Des remèdes maison qui marchent


Pour changer des les petits trucs maison .. voici des recettes de grand-mère qui ont traversé les années pour soulager divers petits maux
  
Des remèdes maison qui marchent

Claudine St-Germain
  

remedes maison
Nos grand-mères avaient toujours des remèdes de leur cru pour soigner les petits bobos quotidiens. Plusieurs ont traversé l’épreuve du temps et sont reconnus par la médecine moderne.
Depuis les débuts de l’humanité, des générations de femmes se sont transmis des remèdes, potions et recettes pour soigner leur famille.  
  
«La plupart sont issus d’une expérience empirique probablement millénaire», dit Jean-Yves Dionne, pharmacien.
  
Plusieurs ont été validés scientifiquement, mais il reste encore beaucoup de recherches à faire dans ce domaine.

Voici 20 remèdes maison reconnus pour avoir une certaine efficacité. Bien sûr, si on est sérieusement malade ou si notre malaise se prolonge, mieux vaut consulter un spécialiste de la santé. Mais, pour les petits problèmes quotidiens, pourquoi ne pas essayer les trucs de nos grand-mères?

 J’ai un rhume

On avale une soupe au poulet
Ce remède réconfortant a récemment été étudié par des scientifiques américains, qui ont conclu que la soupe au poulet aurait des propriétés anti-inflammatoires qui combattraient les effets secondaires du rhume. Et si grand-mère n’est pas à notre chevet pour nous préparer la recette familiale, on se contente d’une soupe en conserve; les chercheurs ont constaté qu’il n’y avait pas de différence entre la soupe maison et celle en boîte… à part le goût, bien sûr.
 
  On mange de l’ail
L’allicine, la substance qui donne à l’ail son odeur si caractéristique, a des propriétés antibactériennes et antivirales. C’est pourquoi l’ail est utilisé depuis des siècles pour combattre diverses maladies, dont le rhume et la laryngite. On peut le consommer cru, légèrement cuit ou sous forme de gélules.

 
Attention: l’ail peut avoir des interactions, notamment avec les anticoagulants et les médicaments destinés aux personnes diabétiques.

  

 Je souffre de ballonnements

  On prépare une infusion au romarin
On fait bouillir 4 tasses d’eau, on retire du feu, on ajoute 1 3/4 oz de romarin fleuri frais ou séché et on le fait infuser 10 minutes. On boit une tasse de cette tisane après chaque repas.

 
«Le romarin est reconnu pour être carminatif, c’est-à-dire qu’il aide à expulser les gaz, dit Jean-Yves Dionne. On peut donc croire qu’il est efficace pour soigner les ballonnements.»

 

 

 J’ai mal au coeur
  

 On prend du gingembre
Des études récentes ont démontré que le gingembre est efficace pour combattre la nausée. Les capsules de gingembre sont les plus puissantes, mais on peut aussi préparer une tisane avec du gingembre fraîchement râpé.

Attention: le gingembre peut avoir des interactions, notamment avec les anticoagulants et les médicaments destinés aux diabétiques.
  

 On boit une tisane à la menthe
On laisse infuser des feuilles de menthe pendant 10 minutes. La menthe entre dans la composition de nombreux traitements des troubles digestifs.
  

 

 J’ai mal à la gorge

 

 On se gargarise avec de l’eau salée.
Il suffit de mélanger 1 cuillerée à table de sel dans 1 tasse d’eau. On se gargarise toutes les heures.

 
 On suce des bonbons.
Le fait de suçoter des bonbons ou des pastilles en abondance augmente la production de salive et hydrate la gorge. Les bonbons surs et les pastilles au citron sont particulièrement efficaces. 

 J’ai du mal à dormir
  

 On prend de la valériane.
Offerte en infusion, en teinture ou en comprimés, la valériane est la plante la plus recommandée pour relaxer et trouver le sommeil.
  
«Il est préférable de la prendre sous une autre forme que la tisane parce que les principes actifs de la valériane ne sont pas solubles dans l’eau, dit Jean-Yves Dionne. De plus, la valériane a une odeur plutôt désagréable.»
  
Attention aux interactions médicamenteuses: la valériane ne doit pas être prise avec de l’alcool ou des médicaments calmants (Valium, Ativan, etc.).
 
 On parfume notre oreiller de lavande.
Un remède de grand-mère prescrit de verser quelques gouttes d’huile essentielle de lavande sur un mouchoir, qu’on dépose ensuite sur l’oreiller. On peut aussi se servir d’un diffuseur d’huile essentielle ou de vaporisateurs d’atmosphère parfumés à la lavande.

  
 Je tousse sans arrêt
  
 On se prépare un sirop maison.
On mélange à parts égales de la glycérine liquide (en pharmacie), du miel liquide, du jus de citron et un alcool fort (cognac, rhum ou autre). Le miel a un effet adoucissant pour la gorge et le citron l’hydrate en stimulant les glandes salivaires.
  
«La glycérine était employée dans les vieux sirops pharmaceutiques, explique Jean-Yves Dionne. Son efficacité n’est pas extraordinaire, mais il est vrai qu’elle a un effet adoucissant.»

 On boit un sirop à l’oignon.
La recette: faire bouillir cinq ou six oignons, recueillir l’eau de cuisson et ajouter du miel liquide. L’oignon a été moins étudié que son cousin l’ail, mais on croit qu’il serait lui aussi un stimulant du système immunitaire.

 

 J’ai une horrible gueule de bois!

 On mange des tartines de miel.
Le miel contient beaucoup de fructose, un sucre naturel qui contribue à l’élimination de l’alcool. Le simple fait de manger soulage d’ailleurs l’estomac malmené et redonne de l’énergie à notre corps.

 

 
 J’ai la diarrhée
 
 On avale une cuillerée à soupe d’huile végétale.
Parce que l’organisme ne peut les absorber complètement, les huiles végétales demeurent dans l’intestin et ont un effet lubrifiant, ce qui peut soulager une constipation aiguë.

 
 «Il faut toutefois faire attention, car l’huile peut nuire à l’absorption de certaines vitamines», dit le Dr Dion. On ne doit donc pas en abuser.

 
 On mange du son d’avoine.
  
« Parce qu’il absorbe l’eau, le son régularise les selles et traite la diarrhée explique le Dr Harold Dion, président du Collège des médecins de famille du Québec. Les artichauts peuvent aussi être efficaces, bien qu’on ne sache pas exactement pourquoi. »
 
 On boit de l’eau de riz.
L’eau de cuisson du riz est reconnue pour ses effets antidiarrhéiques.
On fait bouillir de 2 à 3 cuillerées à table de riz dans 4 tasses d’eau, puis on ajoute 2 cuillerées à table de sucre et 1/2 cuillerée à table de sel.
 
 Ça me pique!
  On prend un bain à l’avoine.
Qu’il s’agisse d’éruption cutanée, de coup de soleil ou de piqûres d’insectes, l’avoine est très efficace pour soulager les démangeaisons. Un bon truc pour éviter que la baignoire ne prenne l’aspect d’un bol de gruau: on met des flocons d’avoine (environ 2 tasses) dans un bas de nylon et on l’agite dans l’eau pendant toute la durée du bain. On peut aussi préparer une compresse fraîche en imbibant un linge d’eau additionnée d’une solution à l’avoine comme Aveeno.

 On applique du bicarbonate de soude.
On dilue 1 cuillerée à thé de bicarbonate de soude dans un peu d’eau. On applique cette pâte directement sur l’endroit où ça démange. On peut aussi ajouter du bicarbonate de soude à l’eau du bain.
  
 On prépare une compresse de camomille.
On fait bouillir 1 oz de fleurs de camomille séchées dans 4 tasses d’eau pendant 10 minutes, puis on laisse tiédir. On imbibe un linge de cette préparation et on l’applique en compresse.

 

 Je suis constipée

 

 «Il faut toutefois faire attention, car l’huile peut nuire à l’absorption de certaines vitamines», dit le Dr Dion.
  
 On mange des pruneaux.
Un grand classique dont l’efficacité est prouvée. Très riches en fibres, les pruneaux contribuent à régulariser le transit intestinal.

 
 
On mange de la purée de carottes.
Pleines de fibres, les carottes contribuent à traiter la constipation. Une recette de grand-mère suggère de faire cuire 2 lb de carottes dans 4 tasses d’eau pendant 2 heures, puis de les passer à la moulinette. On mange cette purée bien chaude.

 
Pour en savoir plus

•Mes remèdes de grand-mère, par le Dr Henry Puget et Régine Teyssot, Minerva, 2000, 240 p., 34,95$.
•Les remèdes de grands-mères ça marche, par Josette et Vincent Rousselet-Blanc, Michel Lafon, 2001, 316 p., 19,95$.
•Les Remèdes maison des médecins pour femmes, Éditions Rodale, 1997, 698 p., 24,95$.

 
http://www.coupdepouce.com

 

La frousse pour un policier piqué par une seringue


On parle souvent de brutalité policière,  mais rare qu’on parle des risques qu’eux prennent autrement que lors d’une fusillade … C’est sur qu’il y a des choses qui devraient se faire autrement . mais je suis contente pour ce policier et j’espere qu’apres ses 6 mois d’observations médicales il pourra reprendre le travail …
 
La frousse pour un policier piqué par une seringue
 

La frousse pour un policier piqué par une seringue
 
Par Doug Hempstead | Agence QMI
 
 
Un policier d’Ottawa qui avait été piqué par une seringue en fouillant un détenu atteint du VIH et de l’hépatite C, le 17 décembre 2010, a eu la frousse de sa vie.

Carlos Olivera vient de recevoir la réponse qu’il souhaitait ardemment. Les résultats des premiers tests de dépistage du VIH et de l’hépatite, qu’il a subis après avoir été piqué par une seringue dissimulée dans le chandail du détenu, se sont avérés négatifs.

Le policier de 43 ans a été dans l’obligation de gober deux fois par jour un cocktail de médicaments pour combattre de potentielles infections. Les antibiotiques lui auront fait perdre 25 livres, et fait traverser des expériences désagréables de vomissements et de diarrhée.

«Six pilules par jour. C’est un mélange fort d’antibiotiques qui vous rendent très malade. Tu te sens faible la plupart du temps, mais tu n’as pas d’autres options. C’est ma vie», a expliqué le policier.

Le constable, qui est affecté à la surveillance dans les cellules depuis quatre ans, n’est cependant pas sorti du bois. Il devra subir des tests sur une base hebdomadaire au cours des six prochains mois avant de pouvoir reprendre son travail.

Les blessures par seringue et les morsures sont communes chez les policiers d’Ottawa.
 
«C’est la troisième ou quatrième fois que je me blesse. C’est normal. J’aime mon travail. Je ne peux pas me plaindre. C’est un risque que l’on doit prendre», a expliqué Carlos Olivera.

Six cas de brutalité policière dans les cellules à Ottawa font l’objet d’une enquête. Le constable Olivera croit que le public doit être mieux sensibilisé sur les risques du métier. Si les gens étaient au courant de ce qui se passe, dit-il, ils seraient moins choqués lorsqu’ils voient des images sur la façon dont plusieurs prisonniers sont contrôlés.

Olivera a été la cible de crachats, coupé, et mordu à au moins trois occasions.

Quelques jours avant d’être piqué en décembre, il a dû mettre un masque sur un prisonnier qui toussait et qui crachait du sang.

Son expérience lui a permis d’apprendre que des femmes en détention vont parfois fabriquer une arme avec le crochet de métal de leur soutien-gorge en l’aiguisant sur le plancher de la cellule.

Des hommes ont utilisé l’élastique de leur sous-vêtement pour confectionner un noeud coulant. C’est une des raisons pour lesquelles certains détenus sont nus ou partiellement nus dans les cellules.

«Ce n’est pas un endroit où le travail est facile», a précisé Olivera, un Cubain qui a immigré au Canada il y a dix ans.

Il était membre des Forces aériennes cubaines, et a été formé en Russie en tant que pilote d’avion de chasse.
 
«J’aime être dans la police. Je suis un gars chanceux», a-t-il souligné

http://tvanouvelles.ca

Des dizaines d’oiseaux retrouvés morts étaient ivres


Tout mort d’oiseaux en groupe suscite l’inquiétude des gens depuis quelques semaines.. mais comme il arrivent a certains animaux d’abuser des fruits vraiment trop mûrs ..ils se mettent a ressembler a l’homme saoul … et tomber ivre mort
 
 
Des dizaines d’oiseaux retrouvés morts étaient ivres

 
Des dizaines d'oiseaux retrouvés morts étaient ivres

Des étourneaux.
Photo: Archives Reuters
Agence France-Presse
Bucarest
 

Des dizaines d’oiseaux retrouvés morts samedi à Constanta (sud-est de la Roumanie), suscitant des craintes d’une maladie mystérieuse, ont succombé aux effets de l’alcool, après avoir ingurgité du marc de raisin, a annoncé mardi l’autorité sanitaire-vétérinaire (DSVSA).

«Les étourneaux sont morts d’une intoxication éthylique», a déclaré le directeur de la DSVSA locale, Romeu Lazar, cité par l’agence Agerpres.

Selon lui, la cause du décès a été déterminée après l’analyse du contenu du gésier des volatiles.

Samedi, des habitants de Constanta avaient alerté les autorités après avoir découvert sur un terrain vague une trentaine d’étourneaux morts, craignant qu’ils aient été tués par la grippe aviaire.
 
Cette découverte était intervenue dans le contexte d’informations faisant état de la mort soudaine de quantités massives d’oiseaux et de poissons dans plusieurs pays, dont les États-Unis, la Suède, la Grande-Bretagne et le Japon.
 
http://www.cyberpresse.ca 

Un premier village verra le jour en Haïti


Après un an, Haiti doit se relever de ses cendres tel la légende du Phénix. Il a combattu une catastrophe naturelle, la faim, l’épidémie,  le manque d’eau potable .. Ce sont des gens qui pourront fierement relever leur manche pour rebatir ..
 
Un premier village verra le jour en Haïti
 

MONTRÉAL – Un an après le séisme meurtrier en Haïti, les plans d’aménagement d’un premier village tiré du projet Villages pour le monde ont été dévoilés mardi à Montréal.

Le premier village sera construit à Paillant, situé dans le département des Nippes et près de la côte du canal de la Gonâve.

Le chanteur Luck Mervil, cofondateur de Vilaj Vilaj, organisme instigateur du projet, a expliqué que le village prévu pour 5000 personnes pourra éventuellement en accueillir 25 000.

Selon M. Mervil, le village comptera sur des technologies de qualité visant à respecter l’environnement et à économiser les ressources. Par exemple, les eaux de pluie seront récupérées pour l’arrosage et des panneaux photovoltaïques seront installés pour réduire la consommation en électricité.

De plus, le village devrait fonctionner sous forme de coopérative. Les habitants paieront un loyer afin de les responsabiliser vis-à-vis de leur milieu de vie.

Le village de 82 hectares comprendra un espace pour pratiquer l’agriculture et des endroits dédiés à la vie commerciale, administrative et associative pour stimuler la création d’emplois.

Finalement, ce sont les futurs villageois eux-mêmes qui seront formés à la construction de leur habitation ainsi qu’à la gestion du village.

http://actualites.ca.msn.com