Communiquer


 

Prendre le temps de parler pour etre mieux compris, laisser le temps d’écouter pour mieux comprendre les autres et puis il faut des silences pour écouter
 
Communiquer
  

 

 
Communiquer suppose aussi des silences, non pour se taire, mais pour laisser un espace à la rencontre des mots.
  

 Jacques Salomé

 

 

 

On se fait un film !?


Nous sommes des êtres vivants qui parlent beaucoup mais ne savent pas écouter.. Nous croyons souvent que nous savons ce que pensent l’autre alors nous inventons les événements, les situations et pourtant la réalité serait tout autre .. si nous avions pris le temps de communiquer .. non pas un monologue, mais un dialogue, une discussion entre deux ou plusieurs personnes, C’est fou que le monde serait plus compréhensible si nous savions seulement échanger avec les autres ..
 
On se fait un film !
 
 
  
Vous est-il déjà arrivé de rentrer dans un restaurant, vous asseoir, passer votre commande et constater que le couple qui est entré bien après vous… est servi avant vous ! 
 
Vous n’avez de cesse de vous demander ce qu’ils peuvent bien faire « ces incapables » ! 
 
D’où leur vient cette maladresse et l’inorganisation de vous oublier !  
 
Vous les observez manger, et vous attendez, attendez… A chaque fois que vous voyez le garçon, vous l’interpellez pour attirer l’attention sur l’endroit vide en face de vous et il vous répond en courant : « ça vient monsieur, ça vient »… Vous vous impatientez de plus en plus, vous avez interpellé le serveur à chacun de ses passages où il vous a répondu à chaque fois : « votre plat arrive, monsieur ». 
 
Jusqu’à ce que vous constatez que le temps à continué sa course, et que ce couple vient de finir de manger ! Quel culot ! Vous envisagez de faire appel au patron, vous voulez exprimer votre frustration, votre colère, votre faim aussi accessoirement… Vous ne le tolérerez pas plus longtemps ! 
 
Le serveur file devant vous, vous montez le ton (parce que vous ne vous fâchez jamais) : « et ma commande ! ». 
 
« Elle arrive, monsieur » rétorque-t-il tout paniqué. 
 
C’est alors que vous vient l’idée de génie de lui poser une autre question : 
 
« Mais pourquoi est-ce si long ? ». 
 
Le serveur marque un temps d’arrêt et vous explique : « ces personnes ont commandé le menu rapide. Le vôtre dépend du chef et il est débordé en ce moment parce que nous avons aussi une réception dans la salle d’à côté. Je suis désolé de vous avoir fait patienter si longtemps. » 
 
Subitement, votre colère fait place à la compréhension. Cette réponse donne une toute autre dimension à ce que vous avez ressenti. Vous avez peut-être même un peu honte d’avoir jugé hâtivement tout le personnel de l’établissement. 
  
Dans cette histoire, la tentative de communiquer s’est soldée par un échec parce qu’il n’y avait pas de place pour la compréhension de la situation. Vous vous êtes limité à observer de votre table une situation dont vous ne connaissiez pas tous les tenants et aboutissants. En plus, c’est vous qui aviez commandé un menu plus élaboré… 
 
Dans des moments de conflits, la communication devient un mirage. Nous cherchons souvent à nous faire comprendre, à culpabiliser l’autre ou à l’intimider. Le conflit ne peut alors que s’amplifier jusqu’à atteindre un niveau inégalé la fois précédente… 
 
La force de la communication puise son dynamisme dans le partage et le désir de comprendre. C’est un dialogue, c’est interactif. 
 
En soit, la communication ne résout rien, c’est le désir de comprendre l’autre qui enrichit les relations alors qu’à l’inverse, l’incompréhension est la « gangrène » de la relation : cela fini souvent par une rupture… 
 
Entretenir une communication bilatérale demande beaucoup d’énergie. Ce qui nourrit la communication, c’est le désir sincère de d’abord vouloir comprendre l’autre avant de se mettre sur la « défensive ». 
 
Il m’est arrivé de rencontrer des couples qui ne savaient communiquer qu’en criant, en s’insultant, culpabilisant l’autre et surtout en lui disant « il (elle) ne m’écoute jamais ! » ou « de toute façon, je sais ce qu’il (elle) pense ! ». L’homme et la femme vivent leurs émotions de façon très différentes dans leurs perceptions et sensibilités. L’homme et la femme ont besoin d’un décodeur pour se comprendre semble-t-il. Ce décodeur est pourtant bien simple c’est l’écoute pour comprendre avant de forcer « l’autre à me comprendre ». 
 
Il arrive qu’on confonde comprendre avec « être d’accord ». On peut comprendre quelqu’un sans pour autant être d’accord avec ce qu’il exprime. Pour ce dernier, le comprendre est synonyme de consentement. Comprendre ne veut pas dire « accepter ». En revanche « respecter » est de rigueur. Le respect du ressenti de l’autre est un élément majeur dans la compréhension. C’est faire preuve de tolérance, d’empathie, de respect, d’amour. Au fond, il existe plusieurs perceptions des choses, la vôtre n’est pas la seule. Parti de cet état de fait, cela motive la compréhension. 
 
D’autres fois des couples sont convaincus de faire tout ce qui est en leur pouvoir pour « sauver » leur relation. Et chacun de son côté est convaincu de faire sa part. Et c’est justement là où le bas blesse… le couple travaille chacun « de son côté » sans avoir pris le temps d’aligner leur vision sur le problème et la résolution. Chacun, individuellement, travaille à « sa » solution que l’autre… ne comprend pas. Une spirale infernale s’amplifie, accompagnée de frustrations, d’incompréhension, de rejet, d’isolement émotionnel, de solitude dans le couple. Rien de pire que de se sentir seul(e) dans un couple ! Et vous savez quoi ? Le pire, c’est qu’ils ont souvent tous les deux raison ! Personne ne doute qu’ils mettent toute leur énergie à sauver leur couple, tous deux parlent peut-être de la même chose sans s’en rendre compte. Je compare cela souvent à une voiture en panne. On la pousse pour la faire redémarrer, seulement voilà, l’un pousse derrière alors que l’autre pousse devant. La voiture reste immobile, les efforts sont là, tous deux sont épuisés et se reprochent de ne rien faire alors qu’à leurs yeux… ils font quelque chose !!! 
 
C’est alors qu’il est important de « synchroniser » le couple de « recentrer » leur vision, leur perception avec respect et volonté sincère de d’abord comprendre le conjoint. Il faut prendre le temps de réaliser qu’il faut pousser la voiture tous les deux dans la même direction. Même si c’est à l’envers, eh bien tant pis, poussez-la à l’envers ! Vous remarquerez bien tôt ou tard qu’il faut, ensemble, changer de position. Vous risquez même d’en rire ! L’énergie utilisée sera la même, mais vous l’aurez dépensée ensemble, dans la même direction, parce que vous avez pris le temps de vous comprendre mutuellement. Vous n’avez pas gaspillé l’énergie à vous disputer, à vous faire des reproches. La plupart des tension, dans un couple ou dans une autre relation même commerciale ou professionnelle, proviennent des malentendus. Il y a cette fâcheuse tendance de vouloir toujours se défendre par peur de se faire agresser alors qu’il n’en est rien. La société a démocratisé la susceptibilité en entretenant des sentiments constants d’obligation de performance et de comparaisons. Nous en reparlerons une autre fois. 
 
Que pouvons-nous faire alors pour améliorer la compréhension ? 
 
Pour mieux comprendre les autres, il est indispensable de se comprendre mieux soi-même. 
 
Souvenons-nous et acceptons que l’homme et la femme perçoivent les choses différemment. 
 
Réalisez que votre « sagesse » peut vous faire défaut et que les apparences peuvent être trompeuses. Ce que vous interprétez peut signifier autre chose chez l’autre ! Ne projetez pas vos propres (ré)actions sur les autres ! Un plissement des lèvres de quelqu’un peut signifier autre chose que si vous l’aviez fait vous-même. C’est l’expression de son émotion et non le reflet de la vôtre. Acceptez cela, cela vous simplifiera la vie !
 
Ayez conscience que ce qui peut vous paraître simple ne l’est pas systématiquement pour les autres. Soyez patient. 
 
Faites attention aux mots. Leur puissance diffère chez chaque individu. Ce qui peut vous paraître anodin peut blesser quelqu’un d’autre qui ressentira ce mot différemment que vous. 
 
Admettez que ce qui est bon pour vous ou une bonne idée pour vous ne l’es pas obligatoirement pour un(e) autre. 
 
Tenez compte que nous parlons tous différemment. Même si la langue est la même, les mots sont perçus de façon unique. Le mot « chien » n’aboie pas (à méditer). 
 
Pour conclure, l’amour ne peut s’alimenter que par le partage dans tous les sens du mot. Et ce partage commence par le désir de vouloir comprendre l’autre et de faire preuve de tolérance. 

  

Michel Poulaert  

Truc express ► Bien nettoyer son réfrigérateur‏


Le réfrigérateur est bien pratique mais il demande un minimum d’entretien qui en plus d’éliminer le plus possible les bactéries et les mauvaises odeur permettra d’une plus longue durée de vie 
 

Bien nettoyer son réfrigérateur
 

Étant donné que votre réfrigérateur n’est pas à l’abris des bactéries, il est essentiel de le nettoyer régulièrement.

Vous devez le nettoyez toutes les semaines ou toutes les deux semaines, si les produits entamés sont correctement emballés. Le mieux est de le nettoyer lorsqu’il est presrque vide, donc avant de faire vos courses.

Pour le nettoyage intérieur, utilisez un mélange d’eau et de vinaigre. Frottez avec une éponge et séchez tout simplement avec un chiffon propre. Vous n’avez pas besoin de rincer. Surtout, évitez d’utiliser des produits ménagers. Ils peuvent être toxiques s’ils ne sont pas bien rincés et dégagent une forte odeur qui peut s’imprégner dans les aliments. N’utilisez  pas d’eau de Javel.

Quand à l’extérieur de votre réfrigérateur, lavez tout simplement à l’eau savonneuse. N’oubliez pas de passer de temps en temps un coup d’aspirateur sur la grille arrière du réfrigérateur (le condenseur). La poussière a tendance à s’y accumuler, ce qui empèche une bonne évacuation de la chaleur de votre appareil .

la semaine / Nov 2010 

C’est la Semaine de la prévention du suicide


Le suicide est un choix d’un non retour … et ceux qui reste pour la plupart n’ont pas vue cela venir ni compris les raisons de ce geste irrémédiable .. Chez nos jeunes, certains trouverons la vie difficile que leur selon eux le seul issus sera le suicide. La prévention, le dialogue demeure le meilleur moyen pour l’éviter .. autant chez nos ados que tous les groupes d’âges
 
C’est la Semaine de la prévention du suicide

 
MONTRÉAL – La Semaine de la prévention du suicide s’amorce dimanche, au Québec.
Suicide Action estime qu’il faut poursuivre les opérations de sensibilisation de la population sur ce fléau qui continue de faire un nombre important de victimes chaque année.

En 2009, au Québec, 1068 personnes se sont enlevées la vie.

Cette année, la Fédération des cégeps joint sa voix à celle des groupes et organismes qui travaillent à la prévention du suicide. La majorité des quelque 173 000 étudiants inscrits cette année au cégep appartiennent au groupe d’âge des 15-24 ans, au sein duquel un tiers des décès est attribuable à un suicide.

La présidente du Réseau intercollégial des intervenants psychosociaux et directrice des services aux étudiants au Cégep de Sherbrooke, France Turgeon, souligne que la prévention du suicide et la promotion de la santé mentale chez les jeunes sont des enjeux prioritaires.

Les cégeps ont mis en place, au cours des dernières années, plusieurs mesures concrètes visant la prévention et l’intervention auprès des étudiants.

http://actualites.ca.msn.com 

Trop de propreté peut nuire à la santé des filles


Chez nous quand nous étions petits nous avons jouer dans le sable, dans une vieux cabanons avec pleins de trucs rouillée, dans la bouette … Je suis d’avis qu’il est vrai qu’il est important de laissé jouer les filles et de se salir .. comme maman disait nous ne sommes pas fait en chocolat

 
Trop de propreté peut nuire à la santé des filles
 

Les jeux salissants à l’extérieur contribuent au développement du système immunitaire des enfants.

Une philosophe américaine se demande si le fait d’apprendre aux petites filles à être propres et coquettes ne serait pas mauvais pour leur santé à long terme, en augmentant les risques d’asthme, d’allergies et de maladies inflammatoires comme la maladie de Crohn ou la polyarthrite rhumatoïde.
 
Dans sa nouvelle étude publiée dans le journal Social Science and Medicine le 26 janvier, la philosophe Sharyn Clough, de l’université Oregon State, fait remarquer que les femmes sont davantage susceptibles de souffrir de ces maladies, mais qu’on ne sait pas pourquoi.
 

«Les filles s’habillent davantage dans des tenues qui ne doivent pas être sales, elles jouent plus à l’intérieur que les garçons, et leur temps de jeu est plus souvent surveillé par les parents», affirme Clough.

 

«Il y a une grande différence dans le type de microbes auxquels les garçons et les filles sont exposés, et ceci pourrait expliquer certaines des différences en matière de santé entre les hommes et les femmes».

 
Une étude récente de l’université d’Harvard a découvert qu’être trop propre était mauvais pour la santé des enfants, et qu’être exposé aux bactéries pouvait aider à prévenir l’asthme.
 
Aux États-Unis, l’US Center for Disease Control and Prevention note que l’asthme est plus fréquent chez les femmes, et les statistiques de l’Institut national de santé montrent que les femmes sont trois fois plus touchées que les hommes par les maladies auto-immunes.
 
Pour Clough, une solution toute simple serait d’encourager les jeux à l’extérieur pour les filles et les garçons, même si cela signifie que votre enfant doit se salir.
 

«Je suis tout à fait pour que tout le monde, fille ou garçon, passe le plus de temps possible à l’extérieur dès son plus jeune âge», a-t-elle affirmé.

http://sante.canoe.com 

Étude: écrire des textos améliorerait l’écriture et la lecture des jeunes


Je ne suis pas convaincu .. sauf peut-être l’art du décodage des textos car c’est pas toujours facile a comprendre mais bon ..

 
Étude: écrire des textos améliorerait l’écriture et la lecture des jeunes
 

 
Aude Boivin Filion, 
 
L’une des habitudes les plus répandues chez les adolescents et les plus jeunes, l’envoi de minimessages depuis leur téléphone, pourrait finalement leur être avantageuse d’un point de vue scolaire.
 
Une étude menée par l’université de Coventry, auprès de 114 jeunes âgés de 9 et 10 ans, démontre que le fait de détenir ou d’avoir accès à un téléphone améliore leurs aptitudes littéraires. En effet, l’utilisation d’abréviations ou de termes propres à l’écriture des textos soutiendrait leurs compétences en écriture, en lecture et en orthographe. 
 
Pour discerner les bienfaits de l’envoi de textos sur la qualité de l’écriture, les chercheurs ont sélectionné des jeunes n’ayant jamais utilisé de téléphone. Seule la moitié des 114 jeunes s’est fait prêter un mobile dans le cadre de l’étude. 


Les résultats de leur étude sont éloquents: les chercheurs ont démontré qu’après avoir texté pendant une certaine période de temps, les jeunes avaient significativement de meilleures notes dans des tests de lecture et d’orthographe. Néanmoins, les chercheurs nuancent leurs résultats. 


L’amélioration perçue dans les aptitudes en lecture et en écriture des jeunes ne serait pas attribuable à l’action de texter à proprement dit, mais bien à ce qu’ils appellent le «textisme». Ce concept fait référence à la nature phonétique propre aux minimessages, exigeant des compétences en encodage et en décodage pour déchiffrer les textos des amis, qui sont ensuite transposées sur des tâches scolaires. 

http://techno.ca.msn.com