Perception


Comment percevons-nous la vie .. la réponse pourra éventuellement se prononcer si nous sommes aptes a accepter d’être heureux ou pas ..
 
 
Perception

 

«La sensation d’être heureux ou malheureux dépend rarement de notre état dans l’absolu, mais de notre perception de la situation, de notre capacité à nous satisfaire de ce que nous avons.»

Dalaï Lama

Le saviez-vous ► Pourquoi les dalmatiens ont-ils des problèmes d’ouies‏


On sait que les chiens de race ont souvent des problèmes héréditaires mais ce que nous ne savons pas .. ce sont ceux qui ont un fond de robe blanche .. qui peut entraine une surdité ..  Hein ! ca vous en bouche un coin !!!!

Pourquoi les dalmatiens ont-ils des problèmes d’ouies
 
 
A cause de la consanguinité, 3 dalmatiens sur 10 ont du mal à entendre correctement. Cette race de chiens, tout comme plusieurs autres dont le fond de la robe est blanc a un poucentage significatif de surdité héréditaire.
 

Ces chiens souffrent d’une insuffisance de pigments de certaines cellules de l’oreille interne.. Le poil blanc est déterminé par un gène envahissant qui ne se limite pas à dterminer la couleur du manteau comme son rôle l’exige mais qui étend son action au niveau de l’oreille interne

La semaine / nov 2010  

Australie, un hiver au bout du monde


La neige n’existe pas en Australie .. c’est un hiver bien différent de nous .,.des paysages ou la beauté de l’eau est mise en valeur a coté de l’aridité du climat .. mais en 2012 l’Australie aura t’elle changer ? Son environnement a été durement éprouvé …
 
Australie, un hiver au bout du monde
 
Les Douze Apôtres, Symboles du parc national de Port Campbell
 

douze apôtres
 
© Odette Lefebvre

 

L’Outback
 
outback
© Antonin Vinet

 
Sydney

 
sydney
 

© Jean-Louis Burdet
 

Wallaby
 

wallaby

 
© Alice Aubert

 

Les Monts Olga
 
monts olga
© Robert Buatois

 

Koala
 

koala
 
© Alice Aubert
 

Devils marbles
 

devils marbles

 
©Odette Lefebvre

 
Les chutes de Jim Jim

 
chutes de jim jim
© Tourism NT

 

L’opéra de Sydney
 
l'opéra de sydney
© Frederic Schuster
 

Le désert de Pinnacles, le parc national de Nambung

 
désert de pinnacles
 
 © Frederic Schuster
 
Plage de Whitehaven
 
plage de whitehaven
 
© Florent Tournus

 
Les Gorges de Katherine

 
les gorges de katherine
© Tourism NT

 

Kings creek, parc national de Watarrka
 
kings creek
 
© Philippe Benacquista
 
Broome
 
broome
 
© Denis Glandu
 
Byron Bay
 
byron bay
© Matthieu Charton

Le chien était au menu il y a 10 000 ans


Hé oui, en Amérique aussi nos ancêtres lointains mangeaient du chien … mais peut-être juste en cas de necessité car semble t’il était aussi considéré comme un compagnon .. Heureusement, que les coutumes changent .. Aujourd’hui, du moins en principe on ne mange pas nos compagnons a quatre pattes
 
 
Le chien était au menu il y a 10 000 ans
 
 
 


PORTLAND, États-Unis – Des chercheurs américains ont révélé mercredi avoir trouvé la plus ancienne preuve de domestication du chien jamais découverte en Amérique du Nord.

Un chercheur de l’Université du Maine, Samuel Belknap, a trouvé un fragment d’os de chien dans des excréments humains désséchés déterrés au Texas dans les années 1970.

Un test de datation par le carbone 14 a établi que l’os est vieux de 9400 ans. Une analyse d’ADN a quant à elle confirmé qu’il s’agit bien d’un os de chien et non de loup, de renard ou de coyote, a dit M. Belknap.

Parce qu’il a été trouvé au creux d’une pile d’excréments humains et qu’il avait la couleur orangée typique d’un os qui est passé par le système digestif, le fragment fournit la plus ancienne preuve jamais obtenue que les chiens — en plus d’agir comme gardiens et compagnons — étaient aussi une source de nourriture pour les anciens humains.

M. Belknap étudiait l’alimentation des résidants d’une région du Texas il y a de 1000 à 10 000 ans quand il a fait cette découverte. Les résultats de son étude seront publiés plus tard cette année par le journal scientifique American Journal of Physical Anthropology.

Le fragment d’os découvert par M. Belknap et un autre étudiant mesure environ 15 millimètres de long et dix millimètres de large. Il provient d’un chien qui pesait cinq ou six kilos.

M. Belknap rappelle que le chien est régulièrement consommé en Amérique centrale. Certains habitants de la région des Grandes plaines américaines mangeaient aussi du chien quand la nourriture se faisait rare ou à l’occasion de célébrations, a-t-il rappelé.

La présence de chiens aux côtés des humains a été documentée il y a 31 000 ans en Belgique, 26 000 ans en République tchèque et 15 000 ans en Sibérie. L’histoire du chien dans le Nouveau monde est toutefois nettement moins bien connue.

Avant cette découverte, la présence du chien en Amérique n’avait été confirmée qu’il y a environ 8000 ans.

Les premiers chiens arrivés en Amérique du Nord accompagnaient probablement les colons qui ont traversé l’isthme paléogéographique de Béring, entre l’Asie et les Amériques, il y a environ 10 000 ans

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Un bébé kidnappé est retrouvé 23 ans après


C’est une présence d’esprit de se fier a son intuition et de rechercher la vérité. C’est incroyable et je pense que pour tout parent qui ont perdu des enfants par des enlevements veulent savoir peut importe le temps ce qui s’est passé …
  
Un bébé kidnappé est retrouvé 23 ans après
 

NEW YORK, États-Unis – Le 4 août 1987, un nouveau-né souffrant de fièvre était enlevé dans un hôpital d’Harlem, à New York, et la police ne tenait aucune piste sérieuse. Vingt-trois ans après, c’est une jeune femme qui est retrouvée et formellement identifiée par son ADN
 
«C’est comme un rêve», confie-t-elle.

Carlina White n’était âgée que de 19 jours lorsqu’elle a disparu du service des urgences. Élevée dans le Connecticut, plus au nord, sous le nom de Nejdra Nance, elle a déclaré mercredi au quotidien New York Post qu’elle avait commencé à se poser des questions lorsque celle qu’elle croyait être sa mère n’avait pas pu lui fournir un certificat de naissance.

La jeune femme de 23 ans s’est adressée au Centre pour les enfants disparus et exploités qui l’a aidée à retrouver sa mère biologique, Joy White. Mère et fille… et petite-fille de six ans, Samani, ont enfin été réunies samedi à New York. Nejdra/Carlina a même pu rencontrer sa grand-mère maternelle, Elizabeth, 71 ans, et des tantes.

«C’était merveilleux. Elle ne semblait même pas être une étrangère, elle était complètement à sa place, a déclaré Elizabeth White au New York Post. Nous avons dîné tous ensemble, avec ses tantes. Elle avait amené sa merveilleuse fille. C’était magique.»

«C’était comme un rêve, a confié Nejdra/Carlina au Post. Quand je la regarde, je me vois. Avec l’autre femme, je cherchais toujours ce que nous avions en commun mais je n’avais rien en commun avec elle (…) C’est comme de naître une seconde fois».

Tout s’est accéléré le 4 janvier lorsque Nejdra Nance a pris contact avec Joy White et lui a envoyé des photos d’elle bébé pratiquement identiques à celles que sa mère avait publiées sur un site de recherche des enfants disparues, en lui disant qu’elle pensait être sa fille.

«J’ai tout de suite su que c’était elle. J’étais au travail. J’ai hurlé et crié en descendant les escaliers. Après, ça a été de la folie», raconte Joy White.

Elle a alors demandé à la police new-yorkaise de vérifier si cette jeune femme pourrait être sa fille disparue, Carlina
 
 «Cela semblait légitime et crédible. J’ai demandé au service des personnes disparues de contacter» la jeune femme, a expliqué l’inspecteur Martin Brown.

Les empreintes génétiques de Joy White, de son ex-mari Carl Tyson et de Nejdra Nance correspondaient. Nejdra Nance était bien Carlina White.

Ayant été enlevée tout bébé, Nejdra/Carlina ignore si elle a toujours vécu avec la même famille. La jeune femme habite désormais à Atlanta (Géorgie), au sud de New York, avec sa fille.

 

La quiche aux vers, le repas de demain


C’est vrai que c’est rebutant, mais si nous en mangions sans le savoir serait-ce plus facile après ? Peut-être que vous préféreriez a défaut d’avoir de la viande a un prix abordable … devenir végétarien, végétalien, crugivore etc …  Enfin, je pense que nous allons entendre de plus en plus parler de l’option de manger des insectes
 
La quiche aux vers, le repas de demain
 

La quiche aux vers, le repas de demain
 
L’entomologiste Arnold van Huis croit qu’un jour viendra où les gens mangeront plus d’insectes que de viande…

Photo: Reuters
  Mariette Le Roux
Agence France-Presse
Wageningen
 

«Un goût… de noisettes»: Walinka van Tol, étudiante néerlandaise, mord dans un chocolat d’où dépasse un ver, la protéine du futur, selon des chercheurs néerlandais persuadés que les insectes finiront par remplacer la viande dans nos assiettes.
 
«Le jour viendra où un Big Mac coûtera 120 euros et un Bug (insecte en anglais, NDLR) Mac 12 euros, où les gens qui mangent des insectes seront plus nombreux que ceux qui mangent de la viande», a prédit l’entomologiste Arnold van Huis, au cours d’une conférence à l’université de Wageningen (centre des Pays-Bas).

 
Walinka van Tol et 200 autres curieux jouaient ce soir-là aux cobayes pour l’équipe de scientifiques de Wageningen qui mène des recherches sur les insectes en tant que source de protéine alternative à la viande, meilleure pour la santé et l’environnement.

A la pause, le public s’est rué vers le buffet. Rouleaux de printemps aux sauterelles, ganache au chocolat et aux larves, quiche aux vers de farine ont été rapidement engloutis. Mais Marcel Dicke, le chef du département d’entomologie de l’université de Wageningen, sait qu’il faudra plus qu’un ver enfoui dans un chocolat pour changer la mentalité occidentale.
 
«Le problème est là», dit-il à l’AFP, un doigt sur la tempe. «Les gens croient que c’est sale», explique-t-il, devant une exposition de moucherons, guêpes, termites et coccinelles, quelques-unes des 1200 espèces d’insectes comestibles.
«Nous devons manger moins de viande ou trouver une alternative», assure le chercheur qui affirme manger régulièrement des insectes en famille.
 
 
Selon l’agence de l’ONU pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), la planète comptera 9 milliards d’habitants en 2050 alors que la superficie des terres agricoles a déjà commencé à diminuer.Les insectes sont riches en protéines, pauvres en graisse et avec dix kilos de végétaux, on produit six à huit kilos d’insectes, contre un kilo de viande seulement.
Abondants, ils rejettent peu de gaz à effet de serre et de lisier, et ne transmettent pas de maladies à l’humain qui les consomme.
 
«La question à se poser devrait vraiment être : pourquoi ne pas manger d’insectes?», estime Marcel Dicke
 
en citant une étude selon laquelle chacun mange, à son insu, en moyenne 500 grammes d’insectes par an, dissimulés dans de la confiture de framboises ou du pain par exemple. Environ 500 variétés d’insectes sont consommées au Mexique, 250 en Afrique et 180 en Chine, où ils sont souvent considérés comme des mets très délicats, souligne Arnold van Huis l’entomologiste. Installé à Deurne (sud-est des Pays-Bas), Roland van de Ven produit plus d’1,2 tonne de vers de farine par semaine, destinés à des zoos et des animaleries mais pas seulement : 1 à 2% d’entre eux sont réservés à la consommation humaine.
La demande augmente, souligne-t-il en passant la main dans les vers qui grouillent dans l’une des innombrables caisses en plastique empilées jusqu’au plafond du hangar. Il en a vendu 900 kilos en 2010, contre 300 kilos en 2008, via un site internet et un grossiste du secteur de la restauration.
 
«Lorsque vous voyez un insecte, il y a un blocage. C’est différent si les insectes sont transformés et deviennent invisibles dans les aliments», assure Roland van de Ven.

http://www.cyberpresse.ca