

Il faut arroser les souvenirs comme des fleurs en pot et cet arrosage exige un contact régulier avec des témoins du passé, c’est-à-dire avec des amis.
Il faut arroser les souvenirs comme des fleurs en pot et cet arrosage exige un contact régulier avec des témoins du passé, c’est-à-dire avec des amis.
Des fois nous rageons contre les animaux sauvages qui viennent mettre la pagailles dans nos poubelles … alors qu’il suffirait de peu pour éviter certains drames envers ses animaux … Nous devons être responsables de la gérance de nos déchets
Éloignez les ratons laveurs
Brossez votre chien et récupérez ses poils pour les mettre au fond de votre poubelle. Cela devrait éloigner les importuns
La semaine / Nov 2010
Goelands et claquettes
La Nina a provoqué son lot d’inondations dévastatrices au cours des dernières semaines, notamment en Australie et en Chine (photo).
Photo: Reuters
Agence France-Presse
Genève
Le phénomène climatique La Niña, réapparu durant l’été 2010, est un des «plus puissants du siècle écoulé» et devrait durer encore jusqu’en avril/mai avant de s’affaiblir progressivement, a annoncé mardi l’Organisation météorologique mondiale (OMM).
«Par ses manifestations atmosphériques, cet épisode est l’un des plus puissants», indique l’OMM dans un bulletin.
«Ses effets les plus importants enregistrés ces derniers mois sont les inondations dévastatrices en Australie», a précisé le chef des services du climat de l’OMM, Rupa Kumar Kolli, en conférence de presse.
L’épisode actuel de La Niña est aussi responsable, selon l’OMM, d’«une pluviosité nettement excédentaire dans certaines régions d’Indonésie et d’Asie du Sud-Est».
«On impute également à l’actuel Niña les précipitations supérieures à la moyenne observées en Afrique australe et le déficit pluviométrique constaté dans l’est de l’Afrique équatoriale, dans la partie centrale de l’Asie du Sud-Ouest et dans le sud-est de l’Amérique du Sud», précise l’OMM.
Pour l’Europe, l’influence des deux phénomènes sur le climat n’est toujours pas avérée scientifiquement, selon l’OMM.
L’organisation basée à Genève explique par ailleurs que «presque tous les modèles numériques prévoient la persistance de l’actuel épisode La Niña pendant au moins les 2 à 4 prochains mois, c’est-à-dire jusqu’à la fin du premier trimestre de 2011, voire au-delà (avril ou début mai)».
Après, «l’intensité du phénomène va probablement décroître» et «au-delà, l’évolution du cycle El Niño/La Niña est incertaine», souligne l’organisation.
À l’opposé d’El Niño, La Niña se caractérise par une baisse des températures moyennes sous la surface de la mer dans le centre et l’est du Pacifique équatorial.
El Niño, qui a dominé depuis plus de deux ans, a été remplacé par La Niña en juin/juillet dernier.
Les variations de température que ces phénomènes provoquent sont étroitement corrélées avec d’importantes fluctuations du climat observées dans le monde entier. Une fois installés, ils persistent généralement neuf mois, voire davantage.
“L’aspiration buccale avait causé un traumatisme à l’intérieur du vaisseau. Il y avait un caillot dans l’artère”, explique le Dr Teddy Wu, qui a traité la patiente au Middlemore Hospital d’Auckland.
“Nous n’avons trouvé aucun cas similaire dans la littérature médicale”, indique M. Wu, cité par Stuff.co.
Quatre personnes ont été hospitalisées lundi à Espoo après avoir été intoxiquées par les émanations extrêmement irritantes de piments calcinés oubliés dans un four, a-t-on appris auprès des services de secours de cette ville du sud de la Finlande.
«Les secouristes ont été obligés d’utiliser des masques à gaz pour atteindre les étages supérieurs de l’immeuble d’où se dégageait l’odeur», a expliqué à l’AFP un porte-parole des services de secours, Mika Mäkelä, précisant que l’odeur sans fumée rappelait le gaz lacrymogène.
D’ailleurs, le premier secouriste à être entré dans l’immeuble a ressenti de gros troubles respiratoires avec de fortes quintes de toux.
À l’intérieur de l’appartement en cause, les secours ont découvert un four rempli de piments complètement calcinés, oubliés par la propriétaire.
Celle-ci s’était réfugiée avec sa fille sur le balcon. Aucune des deux n’a eu besoin d’être hospitalisée.
Aucune des personnes transportées à l’hôpital ne souffrait de grave intoxication, selon les secours.