
Maman
Photo: image-lesencyclopedies.linternaute.com
« Dans une conversation où je parlais de ma mère, mon fils tout surpris s’est exclamé : parce que t’as une maman toi aussi ? »
Maxime 4 ans
Maman
Photo: image-lesencyclopedies.linternaute.com
« Dans une conversation où je parlais de ma mère, mon fils tout surpris s’est exclamé : parce que t’as une maman toi aussi ? »
Maxime 4 ans
► Chou-fleur cuit
Afin qu’un chou-fleur cuit conserve sa couleur blanche, ajoutez un filet de vinaigre dans l’eau de cuisson.
► Cuire des oeufs sans les casser
Pour éviter que les oeufs ne cassent lorsqu’on tente de cuire des oeufs durs, ajouter un peu de vinaigre à l’eau de cuisson.
► Anti-hoquet
Prenez un morceau de sucre puis, versez-y dessus du vinaigre. Attendez que le sucre en soit bien imbibé et croquez-le, c’est radical.
► Atténuer les odeurs dans le réfrigérateur
Pour atténuer les odeurs dans un réfrigérateur, il suffit de le laver avec de l’eau chaude vinaigrée.
Laisser agir de 15 à 20 minutes puis rincer abondamment à l’eau.
► Détartrer un lave-vaisselle
On peut détartrer un lave-vaisselle en versant 5 litres de vinaigre blanc dans celui-ci et en effectuant un nettoyage à vide.
► Agent de rinçage pour lave-vaisselle
Remplacer l’agent de rinçage pour lave-vaisselle qui est dispendieux par du vinaigre et vous n’aurez plus aucune tache sur la vaisselle.
► Dépôts calcaires dans le fer à repasser
Fer à repasser: pour enlever les dépôts de calcaire, nettoyez-le une fois de temps en temps avec de l’eau vinaigrée.
► Eliminer les résidus de savon
Pour éliminer les résidus de savon dans la salle de bains, il suffit simplement de laver vos portes de douche avec du vinaigre chaud.
► Détachant tout-usage
Pour tout genre de tache, mélanger ensemble 1 tasse (250 ml) de vinaigre, 1 tasse (250 ml) de votre shampoing le moins dispendieux et 2 tasses (500 ml) d’eau.
Humecter la tache et brosser
► Calcaire sur les pommes de douche
Pour enlever le calcaire qui trouble vos pommes de douche, les dévisser et les laisser tremper une heure ou deux dans du vinaigre blanc
POISSON BOUTEILLE
J’ai déjà mit un billet en décembre dernier sur la relation des émotions et des amydales aujourd’hui c’est du côté de la socialisation Bon .. que ce soit sur Window live, wordpress et facebook j’ai pas pas une tonne de contact .. doit-on conclure que je ne soit pas très sociable 😉 Néanmoins, ce sont la qualité des relations que j’attache plus d’importance qu’au nombre
Les réseaux sociaux augmentent la taille (d’une partie) de votre cerveau !
Les amygdales (en rouge) sont de petites structures cérébrales en amande, responsables des émotions et impliquées dans la gestion des réseaux sociaux. © Life Science Databases, Wikimedia, CC by-sa 2.1
Pour savoir si une personne a beaucoup d’amis, observez son profil Facebook ou… son cerveau ! Les personnes possédant un cercle social étendu et complexe auraient en effet une augmentation significative du volume des amygdales.
Utiliser Facebook implique-t-il d’avoir un cerveau particulier ? A priori oui, d’après des chercheurs de Boston. Des structures cérébrales particulières nommées amygdales, en plus d’être impliquées dans les émotions, sont aussi requises pour la socialisation des espèces animales.
En effet, cela avait pu être montré grâce à des études antérieures basées sur des comparaisons des cerveaux des primates non humains où la taille des amygdales était corrélée au nombre moyen d’individus constituant le groupe.
Mais si l’amygdale semble donc être importante pour la socialisation des animaux, sa taille diffère-t-elle également parmi les être humains en fonction de leur réseau social ?
Des chercheurs de la Northeastern University à Boston se sont intéressés à la question et ont choisi d’y répondre en observant la taille des amygdales de 58 personnes adultes en bonne santé physique et psychologique. Pour évaluer la complexité des réseaux sociaux de ces personnes, les chercheurs ont utilisé deux variables : une première comprenant le nombre global de personnes avec qui les volontaires entretenaient des contacts réguliers, et une deuxième indiquant le nombre de différents groupes dont ces contacts faisaient partie (famille, collègues…).
Une observation du cerveau par IRM
Les amygdales ont ensuite été mesurées, grâce à des images du cerveau obtenues par de l’imagerie à résonance magnétique (IRM) puis par reconstruction informatique à l’aide de programmes développés à l’université d’Harvard (FreeSurfer). Pour servir de contrôle en tant que structure cérébrale non impliquée dans les réseaux sociaux, les hippocampes ont également été mesurés. Pour éviter les variations dues aux tailles des différentes boîtes crâniennes, le volume mesuré des structures a été rapporté au volume cérébral total.
Des analyses de régression linéaire ont montré que les personnes possédant des réseaux sociaux plus vastes et plus complexes présentaient un volume des amygdales plus grand. Cette constatation a pu être établie quel que soit l’âge du participant (les amygdales rétrécissent avec l’âge), et quelle que soit l’amygdale considérée (il n’y a pas de latéralisation), alors que les hippocampes étaient totalement indépendants de la complexité du réseau social.
À l’inverse, la taille des amygdales n’était pas liée à d’autres paramètres comme la satisfaction de la vie, ou la perception du soutien social, indiquant que le bonheur d’avoir des amis n’est pas impliqué dans cette augmentation du volume des amygdales.
Mieux analyser pour mieux agir
En revanche, la mesure d’autres zones cérébrales et plus particulièrement de l’épaisseur corticale a permis de montrer que certaines régions en plus des amygdales sont aussi corrélées à la complexité du réseau social. Ainsi, le sillon temporal inférieur caudal, le gyrus frontal supérieur caudal et le cortex cingulaire subgénual antérieur sont tous les trois significativement plus épais que les autres parties du cortex. Ces trois régions auraient évolué conjointement avec les amygdales pour assurer la gestion d’un réseau social complexe.
Selon les auteurs, il s’agirait de la première démonstration d’une corrélation entre la taille des amygdales et la taille du réseau social au sein d’une même espèce.
Mais dans quel sens cette relation s’établit-elle ? De plus grosses amygdales favorisent-elles les réseaux sociaux ou, au contraire, la fréquentation active de réseaux sociaux augmentent-elle la taille des amygdales ?
L’étude publiée dans la revue Nature Neuroscience ne le dit pas… Ce qui est sûr, c’est que les amygdales nous permettent, en tant qu’animaux sociaux, de mieux comprendre nos congénères, afin d’établir des stratégies pour mieux coopérer ou entrer en compétition.
« Le virus de l’huître est absolument sans aucun rapport avec l’herpès virus humain », rassure Jean-Pierre Baud, responsable du programme national d’aquaculture durable à l’Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer (Ifremer) de Nantes.
« Les herpès virus sont courants dans le monde animal en général, et dans le monde aquatique en particulier. Leurs attaques sont plus ou moins importantes en fonction de l’espèce. Et depuis 2008, les huîtres sont touchées de plein fouet », ajoute-t-il.
60 à 80 % des naissains meurent
« L’intensification de l’élevage et les nombreuses manipulations nécessaires à l’homogénéisation des tailles affaiblit et stresse les huîtres. Et lors de la montée en température des eaux à 16°C le virus, capable de s’adapter à son environnement, profite de la faiblesse des jeunes mollusques ».
« Si les huîtres saines entrent en contact avec de l’eau contaminée par le virus OsHV-1, elles survivent et ne présentent aucun risque de contaminer le consommateur », précise encore le responsable du programme national d’aquaculture durable de l’Ifremer de Nantes.
En effet, « il faut trois ans pour obtenir une huître adulte – et donc comestible. Et l’épidémie qui a débuté en 2008, provoque une pénurie depuis cette année », ajoute Jean-Pierre Baud.
La Société royale d’astronomie du Canada a confirmé lundi cette découverte, précisant que la supernova, d’une magnitude de 17, avait été trouvée dans la galaxie UGC 3378, dans la constellation de la Girafe.
L’exercice requiert un travail méticuleux selon les scientifiques. Il faut regarder l’image d’une étendue d’étoiles, puis examiner des images de ce même groupe d’étoiles prises ultérieurement pour y déceler de nouveaux éclats de lumière. Ces nouvelles sources de lumière pourraient être des comètes, des astéroïdes, ou des éclats de bruits stellaires.
Les supernovae sont des explosions stellaires qui indiquent la mort violente d’étoiles beaucoup plus massives que le soleil.
Il s’agit d’événements rares, qu’il est possible de voir avec un télescope ordinaire compte tenu de leur éclat plus intense que celui des autres étoiles. La dernière supernova dans notre galaxie remonte à plusieurs centaines d’années.
David Lane dans son observatoire à Stillwater Lake, en Nouvelle-Écosse, avait relevé la mort de l’étoile dans les images prises la veille du jour de l’An. Il a alors envoyé les épreuves au père de la jeune Kathryn.
Cette dernière a raconté qu’elle avait découvert la supernova au cours de son tout premier essai dans la quatrième des 52 photos qu’elle avait à examiner.
La découverte a également été vérifiée par des astronomes amateurs dans les États de l’Illinois et de l’Arizona.
Kathryn Aurora Gray, une élève en cinquième année du primaire, partage la découverte de la supernova avec son père Paul et David Lane.
Radio-Canada.ca avec Presse canadienne