

On ne se débarrasse pas d’une habitude en la flanquant par la fenêtre ; il faut lui faire descendre l’escalier marche par marche.
Mark Twain
On ne se débarrasse pas d’une habitude en la flanquant par la fenêtre ; il faut lui faire descendre l’escalier marche par marche.
Mark Twain
Je descends la rue.
Il y a un trou profond dans le trottoir :
Je tombe dedans.
Je suis perdu… je suis désespéré.
Ce n’est pas ma faute.
Il me faut longtemps pour en sortir.
► 2
Je descends la même rue.
Il y a un trou profond dans le trottoir :
Je fais semblant de ne pas le voir.
Je tombe dedans à nouveau.
J’ai du mal à croire que je suis au même endroit.
Mais ce n’est pas ma faute.
Il me faut encore longtemps pour en sortir.
► 3
Je descends la même rue.
Il y a un trou profond dans le trottoir :
Je le vois bien.
J’y retombe quand même… c’est devenu une habitude.
J’ai les yeux ouverts
Je sais où je suis
C’est bien ma faute.
Je ressors immédiatement.
► 4
Je descends la même rue.
Il y a un trou profond dans le trottoir :
Je le contourne.
► 5
Je descends une autre rue…
Une expérience chirurgicale ancestrale : La trépanation
C’est ce qu’ils semble ressortir de l’étude du crâne d’un bovidé retrouvé sur un site néolithique du marais poitevin datant d’un peu plus de 5000 ans.
Selon les chercheurs du CNRS et du Musée de l’homme en France, cela pourrait correspondre à la plus ancienne expérimentation chirurgicale recensée à ce jour. De quoi se gratter la tête en attendant la confirmation. Pour mémoire, Hippocrate, lui, avait décrit pour notre plus grand bonheur la technique de trépanation 400 ans avat J.-C
7 jours / Nov. 2010
AFP/Archives
La vérité sur la santé du coeur
Saviez-vous que février est le mois du coeur? Certaines ne se sentent peut-être pas concernées par les maladies du coeur, mais c’est en fait l’opportunité idéale d’en savoir davantage sur la première cause de mortalité au Canada. Vous serez surprise d’apprendre la vérité à propos de cinq croyances populaires sur les maladies cardiovasculaires.
« Je n’ai pas à me soucier des maladies cardiovasculaires avant d’avoir 40 ans. »
« Les hommes ont plus de chances de mourir de maladies du coeur que les femmes. » Faux: selon la Fondation des maladies du coeur du Canada, le nombre de femmes et d’hommes décédés de maladies cardiovasculaires est très similaire depuis 2003.
« Si je mange correctement et fais régulièrement de l’exercice, je ne suis pas à risque pour les maladies cardiovasculaires. »
Bien sûr, c’est une sage décision d’opter pour des choix santé en surveillant votre alimentation et en restant active, mais si vous souffrez de conditions médicales comme le diabète, la haute pression, ou un taux de cholestérol élevé (ou si ces conditions sont fréquentes dans votre famille), cela augmentera vos risques de développer une maladie cardiovasculaire.
« La pression sanguine ne peut jamais être trop basse. »
Parce que la haute pression est un facteur de risque connu des maladies cardiovasculaires, beaucoup de gens pensent que plus leur pression sanguine est basse, le mieux c’est. Pour les individus qui ont tendance à faire de la haute pression, l’abaisser est une bonne chose. Toutefois, dans le cas où quelqu’un prend des médicaments pour faire baisser sa pression, ou est très malade, une pression sanguine trop basse peut causer un évanouissement, ou des problèmes médicaux tels qu’un dysfonctionnement des reins. La pression sanguine idéale pour la plupart des gens est de 120/80 mmHg.
« Les symptômes de maladies du coeur sont les mêmes chez les hommes et les femmes. »
En fait, les symptômes des maladies cardiovasculaires tendent à être ressentis plus subtilement du côté des femmes – ce qui explique pourquoi ils passent parfois inaperçus, ou sont confondues avec autre chose. Par exemple, la nausée, l’étourdissement et la fatigue sont souvent associés à d’autres conditions médicales moins graves. Et l’angine (douleurs à la poitrine), l’un des principaux signes d’avertissement auquel les femmes devraient porter attention, est parfois confondu avec une simple indigestion.
©Joël Lemay / Agence QMI
«On leur donne les premiers éléments techniques, les rudiments du patinage. Et peut-être qu’après ils auront envie d’y retourner, d’emmener leurs parents ou même d’intégrer une équipe», a expliqué François Beauregard, président de la FAQ mais aussi capitaine du club de hockey sonore des Hiboux de Montréal.
«Ils m’inspirent beaucoup parce qu’ils sont jeunes et courageux».
«Ils sont vraiment bien encadrés et on dirait qu’ils se rendent compte qu’ils ne sont pas seuls, que d’autres enfants vivent avec le même problème qu’eux», a confié la maman.
«Aujourd’hui, ils ont à leurs côtés des adultes handicapés visuels qui font partie d’une équipe de hockey. Ça leur montre que tout est possible, qu’il peuvent dépasser leurs limites», a expliqué François Beauregard.
Selon lui, c’est une belle leçon de «persévérance et de courage».