
La nature

[Stefan Edberg]
La nature
[Stefan Edberg]
« Certaines souffrances sont inévitables; alors que d’autres sont créées de toutes pièces. »
Trop souvent nous souffrons inutilement en nous accrochant à une certaine perception de la réalité. Vous trouverez ci-dessous quelques questions qui ont pour objectif de changer notre perception des épreuves et difficultés.
Quelquefois, l’insécurité est en nous et nous cherchons inconsciemment un sujet qui manifeste cette insécurité. Encore une fois, l’idée n’est pas de trouver une autre raison de s’inquiéter, mais de reconnaître que notre sujet d’inquiétude est en partie arbitraire et peut tout simplement être due à un excès de stress plutôt qu’à un risque réel.
►Est-ce que j’ai des attentes illusoires ?
S’attendre à ne pas avoir de problèmes est illusoire. Sans être pessimiste, Il faut reconnaître qu’il est normal de trouver sur son chemin un certain nombre de problèmes. Il est donc important d’ajuster nos attentes et de réalisez qu’une partie de notre temps sera dédiée à la résolution de ces problèmes. Personne n’y échappe. Ceci étant dit, derrière plusieurs problèmes se cache des opportunités, voir le paragraphe suivant.
►Est-ce que j’ai besoin de problèmes pour me motiver à progresser ?
Le confort et le succès nous incitent à la stagnation, alors que les difficultés et les échecs peuvent être une source de motivation au changement. Il y a une différence énorme entre subir un échec qui est une pure perte et se servir d’une difficulté pour avancer. Jetez un œil sur votre passé, je suis certain que vous pouvez y trouver des échecs qui se sont transformés en opportunité avec le temps. Les échecs peuvent être la fondation d’une nouvelle vie. Notre vraie nature ne se manifeste jamais aussi clairement qu’au moment où nous subissons un échec important. Ce contexte difficile peut être la motivation qui nous mènera vers un véritable cheminement. Le confort et le succès nous empêchent de voir certaines vérités. Alors que les difficultés peuvent être utilisées pour lever ce voile et nous motiver à faire les efforts qui résulteront en un formidable progrès vers un mieux-être.
→Limite, problèmes majeurs :
Les questions de dédramatisation précédentes ne sont pertinentes que pour des problèmes de type perceptif. Les épreuves très sévères demandent une autre approche.
→Conclusion :
Lorsque je suis face à une épreuve, je me pose les questions précédentes et en général je réussis à améliorer un peu ma perception de la situation. Mais cette approche n’a rien de magique. Le fait d’explorer les différentes facettes d’un problème ne le fait pas disparaître. Cependant, à tout le moins, cette technique me fait cheminer vers une meilleure compréhension de la situation et de la vie en général. Et ceci fait de moi quelqu’un qui tente sincèrement de grandir un peu avec chaque épreuve.
« Au fil des années, les épreuves bien gérées ont pour effet un niveau supérieur de compréhension. »
Denis St-Pierre
# Protéger une télécommande
Pour ne plus risquer de rayer vos meubles avec la télécommande, enroulez un élastique à chacune de ses extrémités. En outre, elle risquera moins de glisser… et de tomber.
# Desserrer un col de chemise
Si votre col de chemise est trop juste, au lieu d’utiliser le bouton, glissez un petit élastique dans la boutonnière et passez les boucles autour du bouton. Cette astuce sera invisible sous une cravate.
# Égoutter un pinceau
Pour empêcher la peinture de couler sur les bords extérieurs du pot lorsque vous égouttez le pinceau, passez un élastique en travers du pot. Enlevez l’excédent de peinture du pinceau en l’égouttant sur la partie de l’élastique qui se trouve au-dessus du pot. La peinture retombera dans le pot.
# Dévisser sans peine une capsule
Enroulez un gros élastique autour d’une capsule métallique récalcitrante pour éviter de vous faire mal aux mains en la dévissant. Cette astuce s’applique également aux capsules en plastique des bouteilles de soda.
# Récupérer un vieux balai
Ne jetez pas votre balai uniquement parce que les poils sont écartés. Entourez la brosse de plusieurs élastiques pendant quelques jours afin de resserrer les poils.
Le saviez-vous? Les élastiques ont été inventé en 1845 par Stephen Perry, qui possèdait une manufacture à Londres.
Maru le chat
C’est le monde a l’envers .. avant on regardait vers le ciel pour voir les étoiles et aujourd’hui on est dans le ciel pour voir les lumieres la nuits … C’est beau mais c’est par contre malheureux cette polution lumineuse …ou sont les étoiles tant chanté par les poetes sont t’ils devenus des fantomes ?
La NASA prend Montréal en photo
La nuit, la ville de Montréal illuminée est visible de l’espace, comme en témoigne cette photo rendue publique par la NASA.
La photo, prise par un membre de l’équipage de la Station spatiale internationale le 24 décembre dernier, permet également de voir les villes de Saint-Hyacinthe, Sorel-Tracy, Saint-Jérôme et Saint-Jean-sur-Richelieu.
Le cliché a été pris à une distance d’environ 600 kilomètres, alors que la station était au-dessus de la Pennsylvanie. Elle a été prise à l’aide d’une caméra Nikon D3s avec un objectif de 180 mm.
Montreal at Night était l’image du jour du lundi 10 janvier sur le site web Earth Observatory de la NASA.
Photo: archives La Presse
Mathieu Perreault
La Presse
Depuis quelques années, plusieurs études ont montré que certains patients plongés dans un coma profond peuvent comprendre ce dont on leur parle, même après plusieurs mois d’inconscience.
Ces résultats ont relancé le débat sur les soins palliatifs apportés aux patients dans le coma. Un neurologue de l’Université de la Californie-du-Sud, Antonio Damasio, vient d’ajouter son grain de sel avec son nouveau livre, Self Comes to Mind, Constructing the Conscious Brain.
Selon le Dr Damasio, il n’y a pas de vraie conscience sans conscience de soi. Être conscient de son environnement ne suffit pas. Les études montraient qu’un patient dans le coma qui entend une conversation à propos du tennis avait une activité cérébrale similaire à celle d’une personne qui joue au tennis.
Le neurologue californien estime qu’il s’agit d’une simple conscience de son environnement, pas d’une conscience pleine et entière. Cette thèse découle d’un débat qui dure depuis longtemps en neuropsychologie, et qui a notamment servi à justifier l’utilisation des animaux en agriculture et en recherche médicale (si un animal n’a qu’une conscience de son environnement, mais pas de sa propre existence, il n’est pas vraiment conscient).
Sources: The New York Times, The Wall Street Journal, Eurekalert, Pantheon, Université Concordia
Plaisir abstrait, la musique contribuerait, grâce à la dopamine, au renforcement des émotions, en faisant appel à des notions d’attente (de la prochaine note, d’un motif préféré), de surprise, d’anticipation.
Photo: photos.com
Agence France-Presse
Paris
Le plaisir intense ressenti en écoutant de la musique entraîne la sécrétion dans le cerveau de dopamine, un neurotransmetteur servant à valoriser ou récompenser des plaisirs plus concrets associés à la nourriture, la prise de drogue ou l’argent, selon une étude publiée dimanche.
La dopamine est une molécule chimique du «système de récompense» servant à renforcer certains comportements indispensables à la survie (alimentation), ou jouant un rôle dans la motivation (récompense secondaire via l’argent).
Comment est-elle impliquée dans un plaisir abstrait comme celui d’écouter la musique, qui ne paraît pas directement indispensable à la survie de l’espèce?
Pour le comprendre, des chercheurs de l’Université McGill de Montréal, ont sélectionné une dizaine de volontaires âgés de 19 à 24 ans parmi les 217 ayant répondu à des annonces demandant des personnes ayant déjà éprouvé des «frissons», signes de plaisir extrême, en écoutant de la musique.
À l’aide de différents appareils d’imagerie (TEP, IRM fonctionnelle), l’équipe de Valorie Salimpoor et Robert Zatorre a mesuré la sécrétion de dopamine et l’activité du cerveau. Parallèlement des capteurs renseignaient sur le rythme cardiaque et respiratoire des volontaires, leur température ou des signes de frissons de plaisir au niveau de la peau.
Les résultats publiés dans la revue scientifique Nature Neuroscience montrent que la dopamine est secrétée à la fois en anticipation du plaisir lié à la musique écoutée et lors du «frisson» de plaisir lui-même, c’est-à-dire du pic émotionnel. Il s’agit de deux processus physiologiques distincts impliquant des zones différentes au coeur du cerveau.
Lors du pic de plaisir, le noyau accumbens impliqué dans l’euphorie liée à la prise de psychostimulants comme la cocaïne était concerné. Juste avant, par anticipation, l’activité de la dopamine était constatée dans une autre zone (noyau caudé).
Le niveau de sécrétion de dopamine variait avec l’intensité de l’émotion et du plaisir, par comparaison avec des mesures faites lors de l’écoute d’une musique «neutre», c’est-à-dire laissant les volontaires de marbre.
«Nos résultats contribuent à expliquer pourquoi la musique a une si grande valeur dans toutes les sociétés humaines» concluent les chercheurs. Ils permettent de comprendre «pourquoi la musique peut être efficacement utilisée dans des rituels, par le marketing ou dans des films pour induire des états hédoniques», ajoutent-ils.
Plaisir abstrait, la musique contribuerait, grâce à la dopamine, au renforcement des émotions, en faisant appel à des notions d’attente (de la prochaine note, d’un motif préféré), de surprise, d’anticipation.