

La vie serait impossible si l’on se souvenait, le tout est de choisir ce qu’on doit oublier.
Roger Martin du Gard
La vie serait impossible si l’on se souvenait, le tout est de choisir ce qu’on doit oublier.
Roger Martin du Gard
Si un vieux meuble dégage une odeur de renfermé et d’humidité, déposé un verre de lait bouillant dans les tiroirs. Refermez les portes et les tiroirs et laissez refroidir le lait …
7 jours/ Déc. 2010
Une espèce marine d’escargot incroyable
Un nématode dans une goutte d’eau
Eclipse solaire totale époustouflante
« Legionella pneumophila », le bacille responsable de la maladie du légionnaire ou la légionellose
Belle colonie de manchots royaux
Gerbes de feu
Une Vénus attrape-mouche étonnante
© NOAA Okeanos Explorer Program, INDEX-SATAL 2010.
Une main venue de l’espace
Un ovule (humaine) qui arrive à maturation
Sculpture au cœur du gouffre de Padirac
Musée de la Civilisation – Un oiseau rare à Québec
Un rare exemplaire de Birds of America , livre le plus cher au monde, est accessible au public cette fin de semaine au Musée de la Civilisation, à Québec.
L’ouvrage du peintre naturaliste John James Audubon reproduits, grandeur nature, les oiseaux dans leur habitat.
Rappelons qu’un exemplaire du célèbre livre a récemment été vendu aux enchères, à Londres, pour la somme de 11 millions de dollars, ce qui en fait le livre le plus cher du monde.
Le Musée de la Civilisation possède un exemplaire en quatre tomes des originaux de la première édition.
L’exemplaire dont il dispose a été acquis par le Séminaire de Québec en 1861 auprès du libraire D. Appleton & Co, de New York.
« John James Audubon a fait des voyages. Il est venu à Québec ici, mais il a aussi fait un voyage sur la Côte-Nord, il a longé les côtes du Labrador. Il est allé à Natashquan également. Il a fait un petit bout sur la rivière Romaine et là, il en a tiré une vingtaine de portraits d’oiseaux de cette région », dit-elle.
Photo: Istockphoto
De simples échantillons d’ADN permettent de déterminer avec une grande précision la couleur des cheveux d’une personne, ont démontré des chercheurs néerlandais à l’aide d’une technique qu’ils ont mise au point.
À ce jour, seule la couleur des yeux pouvait être déterminée à partir de prélèvements de sang, de sperme, de salive ou de cellules de peau.
La technique mise au point par le Pr Manfred Kayser et ses collègues du centre médical Erasmus, de Rotterdam, permet de prédire avec une précision de plus de 90 % si un individu a les cheveux roux ou noirs, et à 80 % s’il est brun ou blond.
De plus, la nouvelle méthode permet également de distinguer les différentes nuances au sein de couleurs similaires, par exemple entre blond et châtain clair.
Pouvoir prédire différentes couleurs de cheveux à partir de l’ADN est une percée majeure, car jusqu’à présent seuls les cheveux roux, qui sont rares, pouvaient être identifiés. — Pr Manfred Kayser
Les recherches du Pr Kayser et de ses collègues, publiées dans la revue Human Genetics, ont permis de découvrir 13 marqueurs ADN sur 11 gènes liés à la couleur des cheveux.
Les auteurs estiment qu’un test ADN sera bientôt développé afin d’aider les policiers dans certaines enquêtes criminelles.
Un test sanguin permettrait de détecter la moindre présence de cancer avant même que celui-ci soit détecté par les tests habituels.
Des scientifiques viennent de créer un nouveau test sanguin assez sensible pour détecter la moindre petite présence de cellules malignes dans le sang, avant même qu’un cancer soit détecté par les tests médicaux usuels.
Ce test pourrait bien être offert dans les hôpitaux dans deux ans. Il faciliterait grandement les diagnostics précoces, augmentant ainsi les chances de guérison et de survie avec des traitements mieux adaptés.
«Cette nouvelle technologie a le potentiel d’offrir un test facile à effectuer pour détecter et dénombrer les cellules cancéreuses et aussi pour en déterminer les caractéristiques biologiques», indique Robert McCormarck de Veridex, une filiale du fabricant Johnson & Johnson.
Selon le New England Journal of Medicine, ce test sanguin consiste en une micropuce électronique qui peut détecter la moindre présence de cellules cancéreuses en circulation par le biais de marqueurs génétiques et de protéines. Ceux-ci s’attachent aux cellules en question et les rendent lumineuses, ce qui permet de les détecter et de les prélever facilement pour analyse.
Éventuellement, avec cette technique, il serait possible de ne plus avoir recours aux tests comme les mammographies, coloscopies ou biopsies.