A nous de rendre ses liens solides et de tres bonnes qualités


Albert Jacquard (1925- )
A nous de rendre ses liens solides et de tres bonnes qualités
Albert Jacquard (1925- )
1817 Le baron Karl Drais Von Sauerbronn présante sa Laufmaschine (macine à courir) au Jardin du Luxembourg à Paris. La bicyclette est née.
1861 Les frères Michaux des serruriers de Paris, présentent leur propre version du pédalier. Baptisé vélocipède (pieds véloces) leur appareil est entraîné par des pédales fixées directement à la roue avant.
1868 Le Brand Bi apparaît vers la fin des année 1860. Il a une roue avant d’un très grand diamètre et une roue arrière plus petite. L’intérêt de la grande roue avant est d’augmenter la distance parcourue pour un tour de pédale.
1876 Afin d’assurer une plus grande stabilité à ceux qui craignent d’enfourcher un Grand Bi, James Starley met au point les premiers tricycles
1903 La popularité du cyclisme donne naissance au célèbre Tour de France. Un tracé routier de 2500 km traverse le pays. Soixante coureurs s’élancent de la ligne de départ; 21 terminent la course dont Maurice Garin qui marque l’histoire en devenant le premier champion de cette compétition annuelle.
1975 Le vélo de montagne apparaît en Californie. Ses nombreuses innovations techniques vont profiter à l’ensemble des bicyclettes. Le cyclisme redevient une activité populaire en Amérique
2009 Le cyclisme canadien Sam Whittingham sur vélo couché établit un nouveau recors de vitesse atteignant 133,284 km/h
La semaine Nov. 2010
l’artiste Bjargey Ólafsdóttir a créé l' »ours polaire rouge » sur le glacier Langjökull en Islande. Cette image a été peinte avec de la teinture organique rouge conçue en total respect avec l’environnement. © Christopher Land/350 Earth
A Cape Town, en Afrique du Sud, le Projet Canary et des citoyens locaux ont reproduit une gigantesque couronne solaire avec 70 fourneaux solaires. Après l’évènement, ces cuisinières ont été données à la communauté Khayelitsha qui n’a pas accès à l’électricité. © Jade Wyatt-Holing/350 Earth
Un petit garçon de 7 ans de Trois-Rivières recevra une médaille pour son geste de bravoure envers un membre de sa famille. Mardi dernier, Danick Hébert a sauvé la vie de son cousin Julien, 11 ans.
« On est allé un peu trop loin puis mon cousin a dépassé ma grand-mère. Alors là, la glace, elle a craqué », raconte Danick.« Il était dans l’eau, il avait de l’eau jusqu’au cou, puis il y avait de la boue. C’était un petit peu glaiseux. Il calait. Il n’était pas capable de sortir », poursuit le garçon.
Sans hésiter, il s’est jeté à plat ventre sur la glace pour prêter assistance à son cousin.
« On va venir se glisser sur la glace, on va faire des extensions de portée, soit avec une branche ou encore avec des morceaux de vêtements ou, à tout le moins, si on avait une corde pas loin, pour aller rejoindre cette personne-là et la ressortir graduellement de l’eau », explique Raynald Hawkings, directeur général de la Société de sauvetage du Québec.
La prudence est de mise
Rappelons qu’avec la température douce des dernières semaines, il faut redoubler de prudence pour la pratique de sports d’hiver sur les cours d’eau.
« Il ne faut pas oublier qu’en dessous de la glace, la température va osciller environ entre 2, 3, 4 degrés. Donc, elle peut venir jouer justement, amincir encore cette glace-là, particulièrement s’il y a des courants sous-marins », ajoute-t-il.
Frédéric Lewino
La science est trop sérieuse pour ne pas être prise avec le sourire. La chronique de Frédéric Lewino, journaliste au Point.
« Dans mon équipe, nous tenons le raisonnement que tout ce qui sort des intestins peut nous en apprendre sur ce qui se passe à l’intérieur », explique la jeune chercheuse. Logique.
Mais plutôt que de s’intéresser directement à l’homme et à ses défécations, Irene a privilégié la mouche, un organisme plus simple à étudier, dans un premier temps. Je vois venir certains de mes lecteurs : non, elle n’a pas choisi la mouche à m…, mais la mouche du fruit (Drosophila melanogaster), qui est l’organisme modèle préféré des chercheurs. Ses travaux, publiés dans la revue Cell Metabolism, lui ont permis de constater que l’intestin intervient directement dans la régulation de l’appétit, mais aussi dans l’apparition d’une constipation lors de la grossesse. En effet, dès que Mme Mouche émerge de sa rapide nuit de noces (quelques secondes à tout casser), elle devient constipée et ballonnée. En clair : elle a des selles plus dures et moins fréquentes qu’auparavant, tout en mangeant davantage.
Accumulation de déchets
La responsable de cette situation inconfortable ? Une hormone sexuelle injectée en douce par M. Mouche durant la copulation. Celle-ci agirait sur un petit groupe de neurones de l’intestin pour commander la rétention d’eau. Mais c’est pour la bonne cause. En effet, selon la chercheuse, cette concentration des matières intestinales leur permettrait de stationner plus longtemps dans les tuyaux et donc améliorerait l’efficacité de leur absorption. Du reste, ce mécanisme de constipation peut également se déclencher en dehors des périodes de grossesse, quand la nourriture manque, chez la mouche comme chez l’homme.
Alors Irene s’est posé la question cruciale : pourquoi ne sommes-nous pas en permanence constipés si cela permet d’améliorer l’efficacité de notre digestion ? La réponse doit être cherchée du côté de l’espérance de vie. En effet, une mouche qui pond souvent vit moins longtemps. Non pas à cause de l’effort demandé, mais parce que la constipation entraînerait une accumulation de déchets dans l’organisme. Du coup, cela induirait une modification de la composition de la flore intestinale, essentielle à une bonne régulation du métabolisme de l’individu. Conclusion : déféquez mou, vous vivrez plus longtemps.
Le phénomène a commencé la nuit de la Saint-Sylvestre, en Arkansas (Etats-Unis), où 5 000 oiseaux sont tombés du ciel. Ils ont été retrouvés morts, portant des traces de blessures traumatiques. Puis il s’est propagé en Louisiane: même phénomène, même espèce: des carouges à épaulette. Si dans le premier cas on pensait que la cause de cette mort subite venait des feux d’artifices lancés la nuit du réveillon, ce n’est plus le cas pour la seconde vague de mardi. Le même cas s’est produit également en Suède.
Autre phénomène qui se rajoute à la liste: mardi, sur les côtes de Nouvelle-Zélande, du Brésil et dans le plus grand estuaire des Etats-Unis, plusieurs millions de poissons ont été retrouvés morts. Dans le Maryland (dans la baie de Chesapeake), les poissons ainsi retrouvés sont des Leiostomus xanthurus. Au Brésil, il s’agit de sardines et poissons-chats.
S’agissant des oiseaux, les feux d’artifice de la nuit du réveillon sont principalement accusés. D’autres pistes sont à envisager comme une électrocution sur des lignes haute tension par exemple. Des autopsies sont toujours en cours afin d’identifier la raison de cette mort soudaine. Quoiqu’il en soit, il ne paraît pas probable qu’il s’agisse de maladie ou d’empoisonnement car les oiseaux étaient en vol.
Auteur de l’article: Cédric DEPOND