations de la compagnie d’électricité Chubu Electric Power, rapportées par l’agence de presse Jiji.
Le Japon est actuellement victime d’une série impressionnante de tremblements de terre, suivis de nombreuses répliques.
Il a subi vendredi dernier la plus forte secousse tellurique jamais mesurée en territoire nippon, de magnitude 9, au large des côtes nord-est, à moins de 400 kilomètres de la capitale.
Ce terrible séisme, suivi d’un tsunami dévastateur, devrait se solder par un bilan d’au moins 10 000 morts, selon les estimations officielles. Quelques 3373 décès ont à ce jour été confirmés.
Le tremblement de terre et le raz de marée de vendredi ont en outre durement endommagé les centrales nucléaires implantées dans cette zone, entraînant une série de graves problèmes contre lesquels continuent de lutter les autorités.