
Le crédit
C’est pas la peine d’acheter un nouveau matelas si le crédit que vous avez pris pour le payer vous empêche de dormir.
Patrick Sébastien
Le crédit
C’est pas la peine d’acheter un nouveau matelas si le crédit que vous avez pris pour le payer vous empêche de dormir.
Patrick Sébastien
Verre cassé en milles morceaux
Lorsrque vous cassez un verre et que d’infirmes éclatts se retrouvent sur le plancher, mouillez l’extrémité d’un balai. Vous ramasserez tous les morceaux, même les fragments minuscules que vous ne voyez pas
7 jours Nov. 2010
La consommation d’insectes comme substitut à la viande ou au poisson pourrait assurer la sécurité alimentaire de tous dans un avenir rapproché, car ils possèdent d’excellentes qualités nutritionnelles et leur rendement est bien meilleur que celui du bétail.
L’entomophage vous dira en plus que la saveur des quelques 1400 espèces d’insectes consommés en Afrique, en Asie et en Amérique latine est comparable, lorsqu’ils sont bien préparés à celle des noisettes et des fruits de mer
La Semaine / Nov. 2010
La vidéo de l’explorateur norvégien qui pique-nique avec un ours polaire a fait le tour du monde.
Image tirée de YouTube
Charles Côté
La Presse
La vidéo a fait le tour du monde cette semaine: l’explorateur norvégien Ragnar Thorseth qui sert des tartines de saumon fumé à un ours polaire à bord de son navire, lors d’une expédition dans l’archipel du Svalbard.
La biologiste Christine Gagnon, qui s’occupe des ours polaires au Zoo sauvage de Saint-Félicien, a frémi en voyant ces images.
«La pire chose qu’on peut faire pour un animal sauvage, c’est de faire en sorte qu’il associe l’humain à une source de nourriture», dit-elle.
Le parc du Mont-Tremblant est aux prises avec des loups qui s’approchent de plus en plus des humains parce que des campeurs nourrissent leurs proies, les cerfs de Virginie.
Et dans bien des parcs, les agents de la faune doivent capturer des ours noirs pour les éloigner des campings où ils trouvent trop souvent de la nourriture.
«Un trait des animaux sauvages est leur lutte de tous les instants pour se nourrir, dit Claude Pelletier, biologiste au parc national des Monts-Valin. Dès qu’on leur fournit une source de nourriture artificielle, on change leur comportement. Ils s’attachent très fortement à cette nouvelle source.»
Plus grave encore, en nourrissant un animal sauvage, on le condamne souvent à mort.
«Le gros problème, c’est que les animaux se retrouvent dans notre entourage, dit M. Pelletier. Ils perdent leur crainte naturelle de l’homme et prennent plus de risques. Ces animaux doivent être déplacés ou si c’est trop problématique, ils doivent être abattus. On a des protocoles pour faire en sorte que l’animal ne soit jamais familiarisé, mais c’est plus facile à prévenir qu’à corriger.»
C’est aussi vrai avec l’ours polaire, le plus grand prédateur terrestre de la planète. Le Zoo de Saint-Félicien en a quatre, dont deux bébés nés l’an dernier.
L’ours blanc est déjà susceptible d’attaquer l’humain, mais s’il croit en plus trouver chez l’homme une source facile de nourriture, il devient encore plus dangereux et plus susceptible d’être abattu.
«Nous, jamais on n’a de contact direct avec les ours, dit Mme Gagnon. Le gardien dépose de la nourriture dans des tiroirs dans l’enclos de nuit avant leur entrée.»
Elle affirme que les mêmes précautions sont prises à Churchill, au Manitoba, capitale mondiale d’observation des ours blancs.
http://www.cyberpresse.ca
La Gendarmerie royale du Canada (GRC) met la population en garde contre une fraude sophistiquée sur les cartes de crédit qui se répand à travers le pays, et qui implique une nouvelle astuce pour demander aux gens des renseignements personnels.
Une agente de la GRC de la division des crimes commerciaux du détachement de Saint-Jean, à Terre-Neuve-et-Labrador, a indiqué jeudi que plusieurs personnes avaient alerté la police pour signaler des appels suspects de prétendus agents de compagnies de cartes de crédit.
L’interlocuteur est à la recherche du code de sécurité inscrit au verso des cartes MasterCard ou Visa, une information cruciale s’ils voulaient effectuer des achats avec la carte.
La capitaine Vicki Chalker précise que ce qu’il y a de nouveau avec cette méthode, c’est que les présumés fraudeurs possèdent déjà l’adresse de leur victime, ainsi que leurs numéros de téléphone et de carte de crédit, et affirment qu’ils enquêtent sur des achats inusités.
Selon la policière, il s’agirait de l’une des techniques de fraude les plus sophistiquées qu’elle ait eu l’occasion de voir.
Mme Chalker a précisé que les interlocuteurs offraient un numéro d’employé et indiquaient qu’ils travaillaient pour le service des fraudes de Visa ou Mastercard, avant d’ajouter qu’ils enquêtaient sur un achat inhabituel.
Le présumé fraudeur demande alors au détenteur de la carte s’il a acheté une machine anti-télémarketing d’une valeur de 497 $, et lorsqu’il répond non, annonce qu’il sera remboursé pour cet achat.
L’interlocuteur confirme alors l’adresse postale de sa victime, faisant ressembler le tout à un appel légitime, ajoute Mme Chalker.
Afin de conclure la transaction et s’assurer que la personne détient bien la carte, le fraudeur demande ensuite le code de sécurité à l’endos de la carte.
La capitaine Chalker a indiqué que moins de 10 personnes ont appelé la police pour indiquer qu’elles avaient reçu un appel du genre dans la province, et que la police avait été alertée de l’affaire mercredi par la Banque Royale.
Selon Mme Chalker, ce type d’arnaque aurait fait son chemin du sud de l’Alberta vers la côte est, et que cela se produit actuellement à la grandeur du pays.
La policière ajoute que les gens ne devraient jamais donner d’informations personnelles au téléphone, mais devraient plutôt contacter les compagnies de cartes de crédit s’ils s’inquiètent de quoi que ce soit.
Les fraudeurs peuvent obtenir des informations personnelles via des sites non sécurisés, dans le courrier de leurs cibles et à des endroits tels que des magasins qui colligent les noms, adresses et numéros de téléphone pour des demandes de cartes de crédit.
La Presse Canadienne
Une chienne et six de ses huit chiots qui avaient été laissés pour morts le mois dernier dans un fossé ont survécu et ont été adoptés cette semaine.
La mère et deux de ses petits avaient des clous enfoncés dans le crâne avec un pistolet pneumatique. Ces deux chiots n’ont pas survécu.
La femelle labrador au pelage noir et ses huit chiots avaient été trouvés le long d’une route de campagne à Lac-Brome, alors que le mercure était descendu bien en-dessous de zéro.
«C’est horrifiant, c’est difficile», a-t-elle dit, ajoutant que depuis, les images la hantaient.
Le 22 décembre, des amis de Mme Sabourin et de son mari, Ken French, les ont informés que des chiens se trouvaient dans le fossé d’une vieille route éloignée de tout. Mme Sabourin croit d’ailleurs que cet endroit avait été choisi de manière délibérée.
La chienne a d’abord grogné lorsque le couple s’est approché mais a baissé sa garde lorsqu’elle a ensuite été approchée avec de la nourriture. M. French a par la suite pu la mettre en laisse. Puis, l’animal a conduit son sauveur vers l’un de ses petits blessés qui se trouvait non loin de là.
«Je touchais le dessus de sa tête, je le caressais doucement et je pouvais sentir du métal, des morceaux de métal dans sa tête», a raconté Mme Sabourin.
«J’ai regardé et j’ai vu que du métal avait été enfoncé dans son crâne.»
Une équipe de secours est arrivée sur les lieux et a pris soin du groupe. Toutefois, le chiot trouvé dans le ravin est mort en route vers un refuge pour animaux.
«C’est horrible. C’est vraiment un cas de cruauté envers les animaux», a dénoncé Mme Sabourin.
«Ces petits et leur mère étaient bien traités et puis, quelque chose est arrivé qui a mené a cela», a suggéré Mme Sabourin, elle-même propriétaire de chien.
«Elle va bien et reçoit des antibiotiques», a indiqué Geneviève Sabourin.
Des familles ont offert des récompenses à ceux qui détiendraient des indices pouvant mener à l’identification des responsables d’un tel acte. Un groupe sur Facebook a aussi été formé.
La police a été contactée mais il n’y a eu aucune arrestation en lien avec cette affaire.
«Nous avons souvent affaire à des cas de cruauté envers les animaux mais de cette gravité, c’est plus rare», a-t-il expliqué.