Parole d’enfant ► La limace‏


Un petit garçon qui a très bien compris ce qu’est un SDF
 
La limace
 
 
Photo : educ.usherbrooke.ca
 
« Dans le jardin après la pluie, Sébastien voit des escargots soudain il voit une limace,
 
« 0h, un escargot sans domicile fixe » »


Sébastien 6 ans 

Truc express ► Pour bien nettoyer votre moulin à café‏


Un café frais moulu, n’est-ce pas le summum de la perfection .. autant pour le goût que pour l’arôme qui s’étend partout dans la maison
 
 Pour bien nettoyer votre moulin à café 
 
Pour bien nettoyer votre moulin à café 
Pour bien nettoyer votre moulin à café, déposez-y 1/4 tasse de grains de riz crus et réduisez-les en poudre. Jetez cette poudre et essuyez le moulin à l’aide d’un linge sec
 
Ainsi, il sera débarrassé des huiles pouvant donner une saveur rance au café frais. 
 
http://www.trucsmaison.com

Le « café de crotte », le petit noir qui vaut de l’or


Que ce café soit bon pour la santé … disons que je crois pas qu’il soit une panacée. De plus je trouve un peu cher surtout avec le contexte économique que nous vivons … Enfin l’avantage c’est que cette civette sera surement protéger car ce qu’elle déjecte vaut beaucoup de $$$$
 
Le « café de crotte », le petit noir qui vaut de l’or
 

Une civette mange des cerises de café, dans une plantation de l'île de Sumatra, en Indonésie, en février 2011

AFP
 
A Londres ou Tokyo, une seule tasse peut coûter de 20 à 50 dollars. Pour le plus grand plaisir des producteurs de « kopi luwak », le « café le plus cher du monde » qui est récolté dans les crottes d’un petit mammifère choyé en Indonésie.
 
Dans sa plantation de l’île de Sumatra, Gunawan Supriadi est un homme « très occupé ». Il consacre son temps à nourrir et bichonner une cinquantaine de civettes, dont l’apparence ressemble à celle des chats sauvages avec un museau pointu.
 
Il surveille surtout attentivement leurs excréments, son trésor et sa principale source de revenus.
 
« Je donne à manger des cerises de café aux civettes. Mais elles ne digèrent pas les grains, qui sont rejetés par les voies naturelles », explique le producteur.
 
Une fois lavés, séchés puis torréfiés, ces grains donnent le « kopi luwak » (« café de civette » en indonésien), dont le goût caramélisé fait fondre de plaisir de nombreux amateurs de café dans le monde.
 
Ces derniers sont de plus en plus nombreux et les producteurs indonésiens, pour la plupart de petits exploitants, peinent à répondre au bond de la demande.
 
« En 2008, j’ai vendu environ 50 kilos de grains de luwak. En 2009, 300 kilos. Et l’an dernier, j’en ai cédé 1,2 tonne », se félicite M. Supriadi, installé dans la province de Lampung, place forte du café en Indonésie.
 
« Mon objectif est de posséder 150 civettes rapidement afin de pouvoir suivre les commandes », précise-t-il.
 
Le « luwak » peut être négocié jusqu’à plusieurs centaines de dollars le kilo en Europe, aux Etats-Unis ou dans les pays d’Asie les plus développés comme le Japon ou Singapour.
 
Il est ensuite vendu au détail dans des épiceries fines ou dégusté dans des cafés très chics, où il est toujours le plus cher sur la carte, jusqu’à un record de 100 dollars à Londres.
 
« Si le luwak était une voiture, ce serait une Rolls-Royce », résume M. Supriadi.
 
L’un des principaux exportateurs indonésiens, Doni Irawan, affirme que ses ventes ont bondi de 50% l’an dernier.
 
« C’est devenu le must des cafés en raison de son prix et de sa rareté. Il ne cesse de gagner de nouveaux amateurs », s’enthousiame-t-il.
 
Mais, en raison de ce succès, l’appellation est parfois galvaudée, avec la mise en vente de paquets ne contenant qu’une infime quantité de réel « kopi luwak ». Des entrepreneurs vietnamiens ont même annoncé avoir développé un procédé chimique permettant de traiter les grains pour leur donner le goût du « luwak ».
 
L’arôme particulier de ce café s’explique par le processus de fermentation que subit le grain au contact des acides gastriques dans le tube digestif de la civette.
 
Le « luwak » est produit dans de nombreuses îles -Sumatra, Java, Bali, Sulawesi- de l’immense archipel indonésien, ainsi qu’aux Philippines et au Timor oriental. Mais aucune statistique officielle n’est disponible sur les volumes ou les exportations.
 
Avant d’être popularisé, le « luwak » était une boisson raffinée réservée aux sultans et à leurs hôtes de marque depuis l’occupation de l’Indonésie par les Néerlandais.
 
Il est désormais considéré comme chic par la nouvelle bourgeoisie de Jakarta, qui le déguste dans les cafés spécialisés des centres commerciaux luxueux.
 
« Je n’aimais pas tellement le café mais j’ai changé d’idée lorsque j’ai goûté le luwak. Je suis devenu accro », témoigne Galang Sulung Ramanda, un jeune entrepreneur de 24 ans.
 
« Je le bois aussi pour la santé. J’ai entendu dire qu’il permettait de prévenir la maladie de Parkinson, le cancer du colon et le diabète ».
 

© 2011 AFP
 

Le roi des animaux est en danger


Je n’ai rien contre la chasse quand c’est pour se nourrir tout en profitant pour se vétir etc … cependant a ma connaissance le lion ne se mange pas du moins pas par les Occidentaux ..Une chasse pour des trophée, uniquement pour la peau, ou tout autre idiotie de ce genre ce sont actes purement égoisme
 
Le roi des animaux est en danger


Dans nombre de pays d’Afrique, on chasse encore le lion. Sa dépouille fait aussi l’objet d’un commerce. Résultat : le roi de la jungle et de la savane est désormais une espèce menacée témoigne The Guardian.

Suzanne Goldenberg
 

International Fund for Animal Welfare (IFAW)
International Fund for Animal Welfare (IFAW)
Les chasseurs américains représentent une menace de plus en plus grande pour la survie des lions d’Afrique, s’inquiète un groupe d’organisations de protection des espèces sauvages. Principales causes du phénomène : la forte demande de trophées de chasse tels que les tapis en peau de lion, ainsi que le commerce florissant de certaines parties de leur dépouille aux Etats-Unis et dans le reste du monde. A ces facteurs s’ajoute la violence de certains habitants à l’encontre de ces félins et la réduction de leur habitat naturel.
“Les lions d’Afrique sont une espèce menacée”, déplore Jeff Flocken, de l’International Fund for Animal Welfare (IFAW, Fonds international pour la protection des animaux).
 
 “Le roi de la jungle est en voie d’extinction et pourtant les Américains continuent de tuer des lions rien que pour le plaisir.”
 
Selon un compte rendu de l’IFAW, au cours des dix dernières années, deux tiers des lions abattus ont été acheminés vers les Etats-Unis. Le groupe d’ONG qui milite pour la protection des espèces sauvages – dont l’IFAW – a lancé un appel à la Maison-Blanche pour qu’elle interdise l’importation de trophées de lion et de ses produits dérivés en inscrivant cette espèce sur la liste des espèces menacées d’extinction. Ces cent dernières années, le nombre de lions a considérablement diminué en Afrique, passant de 200 000 à moins de 40 000 – voire 23 000 selon certaines estimations –, ce qui représente un taux de disparition de 80 %. Leur population s’est éteinte dans 26 pays africains et, selon l’association de protection des grands félins Panthera, seuls sept pays – le Botswana, l’Ethiopie, le Kenya, l’Afrique du Sud, la Tanzanie, la Zambie et le Zimbabwe – en comptent encore plus d’un millier.
Si la principale menace pour la survie des lions est l’homme, elle ne se limite pas aux chasseurs occidentaux.
 
“Beaucoup de lions sont tués par les éleveurs de bétail, pour lesquels il est très difficile de cohabiter avec ces animaux”, explique Luke Hunter, vice-président de Panthera.
 
De surcroît, les habitats de ces grands félins sont sacrifiés à la construction de routes – comme l’autoroute très controversée qui doit traverser le parc national du Serengeti, en Tanzanie – et à l’agriculture.

Mais, selon le rapport du groupe d’ONG, les chasseurs occidentaux n’en constituent pas moins un danger de plus en plus grand pour la survie des lions. Entre 1999 et 2008, 64 % des 5 663 lions abattus pour le plaisir ont été expédiés aux Etats-Unis et le nombre des dépouilles rapportées comme trophées par des chasseurs américains a plus que doublé. Les Américains ont également été les plus gros acheteurs de carcasses de lions et de leurs produits dérivés – griffes, crânes, os et pénis. Durant la même période, les Etats-Unis ont importé 63 % des 2 175 lions mis en vente.

Dans certains pays comme la Tanzanie, la Zambie, la Namibie et le Mozambique, les safaris constituent la principale menace pour les lions et, même dans les pays où ils n’attirent pas des foules de touristes, ils font des ravages chez ces félins. Au dire des écologistes, la tendance à chasser les mâles risque de faire disparaître des troupes entières, la perte d’un mâle dominant pouvant engendrer une lutte chez les survivants et causer la mort d’autres adultes ou de lionceaux, perçus comme une menace potentielle.

Même si la chasse ne représente qu’une des menaces pesant sur la survie des lions d’Afrique, remarque Teresa Telecky, directrice du département des espèces sauvages de l’association Humane Society International, “celle contre laquelle on peut le mieux lutter aux Etats-Unis est leur importation”.
 
M. Flocken rappelle que tous les autres grands félins – jaguars, léopards et tigres – sont protégés.
Cependant, pour d’autres spécialistes des espèces sauvages, l’interdiction totale de la chasse n’est qu’une solution de dernier recours. Une chasse responsable peut contribuer, selon eux, à préserver les populations de lions car elle exige l’entretien des espaces naturels. Et il est toujours possible de renforcer les réglementations américaines et internationales, telles que la Convention sur le commerce international des espèces sauvages menacées d’extinction (Cites).
 
“En interdisant la chasse, on risque d’obliger les gouvernements africains à chercher d’autres sources de revenus, et les plus évidents sont l’élevage et l’agriculture, qui risquent de détruire l’habitat des lions”, met en garde M. Hunter

http://www.courrierinternational.com

Après le choc, le Japon se relève


Le peuple japonais ont toujours été des gens fiers de ce qu’ils sont et vont se relever comme ils l’ont toujours fait … Ils en ont vue des difficultés de toutes sortes a franchir a travers l’histoire …
  
Après le choc, le Japon se relève
 

Après le choc, le Japon se relève
Un militaire aide un vieil homme à sortir des déconbres, dans la ville de Natori, touchée par le séisme, au Japon. 
Photo AP
  Gilles Campion
Agence France-Presse
 
Des dizaines de milliers de soldats à bord d’avions ou de navires se dirigeaient samedi vers le nord-est du Japon pour secourir les survivants du plus puissant séisme jamais enregistré dans l’archipel, d’une magnitude de 8,9, et d’un tsunami majeur, qui ont fait plus de 1000 morts et disparus et déréglé plusieurs réacteurs nucléaires.
  
La puissance de la secousse a déclenché des dizaines de répliques et de tremblements de terre dépassant les 7 degrés de magnitude dans d’autres régions de Honshu, l’île principale, y compris jusqu’aux abords de la capitale.
 
Les chocs à répétition ont perturbé les circuits de refroidissement des  réacteurs de deux centrales nucléaires dans la région de Fukushima, entraînant une élévation anormale du niveau de radioactivité.
 
Les autorités ont immédiatement pris des mesures pour faire baisser la pression et fait évacuer la population dans un rayon de plusieurs kilomètres autour des deux unités, situées à environ 250 km au nord de Tokyo.

Samedi, dès les premières lueurs de l’aube, les Japonais ont commencé à découvrir sur les écrans de télévision un spectacle de désolation.
 
Des villes entières ont été entièrement submergées par les eaux au passage du tsunami. Des voitures ont été projetées contre la façade des maisons, et même sur les toits, par la force des vagues déferlantes venues de l’océan Pacifique, qui ont pénétré parfois jusqu’à cinq kilomètres à l’intérieur des terres.
 
Des survivants ont trouvé refuge sur les toits des immeubles et attendaient les secours, certains agitant un drapeau au passage des hélicoptères.
 
Ailleurs, des bateaux gisaient la coque en l’air, au côté de véhicules enlisés dans un lac de boue où se reflétaient les premiers rayons du soleil.
 
Sur un quai du port de Hitachi (préfecture d’Ibaraki), plusieurs centaines de voitures étaient en feu, et une partie d’un pont a cédé, entraînant dans sa chute au moins une voiture, selon les médias.
 
Selon l’agence Kyodo, plus de 3400 habitations ont été détruites.
 
Les télévisions, qui ont mobilisé leur flotte d’hélicoptères, diffusent sans interruption des reportages du séisme, mais n’ont montré aucune image des victimes, qui se comptent par centaines.
 
Le bilan provisoire établi par la police fait état de plus de 1000 morts et disparus.
 
De 200 à 300 cadavres ont été découverts sur une plage de Sendai (nord-est, préfecture de Miyagi) après le passage d’une vague de plus de 10 mètres, mais selon l’agence Jiji, la police n’a pas pu encore s’en approcher car la zone est inondée.
 
Dans la préfecture de Miyagi, un bateau emporté par le tsunami a pu être localisé et ses 81 passagers ont été secourus par hélicoptères.
 
En revanche, deux trains restaient toujours introuvables dans les préfectures voisines de Miyagi et Iwate.
 
Dans la préfecture de Fukushima, un barrage a cédé, emportant des maisons et faisant plusieurs disparus.
 
Au moins 5,6 millions de foyers restaient privés d’électricité.
 
Le premier ministre Naoto Kan, de retour d’une visite sur les lieux, a déclaré que la journée de samedi était «cruciale» pour retrouver des survivants, selon l’agence Kyodo.
 
Il a annoncé qu’au moins 50 000 sauveteurs allaient être dépêchés sur place.
 
Les Forces d’autodéfense (FAD, nom officiel de l’armée nippone) étaient mobilisées pour organiser les secours, en réquisitionnant tous les moyens nécessaires.
 
Plusieurs dizaines de milliers de soldats, 190 avions et environ 25 navires se tenaient prêts à se déployer dans les zones sinistrées, sur la façade Pacifique, selon l’agence Kyodo.
 
L’armée américaine a été appelée à l’aide pour transporter par air des soldats et des véhicules, et des navires de la 7e Flotte devaient participer aux opérations de recherches et de secours en mer, au côté de la marine nippone.
 
Le séisme, d’une magnitude de 8,9, s’est produit hier à 14h46 heure locale (05h46 GMT) à 24,4 kilomètres de profondeur et à une centaine de kilomètres au large de la préfecture de Miyagi.
 
Selon l’Agence météorologique nippone, il s’agit du plus violent séisme jamais enregistré au Japon.
 
À Tokyo, à environ 380 kilomètres de l’épicentre, les gratte-ciel, construits sur des structures parasismiques spéciales, ont tangué pendant de longues minutes après le séisme.
 
L’aéroport international de Narita, situé à une soixantaine de kilomètres à l’est de Tokyo, a repris son trafic samedi, après plusieurs heures de suspension.
 
Les transports ferroviaires restaient en revanche interrompus dans le nord-est de l’archipel.
 
Le Japon, situé au confluent de quatre plaques tectoniques, subit chaque année quelque 20% des séismes les plus forts recensés sur Terre.
 
En 1923, la ville de Tokyo avait été dévastée par un séisme qui avait fait 140 000 morts.
 
La plupart des États riverains du Pacifique ont émis des avis d’alerte au tsunami. Mais aucun dégât important n’avait été signalé en dehors de l’archipel nippon.
 

http://www.cyberpresse.ca