Le bon grain


C’est comme quand on veut améliorer une situation peut importe le gestes on ne sait jamais quand cela va aboutir en quelque chose de plus grand

 
Le bon grain 
 

C’est à force de répandre le bon grain qu’une semence finit par tomber dans un sillon fertile.
 
Jules Verne 

La Rose, l’Aubépine et le Lys


Qand on rencontre des personnes on remarque en premier l’aspect extérieur et souvent ce qui porte un peu plus notre attention ce sont les défauts ..dont nous portons trop facilement des jugements ..et pourtant chacun a des défauts mais c’est ce qui fait de nous notre histoire, notre caractère … nous devrions voir si les qualités sont plus grands que ces petits défauts
  
La Rose, l’Aubépine et le Lys
 
 
 
Photo : linternaute.com © Eric VINET
 
L’histoire dit qu’un vieux philosophe avait l’habitude de se réunir avec les gens pour leur enseigner des leçons de vertu et de droiture, qu’il tirait des fleurs et des arbustes qui poussaient si abondamment dans ce pays (le Japon). 
  
Un matin, après son intervention, le vieux philosophe fut abordé par un ouvrier qui lui dit : 
 
« Ce soir, en revenant de votre promenade, voudriez-vous, s’il vous plait, m’apporter une rose pour que je puisse étudier son étamine et ses pétales, et voir la leçon que vous nous avez donnée hier soir ? » 
   
« Je te donnerai la rose ce soir » dit le vieux philosophe. 
 
Un second l’aborda et lui dit : 
 
« Voudriez-vous, s’il vous plait, m’apporter un rameau d’aubépine pour que je puisse poursuivre mon étude ? » 
 
« Je t’apporterai un rameau d’aubépine » 
 
Un troisième lui dit : 
 
« Voudriez-vous, s’il vous plait, m’apporter un lys pour que je puisse apprendre la leçon de pureté ? » 
 
Après les heures de travail, les trois hommes se trouvaient à la porte pour rencontrer le philosophe. Au premier il donna la rose, au deuxième le rameau d’aubépine et au troisième le lis comme il le leur avait promis. 
 
L’homme à la rose dit tout à coup : « Oh ! Il y a une épine sur la tige de ma rose ! » 
 
Et le deuxième dit « Et il y a une feuille morte sur mon rameau d’aubépine ! » 
 
Quant au troisième, encouragé par les remarques de ses compagnons :  « Il y a de la terre à la racine de mon lys ! » 
 
« Faites-moi voir » dit le vieux prophète. Et il prit la rose en premier, le rameau d’aubépine en second puis le lis en troisième. Il arracha l’épine de la rose et la donna au premier. Il ôta la feuille morte du rameau d’aubépine et la rendit au second. Il enleva la terre de la racine du lys et la mis dans les mains du troisième. Tenant la rose, le rameau d’aubépine et le lys, il dit : 

 
« Voilà, chacun de vous a ce qui l’a attiré en premier. Vous pouvez les garder maintenant et je garderai la rose, le rameau d’aubépine et le lis pour la beauté que je vois en eux. » 
 
 
Auteur inconnu 

Le saviez-vous ► Comment les chauves-souris savent-elles que la nuit tombe ?‏


Pas évident de se réveiller dans la noirceur d’une caverne pour aller se nourir quand le jour laisse sa place a la nuit …. 


Comment les chauves-souris savent-elles que la nuit tombe ?

 

Grâce à un cadran interne situé dans leur cerveau. Des neurones spécialisés agissent comme un véritable système d’engrenage d’horloge.
  
Lorsque le soleil se couche, un gène démarre le cycle et comme des dominos qui tombent l’un à la suite de l’autre, les autres gènes s’activent, réveillant les cellules nerveuses pour une tâche spécifique : sécréter des hormones dans l’organisme de la chauve-souris pour le préparer à une nuit de chasse et d’activité.
 
Quand arrive l’autre, le processus s’inverse et la chauve-souris sait qu’il est l’heure du dodo. L’évolution a fait en sorte que ce cadran moléculaire tourne sur un cycle de 24 heure.

La Semaine/ oct 2010 

Gens de la Terre


Il y a des gens dans quelques coins dans le monde qui vivent presque comme nous on essaie d’ajuster l’environnement a notre facon de vivre Alors que d’autres c’est eux qui font communion avec l’environnement et c’est peut être eux qui sont les plus choyés par la Terre


Gens de la Terre

Le glas de la pièce d’un cent a-t-il été sonné?


 

Ce n’est pas encore pour aujourd’hui qu’on verra disparaître le sou noir .. mais quand on calcule le prix pour qu’elle soit en circulation .. on pense bien qu’il serait plus avantageux de la délaissé mais quand ?? C’est une histoire a suivre …  N’oubliez pas que sou noir de 2006 non émanté ayant un P en dessous du visage de la reine vaut entre 100 a 300 $ tout dépend de la conservation de la cenne
 
Le glas de la pièce d’un cent a-t-il été sonné?
 
 
OTTAWA – Le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, admet que la pièce de monnaie d’un cent n’est pas promise à un brillant avenir.
 
M. Flaherty a indiqué mardi à Ottawa qu’il avait pris connaissance du rapport du comité sénatorial recommandant l’abolition de la pièce d’un cent, et que son ministère examinait la question.
 
Il a ajouté que cette pièce de monnaie n’a probablement pas beaucoup d’avenir, la qualifiant même de nuisance pour plusieurs Canadiens.
 
Le ministre des Finances a toutefois précisé que le gouvernement fédéral n’était pas encore disposé à retirer de la circulation la pièce d’un cent, faisant valoir qu’Ottawa n’avait pas encore pris de décision à ce sujet.
 
Dans un rapport remis en décembre, le Comité sénatorial des finances a conclu que la pièce d’un cent avait depuis longtemps perdu son utilité. Selon ses calculs, les coûts associés à la frappe et à la distribution excédent la valeur même de la pièce d’un cent.
 
Selon le Mouvement Desjardins, les coûts pour la frappe, l’entreposage, le transport et les autres dépenses associées à la pièce d’un cent s’élèvent à 130 millions $ par année.
 

Criminologie ► Une preuve solide entraîne un plus haut taux de confessions


Je pense que cela ne surprendrait personne que plus les preuves sont solides, le criminel avoue plus facilement … ce qui peut nous surprendre par contre c’est quand les preuves sont moins fortes … le statue de la personne, un récidiviste ou non, l’art de l’interrogatoire … peut être des facteurs entrainant ou non des aveux
 
Criminologie ► Une preuve solide entraîne un plus haut taux de confessions
 

Menottes

 
Des chercheurs de l’École de criminologie de l’Université de Montréal ont découvert que, plus une preuve incriminant un suspect est solide, plus il y a des chances que ce dernier se confesse.
 
Nadine Deslauriers-Varin, chercheuse principale, et Michel St-Yves, psychologue judiciaire et chargé de cours, ont observé 221 prisonniers d’un pénitencier fédéral accusés de crimes très graves (voies de fait graves, agression armée, meurtre, etc.) et discuté avec eux.
 
« Quand la preuve est solide, le taux de confessions augmente, peu importe les facteurs sociodémographiques ou criminologiques », lit-on dans le communiqué de l’Université de Montréal.
 
Toutefois, si la preuve semble moins forte, les policiers obtiennent un taux de confessions plus élevé si les prévenus sont célibataires, qu’ils possèdent des antécédents judiciaires et qu’ils ont été condamnés pour un crime plus grave ».
 
Confession une fois sur deux
 
Parmi les prisonniers évalués, 45 % ont affirmé avoir avoué leur crime, ce qui est légèrement inférieur au taux de 50 % affiché dans d’autres recherches.
 
Les chercheurs estiment que cette différence dans les pourcentages peut s’expliquer par le fait que les prisonniers qui ont participé à leur étude étaient déjà incarcérés pour des crimes très graves.
 
De plus, le taux de confessions se chiffrait à 80 % s’il s’agissait de premiers délits, comparativement à 51 % dans les cas de récidives, ont-ils écrit dans Justice Quarterly, une publication évaluée par les pairs.
 
Quand la culpabilité joue un rôle
 
D’autres études ont par le passé démontré que la façon dont le policier mène un interrogatoire a aussi une incidence sur la confession. S’il parvient à faire ressentir de la culpabilité au suspect, les chances d’obtenir une confession grimpent.
 
« La confession repose principalement sur la façon dont l’interrogatoire est mené, et c’est tout un art », fait remarquer Michel St-Yves à propos de ces études.
 
 « C’est en effet un art qui doit être pratiqué avec doigté, puisque l’accusé n’est jamais obligé de répondre aux questions et que toute approche coercitive de la part des policiers peut conduire au rejet de la preuve. »
 

http://www.radio-canada.ca

Amie avec notre ado sur Facebook


Que ce soit sur facebook ou tout autre réseaux sociaux, le fait d’être parmi les contacs de nos enfants est privilège. Je n’écrit pas beaucoup sur le espaces … je fais attention a mes élans maternelles, c’est pas tout le monde qui sait que je suis la mere … sauf si eux en écrivant disent eux-meme maman …
 
Amie avec notre ado sur Facebook
 
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Nathalie Vallerand, Coup de pouce

On ne voit aucun problème à ce que notre ado soit sur Facebook… à condition qu’il nous accepte comme amie? Quelques conseils pour être une bonne « amie-maman »!

Julie a posé une condition pour que ses jeunes de 13 et 14 ans puissent avoir un profil Facebook: l’accepter comme amie.
 
«Le seul fait que je puisse voir leurs propos et les photos qu’ils affichent les incite à faire attention.»
Quant à Anne, amie sur Facebook avec sa fille de 15 ans, elle considère cela comme un privilège.
 
«C’est un signe de confiance. Plusieurs jeunes ne veulent pas que leurs parents mettent le nez dans leurs affaires.»
 
Une règle d’or: quand on est amie avec notre ado sur ce réseau social virtuel, on se fait discrète.

 
Nos conseils:

1.  Sur son mur, on écrit peu… ou pas du tout.

Ce qu’on y écrit peut être lu par tous ses amis. Les mots doux ou les remontrances sont donc à proscrire, si on veut éviter de l’embarrasser. De même, on limite nos commentaires sur son mur et on ne participe pas aux discussions avec ses amis. Si on tient à réagir à l’un de ses statuts, on utilise plutôt la messagerie privée de Facebook. Il publie quelque chose d’inapproprié? On lui en parle en personne.

2. On supervise, sans espionner

On jette un oeil sur son profil à l’occasion, pas tous les jours. Aussi, on ne passe pas notre temps à lui parler de ce qu’on a lu ni à le questionner pour en savoir plus.

3. Ses amis ne sont pas nos amis

On n’envoie pas de demandes d’amitié aux copains de notre jeune. Jamais. Mais on peut accepter l’invitation de l’un d’eux.

http://www.coupdepouce.com