Mauvaise habitude


C’est pas facile de changer de mauvaises habitudes, mieux vaut y aller pas à pas pour ne pas se décourager … 
 
Mauvaise habitude
 

 

On ne se débarrasse pas d’une habitude en la flanquant par la fenêtre ; il faut lui faire descendre l’escalier marche par marche. 

Mark Twain

Notre propre autobiographie en 5 actes


Ça vous arrive de tourner en rond ? De toujours revenir aux mêmes problèmesl les mêmes erreurs .. comme si c’était collé a nous ? Des fois il faut simplement ouvrir les yeux avant d’avancer ..mais quand on tombe quand même, alors changeons de tactique pour réussir a contourner le problème 

 
 
Notre propre autobiographie en 5 actes
 
attention au trou !
 
► 1 

Je descends la rue. 
Il y a un trou profond dans le trottoir : 
Je tombe dedans. 
Je suis perdu… je suis désespéré. 
Ce n’est pas ma faute. 
Il me faut longtemps pour en sortir. 
  
► 2 
Je descends la même rue. 
Il y a un trou profond dans le trottoir : 
Je fais semblant de ne pas le voir. 
Je tombe dedans à nouveau. 
J’ai du mal à croire que je suis au même endroit. 
Mais ce n’est pas ma faute. 
Il me faut encore longtemps pour en sortir. 
  
► 3 
Je descends la même rue. 
Il y a un trou profond dans le trottoir : 
Je le vois bien. 
J’y retombe quand même… c’est devenu une habitude. 
J’ai les yeux ouverts 
Je sais où je suis 
C’est bien ma faute. 
Je ressors immédiatement. 
  
► 4 
Je descends la même rue. 
Il y a un trou profond dans le trottoir : 
Je le contourne. 
  
► 5 
Je descends une autre rue… 
  

(Portra Nelson, cité dans Charles L. Whitfield, M.D. « Healing The Child Within ».)

Le saviez-vous ► Une expérience chirurgicale ancestrale : La trépanation‏


Cela reste a confirmer mais n’empêche que cette méthode de trouer le cerveau ne date pas d’hier .. heureusement qu’aujourd’hui, l’opération du cerveau est moins barbare 
 

Une expérience chirurgicale ancestrale : La trépanation
 

 Avant de tenter cette méthode chirurgicale risquée sur l’homme, nos ancêtres l’auraient expérimenté sur l’animal.
 

C’est ce qu’ils semble ressortir de l’étude du crâne d’un bovidé retrouvé sur un site néolithique du marais poitevin datant d’un peu plus de 5000 ans.
Selon les chercheurs du CNRS et du Musée de l’homme en France, cela pourrait correspondre à la plus ancienne expérimentation chirurgicale recensée à ce jour. De quoi se gratter la tête en attendant la confirmation. Pour mémoire, Hippocrate, lui, avait décrit pour notre plus grand bonheur la technique de trépanation 400 ans avat J.-C
 
7 jours / Nov. 2010 

La nature à l’heure de l’hiver


L’hiver, l’hiver blancheur, grisaille, on dirait que les couleurs sont du ton sur ton entre noir, blanc et gris et pourtant, une douceur dans la froideur de cette saison …
 
La nature à l’heure de l’hiver
 
Photographe © Vincent Munier

Une chouette harfang
 
 
Le bœuf musqué
 
 
La péninsule de Shiretoko
 
 
Les oies des neiges
 
 
Les grues du Japon
 
 
L’invisibilité de la chouette harfang
 
 
Les arbres de Rainkopf
 
 
Héron cendré et buse variable
 
 
Le cygne chanteur
 
 
Les forêts de Metzeral
 
 
Les cygnes sauvages
 
 

Un Chinois meurt après trois jours de jeux ininterrompus dans un cybercaf


La dépendance d’internet, des jeux, des heures devant l’écran existe bel et bien … mais voilà un cas vraiment extrême … Peut-être qu’il y en a plus qu’on pense pour ceux qui ont internet illimité a la maison C’est vraiment pas une vie
 
Un Chinois meurt après trois jours de jeux ininterrompus dans un cybercafé
 

Un cybercafé en Chine
AFP/Archives

 
Un homme est décédé en Chine après avoir passé trois jours d’affilée à jouer face à son écran dans un cybercafé près de Pékin, sans dormir et pratiquement sans se nourrir, a rapporté mardi la presse.
 
Le trentenaire a sombré dans le coma cette semaine, alors qu’il se trouvait dans le café, et n’a pu être réanimé dans la clinique où il a été transporté, a indiqué le journal Beijing Times.
 
Ce fait divers illustre le phénomène de dépendance aux jeux sur écran, dont souffrent en Chine 33 millions d’adolescents, selon des chercheurs cités par la presse.
 
En un mois, le joueur décédé avait dépensé plus de 10.000 yuans (1.120 euros) en jeux sur l’internet. Il n’a pratiquement pas quitté sa chaise durant trois jours et trois nuits avant de mourir, a précisé la presse.
 
La Chine compte plus de 450 millions d’internautes, ce qui la place au premier rang mondial.
 
Le gouvernement avait annoncé l’an dernier tout une série de règles, les toutes premières, pour contrôler le secteur des jeux en ligne et réprimer les contenus pornographiques et violents.

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5 mythes sur les maladies cardiaques


Pour ceux qui ne savent pas que février est le mois du coeur, il n’est jamais trop tard pour être au courant .. quoiqu’il en soit … le coeur bat pendant toute une vie .. raison de plus pour l’aider a rester en santé
 
  
5 mythes sur les maladies cardiaques
  
Par Mariève Inoue
  

  
La vérité sur la santé du coeur 

Saviez-vous que février est le mois du coeur? Certaines ne se sentent peut-être pas concernées par les maladies du coeur, mais c’est en fait l’opportunité idéale d’en savoir davantage sur la première cause de mortalité au Canada. Vous serez surprise d’apprendre la vérité à propos de cinq croyances populaires sur les maladies cardiovasculaires.
  

Mythe #1:

« Je n’ai pas à me soucier des maladies cardiovasculaires avant d’avoir 40 ans. »

Même si les symptômes des maladies du coeur n’apparaissent que plus tardivement, les saines habitudes (comme être active et suivre un régime équilibré) et les habitudes nocives (comme fumer) sont prises durant la jeune vie adulte, et même plus tôt encore. Vous ne risquez donc pas nécessairement d’avoir un arrêt cardiaque dans votre vingtaine, mais c’est à ce moment que devriez penser à développer un mode de vie plus sain.

 

 

Mythe #2:

« Les hommes ont plus de chances de mourir de maladies du coeur que les femmes. » Faux: selon la Fondation des maladies du coeur du Canada, le nombre de femmes et d’hommes décédés de maladies cardiovasculaires est très similaire depuis 2003.  

Mythe #3:

« Si je mange correctement et fais régulièrement de l’exercice, je ne suis pas à risque pour les maladies cardiovasculaires. »

Bien sûr, c’est une sage décision d’opter pour des choix santé en surveillant votre alimentation et en restant active, mais si vous souffrez de conditions médicales comme le diabète, la haute pression, ou un taux de cholestérol élevé (ou si ces conditions sont fréquentes dans votre famille), cela augmentera vos risques de développer une maladie cardiovasculaire.

 

 

Mythe #4:

« La pression sanguine ne peut jamais être trop basse. »

Parce que la haute pression est un facteur de risque connu des maladies cardiovasculaires, beaucoup de gens pensent que plus leur pression sanguine est basse, le mieux c’est. Pour les individus qui ont tendance à faire de la haute pression, l’abaisser est une bonne chose. Toutefois, dans le cas où quelqu’un prend des médicaments pour faire baisser sa pression, ou est très malade, une pression sanguine trop basse peut causer un évanouissement, ou des problèmes médicaux tels qu’un dysfonctionnement des reins. La pression sanguine idéale pour la plupart des gens est de 120/80 mmHg.

 

 

Mythe #5:

« Les symptômes de maladies du coeur sont les mêmes chez les hommes et les femmes. »

En fait, les symptômes des maladies cardiovasculaires tendent à être ressentis plus subtilement du côté des femmes – ce qui explique pourquoi ils passent parfois inaperçus, ou sont confondues avec autre chose. Par exemple, la nausée, l’étourdissement et la fatigue sont souvent associés à d’autres conditions médicales moins graves. Et l’angine (douleurs à la poitrine), l’un des principaux signes d’avertissement auquel les femmes devraient porter attention, est parfois confondu avec une simple indigestion.

 

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Des enfants malvoyants apprennent à patiner‏


C’est fini le temps ou un handicape confinait les gens a la maison, seul sans amis, sans activités sociales .. Être mal voyant ne signifie plus d’être dans le noir totale mais bien faire des expérience sensoriel extraordinaire .. c’est prendre le contact avec les élements avec des sports qui étaient jadis réservé qu’au voyant Très belle initiative !!!
  
Des enfants malvoyants apprennent à patiner
 
Agence QMI 
Mélanie Colleu 
 

Fondation - Des enfants malvoyants apprennent à patiner
Le petit Mathis a inscrit son premier but, aux côtés de Mark DeMontis et de François Beauregard. 

©Joël Lemay / Agence QMI 
 

Ils ont entre six et treize ans et vivent tous avec un handicap visuel. Samedi après-midi, dans le cadre du programme «Du sport pour moi», conjointement organisé par la Fondation des Aveugles du Québec (FAQ) et l’Association Sportive des Aveugles du Québec (ASAQ), ces enfants ont pu chausser des patins et fouler la glace pour la première fois.

Si les premiers pas sont hésitants, les petites mains ne sont pas restées très longtemps cramponnées à la bande. Une fois l’appréhension dissipée, une vingtaine d’enfants malvoyants ont profité des joies de la glisse, à l’aréna du CEPSUM de l’Université de Montréal.

 
Le but de l’initiative, apprendre aux jeunes les bases du patinage pour qu’ils puissent se familiariser avec le sport et, pourquoi pas, se découvrir une passion.
 
«On leur donne les premiers éléments techniques, les rudiments du patinage. Et peut-être qu’après ils auront envie d’y retourner, d’emmener leurs parents ou même d’intégrer une équipe», a expliqué François Beauregard, président de la FAQ mais aussi capitaine du club de hockey sonore des Hiboux de Montréal.
 
Leur montrer que c’est possible
 
Avant de se lancer sur la glace, les enfants ont fait connaissance avec Mark DeMontis, fondateur de Courage Canada, une association qui vise à encourager les jeunes handicapés visuels à mener une vie active en leur montrant les bases du patinage.
 
Lui-même atteint d’une déficience visuelle dès l’âge de 17 ans, il confie aujourd’hui être fier des enfants:
 
 «Ils m’inspirent beaucoup parce qu’ils sont jeunes et courageux».
 
Âgés de six et sep ans, Mathis et Cédric, les enfants de Stéphanie Pelletier, se sont sentis pousser des ailes sur la glace.
 
 «Ils sont vraiment bien encadrés et on dirait qu’ils se rendent compte qu’ils ne sont pas seuls, que d’autres enfants vivent avec le même problème qu’eux», a confié la maman.
 
«Aujourd’hui, ils ont à leurs côtés des adultes handicapés visuels qui font partie d’une équipe de hockey. Ça leur montre que tout est possible, qu’il peuvent dépasser leurs limites», a expliqué François Beauregard.
 
Selon lui, c’est une belle leçon de «persévérance et de courage».
 
Le programme «Du sport pour moi» permet aux enfants vivant avec un handicap visuel de se familiariser avec plusieurs sports. Après avoir essayé le ski de fond, la raquette et le patinage cet hiver, les enfants s’initieront au judo.

http://fr.canoe.ca