

Sue Patton Thoele
Sue Patton Thoele
Lors que vous lavez votre peignoir, vos couvertures et votre couvre-lit, ajoutez à l’eau de rincage une pincée de vos sels de bain préférés. Laissez votre linge trempez une dizaine de minutes dans cette eau parfumée avant l’essorage
7 jours /déc. 2010
Des animaux qui par leur apparence peuvent surprendre, certains sont même très rares, d’autres en voie de disparition.. mais ils sont adorables par leur différence a ce que nous connaissons
Des animaux étranges et fascinants
Le serval est un félin qui vit dans la savane africaine.
© Véronique PETTINI
Le moloch est aussi appelé diable épineux
© Michael De Bie
Le bernard-l’ermite, aussi appelé pagure, est un crustacé décapode
© Charlotte Michelotti
Entre le renard et la chauve-souris, l’otocyon
© Claude GARNIER
Le tatou
© Isabelle Vaucher
Le monstrueux poisson-pierre est l’animal trompe l’oeil par excellence.
© Alice ASSA
Petite antilope, le céphalophe de Grimm
© François PENILLEAULT
Le poisson vache
© Yann MABIL
Le spirographe est un ver annélidé
© Alain FEULVARCH
Le mara ou lièvre de Patagonie est le troisième plus gros rongeur.
© Fabien BOUILLET
Phénomène rare parmi les tortues marines : la tortue albinos.
© Simon DESBIENS
Allure menaçante et ses dents effilées, la murène effraie et fascine à la fois
© Jacques LEROY
La flabelline blanche est un mollusque nudibranche
© Stéphane ROY
Les makis varis sont des lémuriens aux longs poils roux ou noir et blanc
© Véronique PETTINI
Martin L. Kutscher
Les tics sont des actions rapides et récurrentes qu’une personne accomplit sans que sa volonté n’intervienne. En règle générale, ils vont et viennent, ou disparaissent et sont remplacés par d’autres tics. Ils semblent culminer vers l’âge de 10 à 12 ans. À la fin de l’adolescence, ils diminuent considérablement chez un grand nombre d’enfants et disparaissent dans la moitié des cas.
Il existe plusieurs types de tics :
•Les tics moteurs complexes. Ces tics font intervenir plusieurs groupes musculaires. Il peut s’agir de torsions du corps, de sauts ou d’extensions subites d’un bras.
« Est-ce que je pourrais C-A-L-V-A-I-R-E avoir du sirop d’érable avec mes crêpes ? »
Le syndrome de la Tourette est très fréquemment associé à d’autres troubles. La psychologue Leslie Packer, une spécialiste du sujet, emploie le terme syndrome de la Tourette «plus» pour exprimer qu’un grand nombre de personnes ayant le syndrome de la Tourette sont aussi atteintes du trouble du déficit de l’attention/hyperactivité (TDA/H), du trouble obsessionnel-compulsif (TOC), d’anxiété, de dépression ou de troubles d’apprentissage. Ainsi, 60% des personnes atteintes du syndrome de la Tourette ont aussi le TDA/H; inversement, 7% des personnes atteintes du TDA/H ont des tics. Les troubles associés peuvent être aussi débilitants, sinon plus, que les tics eux-mêmes. Le syndrome de la Tourette est un trouble souvent présent lorsqu’un enfant est atteint de troubles multiples.
Qu’en est-il des « tics nerveux»?
« Comment peux-tu mal réagir au stress au point d’en vomir? »
En règle générale, les tics ne constituent pas un problème tant que personne ne harcèle l’enfant à ce sujet. Les membres de la famille, les amis et les enseignants vont les remarquer, c’est certain. Ils doivent seulement veiller à ne pas humilier l’enfant par des jugements ou des taquineries. Accepter, tel est le maître mot. Heureusement, la plupart des gens s’habituent aux tics au point de ne plus les remarquer, grâce à un processus appelé habituation.
Cet article est issu de l’ouvrage Les enfants atteints de troubles multiples, publié aux Éditions Chenelière Éducation.
http://www.coupdepouce.com
Pour ce faire, les chercheurs utiliseront des tissus d’un cadavre de mammouth, retrouvés congelés dans un laboratoire russe, rapportait lundi un quotidien nippon.
«Les préparatifs sont achevés» et l’équipe va bientôt pouvoir débuter les opérations, a indiqué au journal le chef de l’équipe de scientifiques et professeur à l’université de Kyoto, Akira Iritani.
L’ADN de mammouth
Le projet consiste à introduire des noyaux de cellules du mammouth, mort depuis des milliers d’années, dans des cellules énucléées provenant d’un éléphant vivant, afin de créer un embryon contenant de l’ADN de mammouth.
Cet embryon sera ensuite placé dans l’utérus d’une femelle éléphant en espérant qu’elle donnera plus tard naissance à un bébé mammouth.
L’équipe de M. Iritani va s’appuyer sur les travaux de Teruhiko Wakayama, du Centre Riken de Biologie du Développement de Yokohama, qui est parvenu à créer des clones de souris mortes et congelées depuis 16 ans. En utilisant la technique de M. Wakayama, ils ont mis au point un procédé permettant d’extraire des noyaux de cellules mortes, sans les abîmer.
Comment le nourrir
«Si nous parvenons à créer l’embryon d’un clone, il nous faudra discuter, avant de l’implanter dans un utérus, de la manière dont nous pourrions nourrir (le futur mammouth) et de la pertinence de le montrer au public», a poursuivi M. Iritani.
Il pense que son expérience, si elle réussit, permettra d’en savoir plus sur ces grands herbivores laineux disparus, il y a des millénaires, de la surface de la Terre pour des raisons encore discutées.
«Après l’éventuelle naissance du mammouth, nous examinerons ses conditions de vie et ses gènes afin de comprendre pourquoi l’espèce s’est éteinte», a dit le chercheur.
C’est vraiment génial autant pour la récupération des déchets, que pour l’habitat des personnes moins fortunés et qu’en plus donne une occasion d’apprendre un métier sans compté que cette façon de faire a donné l’idée pour des matériaux usagés gratuits pour les personnes a faibles revenus .. et quand on a un peu d’imagination … cela peut devenir des chefs d’oeuvres pratico-pratique …
Maisons écologiques faites de déchets
La Maison Budweiser.
Agence France-Presse
Angela MORRIS
HUNTSVILLE – Dan Phillips est un Texan qui construit des maisons peu ordinaires. Pavages de mosaïques à base de petits morceaux de bois, comptoirs de cuisine en os, plaques d’immatriculation en guise de toit: tout sort de son imagination, et des poubelles.
«Les gens font cela depuis des centaines de milliers d’années: ils utilisent tout ce qui est disponible pour se construire des abris», explique M. Phillips, qui a fondé Phoenix Commotion il y a 12 ans avec l’idée de créer un nouveau modèle d’habitations, durables et abordables.
Les 13 maisons qu’il a construites jusqu’ici auraient plus leur place dans un musée d’art que dans les rues de Huntsville, une cité texane conservatrice de 35 000 habitants dont le principal titre de gloire est d’être le siège des exécutions capitales de l’Etat.
Vivre dans une de ces maisons, c’est un peu comme habiter dans une attraction foraine.
«Chaque jour ou presque, quelqu’un frappe à la porte et demande s’il y a moyen de visiter», raconte Edie Wells, une artiste qui loue une chambre dans la «maison des os».
Les meubles de jardin et les escaliers y sont, comme son nom l’indique, faits en os. Le sol est pavé de bouchons de liège et de capsules de bouteilles de bière, et dans une vie antérieure, le vasistas était un plat en Pyrex.
Mais ce qui impressionne le plus les visiteurs, raconte Edie Wells, c’est la salle de bains où les murs, les sols et le plafond sont entièrement recouverts d’éclats de miroirs.
Il y a aussi la Maison des livres d’histoires, qui ressemble à celle d’Hansel et Gretel, ou encore la Maison Budweiser qu’une famille a construite en hommage à sa marque de bière préférée.
Phoenix Commotion est une société à but lucratif, mais fonctionne plus comme une association qui cherche à résoudre des problèmes sociaux universels: pour 10 000 dollars, elle bâtit des maisons destinées aux parents célibataires, aux familles à bas revenus et aux artistes.
Ces maisons sont toutes économes en énergie, avec un système efficace d’isolation, un chauffe-eau solaire et un réservoir qui recueille l’eau de pluie, utilisée ensuite pour les toilettes et la lessive.
Dan Phillips embauche des salariés non qualifiés, les forme et les aide à trouver ensuite un emploi mieux payé.
«Il m’a permis d’apprendre les techniques de construction, mais aussi de faire appel à ma part de créativité», explique Shannon Bryant, qui fait partie de ses apprentis.
L’entreprise a commencé par récupérer des centaines de tonnes de matériaux de construction dans des décharges, mais on lui en apporte désormais tellement qu’elle ne peut plus les stocker: des grands magasins de bricolage lui lèguent leurs invendus de carrelage, de bois ou de granit, s’épargnant le coût de les confier à des déchetteries. Les habitants du coin lui donnent aussi leurs anciennes portes ou baignoires lorsqu’ils font des travaux d’embellissement.
Du coup, Don Phillips a lancé avec la municipalité de Huntsville un programme permettant de stocker des matériaux dans des entrepôts appartenant à la ville, avant de les distribuer gratuitement aux personnes à bas revenus et aux ONG.
L’exemple de Huntsville a inspiré d’autres municipalités, comme Houston, la métropole de l’est du Texas, qui a ouvert son propre entrepôt en octobre 2009. En six mois, il contenait six tonnes de matériaux, le poids d’un Boeing 747.
Don Phillips fait désormais des conférences un peu partout pour présenter sa philosophie.
«C’est durable, et nous nettoyons notre propre jardin par la même occasion», résume-t-il.