

Le jour viendra où les personnes comme moi regarderont le meurtre des animaux comme ils regardent aujourd’hui le meurtre des êtres humains.
Léonard de Vinci
Le jour viendra où les personnes comme moi regarderont le meurtre des animaux comme ils regardent aujourd’hui le meurtre des êtres humains.
Léonard de Vinci
► Quel objectif précisément (ici, par exemple changer une mauvaise habitude) ?
► Pourquoi je le veux ?
► Cette décision est-elle le résultat de ma propre réflexion ou est-elle celle de mon entourage ?
► Comment vais-je y arriver, quels moyens je me donne ?
► Cet objectif m’inspire-t-il ?
► Visualisez votre vie une fois l’objectif atteint. Imaginez-vous alors : « Qu’est ce qui a changé dans ma vie » ?
► En ais-je parlé avec mes proches ?
► Est-ce que je crois sincèrement en moi ?
► Mon objectif est-il « atteignable » ?
► Quel laps de temps je m’accorde pour y arriver ?
Michel Poulaert
La semaine / Sept 2010
Un rêve que plusieurs font un moment donné de leur vie .. c’est de faire un safari en Afrique, et ce sans déranger les animaux qui y vivent
Safari en Afrique du Sud
Fier baobab dans le parc Kruger
© South African National Parks
Rhinocéros au lever du jour
© Diane Mottez
Merle aux reflets bleutés
© Michel Arhan
Le parc Hluhluwe
© Laurence Renard
La crête des zèbres
© Michèle Guillermin
A travers l’Afrique du Sud
© Rovos Rail
La traversée du Drakensberg
© South African Tourism
Fin de journée dans le Drakensberg
© Bertrand Bour
Port Elizabeth et l’Algoa Bay
© South African Tourism
Sur les traces des éléphants
© South African Tourism
Jolies autruches
© South African Tourism
Le lac de Knysna
© Rovos Rail
Le cap de Bonne-Espérance, où se mêlent les eaux de l’Atlantique et de l’océan Indien.
© South African Tourism
http://www.linternaute.com
Photo: AFP
Marc Preel
Agence France-Presse
Stockholm
Pas de Joconde, mais une vieille brique de lait vide… En se penchant dans nos poubelles, l’exposition Ordures du Nordiska Museet de Stockholm en tire une découverte: nos déchets racontent une histoire, au croisement de l’ethnologie, de l’écologie et même des sentiments.
«Nous sommes des ethnologues et nous nous intéressons à la façon dont vivent les gens, et nous avons trouvé ça intéressant de savoir comment ils se comportaient devant leur poubelle», s’amuse Christina Matsson, la directrice du musée du centre de Stockholm, qui ouvre ses portes à une petite exposition sur le sujet.
Premier constat: les époques en matière d’ordures ont bien changé.
Ici, un pantalon de jute du XVIIIe siècle usé, cousu, recousu, reprisé, rafistolé jusqu’à enfin être reconverti pour servir à isoler une cloison.
Là, un jean de 2010 d’une marque suédoise branchée, industriellement «préusé» et déchiré avec un avertissement de vente sur le produit «neuf»: «Half the life but double the look» (Dure moitié moins, mais avec deux fois plus de classe).
Effet de contraste encore pour cette antique et bien modeste poupée de Laponie confectionnée avec un simple fichu rouge et un vieux rideau fatigué. Un chiffre éclaire en légende: les petits Suédois d’aujourd’hui ont en moyenne 536 jouets au cours de leur enfance…
Serviettes hygiéniques en coton, porcelaine raccommodée avec des agrafes métalliques, tapis et catogans fabriqués avec des chutes de tissus: recycleurs avant l’heure, les misérables XVIIIe et le XIXe siècle auraient-ils été plus… écologiques?
«Ce que nous voulions montrer, c’est qu’à cette époque, rien ou presque n’était un déchet», explique Lena Landerberg, la commissaire de l’exposition.
À partir de 1920, et jusqu’au début des années 80, vient alors l’ère du «vide-ordures», quand tout est jeté en vrac, jusqu’à ce que l’écologie amène à un changement de mentalité, avec le développement du sac poubelle qui n’a commencé qu’à la fin des années 60, puis du tri sélectif.
Aujourd’hui, chaque Suédois jette environ une demie-tonne de déchets chaque année (cela reste trois fois moins qu’un Américain), en comptant la «production» de son domicile.
«Notre objectif est de pousser les gens à réfléchir. On ne veut pas montrer du doigt. Les gens se posent beaucoup de questions et beaucoup cherchent à avoir une attitude écologiquement responsable», plaide l’ethologue Erik Ottosson-Truvalla.
Après avoir interviewé et observé plusieurs personnes en train de jeter leurs détritus, il préfère souligner «les sentiments» qui nous lient à ces objets dont nous nous débarrassons plus ou moins consciemment.
«Dans les centres de recyclage, il est ainsi fréquent qu’on entrepose les trouvailles de la journée. C’est comme une petite pause avant de les détruire, on improvise une exposition temporaire, en quelque sorte», raconte-t-il.
«Il y a des questions difficiles», remarque pour sa part Lena Landerberg.
«Pourquoi gardons-nous, pourquoi jetons-nous? Pourquoi un déchet pour l’un n’en est pas un pour l’autre? L’ordure, souvent, est une question de point de vue».
L’exposition temporaire est incluse dans le tarif d’entrée du musée (9 euros, gratuit pour les moins de 19 ans). Ouverte le 18 février, elle dure jusqu’au 25 septembre.
©Courtoisie
«Nous poserons plus de questions parce que nous voulons aller plus loin. Ça ne remplacera pas l’évaluation pédopsychiatrique, mais c’est un outil de plus», a expliqué Dr Lise Bergeron, chercheuse pour le projet.
Le fonctionnement du Dominique interactif est simple. Installés seuls devant un ordinateur, les jeunes répondent pendant environ 15 minutes à une série de questions qui «permettent d’évaluer des symptômes psychiatriques associés à des images», a spécifié Dr Bergeron.
«Ce sont des questions simples. On ne veut pas inciter les jeunes à l’acte, mais on suggère, au moyen des images, que le personnage a envie de mourir», a souligné Dr Bergeron.
«Les risques de dépression augmentent à l’adolescence, mais les troubles et les conduites ont tendances à se développer plusieurs années auparavant», a-t-elle souligné.
«La moyenne est de un à deux par mois. Cette année nous en avons 17, et février n’est même pas encore fini», a indiqué Moby Solangi, directeur de l’institut situé à Gulfport, dans le Mississippi.
«Pour une raison inconnue, (les femelles) ont commencé à avorter (…) ou (les bébés) étaient morts avant d’être nés», a indiqué Moby Solangi,
«Nous ne devons pas tirer de conclusions hâtives tant que nous n’avons pas les résultats» des nécropsies, a indiqué M. Solangi. «Mais ceci est plus que juste une coïncidence», a-t-il toutefois ajouté.