

Le chat ronronne le présent. Le chat est toujours dans aujourd’hui… Le chat mijote et ne bout jamais. Le chat est un animal concentré, un poêle à combustion lente.
Paul Morand
Le chat ronronne le présent. Le chat est toujours dans aujourd’hui… Le chat mijote et ne bout jamais. Le chat est un animal concentré, un poêle à combustion lente.
Paul Morand
On le regarde parfois avec nostalgie : « c’était mieux ». Et parfois « c’était pire ». Il arrive que notre passé devienne notre prison émotionnelle et freine ou dicte nos croyances et actions.
Ce « passé » nous fait alors jouer un rôle : nous ne sommes pas vraiment qui nous pourrions être. Essayez de rendre des comptes, en vous même, avec votre passé douloureux. Fixez-vous sur ce qui vous a fait grandir !
La vitesse d’une avalanche dépend de la sorte de neige qui dévale les pentes des montagnes .. choses de sur c’est qu’il est mieux de ne pas être la quand la neige court a une vitesse folle …
A quelle vitesse une avalanche dévale-t-elle
À la suite d’une rupture dans le manteau neigeux en haut d,une montagne, une masse de neige peut se détacher et tout détruire sur son passage en descendant la pente. Avec une force équivalant à celle d’un ouragan, une avalanche composée de neige sèche peut atteindre une vitesse de 362 km/h.
Fait étonnant, cette vague de neige envoie un peu avant elle une poussée d’air tout aussi destructrice.
Une avalanche composée de neige lourde et humide dévale la montagne à une treintaine de kilomètres à l’heure mais, celle-ci est tout aussi dangereuse.
Les plus grandes avalanches ont lieu dans l’Himalaya, mais les plus meurtrières frappent les régions populeuses des Alpes
La semaine/ Nov 2010
Un beau Duo
«Pour bien des gens, il n’y a aucun problème à porter des vêtements plusieurs jours consécutifs, a dit Mme McQueen. Mais j’ai été surprise de voir que les chiffres venaient appuyer cette pensée.»
Cinq types de bactéries ont été trouvées sur les jeans – toutes des bactéries de la peau – et la plupart dans la région de l’entre-jambe, où jusqu’à 10 000 unités bactériennes par centimètre carré s’y trouvaient.
«Personnellement, je conseille aux gens de laver leurs jeans plus fréquemment, plus d’une fois par année en tout cas. C’est surtout une question d’odeur, a dit Mme McQueen. Mais de les laver après chaque utilisation, c’est excessif selon moi.»
L’étudiant a admis avoir mis en œuvre d’importantes mesures pour contrôler l’odeur, tel que de mettre son jeans au congélateur. Ce qui a étonnamment fonctionné. Il a aussi dû recoudre la fourche de son jean 11 fois
La gagnante de chaque épreuve remporte une chirurgie esthétique. Le but ultime des participantes est de devenir la «femme parfaite et avoir un mariage de rêve».
L’émission a suscité une abondance de réactions sur internet, notamment sur le site YouTube.
Banalisation
Au Québec, la situation n’est pas différente et la «banalisation» est le terme qui revient sur toutes les lèvres des intervenantes des organismes contactés.
«En montrant ça, on donne l’illusion qu’on peut refaire son corps et qu’il n’y aura aucun problème, a dit Lydya Assayag, directrice du réseau québécois d’action pour la santé des femmes. C’est toutefois une procédure médicale. Des infections, des cicatrisations et des complications sont possibles. Il y a également des risques sur le plan physique, mental et économique.»
Cette dernière précise sa pensée en expliquant que la chirurgie esthétique crée une certaine euphorie, «un peu comme une drogue», mais que l’effet retombe assez vite, forçant la personne à avoir recours à une autre chirurgie.
«On leur vend du rêve en leur faisant croire que ça va changer leur vie», s’est-elle indignée.
Mme Assayag rappelle également que ces procédures se font à des prix généralement élevés et que certaines personnes vont jusqu’à s’endetter pour y accéder.
Un courant qui n’est pas nouveau
Carole Thériault, intervenante au Regroupement québécois des Centres d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (RQCALACS) de Granby est du même avis. Cette nouvelle émission ne l’étonne pas.
«C’est un courant qui ne me surprend pas, même s’il m’indigne toujours autant. Nous vivons dans une société d’hypersexualisation et ça va en dégradant», a-t-elle dit.
«Ça force les jeunes filles à penser que leur corps est leur seule valeur et qu’il faut le modifier», a-t-elle ajouté, précisant que ce genre de courant a un impact considérable sur l’estime de soi.
Selon Josée Quenneville, de la Meute-MédiAction, qui lutte contre la publicité sexiste, la représentation du corps de la femme comme un modèle à améliorer va bien au-delà des émissions comme «Bridal Plasty».
«On présente des modèles, mais même en essayant de les copier, on n’y arrive jamais, puisque ce sont des corps numériquement parfaits», a indiqué Mme Quenneville.
Selon une étude mondiale réalisée par la compagnie Dove, 92 % des femmes ont affirmé vouloir changer un aspect de leur apparence physique. L’étude a également démontré que sur les dix principales influences sur l’image du corps et de la beauté, les médias arrivaient en troisième place, avec 19 %.
Le journal a tenté de rejoindre le réseau CTV pour obtenir des réactions, mais n’a eu aucun retour d’appel.
Photos.com
Agence France-Presse
Saint-Pétersbourg, Russie
Six énormes escargots sont utilisés dans une station d’épuration des eaux de Saint-Pétersbourg pour déterminer la pollution de l’air provoquée par l’usine, a indiqué mardi une société municipale de la deuxième ville de Russie.
Trois escargots africains de type Achatina, équipés d’appareils à fibre optique pour contrôler le battement de leurs coeurs et leur activité motrice, respirent de l’air et la fumée s’échappant de l’usine, et trois autres, munis du même appareil, respirent à titre de comparaison un air dépourvu de cette fumée, explique la société Vodokanal dans un communiqué.
La fumée se dégage lorsque la vase est brûlée.
Ces escargots, qui peuvent mesurer jusqu’à 20 centimètres de long, ont été choisis car ils respirent avec des poumons -comme l’être humain- et ont une coquille à laquelle l’équipement peut être fixé sans leur nuire. Leur lenteur facilite aussi l’observation, relève par ailleurs Vodokanal.
«C’est une technologie unique qui a récemment été élaborée par l’Académie des sciences russes», a déclaré à l’AFP Oxana Popova, porte-parole de la société, sans préciser le coût du système.
Les mollusques sont placés dans une boîte ouverte où l’air environnant et la fumée sont mélangés. Plus l’air est pollué, plus le coeur et la respiration des escargots s’accélèrent, a précisé Mme Popova.
Pour effectuer les mesures, les mollusques sont placés sur un ballon flottant sur de l’eau dans une boîte dans laquelle l’air testé est introduit.
Interrogé par l’AFP, Greenpeace s’est dit sceptique quant à l’utilisation des mollusques pour contrôler la pollution.
«C’est de la poudre aux yeux. Il ne s’agit pas d’inventer de nouvelles méthodes d’évaluation, le problème est que Vodokanal n’est pas une structure transparente. L’année dernière, ils nous ont refusé l’accès à la station d’épuration pour prendre des échantillons d’eau», a déclaré à l’AFP Dmitri Artamonov, chef de la branche locale de Greenpeace.
«Quand on brûle la vase, cela dégage des dioxines. Je ne sais pas si les escargots souffrent de cancers, mais si oui, cela ne se manifestera pas immédiatement et ce n’est pas Vodokanal qui va nous en informer», a ajouté M. Artamonov, qui s’occupe de la surveillance de la pollution de la Neva, fleuve de Saint-Pétersbourg, et du golfe de Finlande.
Ce n’est pas la première expérience de ce type pour Vodokanal. La société utilise en effet depuis 2005 des écrevisses pour contrôler la qualité de l’eau dans la Neva. Leur coeur bat plus vite si leur environnement est pollué.