
»Le plus lent à promettre est toujours le plus fidèle à tenir. »
Jean-Jacques Rousseau
»Le plus lent à promettre est toujours le plus fidèle à tenir. »
Il avait mis tout son cœur dans ce travail et le lendemain il le remit à son professeur. Deux jours plus tard, il reçut sa copie corrigé. Sur la première page il y avait un grand F écrit à l’encre rouge, et ces quelques mots : “Venez me voir après la classe.”
Le garçon qui rêvait alla trouver son professeur après la classe et lui demanda : “Pourquoi est-ce que j’ai échoué ?”
Le professeur répondit : “C’est un rêve irréaliste pour un garçon comme toi. Tu n’as pas d’argent. Tu viens d’une famille itinérante. Tu es sans ressources. Posséder un ranch de chevaux est une entreprise onéreuse. Il faut acheter la terre. Ensuite il faut beaucoup d’argent pour acheter les premières bêtes du troupeau et plus tard les coûts d’insémination sont exorbitants. Tu n’auras jamais les moyens.” Le professeur ajouta : “ Si tu réécris ce papier en te donnant un but plus réaliste, je vais revoir ta note.”
Les bébés peuvent–ils voir les couleurs ?
La semaine / nov 2010
Situées dans l’océan Indien au large de l’Afrique de l’est, l’archipel des Seychelles est composé de plus d’une centaine d’îles et d’îlots coralliens et granitiques, dont les principales sont Mahé, Praslin, Silhouette et La Digue.
Photographe : © Raymond Sahuquet / OT Seychelles
La petite île Cousine
Plage de l’Anse Royale
Discrète et intimiste, l’île Denis
Anse Takamaka
Une fleur carnivore de la Plante Cannonball
Coco de mer (cocofesse)
Marché de Victoria
L’Oiseau paille en queue
Anse des anglais
L’écrevisse Barbicambarus simmonsi possède des poils sur les antennes et une queue colorée. © Carl Williams
Il suffit parfois de regarder sous son nez pour trouver des choses incroyables. C’est ce qui est arrivé à des biologistes de l’Université de l’Illinois dans une rivière qui se jette dans le Tennessee, pourtant étudiée depuis un demi-siècle.
mais les individus sont bien plus gros, flirtant avec la taille des homards.
Ce Crustacé, d’abord suspecté d’être un individu géant de l’espèce Barbicambarus cornutus, en possède toutefois des différences morphologiques et génétiques, d’après des analyses complémentaires réalisées sur des échantillons. Elle porte notamment un aileron caudal (une queue) dont les couleurs rouge-vif et bleu-vert lui confèrent une originalité certaine, et un haut degré de divergence dans certains gènes. Elle a alors été nommée Barbicambarus simmonsi, en l’honneur de son découvreur, Jeffrey Simmons.
On sait qu’on doit tous serrer la ceinture .. autant qu’individuellement que point de vu société mais nous devrions avoir l’exemple du gouvernement .. Et qu’est-ce qu’il fait … il engage a contrat des gens pour arroser des plantes intérieurs .. Les plantes sont importantes et nécessaire mais tout le monde est apte a arroser une plante sans être payer pour cela …Non mais !!!! Si on cessaient ce genre de dépense inutiles pour pourrions économiser beaucoup plus …
Plus de 2 M$ en trois ans ► Vos impôts dans les plantes vertes
Journal de Montréal Entre 2008 et 2010, le gouvernement a dépensé 2 M$ pour les plantes d’intérieur de ses fonctionnaires.
Si une seule personne avait entretenu toutes les plantes d’intérieur se trouvant dans les bureaux du gouvernement provincial, entre 2008 et 2010, elle aurait gagné au moins 2 M$. Pendant que les contribuables se serrent la ceinture, les fonctionnaires n’arrosent pas eux-mêmes leurs plantes vertes.
Des factures compilées par le Journal de Montréal révèlent que 30 ministères et organismes ont versé 1,7 M$ à des individus chargés de l’arrosage, du nettoyage, de la taille, du traitement chimique, de la relocalisation, de l’inspection et même de la location des plantes d’intérieur ornant les aires communes et les bureaux personnels de leurs employés, au cours de cette période.
En tenant compte de tous les contrats conclus entre avril 2008 et novembre 2010, ce sont plus de 2 M$ que le gouvernement s’est engagé à payer à des entrepreneurs horticoles. Une partie de cette somme ne lui a pas encore été facturée.
La CSST, Loto-Québec et le ministère des Transports ont chacun consacré plus de 100 000$ à l’entretien de leurs plantes vertes. Le ministère du Revenu, qui a le mandat de percevoir les taxes et les impôts des contribuables, n’est pas en reste. En 32 mois, il a conclu 16 contrats d’entretien de ses plantes d’intérieur qui pourraient lui coûter jusqu’à 173 000$. Le tiers de cette somme lui avait déjà été facturé en novembre dernier.
En revanche, le ministère de l’Immigration a cessé de payer pour ce service il y a neuf mois, estimant qu’il constituait une dépense superflue. Dorénavant, ses fonctionnaires entretiennent eux-mêmes leurs plantes.
La bureaucratie en folie
La directrice générale de la Ligue des contribuables, Claire Joly, avait du mal à contenir sa colère lorsqu’elle a été informée de cette situation.
«C’est exaspérant pour les contribuables d’apprendre une telle dépense au moment où le gouvernement nous matraque avec de nouvelles taxes et des prélèvements en tous genres, lance-t-elle. C’est complètement ridicule comme dépense et c’est un bel exemple de dérapage bureaucratique.»
«On sait bien que 2 M$, c’est une petite somme si on la compare au budget de la province. Mais c’est un autre symptôme de notre énorme bureaucratie qui fonctionne en vase clos et qui est tellement éloignée des citoyens qu’elle en perd le sens des priorités», s’indigne-t-elle.
Fonctionnaires au pouce vert?
Horticulteur bien connu du public, Albert Mondor souligne que la présence de plantes vertes dans les bureaux des fonctionnaires est très utile. Il reconnaît cependant que cette pratique pourrait se faire à moindres frais.
«Dans cette période où l’on doit absolument tous faire notre part pour se serrer la ceinture, il est bien évident qu’on peut diminuer les frais d’entretien des plantes vertes», concède-t-il.
M. Mondor, qui est aussi chroniqueur au Journal de Montréal, croit que «les fonctionnaires eux-mêmes» pourraient s’acquitter de cette tâche, d’autant plus que ce sont eux qui bénéficient de la présence des plantes vertes.
Il a d’ailleurs préparé un aide-mémoire destiné aux employés de l’État afin de les inciter à développer leur pouce vert.
«Il y a toutes sortes de mesures qu’on peut mettre en place pour réduire les frais», dit-il.