Meurtre d’animaux


Quand j’ai trouvé cette citation, ce fut l’étonnement total, je savais bien que Léonard de Vinci était un visionnaire, il était vraiment en avance sur son temps, dans bien des domaines .. et même sur le sort des animaux 
 
Meurtre d’animaux
  

Le jour viendra où les personnes comme moi regarderont le meurtre des animaux comme ils regardent aujourd’hui le meurtre des êtres humains. 
 
Léonard de Vinci

Je n’arrive pas à avancer et ce n’est pas faute de vouloir


Il y a des jours ou certains objectifs sont plus difficile a atteindre, une impression de piétinement s’installe … Puet-être que nous ne savons pas réellement ce que nous voulons et comment y parvenir pour nous sortir de ce gouffre
 
 
Je n’arrive pas à avancer et ce n’est pas faute de vouloir 
 
 
Photo : linternaute.com
 
Entre savoir ce que l’on veut, savoir comment y arriver et y arriver vraiment, il y a « savoir » et « faire » qui forment un gouffre qui semble parfois infranchissable. 
 
Nous n’allons pas nous concentrer sur le gouffre. Lui, il est là, on ne pourra pas d’un coup de baguette magique le faire disparaître. Si on se concentre dessus, nous ne pouvons pas faire preuve de créativité pour trouver des solutions et des motivants qui vont nous propulser dans l’action. 
 
Nous devons franchir ce gouffre, c’est sur les solutions qu’il faut de concentrer ! 
 
Afin de vous assurer que vos objectifs sont réalisables, vous devez vous poser plusieurs questions, mais aussi, et surtout vous assurer de votre « taux de motivation », car seul ce dernier vous aidera à y arriver. Vous pouvez vous trouver des dizaines d’objectifs, mais si la motivation n’y est pas, votre but est déjà voué à un échec presque inévitable… 
 
Commencez par écrire sur une feuille de papier ou dans votre journal intime tous vos objectifs. 
 
Procédez ensuite à une hiérarchisation de priorités. Classez-les en ordre d’importance. De réelle importance pour VOUS ! 
 
Sont-ils assez concret dans votre esprit ? S’ils sont trop vagues, ils disparaîtront petit à petit et vous causera de nouveaux remords et sentiments de culpabilités inutiles. Vous n’en avez pas besoin en ce moment. Toute une catégorie d’objectifs ne sont pas réalisés parce qu’ils n’étaient pas définis et concrets dans votre esprit. Juste dire, par exemple, « je veux me débarrasser d’une mauvaise habitude » ne suffit pas. 
 
Vous pourriez vous poser des questions comme celles-ci :  

Quel objectif précisément (ici, par exemple changer une mauvaise habitude) ? 
Pourquoi je le veux ? 
Cette décision est-elle le résultat de ma propre réflexion ou est-elle celle de mon entourage ? 
Comment vais-je y arriver, quels moyens je me donne ? 
Cet objectif m’inspire-t-il ? 
Visualisez votre vie une fois l’objectif atteint. Imaginez-vous alors : « Qu’est ce qui a changé dans ma vie » ? 
En ais-je parlé avec mes proches ? 
Est-ce que je crois sincèrement en moi ? 
Mon objectif est-il « atteignable » ? 
Quel laps de temps je m’accorde pour y arriver ? 

… 
 
Il est nécessaire de temps à autre de marquer un temps d’arrêt pour évaluer votre progression. Pas facile si on a « la tête dans le guidon » à longueur de journées. 
 
Pour illustrer mon message, je réitère la métaphore du « pare-brise et du rétroviseur » : Imaginez la taille du pare-brise de votre véhicule et de la taille du rétroviseur. Quelle est la proportion du rétroviseur par rapport au pare-brise ? Pourquoi est-il si petit, mais pourtant si indispensable ? Que se passerait-il si vous ne regardiez qu’en arrière ? Réfléchissez bien avant de continuer à lire et donnez-vous les réponses à voix haute. 
 
Lisez ensuite le reste de l’article. 
 
L’accident est inévitable : vous restez alors immobile pour un bon bout de temps. Si votre rétroviseur serait aussi grand que le pare-brise, il obstruerait complètement la vision en avant : vous ne regardez qu’en arrière, vous êtes paralysé dans tous vos efforts de vouloir avancer. La volonté y est, mais vous ne le pouvez pas : vous ne voyez plus devant… Cela vous semble impossible, et vous avez raison. Votre regard ne va pas dans le bon sens. 
 
Le regard en arrière doit se limiter aux informations strictement nécessaires à votre progression et votre protection. De temps à autre, jeter un œil en arrière vous aide à vous sentir en sécurité, à vous rappeler des leçons apprises du passé, à vous positionner par rapport au point où vous étiez il y a « quelques minutes » (comprenons : semaines, mois, années) 
 
Il n’y a pas de meilleur sentiment pour un conducteur de voiture de sport arrêté à un feu rouge, que d’accélérer dès que le feu passe au vert et, au bout de 100 mètres, jeter un bref regard en arrière pour voir au loin toutes les autres voitures encore immobiles. Quelle euphorie ! (Les lecteurs masculins seront plus sensibles pour cet exemple 😉 
 
Aussi, il est important de se fixer quelques objectifs « intermédiaires » qui vous aideront à atteindre l’objectif « principal ». Ainsi, échelon par échelon, vous pourrez constater une progression qui continuera à vous motiver. 
 
Il y a quelques années de cela, j’avais organisé une « randonnée survie » pour adultes d’une entreprise dont le but était de stimuler l’unité de l’équipe et d’en comprendre son importance dans la réalisation des objectifs. 
 
L’un des participants était vite dépassé par la rapidité du reste de l’équipe loin devant lui. Sa surcharge pondérale le paralysait considérablement. C’est du moins ce que nous croyions tous les deux. Il n’arrêtait pas de répéter « je n’y arriverais jamais » ou encore « c’est beaucoup trop loin, laissez-moi ici »,… C’est à ce moment que j’avais compris ce qui le limitait : sa vision et non pas son poids ! Il regardait constamment la crête de la haute colline : l’objectif à atteindre. Un recadrage était indispensable. 
 
Je lui proposai alors de ne plus se concentrer sur l’objectif final, mais d’avancer d’arbre en arbre. Une fois chaque arbre atteint, il ne devait se concentrer que sur l’arbre suivant, à quelques mètres devant lui. Le courage remplaça le découragement et le parcours était devenu, comme par magie, bien plus simple ! 
 
La notion de récompense est vitale dans ce processus, c’est alors que je lui proposai de se retourner tous les dix à quinze arbres afin de constater sa progression. Il n’en revenait pas : il avait considérablement avancé ! Pourtant, la pente et la distance totale étaient les mêmes. La topographie des lieux n’avait pas changé. Sa vision, oui. Les traits déconfits de son visage avaient fait place à la joie et le sourire : il gagnait en auto confiance à chaque pas. De temps en temps nous jetions un regard bref vers l’objectif final, pour rester dans la bonne direction, pour aussitôt revenir aux « arbres ». 
 
Une fois arrivé en haut, ses collègues, qui nous attendaient, l’ont chaudement applaudit : la récompense et reconnaissance ultime ! 
 
Un « grand » objectif doit être atteint en passant par plusieurs autres « petits » objectifs qui vont, bien entendu dans le même sens. 
 
N’hésitez pas à vous féliciter des efforts fournis : vous pouvez être fier de la distance que vous avez parcourue. Dans ce cas précis, regarder en arrière et constater le chemin parcouru est motivant et positif ! 
 
Parfois, nous restons immobiles ou bloqués parce que nous nous posons les mauvaises questions ou que nous n’avons pas les priorités à la bonne place. Une question judicieuse peut vous changer la vision de votre objectif. 

  
Michel Poulaert 

Le saviez-vous ► La musaraigne la plus gourmande ?‏


Cette petite bestiole a besoin de beaucoup d’énergie pour maintenir la cadence de son coeur … Elle peut bouffer autant qu’elle veut sans avoir crainte de prendre du poids … 
 
La musaraigne la plus gourmande ?
 

Avec un poids de 2 grammes, le plus petit mammifère au monde consomme 90 % de sa masse corporelle par jour.

Le coeur de cette petite boule d’énergie bat de 900 à 1400 fois à la minute et la musaraigne respire 880 fois en 60 secondes.
 
En comparaison le coeur humain bat 70 fois la minute pour 40 respirations

La semaine / Sept 2010 

Safari en Afrique du Sud‏


Un rêve que plusieurs font un moment donné de leur vie .. c’est de faire un safari en Afrique, et ce sans déranger les animaux qui y vivent

 
Safari en Afrique du Sud

Fier baobab dans le parc Kruger
 
fier baobab dans le parc kruger
 
© South African National Parks
 
Rhinocéros au lever du jour
 
rhinocéros au lever du jour

© Diane Mottez
 
Merle aux reflets bleutés
 
un merle bleu
 
© Michel Arhan
 
Le parc Hluhluwe
 
le parc hluhluwe
 
© Laurence Renard
 
La crête des zèbres
 
crête
 
© Michèle Guillermin
 
A travers l’Afrique du Sud
 
klein brak rivier
 
© Rovos Rail
 
La traversée du Drakensberg
 
drakensberg

© South African Tourism
 
Fin de journée dans le Drakensberg
 
fin de journée
 
© Bertrand Bour

 
Port Elizabeth et l’Algoa Bay
 
port elizabeth
 
© South African Tourism
 
Sur les traces des éléphants
 
sur les traces des éléphants
 
© South African Tourism
 
Jolies autruches
 
jolies autruches
 
© South African Tourism
 
Le lac de Knysna
 
le lac de knysna
 
© Rovos Rail
 
Le cap de Bonne-Espérance, où se mêlent les eaux de l’Atlantique et de l’océan Indien.
 
là où les océans se rencontrent
 
© South African Tourism
 
http://www.linternaute.com 

Un musée de Stockholm se plonge dans nos poubelles


J’avoue oui je l’avoue que le titre me laissait vraiment perplexe. Je veux bien croire que l’art prend toutes ses formes mais des ordures un instant !!! Mais a la lecture de cette article … oui ca mérite une grande réflexion et c’est une idée génial de présenter le problème de cette façon. C’est une très belle initiative a amener les gens a vraiment réfléchir sur ce qu’il jette a la poubelle
 
Un musée de Stockholm se plonge dans nos poubelles

 
Un musée de Stockholm se plonge dans nos poubelles

Photo: AFP
  Marc Preel
Agence France-Presse
Stockholm
 

Pas de Joconde, mais une vieille brique de lait vide… En se penchant dans nos poubelles, l’exposition Ordures du Nordiska Museet de Stockholm en tire une découverte: nos déchets racontent une histoire, au croisement de l’ethnologie, de l’écologie et même des sentiments.

«Nous sommes des ethnologues et nous nous intéressons à la façon dont vivent les gens, et nous avons trouvé ça intéressant de savoir comment ils se comportaient devant leur poubelle», s’amuse Christina Matsson, la directrice du musée du centre de Stockholm, qui ouvre ses portes à une petite exposition sur le sujet.

Premier constat: les époques en matière d’ordures ont bien changé.

Ici, un pantalon de jute du XVIIIe siècle usé, cousu, recousu, reprisé, rafistolé jusqu’à enfin être reconverti pour servir à isoler une cloison.

Là, un jean de 2010 d’une marque suédoise branchée, industriellement «préusé» et déchiré avec un avertissement de vente sur le produit «neuf»: «Half the life but double the look» (Dure moitié moins, mais avec deux fois plus de classe).

Effet de contraste encore pour cette antique et bien modeste poupée de Laponie confectionnée avec un simple fichu rouge et un vieux rideau fatigué. Un chiffre éclaire en légende: les petits Suédois d’aujourd’hui ont en moyenne 536 jouets au cours de leur enfance…

Serviettes hygiéniques en coton, porcelaine raccommodée avec des agrafes métalliques, tapis et catogans fabriqués avec des chutes de tissus: recycleurs avant l’heure, les misérables XVIIIe et le XIXe siècle auraient-ils été plus… écologiques?

«Ce que nous voulions montrer, c’est qu’à cette époque, rien ou presque n’était un déchet», explique Lena Landerberg, la commissaire de l’exposition.

À partir de 1920, et jusqu’au début des années 80, vient alors l’ère du «vide-ordures», quand tout est jeté en vrac, jusqu’à ce que l’écologie amène à un changement de mentalité, avec le développement du sac poubelle qui n’a commencé qu’à la fin des années 60, puis du tri sélectif.

Aujourd’hui, chaque Suédois jette environ une demie-tonne de déchets chaque année (cela reste trois fois moins qu’un Américain), en comptant la «production» de son domicile.

«Notre objectif est de pousser les gens à réfléchir. On ne veut pas montrer du doigt. Les gens se posent beaucoup de questions et beaucoup cherchent à avoir une attitude écologiquement responsable», plaide l’ethologue Erik Ottosson-Truvalla.

Après avoir interviewé et observé plusieurs personnes en train de jeter leurs détritus, il préfère souligner «les sentiments» qui nous lient à ces objets dont nous nous débarrassons plus ou moins consciemment.

«Dans les centres de recyclage, il est ainsi fréquent qu’on entrepose les trouvailles de la journée. C’est comme une petite pause avant de les détruire, on improvise une exposition temporaire, en quelque sorte», raconte-t-il.

«Il y a des questions difficiles», remarque pour sa part Lena Landerberg.
 
«Pourquoi gardons-nous, pourquoi jetons-nous? Pourquoi un déchet pour l’un n’en est pas un pour l’autre? L’ordure, souvent, est une question de point de vue».

L’exposition temporaire est incluse dans le tarif d’entrée du musée (9 euros, gratuit pour les moins de 19 ans). Ouverte le 18 février, elle dure jusqu’au 25 septembre.

http://www.cyberpresse.ca

«Dominique» détectera mieux le suicide


C’est peut-être un outils de prévention intéressant, en autant qu’on ne néglige pas le jugement humain ..
 
 
«Dominique» détectera mieux le suicide
 
Agence QMI 
Josianne Desjardins 
 
Étude - «Dominique» détectera mieux le suicide
«Dominique» est un logiciel qui détecte les signes précurseurs du suicide chez les adolescents.  

©Courtoisie 
 

Une étude réunissant 500 adolescents de la province sera réalisée dès ce printemps dans le but de perfectionner un logiciel qui détecte les signes précurseurs du suicide chez les adolescents, a appris 24H.
 
 
Les chercheurs derrière le logiciel Dominique interactif – test utilisé par les professionnels de la santé depuis plus de dix ans – procéderont à plus de 1000 entrevues et séances cliniques sur quatre ans avec des jeunes qui proviennent de tous les milieux pour développer le questionnaire informatisé mettant en vedette le personnage fictif de Dominique.
 
Le test unique au Québec sera bonifié afin de lui permettre de déceler tous les symptômes qui sont souvent reliés à des idées suicidaires, et ainsi permettre de mieux identifier les troubles chez les jeunes.
 
L’outil pourra dorénavant repérer onze troubles, tels que la phobie sociale, les troubles obsessifs/compulsifs et la dépendance à l’alcool et aux drogues.
 
«Nous poserons plus de questions parce que nous voulons aller plus loin. Ça ne remplacera pas l’évaluation pédopsychiatrique, mais c’est un outil de plus», a expliqué Dr Lise Bergeron, chercheuse pour le projet.
 
«As-tu déjà fait une tentative de suicide?»
 
Le fonctionnement du Dominique interactif est simple. Installés seuls devant un ordinateur, les jeunes répondent pendant environ 15 minutes à une série de questions qui «permettent d’évaluer des symptômes psychiatriques associés à des images», a spécifié Dr Bergeron.
 
Par exemple, on aperçoit sur l’une des diapositives le personnage de Dominique qui s’imagine une pierre tombale ou encore qui se jette en bas d’un pont et il est inscrit: «Penses-tu souvent à mourir, comme Dominique?»
 
Une autre question posée lors du test est la suivante: «As-tu déjà fait une tentative de suicide?»
 
«Ce sont des questions simples. On ne veut pas inciter les jeunes à l’acte, mais on suggère, au moyen des images, que le personnage a envie de mourir», a souligné Dr Bergeron.
 
D’ailleurs, le personnage de Dominique tient compte de l’origine culturelle du répondant. Ainsi, il existe une version asiatique, noire ou encore caucasienne du personnage
 
Identifier le problème le plus tôt possible
 
Considérant que les troubles anxieux et reliés à la dépression peuvent se développer dès la petite enfance, il existe aussi une version du Dominique Interactif pour les jeunes de 6 à 11 ans.
 
«Les risques de dépression augmentent à l’adolescence, mais les troubles et les conduites ont tendances à se développer plusieurs années auparavant», a-t-elle souligné.
 
Actuellement, quelque 50 Centres de santé et de services sociaux (CSSS), des écoles et des universités de la province utilisent le logiciel.

Des bébés dauphins échouent dans le golfe du Mexique


Je suis d’avis aussi que les animaux du golfe du Mexique n’ont pas fini de payer la note, une note qui est trop cher a cause de l’activité humaine … Me semble que nous sommes rendus a un stade qu’il faudra faire de meilleur choix et de remplacer le plus possible le pétrole par une énergie propre
 
 
Des bébés dauphins échouent dans le golfe du Mexique
 
Ces décès de bébés dauphins pourraient résulter de la marée noire provoquée par l'explosion de la plateforme pétrolière Deepwater Horizon, exploitée par BP.
 
Ces décès de bébés dauphins pourraient résulter de la marée noire provoquée par l’explosion de la plateforme pétrolière Deepwater Horizon, exploitée par BP.
 
Photo: AP
Agence France-Presse
Gulfport
 
Des bébés dauphins échouent sans vie le long des côtes du golfe du Mexique polluées par la vaste marée noire du printemps dernier a un rythme dix fois plus élevé que d’ordinaire, ont indiqué mardi des chercheurs américains.
 
Quelque 17 bébés dauphins morts ont été trouvés le long des côtes de l’Alabama et du Mississippi au cours des deux dernières semaines, selon ces chercheurs de l’Institute for Marine Mammal Studies.
 
«La moyenne est de un à deux par mois. Cette année nous en avons 17, et février n’est même pas encore fini», a indiqué Moby Solangi, directeur de l’institut situé à Gulfport, dans le Mississippi.
 
«Pour une raison inconnue, (les femelles) ont commencé à avorter (…) ou (les bébés) étaient morts avant d’être nés», a indiqué Moby Solangi,
 
ajoutant attendre les résultats des nécropsies pratiquées lundi sur deux bébés dauphins afin de déterminer les causes de leur mort.

Il a cependant estimé que ces décès pourraient résulter de la marée noire provoquée en avril 2010 par l’explosion de la plateforme pétrolière Deepwater Horizon, exploitée par BP. En trois mois, plus de quatre millions de barils de pétrole s’étaient déversés dans le golfe du Mexique.
 
«Nous ne devons pas tirer de conclusions hâtives tant que nous n’avons pas les résultats» des nécropsies, a indiqué M. Solangi. «Mais ceci est plus que juste une coïncidence», a-t-il toutefois ajouté.
 
En 2010, le nombre de décès de dauphins a triplé par rapport aux années précédentes, passant d’une trentaine à 89, a également indiqué l’institut.
 
Les dauphins se reproduisent au printemps et la saison des naissances bat son plein en mars et en avril.