Mieux vaut pas avoir de dette … car les rats vont tout dévorer et nous faire couler
Les dettes
Les dettes sont comme des rats sur un bateau sans chat… ça dévore un bateau en un rien de temps.
Pierre Djada Lacroix
Mieux vaut pas avoir de dette … car les rats vont tout dévorer et nous faire couler
Les dettes
Les dettes sont comme des rats sur un bateau sans chat… ça dévore un bateau en un rien de temps.
Pierre Djada Lacroix
Michel Poulaert
Elles sont petites, détestée et pourtant s’invitent aussi bien sur la table des riches que des scélérats. Elles aiment virvolter dans les maisons ou déranger lors d’un pique nique .. La belle saison, est idéale pour prendre du bon temps … mais quand viens les froids .. est-ce vraiment le temps dire dire Adieu a cette vie pleine de délice ?
Ou les mouches vont-elles en hiver ?
photo : bioutifoul-photos.net
Elles vivent la saison blanche sous différentes formes. Le diptères, ordre d’insectes n’ayant qu’une seule paire d’ailes, sont assez résistants aux variations de température.
Avant que les premiers froids arrivent, la mouche adulte se mettra en état de léthargie «une diapause» dans un lieu isolé. Elle se réveillera dès que le temps se réchauffera.
Certaines espèces de mouches se regrouperont en masses dans une structure bâtie par les humains pour traverser ces longs mois. Celles qui ne trouvent pas de lieu coupé des grands froids mourront, mais pas avant d’avoir laissé leur oeufs dans un endroit où naîtra, le printemps suivant, la prochaine génération
La semaine/ nov 2010
Il a fallu quatre pompiers pour extirper un chat du compartiment moteur d’une voiture où il s’était réfugié vendredi dans l’arrondissement Rosemont, à Montréal.
Les pompiers ont été obligés d’utiliser des coussins de levage pour soulever de 30 centimètres la Honda Accord où le chat, Gros Minet, s’était retrouvé prisonnier.
Ils ont même été contraints de retirer une roue avant du véhicule pour lui mettre la main dessus. L’opération a duré une heure et demie.
Ce n’est que quelques heures plus tard que Sabrina est parvenue à convaincre un employé de la centrale 911 d’envoyer des secours.
Les inondations font rage a plusieurs endroits dont l’Australie … Beaucoup de perte humaine et matériel sont dénombré mais il y a aussi l’environnement qui en prend un coup et ceux qui en dépendent risquent aussi de mourir faute de secours …Je crois que seuls les serpents et crocrodiles peuvent apprécier ce déluge
Kangourous et koalas ont aussi souffert des inondations en Australie
Les inondations, qui touchent désormais le sud du pays, ont emporté les arbres sur lesquels vivent les koalas.
©AFP
Des serpents réfugiés sur des débris flottants, des kangourous pataugeant dans l’eau boueuse et même un requin poussé par le torrent d’eau dans les rues de Brisbane: la riche faune australienne a aussi souffert des inondations qui ont frappé le nord-est du pays.
Selon les associations de protection des animaux, les intempéries qui ont affecté une région grande comme la France et l’Allemagne réunies et fait au moins 16 morts dans le Queensland, ont en partie détruit l’habitat des animaux sauvages dont un grand nombre sont morts ou très affaiblis.
Les inondations, qui touchent désormais le sud du pays, ont emporté les arbres sur lesquels vivent les koalas, mais aussi les lézards et les grenouilles et vont avoir un impact durable sur la faune, selon l’Association australienne des vétérinaires.
«Le premier constat, c’est que beaucoup d’animaux sont morts», déclare Robert Johnson, expert de la faune sauvage. «Mais le problème à long terme, c’est que ceux qui ont survécu sont affaiblis et privés de nourriture car leur habitat a en partie disparu».
De nombreux jeunes marsupiaux, comme les kangourous ou les wallabies risquent fort de mourir dans les prochains mois, en raison des parasites et de la rareté de la nourriture.
Les bébés kangourous risquent aussi d’avoir été emportés de la poche de leur mère, d’autres s’y sont noyés, indique Leanne Taylor, directrice générale du service d’information et de protection de la vie sauvage (WIRES).
«Les sources d’alimentation des kangourous, comme les racines, ont été arrachées, augmentant le risque de voir les animaux mourir de faim dans les mois qui viennent», ajoute-t-elle.
Depuis le début des inondations, la société de protection des animaux (RSPCA) évacue et recueille les animaux dans des refuges temporaires.
À Brisbane, où des milliers de personnes sont encore accueillies dans des centres d’évacuation d’urgence, l’interdiction qui leur était faite d’emmener avec eux leurs animaux de compagnie a été levée.
À une centaine de kilomètres, dans la Lockyer Valley où des villages entiers ont été balayés, la clinique vétérinaire de Gatton recueille des animaux
«couverts de boue mais qui de façon surprenante présentent peu de blessures»,
«Mais j’ai bien peur que les bêtes blessées n’aient tout simplement pas survécu», explique Bob Doneley, qui dirige la clinique.
Les animaux qu’on lui apporte «mangent pendant au moins 15 minutes et s’endorment aussitôt, pour la journée. Ils sont morts de faim, et de peur».
Face aux bouleversements naturels, les espèces sauvages ont parfois trouvé refuge dans les maisons.
Les serpents, dont l’Australie possède sept des dix spécimens les plus venimeux au monde, dont le taïpan et le serpent-tigre, posent un réel danger dans le centre du Queensland. Les dangereux crocodiles d’eau salée ont quant à eux profité des inondations pour se rapprocher des villes comme Rockhampton, sur la côte.
Au nord-ouest de Brisbane, un chasseur de serpents a été appelé pour protéger une équipe de secouristes néo-zélandais.
«Il n’y a pas de serpents similaires en Nouvelle-Zélande, ils sont donc plutôt inquiets et les gens d’ici se moquent d’eux en leur racontant des histoires toutes plus effrayantes les unes que les autres», confie Ray Brown, le maire.
«Comme celle de ces serpents réfugiés dans les arbres et qui se laissent tomber dans les bateaux des sauveteurs», ajoute-t-il. «On ne peut pas dire que les serpents tombent du ciel, mais ce n’est quand même pas très plaisant».
Le chat bai de Bornéo, un félin au pelage roux ou gris de la taille d’un grand chat de compagnie, a été repéré dans les hautes terres de l’État du Sarawak, dans la partie malaisienne de Bornéo.
Des scientifiques ont réussi à filmer pour la première fois depuis 2003 un chat sauvage d’une espèce endémique considérée comme menacée d’extinction dans les forêts tropicales de l’île de Bornéo, ont-ils annoncé jeudi.
Le chat bai de Bornéo, un félin au pelage roux ou gris de la taille d’un grand chat de compagnie, a été repéré dans les hautes terres de l’État du Sarawak, dans la partie malaisienne de Bornéo.
Deux à trois individus ont été pris en photo, a précisé Wilhelmina Cluny, une scientifique travaillant pour le ministère malaisien de la Forêt.
«Cette espèce est extrêmement secrète. Elle était considérée comme éteinte jusqu’à ce qu’une photo soit prise en 2003», a-t-elle indiqué. Depuis, aucun Chat bai n’avait été aperçu.
«C’est encourageant. Cette photo a été prise dans une forêt exploitée (…) Nous nous demandions si ce genre de zone pouvait accueillir des animaux sauvage, notamment d’espèces rares ou en voie de disparition».
Le chat bai est extrêmement peu connu par les scientifiques, incapables de déterminer si sa population, considérée comme extrêmement faible, continue ou non à régresser.
Les associations de défense de l’environnement lancent régulièrement des appels aux trois pays se partageant Bornéo (Indonésie, Malaisie et Brunei) pour qu’ils préservent les forêts primaires qui demeurent sur l’île, fortement affectée par la déforestation et la culture du palmier à huile.