

« Je viens de couper les cheveux de ma fille, je les lui sèche et elle me dit « Stop, ça suffit, je suis assez cuite maintenant. » »
Cécile 4 ans
« Je viens de couper les cheveux de ma fille, je les lui sèche et elle me dit « Stop, ça suffit, je suis assez cuite maintenant. » »
Cécile 4 ans
« Les états d’âme se perpétuent tant qu’ils ne sont pas interrompus. »
« Aucun chagrin n’est éternel. »
États d’âme négatifs
Voici des approches simples qui contribuent à mettre fin à nos états d’âme négatifs :
États d’âme positifs
Si vous vous trouvez dans un état d’âme que vous désirez perpétuer, voici des choses simples à éviter :
« Tout acte qui la prolonge la paix est une bénédiction. »
Denis St-Pierre
Comment étaient faites les chandelles au Moyen-âge ?
La semaine / Déc 2010
Le saut du lémurien
« On soupçonnait que les premiers hommes avaient une grande aptitude à manipuler des corps humains une fois qu’ils étaient morts, mais notre recherche révèle à quel point ils étaient aussi de grands anatomistes », estime-t-elle.
Radio-Canada.ca avec
Agence France Presse
http://www.radio-canada.ca
Le téléphone sonne. On vous annonce que vous avez gagné un prix en argent. Étrange, vous ne vous rappelez pas avoir participé à ce concours. Plus étrange encore, vous devez envoyer de l’argent pour recevoir votre prix. Attention, ne vous faites pas avoir!
Voici quelques trucs pour éviter les fraudeurs :
Crédit photo : Archives Agence QMI
Par Dany Doucet | Journal de Montréal Les policiers de Montréal piègent les automobilistes dans des «trappes à contraventions», a récemment conclu un juge de la cour municipale en acquittant un automobiliste.
«La cour en vient à la conclusion qu’il s’agit là d’une trappe effective», a déclaré le juge Philippe Clément, en acquittant Roger Labrecque à la cour municipale de Montréal.
M. Labrecque, 66 ans, venait de plaider sa cause après avoir écopé d’une contravention de 154 $ sur le boulevard Crémazie.
Plus d’une fois dans son témoignage, comme on peut l’entendre sur l’enregistrement dont Le Journal de Montréal a obtenu copie, M. Labrecque a fait valoir qu’il avait été victime d’une «trappe à tickets» de laquelle il n’avait aucune chance de se sortir.
«Quand je suis sorti de la salle d’audience, les gens me félicitaient en levant le pouce dans les airs», relate-t-il fièrement.
Pris au piège
Plan en mains, M. Labrecque a mis cinq minutes pour convaincre le juge à rendre son jugement sur le banc.
Le 19 janvier 2010, vers 16h45, ce retraité circulait sur le boulevard Crémazie Est après être sorti du stationnement d’un restaurant A&W.
Il y a là une voie réservée aux autobus et aux taxis, mais les panneaux ne sont pas visibles de cet endroit.
«Quand j’en ai vu un, dit-il, il y avait tellement de trafic qu’il n’y avait plus moyen de me tasser à gauche, les gens ne me laissaient pas passer.»
Dans sa Ford Escort, M. Labrecque a alors poursuivi son chemin sur la voie réservée, un autobus poussant derrière lui.
C’est un peu plus loin que des policiers l’attendaient de pied ferme.
Plusieurs policiers
Il est interdit de circuler dans une voie réservée aux heures de pointe, tel qu’indiqué sur les panneaux.
«Ils donnaient des tickets à tout le monde, un après l’autre, relate-t-il. Il y avait déjà deux ou trois voitures arrêtées et plusieurs policiers sur place. C’était un piège, dit-il, une vraie trappe à tickets.»