Responsabilité


Je pense que cette phrases peut s’étendre a plusieurs domaine, mais je la vois beaucoup plus avec notre relation envers les animaux. Quand on commence a apprivoiser un animal domestique c’est pour toute la vie .. quand on commence a apprivoiser un animal sauvage nous mettons sa vie en danger .. Qu’ils soient sauvages ou domestiques … on a pas a les dénaturer, de leur enlever ce qui est propre a leur race …
 
Responsabilité
 
 

«Tu es responsable de ce que tu as apprivoisé.»
 
Antoine de Saint-Exupéry  

La Baleine Bleue


Quelle belle bête, impressionnante par son poids et son besoins alimentaire
 
La Baleine Bleue
 
 
Le plus gros animal de tous les temps, la baleine bleue, peut dépasser les 30 mètres pour un poids de 170 tonnes, soit deux fois la longeur d’un autobus et plus de dix fois son poids.
 
Elle consomme de quatre à huit tonnes de crustacés et de petits poissons par jour. Son chant de 188 décibèles peut être entendu à plus de 800 km 
 
La semaine/ Sept 2010 

Bouts de planète


Des parcelles de terre d’un pays a l’autre, apparaissant sous une lumière naturelle tamisée donne un spectacle d’un autre monde dans une autre galaxie
 
Bouts de planète 
  
Etretat, Normandie, France, 

 
bouts de planète
© Christophe Carlier / Editions Altus
 
Glace sur le lac Supérieur, US
 
lac supérieur minnesota
© Rafael Rojas / Editions Altus
 
Fin de journée dans le Tassili N’Ajjer, Algérie
 
tassili n'ajjer en algérie
© Christophe Carlier / Editions Altus
 
Impressionnantes chutes de Godafoss, Island
 
chutes de godafoss en islande
 
© Xavier Jamonet / Editions Altus
 
Arc-en-ciel dans le parc naturel Torres del Plaine, Chili
 
parc naturel torres del plaine en pentagonie
 
© Rafael Rojas / Editions Altus
 
Un petit coin d’éden, Guadeloupe
 
anse de pointe noire en guadeloupe
© Christophe Carlier / Editions Altus
 
Les roches rouges de Bryce Canyon, US
 
bryce canyon aux etats-unis
 
© Rafael Rojas / Editions Altus
 
Quand la brume de la hêtraie de Malatra rencontre le soleil, France
 
malatra dans le vercors
 
© Vincent Favre / Editions Altus
 
La plus haute chaîne de montagne de l’île de Skye, Écosse
 
monts cuillin en ecosse
 
© Xavier Jamonet / Editions Altus
 
Créature de glace, France
 
les ecrins en france
 
© Samuel Bitton / Editions Altus
 
Terre craquelée dans les montagnes de Námaskard, Islande
 
námaskard en islande
 
© Xavier Jamonet / Editions Altus
 
Désert blanc sur les hauteurs du Vercors, France
 
vercors en france
 
© Vincent Favre / Editions Altus
 
Lever de soleil sur les collines de San Quirico d’Orcia, Italie
 
toscane en italie
 
© Samuel Bitton / Editions Altus
 

Vue nocturne sur le massif du Mont-Blanc

mont-blanc en france
© Samuel Bitton / Editions Altus
 

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Criminalité – Près de 2 millions pour lutter contre la traite de personnes


 

On croit a tord que l’esclavage est terminer que c’est une tache dans l’histoire de l’Amérique mais l’esclavage est bien présente, cachée certes, pourtantmalgré la liberté des droits de l’homme l’esclavage existe bel et bien sur nos terres … et souvent cette esclavage est relier au commerce du sexe Je pense que ce n’est pas juste les exportateurs de personnes humaines qui doivent être arrêter mais tous ceux qui en vivent de près et de loin ainsi que ceux qui en profite C’est a cause des demandes que c’est aussi payant …
 
Criminalité – Près de 2 millions pour lutter contre la traite de personnes
 
 
Photo : rcmp-grc.gc.ca
  
Le gouvernement ontarien investit 1,95 million de dollars répartis sur trois ans pour lutter contre la traite de personnes.
  
Une ligne téléphonique d’urgence sera créée et deux procureurs de la Couronne seront nommés pour s’attaquer au problème. L’un d’eux sera assigné à la région de Peel, où le problème est prévalant.
 
Des fonds additionnels seront également offerts aux services policiers.
 
Un comité consultatif sur la question sera aussi mis sur pied. Le NPD accueille froidement cette mesure et estime qu’il s’agit d’une goutte d’eau dans l’océan et que le gouvernement doit faire plus.
 
La traite de personnes
 
Au Canada, entre 600 et 800 nouveaux arrivants seraient des victimes de la traite de personnes chaque année. De plus, 1000 autres personnes passent par le Canada pour se rendre aux États-Unis, et 92 % des victimes sont des femmes et 50 % sont mineurs.

La traite des personnes reliées aux crimes sexuels représente un marché noir évalué à 32 milliards de dollars par années à l’échelle planétaire.

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Nord de l’Ontario – De l’agent orange épandu dans la forêt boréale


On ne peut rien changer au passé qui a cette époque on croyait que les produits chimiques pouvaient tout résoudre sans trop de risques … mais aujourd’hui va t’on retenir ces erreurs du passé et d’arrêter de vouloir changer la nature car ce n’est pas elle qui doit s’accommoder de l’homme mais l’homme qui doit plutot apprendre a vivre a l’unisson avec la nature
 
 
Nord de l’Ontario – De l’agent orange épandu dans la forêt boréale
  

Nord de l'Ontario - De l'agent orange épandu dans la forêt boréale

Un puissant défoliant cancérigène utilisé pendant la guerre du Vietnam pour clairsemer la végétation à des fins militaires a également été épandu dans la forêt boréale, en Ontario. 

 

Des documents obtenus par le Toronto Star révèlent que des travailleurs forestiers, souvent des étudiants, ont été exposés au produit chimique dans les années 60. 
 

Le gouvernement de l’Ontario aurait commencé ses expérimentations avec l’acide 2,4,5-trichlorophénoxyacétique 2,4,5-T en 1957 à Hearst. Moins de 10 ans plus tard, le Department of Lands and Forests, qui deviendra le ministère des Richesses naturelles, autorise l’utilisation d’un produit plus puissant encore : l’agent orange, qui est un mélange d’acide 2,4,5-trichlorophénoxyacétique 2,4,5-T et d’acide 2,4-dichlorophénoxyacétique. 
 

Un « agent » économique
 
L’agent orange est un puissant défoliant qui a été utilisé pour éradiquer certaines espèces d’arbres, dont l’érable, le bouleau, le peuplier et des arbustes. Les entreprises forestières souhaitaient se débarrasser de ces espèces pour favoriser la croissance des épinettes, jugées économiquement plus rentables. 
 
Les travailleurs forestiers exposés seraient notamment des jeunes, qui passaient des semaines à tenir des ballons marqueurs remplis d’hélium pendant que des avions à basse altitude épandaient l’agent orange. 
 
L’Ontario a annoncé qu’il lançait une enquête et dit avoir prévenu la médecin hygiéniste en chef de la province. 
 
Le député provincial néo-démocrate de Timmins-Baie James, Gilles Bisson, réclame que le gouvernement fasse preuve de transparence et dévoile où l’agent orange a été utilisé et de s’assurer de prévenir les Ontariens qui ont pu être exposés. 
 
La seule autre utilisation de l’agent orange répertoriée au Canada est l’épandage à la Base des Forces canadiennes Gagetown, au Nouveau-Brunswick, durant les années 60. Un programme d’indemnisation, mis sur pied par Ottawa, a été étendu aux veuves d’ex-militaires en décembre, 
 
L’agent orange
 
Des études ont démontré que ce défoliant peut causer certains types de cancer ou le diabète de type 2. 
 
Radio-Canada.ca avec Toronto Star 
 

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Tomber en amour avec des objets


Des comportements qui changent a travers les années. Le côté matériel prend de plus en plus de place pour tasser les relations humaines. Dans le fond c’est grave que plusieurs en soit rendu là …
 
 
Tomber en amour avec des objets
 
Tomber en amour avec des objets
Agence QMI
 
Certaines personnes s’entichent littéralement de leur objet favori, lui consacrant même plus de temps, d’argent et d’affection qu’aux personnes qui les entourent, indique une nouvelle étude de marché.
 
Réalisée par l’École de Commerce W. P. Carey de l’Université d’État en Arizona, l’étude visait à évaluer le phénomène appelé «amour des biens matériels». Les chercheurs ont interrogé des gens fous de leur voiture, de leur arme à feu, de leur ordinateur ou de leur vélo pour comprendre l’objet de leur passion. 

Véritables substituts
 
«Jusqu’à maintenant, la plupart des chercheurs en consommation considéraient presque exclusivement l’attachement que nous éprouvons pour des objets en termes d’expression de l’identité personnelle. Par exemple, le fait de posséder et de conduire une voiture de sport coûteuse peut aider son propriétaire à signifier aux autres son statut social ou à se donner des allures plus sportives», souligne le chercheur principal de l’étude, John Lastovicka, dans un communiqué émis par l’université.
 
«Nous avons tendance à nous attacher à des objets qui nous aident à exprimer notre sentiment d’identité. Cependant, nous avons constaté que certains consommateurs se lient profondément à des objets, qui deviennent alors de véritables substituts dans ce qui ressemble à une relation humaine.»
 
Les chercheurs ont amorcé leur enquête en interrogeant les visiteurs de salons de l’auto.
 
Un propriétaire de voiture avait baptisé son véhicule Maybelline et avouait qu’il lui dévouait plus de temps qu’aux personnes dans sa vie.
 
Un autre a avoué avoir dépensé toutes ses économies, en plus d’emprunter à ses parents, afin de s’acheter une voiture pour laquelle il dit avoir eu un «coup de foudre».
 
Un autre avait mémorisé toutes les données concernant sa voiture, incluant l’endroit et la date de sa fabrication, ainsi que les noms de tous les propriétaires précédents.
 
Les chercheurs ont ensuite visité des stands de tir où ils ont discuté avec des passionnés d’armes à feu, puis ils ont ciblé des mordus de cyclisme et d’ordinateurs, interrogeant ainsi des centaines de personnes pour étoffer leur recherche et tenter de cerner le phénomène.
 
«Notre enquête ne ciblait que les voitures au départ, mais nous nous sommes aperçus que le phénomène ne s’y limitait pas, explique M. Lastovicka. Nous avons été surpris de trouver des gens qui témoignent un véritable amour à des vélos, des ordinateurs et des armes à feu. Ce n’était pas non plus l’amour d’une marque, mais plutôt l’affection envers l’objet spécifique appartenant au consommateur.»
Sommes astronomiques
 
Les chercheurs ont ainsi trouvé des gens qui aiment leur objet à un point tel qu’ils lui donnent un nom, passent des heures à l’admirer et dépensent des sommes astronomiques en produits et services complémentaires.
 
«Je travaille dans le domaine de la segmentation de données depuis environ 40 ans et je n’ai jamais été témoin d’effets de cette ampleur, affirme M. Lastovicka. L’amour est toutefois un sentiment humain très puissant et à ce titre, nous ne devrions pas nous surprendre de voir que les gens qui aiment vraiment un article lui consacrent tout ce temps et cet argent.»
 
Selon M. Lastovicka, ce type de personne est excellent pour les affaires.
 
«Un professionnel du marketing doit faire bien attention de ne pas classer ces gens dans une catégorie bizarre ou excentrique. Ils sont d’excellents clients qui dépensent beaucoup d’argent dans l’achat de biens pour l’objet de leur affection et ils sont prêts à payer le prix fort pour obtenir ce qu’il y a de mieux. Ils s’y connaissent toutefois en la matière et iront probablement voir ailleurs s’ils croient qu’un détaillant ou un spécialiste du marketing se paie leur tête», prévient-il.
 
Par contre, ce qui est bénéfique sur le plan des affaires ne l’est pas toujours en ce qui a trait au bien-être émotionnel d’une personne.
 
«Les gens qui développent de tels liens avec des objets ont tendance à être seuls, ce qui est probablement un sous-produit de la société dans laquelle nous vivons», de dire M. Lastovicka.
Une connexion émotionnelle
 
«L’autonomie financière et la course à la productivité ont incité plusieurs gens à s’éloigner du noyau familial. De nos jours, nous sommes moins entourés de parents et d’amis proches. Les gens cherchent instinctivement une connexion émotionnelle qui ne leur fera pas vivre le rejet et ce nouvel attachement profond à des biens est une alternative potentiellement moins dangereuse à la solitude que ne le sont la consommation abusive d’alcool et de drogues ou la délinquance.»
 

L’étude, qui s’intitule Truly, Madly, Deeply: Consumers in the Throes of Material Possession Love, a été publiée dans le Journal of Consumer Research.
 
http://fr.canoe.ca