Amour d’enfant


Quand un enfant dit a son pere ou meme sa mère qu’il l’aime c’est vraiment un amour inconditionnel …
 
 
Amour d’enfant
 
fleur avec des coeurs

Quand une petite fille peut dire à son père: je sais que tu m’aimes papa, mais moi tu vois: je t’amoure. Alors c’est qu’ils s’aiment vraiment. 
 
Jacques Salomé (1935- )

Des influences transformatrices


On dit souvent a une personne qui veut arrêter l’alcool et ou la drogue, de changer d’amis, de changer d’endroit ou il a l’habitude d’aller .. Ce que nous sommes .. dépend de nous et de nos choix et parmis ces choix, c’est aussi le genre de personne que nous fréquentons ..
 
Des influences transformatrices
 

Mesurer sa Twitter influence : petit benchmarking
« Le paradoxe de la condition humaine,
c’est qu’on ne peut devenir soi-même que sous l’influence des autres. »
Boris Cyrulnik

Nous sommes sans cesse influencés par le monde extérieur. Tout ce que nous écoutons, regardons, lisons exerce sur nous une certaine influence, donc consciemment ou inconsciemment nous laissons à tout moment des éléments externes nous transformer. En fait, nous créons notre propre monde émotionnel en nous ouvrant ou nous fermant à toutes sortes d’influences. Par la suite, lorsque des évènements surgissent, nous les interprétons en fonction de ce monde émotionnel que nous nous sommes ainsi créé.

Exemples:

Si vous écoutez quotidiennement les actualités du réseau américain CNN, vous serez influencé par la vision des choses de ce pays. Si vous côtoyez un musicien, vous serez influencé par sa perception artistique de la vie. Si vous faites du bénévolat dans une soupe populaire, vous deviendrez plus sensibilisé au problème des sans abris. Le simple fait de choisir un métier ou une profession vous met en contact pendant des années avec un certain type de personnes et donc vous subissez à répétition leur influence.

Lorsque nous choisissons nos amis, nous choisissons implicitement de les laisser nous influencer. Certains d’entre eux peuvent avoir une influence très bénéfique. Nous sommes tous à divers degrés influencés par la présence de gens heureux. Ceux-ci nous apportent une sensation de légèreté parce que la joie et le bonheur se communiquent. Alors, il est désirable de s’entourer de gens positifs. Il est encore plus désirable d’influencer à notre tour positivement notre entourage en rayonnant la joie.

Observez attentivement ce que vous êtes devenu et vous verrez que certaines des influences que vous avez subies ont été déterminantes. Pour plusieurs d’entre nous, notre famille (nos parents principalement) a laissé une empreinte indélébile en nous. Lorsque nous étions enfants, certains ont choisi pour nous. Maintenant que nous sommes adultes, c’est à nous de faire des choix. En sélectionnant volontairement ce qui nous influence nous pouvons déterminer en partie ce que nous deviendrons.

Si vous voulez vraiment vous transformer, trouvez une personne qui poursuit efficacement depuis longtemps le même idéal que vous et laissez cette personne vous influencer: par un contact direct, par ses livres ou tout autre forme d’interaction qui active son influence bénéfique.

Faites une projection de vingt ans dans le futur. Ce que vous serez devenu sera déterminé en grande partie par les influences que vous aurez subies. Choisissez donc celles-ci avec soin.

« Rapprochez-vous de celui qui suscite en vous le goût de faire le bien, car il est un phare grâce auquel vous pourrez orienter votre vie.  »

Denis St-Pierre

Truc express ► Dégraissez un mur‏


Les murs de la cuisine, en particulier celui près de la cuisinière ont tendancea s’impregner d’une couche de graisse  et fini par meme faire des marques .. alors un petit truc pour minimiser les dégats ..
 
Dégraissez un mur
 

 

Pour enlever la graisse des murs de la cuisine, préparez une pâte avec du bicarbonate de soude et de l’eau.

Appliquez ce mélange à l’aide d’une éponge et laissez agir durant une heure ou deux. Vous n’aurez plus qu’à passer une éponge et vos murs seront impéccables !

La semaine/ Nov 2010 

Les couples se disputent en moyenne 312 jours par an‏


Qu’on soit en en Angleterre ou bien ici au Québec, on s’apperçoit qu’on a plus ou moins les mêmes causes de disputes .. que l’on soit homme ou femme dans un couple .. C’est étrange, je parlais justement de ce sujet avec mon ex mari la semaine dernière (non on ne se chicanaient pas ..) que tant qu’on ne comprendrait pas les différence du fonctionnement d’une femme ou d’un homme et de voir comment devenir compatible et complémentaire ..Les couples continueront a se disputer pour un tout ou un rien

 
Les couples se disputent en moyenne 312 jours par an
 
Les couples se disputent en moyenne 312 jours par an
 
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RelaxNews
 

Les couples se disputeraient en moyenne 312 jours par an, et plus souvent le jeudi vers 20h, selon un sondage mené en Grande-Bretagne auprès de 3000 personnes, selon le site Internet Betterbathrooms.com. Parmi les sujets de discorde qui peuvent faire des étincelles : oublier de rabattre la lunette des WC ou les cheveux retrouvés dans les canalisations.
 
Les personnes interrogées par ce sondage ont concédé que leurs disputes avec leur moitié étaient souvent futiles. Certaines ont même avoué que ces querelles pouvaient conduire à la rupture.
 
Parmi les sujet de discorde qui peuvent agacer les femmes: la lunette des toilettes qui n’est pas rabattue, le rouleau de papier toilette qui n’est pas changé, les lumières qui ne sont pas éteintes après avoir quitté une pièce ou encore le choix du programme de télévision.
De leurs côtés, les hommes sont agacés et peuvent se disputer pour des cheveux restés dans les canalisations, les tâches ménagères ou le temps que passe leur conjointe à se préparer.

L’étude a porté sur une enquête en ligne par le site Internet Betterbathrooms.com, auprès de 3000 internautes.

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Les édulcorants, utiles ou dangereux ?


On n’a tellement cacher le goût naturel des aliments qu’il est difficile de revenir a a ce goût primaire .. nous avons favorisez le sel et le sucre comme dominant .. malheureusement cela a occassionné bien des problèmes de santé alors est venu pour nous sauver les édulcorants  Est-ce mieux ? Le problème c’est surtout notre côté execissif .. l’exagération ..

 
Les édulcorants, utiles ou dangereux ?
  
Parmi les édulcorants «nutritifs», il y a les «sucres» naturels  comme le fructose, et les polyols (sorbitol, xylitol...), un peu moins  sucrants que le sucre, utilisés dans les bonbons ou le chewing-gum et ne  provoquant pas de carie.

Parmi les édulcorants «nutritifs», il y a les «sucres» naturels comme le fructose, et les polyols (sorbitol, xylitol…), un peu moins sucrants que le sucre, utilisés dans les bonbons ou le chewing-gum et ne provoquant pas de carie.

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Agence France-Presse
Paris
 

À haute dose, certains provoquent des problèmes intestinaux, d’autres sont soupçonnés de causer des maladies ou des accouchements prématurés, voire un afflux de graisses sanguines: des médecins et chercheurs doutent de l’utilité des édulcorants et prônent la modération.
 
Visant au départ les seuls diabétiques, les édulcorants font depuis plusieurs décennies les beaux jours des régimes amaigrissants.

Parmi les édulcorants «nutritifs», il y a les «sucres» naturels comme le fructose, et les polyols (sorbitol, xylitol…), un peu moins sucrants que le sucre, utilisés dans les bonbons ou le chewing-gum et ne provoquant pas de carie.

Dépourvus de «dose journalière admissible» (DJA), qui définit un seuil de toxicité, ils peuvent pourtant poser quelques problèmes. Le sirop d’agave, mélange de fructose et de glucose, est déconseillé aux diabétiques. Chez des personnes susceptibles, une consommation excessive de fructose peut augmenter le taux de triglycérides sanguins. A haute dose, les polyols peuvent provoquer des douleurs abdominales et des diarrhées.

Mais ce sont surtout les édulcorants «intenses» qui polarisent les interrogations. Aspartame, saccharine, acésulfame K, sucralose, ils ont un pouvoir sucrant des centaines voire des milliers de fois supérieur à celui du sucre. On les trouve associés entre eux, mais «on a peu d’indications sur leurs effets conjugués», dit le Dr Laurent Chevallier, nutritionniste et membre en France du Réseau environnement santé (Res).

Pour l’aspartame, présent dans plus de 6000 produits, la DJA est de 40 mg/kg de poids corporel/jour. Le seuil paraît élevé, mais «2 canettes + 1 yaourt + 1 crème + 4 cafés + 10 chewing-gums, ça fait déjà 15 mg/kg/jour», note André Cicolella, du Res.

Edulcorant intense naturel, la stevia, 200 fois plus sucrante que le sucre, a envahi le marché. Elle a obtenu un avis favorable de l’Agence sanitaire de l’alimentation (Anses), mais il ne faut pas la chauffer à plus de 100°C et des chercheurs regrettent le manque d’études la concernant.

Deux études récentes accusent les édulcorants intenses. L’une souligne qu’une forte consommation de boissons light par les femmes enceintes augmente le risque d’accouchements prématurés. L’autre confirme les résultats d’études antérieures sur l’impact cancérogène de l’aspartame sur les rats, et maintenant les souris.

Le Dr Chevallier cite le manuel Merck, bible des médecins :
 
«L’absorption modérée d’aspartame pendant la grossesse ne semble entraîner qu’un faible risque foetal». «On veut pas de risque du tout», dit-il.

Sont-ils au moins efficaces pour maigrir ? Selon une étude de 2009, les utiliser peut inciter à manger plus pour être rassasié. Surtout, un produit allégé n’est pas forcément moins riche en calories qu’un produit ordinaire.

 

Hormis pour les boissons, où l’eau remplace le sucre, «quand vous retirez du sucre, vous remplacez par autre chose en termes de masse, comme de l’amidon ou du gras, et la valeur énergétique peut être plus élevée», note le Dr Chevallier.
 
«Vérifiez les étiquettes!», recommande France Bellisle, de l’Institut national de la recherche agronomique (Inra).


Des chercheurs estiment même que les édulcorants font grossir, voire favorisent le diabète. Surtout, ils «encouragent la dépendance au sucre», dit une étude parue dans le Yale Journal of Biology and Medicine.

Nombre de nutritionnistes et diététiciens prônent donc une consommation modérée. Dans les cliniques de Montpellier où il officie, le Dr Chevallier a supprimé la sucrette avec le café. 
 


«Ça se passe très bien», assure-t-il.


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Rien de tel qu’une sieste pour fixer ses souvenirs‏


On comprend beaucoup l’importance d’une sieste durant la journée .. pour mieux apprendre et retenir les matières apprises ..

 
Rien de tel qu’une sieste pour fixer ses souvenirs
 
Rien de tel qu'une sieste pour fixer ses souvenirs
 
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Agence France-Presse
 


Le meilleur moyen de ne pas oublier une poésie ou un théorème que l’on vient tout juste d’apprendre pourrait bien être de faire une sieste, estiment des chercheurs allemands, surpris eux-mêmes de leur découverte.

Leurs expériences, publiées dans la revue Nature Neuroscience, montrent en effet que le cerveau résiste mieux durant le sommeil à tout ce qui peut brouiller ou fausser un souvenir récent que lorsqu’il est en éveil.

Des études précédentes avaient déjà prouvé que la mémoire récente, stockée temporairement dans une région du cerveau appelée hippocampe, ne se fixe pas immédiatement. On sait aussi que la réactivation de ces souvenirs, peu de temps après leur apprentissage, joue un rôle déterminant dans leur transfert vers la zone de stockage permanent, le neocortex, sorte de «disque dur» du cerveau.

Mais en période de veille, cette période de réactivation fragilise la mémoire. Par exemple, apprendre un second poème dans cet intervalle risque fort de rendre plus difficile l’enregistrement du premier dans la mémoire longue.

Partant du principe que le sommeil n’avait aucune influence sur ces processus, Bjorn Rasch et ses collègues de l’Université de Lübeck (Allemagne) ont voulu s’en assurer par une expérience.

Ils ont donc demandé à 24 volontaires de mémoriser 15 paires de cartes figurant des images d’animaux et des objets usuels. Quarante minutes plus tard, la moitié des sujets, maintenus en éveil, ont dû mémoriser une autre série de cartes légèrement différentes.

De leur côté, les douze autres volontaires ont eu le droit de faire une courte sieste avant de mémoriser la seconde série de cartes.

Les deux groupes ont ensuite été testés sur leur capacité à se souvenir de la première série de cartes.

À la grande surprise des chercheurs, ceux qui avaient dormi affichaient un bien meilleur score, se souvenant en moyenne de 85% des cartes, contre seulement 60% pour ceux qui étaient restés éveillés.

«La réactivation des souvenirs a eu des effets complètement différents selon l’état de veille ou de sommeil. Nous pensons que la raison de ce résultat inattendu est que le transfert des souvenirs entre l’hippocampe et le neocortex avait déjà commencé dès les premières minutes de sommeil», explique Susanne Diekelmann, responsable de l’étude.

Après un somme de seulement 40 minutes, une quantité importante de souvenirs était déjà «téléchargée» dans une zone du cerveau où «ils ne pouvaient plus être brouillés par les nouvelles informations traitées dans l’hippocampe», ajoute-t-elle.

Selon Mme Diekelmann, l’effet bénéfique des siestes sur la consolidation de la mémoire pourrait avoir des implications intéressantes pour les activités d’apprentissage intensif, comme l’enseignement des langues étrangères.

Le processus pourrait aussi bénéficier aux victimes de syndrome de stress post-traumatique, une affection qui touche les personnes ayant vécu des situations extrêmes (accident grave, attentat, agression, etc.), en les aidant à reconfigurer leurs souvenirs.

http://www.cyberpresse.ca