S’émerveiller


S’émerveiller de ce qui nous entoure dans cette nature qui a tant à offrir, découvrir le monde a travers les gens qui passent du temps a nous faire voir les milles un trésor que la terre regorge. Admirer la nature qui change de jour en jour, de saison en saison … 
 
S’émerveiller
 

 

Le bonheur pour une abeille ou un dauphin est d’exister. Pour l’homme, c’est de le savoir et de s’en émerveiller.

Jacques-Yves Cousteau 

Le saviez-vous ► A quoi sert la douleur ?‏


Vous imaginez ce que peut être la vie d’une personne qui ne ressent aucune douleurs .. comment il met sa vie en danger ? Il se coupe, se cogne, se casse un os sans que les fibres nerveuses communiquent un message pour savoir quelles réactions qui doit suivre … La douleur n’est certes pas agréables mais elle nous est très utile
 
A quoi sert la douleur ?
 
La douleur est essentielle à la vie. Aussi pénible soit-elle, elle protège notre corps des agressions par l’intermédiaire d’une armada de capteurs situés sous la peau, dans les muscles, les articulations et les organes. 

Deux types de fibres nerveuses transmettent le signal d’un danger jusqu’à la moelle épinière avant de remonter jusqu’au cerveau, au niveau des centres spécialisés dans le traitement de la douleur.
Les fibres delta répondent rapidement à une stimulation soudaine et produisent en retour une douleur intense qui vous permettra de vous éloigner d’une plaque de cuisson brûlante ou de retirer votre pied d’un bout de verre
Les fibres C agissent quand à elle en diffusant une douleur durable, celle-là même qui vous empêchera de bouger votre jambe cassée

7 jours sept 2010 

Un chat kleptomane pris la patte dans le sac


Bien ce chat est chanceux d’avoir des voisins compréhensifs pour sa petite manie qui avoue-le assez inusité pour un chat … Moi Fripouille, la seule chose qu’elle rapporte de bon coeur a la maison c’est des insectes qu’elle a attrapée
 
 
Un chat kleptomane pris la patte dans le sac
 
Un chat kleptomane pris la patte dans le sac

 
Photo: Archives Reuters
Agence France-Presse
 

Un chat californien, qui avait subtilisé plus de 600 objets chez les voisins de ses maîtres au cours des trois dernières années, a été confondu grâce à une caméra infra-rouge qui l’a filmé en train de perpétrer ses larcins, rapportent mercredi les médias locaux.
 
Le chat Dusty, rebaptisé «Klepto le chat», apparaît sur la vidéo en train de transporter dans sa gueule les objets les plus variés, d’une éponge à un dinosaure en plastique, en passant par un soutien-gorge.
 

Pendant trois ans, le félin kleptomane a dérobé «des serviettes, des gants, des chaussures, des chaussettes, des jouets d’enfants», a précisé sur la chaîne ABC sa maîtresse Jean Chu, de San Mateo, au sud de San Francisco.
 
«Il a pris le maillot de bain de ma maman, il vole toujours plein de trucs», a renchéri Ethan McLelland, 5 ans.

Les travers de Dusty étaient bien connus des voisins, qui avaient renoncé depuis belle lurette à porter plainte.
 
«C’est inutile car nous savons où aller pour retrouver nos affaires», s’amuse un voisin.

Ses maîtres, Jean Chu et Jim Coleman, ont assuré que le record d’objets volés en une nuit par «Klepto le chat» s’élevait à 11 – un beau score pour un chat. Ce sont les caméras du programme télévisé américain Animal Planet qui ont permis de filmer ses larcins nocturnes.

Les prothèses existaient déjà au temps des pharaons


C’est vraiment impressionnant de voir ces objets provenants d’avant JC. et qui en plus ont surement été porter pour remplacer un membre perdu
  
Les prothèses existaient déjà au temps des pharaons
  
L’Égypte ancienne, berceau des pyramides et des hiéroglyphes, serait également le pays natal des prothèses médicales. Deux objets, représentant des orteils, auraient pu être utilisés par des personnes amputées pour leur faciliter la marche.
 
 Les prothèses médicales de pointe, bourrées d’électronique, remplacent de plus en plus efficacement les membres manquants et assistent au mieux les personnes amputées, mais l’idée même d’un membre artificiel ne date pas d’hier.

Alors que l’on pensait avoir identifié le tout premier spécimen de prothèse daté de 300 ans avant Jésus-Christ, avec la découverte de la jambe artificielle sur le site romain de Capua ; Jacqueline Finch, chercheur au Centre d’égyptologie biomédicale KNH de l’université de Manchester, est convaincue que des objets, aujourd’hui exposés dans des musées, ont servi de prothèse fonctionnelle à des Égyptiens, déjà plus de 600 ans avant notre ère.

 

 
 

 

La prothèse en carton est peu flexible mais a tout de même bien résisté au temps. © Jacqueline Finch, The Lancet

Toutankharton

Faite d’une sorte de papier mâché en lin imbibé de colle animale et recouvert de plâtre teinté, une pièce conservée dans les galeries égyptiennes du British Museum de Londres prend en toute objectivité la forme d’un orteil et de la partie antérieure du pied droit. Cette pièce unique a été découverte à Thèbes, l’actuelle Louxor, et obtenue en 1881 par le révérend Greville Chester, un archéologue passionné d’égyptologie.
Malgré l’usure apparente qui trahit une longue utilisation, la pièce est habilement façonnée et présente ce qui ressemble à un ongle sur sa face supérieure. Des trous à sa surface permettaient probablement d’attacher l’objet directement au pied ou à une sandale. Au début des années 1990, l’égyptologue Nicholas Reeves avait d’ailleurs déjà décrit l’objet comme « l’une des plus anciennes prothèses fonctionnelles qui a été identifiée dans l’ancien monde », sans avoir toutefois pu prouver qu’il avait réellement été utilisé comme tel. 

 

 
  
 
La prothèse en bois et en cuir permet une sorte d’articulation à l’avant du pied. © Jacqueline Finch, The Lancet

L’autre en bois

Un second objet, également retrouvé dans la nécropole de Thèbes en 2000, ressemble au précédent, mais en plus élaboré. Formé de trois éléments raccordés entre eux (deux en bois, le troisième étant probablement en cuir), l’objet présente une certaine flexibilité. Suffisamment pour envisager qu’il puisse reproduire l’articulation métatarsophalangeale (entre les métatarses et les phalanges), tout en assurant une stabilité de l’orteil grâce au plat de sa face inférieure.
Cette fois-ci, la prothèse avait été retrouvée attachée au pied d’une femme momifiée (datant de 950 à 710 ans avant notre ère), laissant peu de place au doute quant à la fonction de l’objet. La momie avait été identifiée comme étant Tabaketenmut, la fille d’un prêtre qui aurait été atteinte de diabète et aurait perdu son orteil par gangrène.
Elles permettent de mieux marcher

 

Alors que les embaumeurs de corps rajoutaient du sable, du plâtre ou de la boue pour combler les éventuels membres manquants sur les momies, ces deux prothèses semblent bien trop perfectionnées pour n’avoir eu comme fonction que d’habiller un mort. L’hypothèse selon laquelle elles auraient réellement permis à leur propriétaire de mieux marcher a donc été testée, en prenant en compte les critères de fonctionnalité des prothèses (facilité d’utilisation, résistance et amélioration du mouvement).
À la demande de Jacqueline Finch, deux personnes amputées de leur orteil droit ont participé au test grandeur nature de ces prétendues prothèses, en portant des reproductions associées à des sandales égyptiennes. Handicapé par la perte de son gros orteil (qui soutient habituellement environ 40 % du poids du corps à chaque pas et permet la propulsion), l’un des deux volontaires a pu marcher « extrêmement bien » avec chacune des deux prothèses. Elles ont également été jugées confortables, en particulier celle en bois. Ces résultats, publiés dans The Lancet, semblent donc confirmer le rôle de ces objets, ce qui ramène à la confection de prothèses il y a presque 3.000 ans !

http://www.futura-sciences.com

Quand le Canada devient le refuge des chihuahuas californiens


Je trouve que les vedettes aux USA devraient faire attention a actes quand ils sont en public .. Trop de gens perdent la tête et veulent a tout prix les ressembler ce qui est bien dommage. Comme ces animaux qui ne sont pas considérer comme des êtres vivants mais comme des accessoires, je trouve qu’on devrait protester contre cette façon de faire qui met les animaux dans de fâcheuses situations Désolée mais ce ne sont pas des bébelles
 
Quand le Canada devient le refuge des chihuahuas californiens

 
 Quand le Canada devient le refuge des chihuahuas californiens

Le nombre de chihuahuas est estimé à plus de 60 000 à Los Angeles, où les visiteurs sont souvent étonnés du traitement luxueux auquel ont droit ces chiens miniatures, cajolés comme des bébés dans la rue, les cafés et les bars.
Photo: Shannon Stapleton, Reuters

Agence France-Presse
Long Beach, Californie
 
Les starlettes ont lancé la mode, et les chihuahuas sont désormais partout à Los Angeles… tant et si bien que beaucoup sont abandonnés et qu’une généreuse philanthrope a proposé de les sauver en organisant un pont aérien avec le Canada.

«À Los Angeles tout particulièrement, nous faisons face à une surpopulation de petits chiens, dont beaucoup de chihuahuas, car les gens pensent qu’un petit chien, c’est facile à garder chez soi», explique Madeline Bernstein, qui participe à l’opération de sauvetage.
 
Le phénomène n’a fait que s’amplifier après la sortie de films ayant des chihuahuas pour héros, comme Legally Blonde (La revanche d’une blonde) ou Beverly Hills Chihuahua (Le chihuahua de Beverly Hills), souligne Madeline Bernstein, membre de la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux de Los Angeles (SPCALA).
 
Et la mode s’est emballée quand «un nombre important de jeunes célébrités comme Paris Hilton ou Britney Spears ont commencé à sortir en arborant ces petits chiens comme accessoires», explique-t-elle à l’AFP.
«Le problème, c’est que ce ne sont pas des accessoires, ce sont des chiens. Ils font caca, ils font pipi et il faut s’en occuper… mais les jeunes les considèrent comme s’ils étaient de jolis sacs, avant de s’en lasser et d’abandonner leur chien dans la rue ou dans un refuge».
 
Le nombre de chihuahuas est estimé à plus de 60 000 à Los Angeles, où les visiteurs sont souvent étonnés du traitement luxueux auquel ont droit ces chiens miniatures, cajolés comme des bébés dans la rue, les cafés et les bars.
 
Leurs propriétaires ont à leur disposition un nombre incalculable d’instituts de soins, de boutiques et même d’écoles de yoga pour chiens, à des prix tellement prohibitifs qu’on comprend aisément pourquoi les pauvres petites bêtes finissent abandonnées.
 
Mais les défenseurs des animaux ne comptent pas rester sans réagir. C’est pourquoi Madeline Bernstein et tout un groupe d’amis des chiens ont organisé récemment le voyage à bord d’un avion de 60 chihuahuas de Long Beach à Edmonton, au Canada.
 
Candy, Kobe, Sadie, Winnie, Taylor, Troudy faisaient partie des passagers de ce vol de trois heures vers des contrées beaucoup moins tempérées que Los Angeles.
 
Les vols «Air Chihuahua» organisés par SPCALA existent depuis décembre 2009, vers des destinations variées comme le Colorado, le Texas ou la Floride. Mais le vol pour Edmonton, d’un coût de 40 000 dollars, constituait la première opération de secours internationale du genre.
 
À l’initiative de l’opération: Jan Folk, femme d’affaires et philanthrope canadienne et accessoirement propriétaire de l’avion. Elle explique qu’en Californie du sud, les refuges doivent accueillir chaque jour énormément d’animaux abandonnés.
 
Les responsables de ces refuges «estiment qu’ils n’ont pas d’autre choix que de les euthanasier au bout du compte s’ils ne sont pas transférés ailleurs», explique-t-elle à l’AFP sur le tarmac de l’aéroport de Long Beach, dans la banlieue sud de Los Angeles.
 
À Edmonton, «beaucoup de gens sont prêts à accueillir les chiens venant de Californie car ils savent que beaucoup d’entre eux proviennent d’usines à chiots ou de vendeurs chez qui ils vivaient dans des conditions affreuses», dit-elle. «En fait, les gens prêts à les adopter font la queue au refuge d’Edmonton en attendant leur arrivée», assure-t-elle.