

– Oui.
Et d’un air compatissant :
Céleste 4 ans
Céleste 4 ans
« La véritable intelligence est de résoudre les problèmes de la vie non seulement en théorie, mais aussi en pratique. »
Parce qu’ils lisent beaucoup de choses sur la spiritualité, sur le développement personnel ou sur d’autres sujets similaires, certains croient qu’ils vont nécessairement progresser. Mais la lecture est insuffisante, car le vrai progrès se situe dans l’action.
Certes, il est utile de lire et d’augmenter ses connaissances. Mais il est encore plus utile d’appliquer ses connaissances. Par exemple, il est inutile de lire sur la générosité pendant des années, si on ne la pratique pas. L’essentiel est de vivre, non pas d’accumuler des connaissances mortes. À quoi sert d’avoir toutes ces connaissances si elles ne contribuent pas à votre mieux être ou à celui des gens qui vous entourent. L’utilité première de nos lectures doit être de changer notre comportement.
Lire peut être une bonne façon d’acquérir une connaissance à un niveau théorique, mais la seule façon de posséder véritablement un sujet et de le mettre en pratique. Malheureusement, certains ne mettent en pratique que ce qui est facile, attirant ou nuisible. Et ils acquièrent effectivement une bonne connaissance de divers plaisirs physiques et immédiats. Pour ces sujets prosaïques, des notions théoriques sont amplement suffisante. L’important est d’obtenir une connaissance pratique sur une meilleure manière de vivre. Pour ce faire, il faut travailler sur sa volonté et sur sa capacité de traduire des notions théoriques en un comportement harmonieux et bénéfique pour tous.
« Un gramme d’actions vaut mieux qu’une tonne de connaissance morte. »
Denis St-Pierre
Si on a froid l’hiver on pourra toujours organisé des vacances sur Vénus … quoique c’est un peu trop chaud … on grillerais en quelques secondes ..
Au sol, la température de Vénus, véritable fournaise, peut atteindre 462 C et ce même si ses épais nuages ne laissent passer que 55 % du rayonnement solaire qui frappe la surface de la Terre.
L’atmophère de Vénus est plus épaisse parmi celles des planètes telluriques (les planètes formées de couches rocheuses) et elle est 100 fois plus massive que celle de la Terre. Compte tenu de sa composition et de sa structure , elle génère un puissant effet de serre. La capsule de dioxyde de carbone, d’azote et de doxyde de soufre qui englobe Vénus y emprisonne beaucoup plus d’énergie que dans notre atmosphère
La semaine / nov 2010
L’équipe de scientifique dirigée par le professeur Sébastien Sauvé, du département de chimie, a trouvé des traces de médicaments dans le foie et le cerveau de truites exposées à l’eau du fleuve.
Les chercheurs ont aussi noté une réduction de l’activité cérébrale des truites mises en contact avec de l’eau contaminée aux antidépresseurs. On ignore encore quel effet cela aura sur leur santé à long terme.
«Nous savons que les antidépresseurs ont des effets secondaires nocifs sur les humains mais nous ne savons pas exactement comment ces produits chimiques ont un impact sur les poissons non plus que sur l’écosystème du Saint-Laurent», a expliqué vendredi le professeur Sauvé.
«Boire deux litres d’eau par jour pendant 70 ans nous permettrait d’accumuler une dose équivalent à un comprimé», a-t-il expliqué.
On estime qu’environ un quart des Montréalais prend des antidépresseurs comme le Prozac. Or, le système de traitement des eaux comme ceux de la Ville ne permettent pas de les éliminer.
Les conclusions de la recherche devraient susciter de l’intérêt à l’échelle internationale, puisque la plupart des grandes villes disposent de systèmes de traitement des eaux semblables à celui de Montréal.
Les chercheurs de l’Université de Montréal entendent poursuivre leurs travaux, notamment pour évaluer les effets subtils des antidépresseurs sur les poissons.
Les résultats de leur recherche ont été publiés au début du mois dans le site Internet Chemosphere.
Durant un mois, Stéfanie Tremblay a passé en moyenne 15 heures par jour sur le site Facebook. Elle a raconté son histoire dans un livre qu’elle vient de publier et qu’elle a intitulé Rincebook – 30 jours jamais hors ligne.
«Je prenais des notes chaque jour pour expliquer ce que je faisais devant l’écran. Au lieu d’étaler mes statuts sur Facebook, je les ai gardés intimement pour réaliser le livre. En fait, ça a duré un an, mais je l’ai condensé en 30 jours pour avoir l’air moins pathétique», explique-t-elle.
«C’est la solitude et le repli sur soi qui sont malsains. On dirait que tout devient facile avec Facebook, ça coupe carrément de tous les rapports humains.»
«Pour une personne qui aime vraiment écrire, c’est merveilleux. C’est un super beau moyen pour s’exprimer.»
«Je trouve ça un peu fou, même pas mal fou. Mais c’est une réalité chez les jeunes, peut-être pas aussi intense évidemment. Mais je crois que les jeunes, c’est la première chose qu’ils font en se levant le matin et pas seulement les jeunes, des adultes aussi», affirme Odette Paradis, la mère de Stéfanie.
Stéfanie avoue avoir développé une véritable dépendance à ce réseau social. Elle n’est plus connectée 24 heures sur 24, mais elle continue tout de même de suivre ses amis sur Facebook.
Des chercheurs ont découvert un fossile bien préservé de ptérosaure avec son oeuf.
Photo: AFP
Jean-Louis Santini
Agence France-Presse
Washington
La découverte exceptionnelle d’un fossile bien préservé de ptérosaure avec son oeuf a permis pour la première fois de déterminer le sexe de ces reptiles volants qui cohabitaient avec les dinosaures et se sont éteints il y a 65 millions d’années, selon une étude publiée jeudi.
Ce fossile, qui date de 160 millions d’années, révèle ainsi que la femelle ptérosaure –membre de la famille des ptérodactyles– avait des hanches plus larges que le mâle et était, contrairement à lui, dépourvue de crête sur la tête.
La découverte remonte à 2009 dans la province de Liaoning (nord-est de la Chine), dans une formation géologique datant de la période du Jurassique moyen.
«Le fossile que nous avons trouvé, un Darwinopterus, (genre de ptérosaure), est préservé avec un oeuf, qui montre qu’il s’agissait d’une femelle», explique David Unwin, paléobiologiste à l’Université de Leicester (Grande-Bretagne) et coauteur de cette étude parue dans la revue américaine Science datée du 21 janvier.
Ce type de découverte «permet de déterminer avec certitude le sexe de l’animal, un fait très rare en ce qui concerne les fossiles, et une première pour le ptérosaure», explique ce chercheur.
«Nous avons enfin une bonne explication pour la crête des ptérosaures, un trait qui a intrigué les scientifiques pendant plus d’un siècle» en raison de sa présence chez certains individus seulement, relève-t-il.
Dès lors que le crâne ou les hanches fossilisés sont préservés, on peut identifier avec certitude le sexe des Darwinopterus et même appliquer cette technique pour déterminer le sexe des autres ptérosaures, qui présentent souvent des différences dans la crête de la tête et la largeur de hanches, précise le paléontologue.
«Pouvoir déterminer le sexe des ptérosaures représente une avancée majeure dans cette discipline (…) car nous pouvons maintenant exploiter cette compréhension du sexe des ptérosaures pour faire des recherches dans de nouveaux champs d’étude, comme la structure des populations de ces animaux et leurs comportements», ajoute-t-il.
Il est aussi désormais possible de reclasser dans la même espèce des ptérosaures femelles et mâles, qu’on croyait jusqu’ici appartenir à des espèces différentes.
Outre le fait de pouvoir déterminer le sexe de ces reptiles disparus, la mise au jour de ce nouveau ptérosaure baptisé «Mrs T» –une contraction de Mrs Ptérodactyle– , d’une envergure des ailes de 78 cm, donne un nouvel éclairage sur la reproduction des ptérosaures.
La coquille de l’oeuf bien développée indique que cette femelle ptérosaure était prête à pondre au moment de sa mort.
L’oeuf était assez petit avec une masse estimée de 6,1 grammes et sa coquille était souple, d’un texture comparable au parchemin.
«Ce sont des caractéristiques typiques des reptiles, totalement différentes des oiseaux qui pondent des oeufs relativement plus gros et dotés d’une coquille dure», souligne David Unwin.
Selon lui, cette découverte n’est pas surprenante car un petit oeuf nécessite moins de matériaux et d’énergie, un avantage très net pour ces ptérosaures, qui mobilisaient une grande énergie pour voler.
Ce plus a peut-être même constitué un facteur encore plus important dans l’évolution des espèces gigantesques de ptérodactyles, comme le quetzalcoaltus, l’un des plus grands animaux préhistoriques avec une envergure d’ailes de dix mètres.
Apparemment, Mrs T a connu une mort violente comme le montre une fracture «de son avant-bras gauche», peut-être un accident lié à une tempête ou à une éruption volcanique, fréquente il y a 160 millions d’années dans cette partie de la Chine, supputent ces chercheurs.