Accepter de commencer


J’ai l’habitude quand j’ai quelque chose de nouveau ou que je veux faire quelque chose de différent de commencer par l’ABC en lisant le mode d’emploi ou en lisant ou regardant des exemples, et ce quand même si le début c’est du connu, du facile .. mieux vaut commencer une marche à la fois magré que cela peut prendre plus de temps .. 
 
Accepter de commencer
 
Week-end à valentigney - les arbres sous le givre au détour d'un chemin - Vos meilleures photos pour raconter l'hiver
 
Photo : linternaute / Thierry Faucher
 

Accepter de se sentir incompétent est une grande force, une clé pour amorcer des changements et de se développer, Imaginez ce que vous pourriez réaliser si vous vous accordiez le droit de ne pas être bon dès le départ
 
Imagniez le plaisir que vous auriez à passer d’une étape a l’autre si vous ne jugiez aucune étapes comme inférieure aux autres. On ne peut absolument rien faire si on n’accepte pas de commencer … 

Marie-Pier Charron 

Le saviez vous ► Le soleil, un désinfectant naturel‏


Avoir l’eau potable dans certains endroits est un luxe .. alors nous, nous l’avons à la demande .. Il y a un moyen naturel qui demande que peu de frais si ce n’est que de recycler des bouteilles de plastiques transparentes . de décontaminer l’eau pour qu’elle soit plus accessible a des pays défavoriser par leur environnement
 
Le soleil, un désinfectant naturel
 
 

Un procédé découvert par des Suisses est expliqué dans les pages du National Geographic de juillet dernier.

La méthode SODIS permet de rendre potable l’eau puisée dans un cours d’eau., par exemple.
 
Comment ?
 
Placez bouteille en plastique usagée (propre) remplie d’eau sur un toit en métal et exposez-la en pleion soleil. En six heures, les rayons UV détruisent les virus, les bactéries et les parasites.
 
Aujourd’hui, quatre millions de personnes utilisent ce système simple, efficace et gratuit et on accès à l’eau potable ..
 
7 jours /nov 2010 

Des prédateurs ? Vraiment ! Où ça ?


La plupart des animaux que nous aimons et qui en plus sont mignons peuvent être aussi de grands prédateurs
 
Des prédateurs ? Vraiment ! Où ça ?

La coccinelle est une vorace
 
la coccinelle est une vorace
 
C’est un véritable prédateur qui dévore les pucerons goulûment. C’est d’ailleurs parce qu’elle les décime rapidement qu’on l’utilise comme insecticide naturel.  ©  Véronique Hermouet
 
Le dauphin joue avec ses proies
 
pour le dauphin, la pêche est un jeu
Pour lui, la pêche est un jeu. Comme un chat, il s’amuse avec ses proies avant de les dévorer, sans leur laisser une chance de survie. ©  Marine Thaburet
 
Le bec du héron
 
son bec pointu permet au héron d'achever ses proies
Son bec fin et pointu lui permet d’achever rapidement sa proie en le transperçant. ©  Guy SEVENNEC
 
Bébé phoque deviendra un grand prédateur
 
bébé phoque deviendra un grand prédateur
Très habile, il chasse en profondeur et même les poissons rapides ne lui échappent pas ©  Alain Lefrere
 
L’appétit du putois
 
l'appétit du putois
Comme la plupart de ses cousins mustélidés,  il mange beaucoup, et des animaux parfois plus imposants que lui.©  Christian DEMUSSY
 
La chouette, prédateur nocturne
 
la chouette, prédateur nocturne
 
La nuit, elle traque des petits rongeurs grâce à ses capacités de vol remarquables et sa vision de nuit. Elle ne rate jamais sa proie car ses attaques sont discrètes, rapides et efficaces. ©  Fabrice NEWEL
 
La loutre, un prédateur opportuniste
 
la loutre, un prédateur opportuniste
 
Il ne faut pas se fier à son air candide : la loutre s’avère un prédateur redoutable ! Elle dévore toutes sortes de petits animaux pourvu qu’ils soient en grand nombre, et joue avec ses proies avant d’en faire son repas.  ©   Lucie GARNAUD
 
Le corail et l’anémone
 
le corail et l'anémone : de fausses fleurs, mais véritables prédateurs
 
De fausses fleurs, mais véritables prédateurs ©  Veronique SANCHEZ
 
Belle mais coriace libellule
 
belle mais coriace libellule
 
Sa grande taille et sa stabilité de vol la rendent particulièrement redoutable. Toutefois, elle ne s’attaque jamais aux araignées de peur des représailles. ©  Fabien BLAISON
 
Ce goinfre de raton-laveur
 
ce goinfre de raton-laveur
Le raton laveur se nourrit de presque tous les petits animaux qu’il trouve : poissons, coquillages, larves, grenouilles, salamandres et tortues sont ses plats les plus courants. ©  Michel APFELD
 

Le suricate, roi de la savane
 

le suricate, roi de la savane
Sa bonhommie et sa timidité camouflent cependant sa facilité à chasser des oiseaux, insectes ou reptiles. A condition, bien entendu, que ses proies soient plus petites que lui. Si ce n’est pas le cas, le suricate pourrait bien devenir un aliment à son tour… ©  Servane PAUCHENNE
 
Le chat et la souris
 

le chat 'joue' à chasser
Il pourchasse et attrape des petits rongeurs, oiseaux ou des reptiles, qu’il dépose comme une offrande devant ses maîtres. Contrairement à de nombreux prédateurs, il chasse même s’il n’a plus faim. ©  Stephanie Devesly

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Le dernier refuge du globe menacé‏


L’être humain cherchera toujours a détruire pour s’enrichir, a tout profiter sans penser aux générations futur, sans penser aux dégats faites a l’environnement, non ..il faut se faire un nom, de l’argent et du pétrole … quand nous serions capable de faire avancer la technologie pour diminuer les consommation de pétrole ..
  
Le dernier refuge du globe menacé


Le géant du pétrole, BP, responsable de la catastrophe écologique de 2010 dans le golfe du Mexique, veut maintenant explorer des gisements dans l’Arctique russe. Un projet qui provoque la colère des mouvements écologistes, relate The Independent.
 

Mark Leftly, Chris Stevenson
 

La mer de Kara - The Independent

 
La mer de Kara – The Independent
Paru dans

Les mouvements écologistes sont consternés par la décision de BP d’installer des plate-formes pétrolières dans la mer de Kara, au nord de la Sibérie, dans l’Arctique. L’Arctique est l’un des derniers refuges du globe pour un certain nombre d’espèces menacées, parmi lesquelles les ours polaires, les morses et les baleines blanches. Et si les eaux de la mer de Kara restent relativement inexplorées, elles sont connues pour abriter d’importantes espèces de poissons, comme le flétan, le capelan et la morue.
 

  La décision de pratiquer des forages dans la région a été prise après l’explosion de la plate-forme Deepwater Horizon dans le golfe du Mexique, en avril 2010. Cet accident a ruiné la réputation de BP et les mouvements écologistes craignent que, du fait de son isolement, l’Arctique ne soit encore plus exposé aux catastrophes écologiques.
 
“Il y a un certain nombre d’années, BP se présentait comme la compagnie pétrolière la plus écologique et promettait d’aller ‘au-delà du pétrole’”, souligne Mike Childs, un responsable de l’ONG Les Amis de la Terre.
 
 “Compte tenu des énormes répercussions de ses opérations dans le golfe du Mexique, sa récente décision en fait l’ennemi numéro un de l’environnement.”
 
Selon lui, “l’Arctique devrait être interdit à l’extraction de combustibles fossiles, car c’est l’un des rares environnements intacts qu’il nous reste. Cet environnement est très fragile et nous devrions chercher des moyens de le protéger, plutôt que de le détruire.”
 
Pour Dax Lovegrove, le responsable des relations avec le monde des affaires et l’industrie au WWF-Royaume-Uni, “les plans anti-marée noire dans l’Arctique sont encore moins adaptés qu’ils ne l’étaient dans le golfe du Mexique. Il y a moins de matériel de lutte contre les marées noires et moins de bateaux pour récupérer le pétrole flottant à la surface de l’eau.”
 
Des écologistes s’étaient déjà plaints des activités conjointes de BP et de Rosneft au large de l’île de Sakhaline, dans le Pacifique Nord. WWF pense que les incessants relevés sismiques des deux compagnies ont causé des nuisances sonores aux cent trente dernières baleines grises (dont trente femelles seulement) de la côte ouest du Pacifique.
 
Greenpeace a signalé récemment qu’il faudrait neuf mois pour réparer les dégâts d’une marée noire dans la mer de Kara.
 
 “Imaginez que le même scénario [que celui du golfe du Mexique] se produise dans l’Arctique, qui se trouve à des milliers de kilomètres de tout et où la saison des forages se limite à trois ou quatre mois par an. Si une fuite se produit à la fin du cycle, il risque de s’écouler neuf mois avant que l’on ne puisse tenter de la colmater”, observe un porte-parole du mouvement écologiste.
 
BP poursuit également, en collaboration avec Husky Energy, un projet de 2,5 milliards de dollars à Alberta, au Canada. Les deux partenaires extraient du pétrole de gisements de sables bitumeux, une opération difficile qui génère d’importantes émissions de gaz à effet de serre.
 
Greenpeace entend combattre activement l’exploitation des ressources de l’Arctique.
 
“Ces deux projets montrent que BP n’a pas changé. Après les sables bitumeux, il explore l’une des zones les moins polluées de la planète. Nous devons lui demander pourquoi il investit l’argent des actionnaires dans une telle région après avoir dépensé 20 milliards de dollars pour Deepwater Horizon.”
 
Les coûts de nettoyage et d’indemnisation générés par la marée noire du golfe du Mexique devraient dépasser les 40 milliards de dollars. La colère suscitée par la catastrophe a convaincu BP de placer ses espoirs de croissance plutôt à l’est qu’à l’ouest.
 
Le patron de BP, Bob Dudley, a cherché à convaincre les médias et les mouvements écologistes que les opérations de sa compagnie étaient désormais beaucoup plus sûres. Un porte-parole du groupe a déclaré qu’il rencontrerait les associations pour répondre à leurs questions. Mais le parlementaire américain Ed Markey a réclamé une révision de l’accord.
 
“Même après la plus grande marée noire de l’histoire des Etats-Unis qui coûtera peut-être des milliards de dollars d’amende, il semble que l’ours russe continue à faire confiance à BP, a-t-il observé. Les initiales BP signifiaient autrefois British Petroleum. Avec cet accord, elles sont devenues synonymes de Bolchoï Petroleum.”
 
REPÈRE L’accord BP – Rosneft en Arctique
 
 L’accord entre le pétrolier BP et le géant russe du pétrole Rosneft, détenu par l’Etat, prévoit un montant de 6 milliards d’euros d’échange d’actions entre les deux partenaires, selon le journal russe Kommersant. Ces derniers jours, un trio de milliardaires russes actionnaires d’une autre société pétrolière en Russie, AAR, a déclaré son intention de  bloquer l’accord de BP avec Rosneft. Selon ce consortium, tous les projets pétroliers en Ukraine et en Russie doivent se dérouler avec sa participation, en vertu d’un accord passé avec BP. L’Arctique (dont le nom signifie “ours” en grec ancien) comprend cinq pays bordant l’océan : les Etats-Unis, le Canada, la Russie, la Norvège et le Danemark. L’an dernier, le gouvernement du Groenland (province autonome du Danemark) avait refusé à BP l’autorisation de pratiquer des forages dans ses eaux arctiques.
               

http://www.courrierinternational.com

La «malbouffe» rendrait dépressif


Ce résultat d’étude ne me surprend pas du tout … car la malbouffe est un peu un mode de vie C’est sur que ce n’est pas la seule cause de dépression, mais je crois qu’étant donné qu’il y ai une nette différence entre la malbouffe et la cuisine méditerranéenne cela influence la chimie du cerveau ..vue que la malbouffe ne donne pas toutes les vitamines, minéraux etc … dont le corps et le cerveau a besoin …
 
La «malbouffe» rendrait dépressif
 
La «malbouffe» rendrait dépressif

Photo La Presse Canadienne
Agence France-Presse
Washington
 

La consommation d’acides gras trans et de graisses saturées, tels que contenus dans les frites par exemple, accroîtrait le risque de dépression, selon une étude espagnole publiée aux États-Unis qui conforte d’autres recherches liant «malbouffe» et déprime.
 
Les chercheurs de l’étude ont également constaté que l’huile d’olive –riche en acide gras mono insaturé (oméga 9) et base de la cuisine méditerranéenne–, ainsi que d’autres huiles végétales et poissons gras contenant des graisses insaturées contribuaient à réduire le risque de maladie mentale.

Les auteurs de l’étude ont suivi et analysé le régime alimentaire et le mode de vie de plus de 12 000 volontaires pendant six ans.
 
Au début de l’étude aucun des participants n’était dépressif. A la fin de l’étude 657 d’entre eux souffraient de dépression.

Les chercheurs ont constaté que parmi tous les volontaires, ceux ayant consommé des acides gras trans et des graisses saturées «avaient un risque de dépression 48% plus élevé que ceux qui n’avaient pas absorbé d’aliments contenant ces graisses».

Ils ont aussi déterminé que «plus la quantité d’acides gras trans était importante, plus les effets sur la santé mentale des volontaires étaient sévères», explique le Dr Almudena Sanchez-Villegas, professeur adjoint de médecine préventive à l’Université de Las Palmas de Gran Canaria en Espagne et principal auteur de l’étude.

La chercheuse souligne aussi que l’étude a été menée sur un groupe de population consommant un faible taux d’acides gras trans représentant en moyenne seulement 0,4% de l’énergie totale qu’ils ingèrent. Ce taux monte à 2,5% dans des pays comme les États-Unis.

«Malgré cela, nous avons constaté un accroissement de près de 50% du risque de dépression chez ces sujets», indique le Dr Sanchez-Villegas.

De ce constat «nous avons conclu qu’il était important de tenir compte des effets des acides gras trans et des graisses saturées sur la santé mentale dans des pays comme les États-Unis où l’énergie dérivée de ces aliments est beaucoup plus élevée» dans la population, relève le Dr Miguel Angel Martinez-Gonzalez, professeur de médecine préventive à l’Université de Navarre (Espagne), qui a dirigé l’équipe de recherche.

«Nous avons découvert que les acides gras non saturés en général et l’huile d’olive en particulier permettent d’amoindrir le risque de souffrir de dépression», ajoute-il.

Les résultats de cette recherche corroborent l’hypothèse selon laquelle les pays d’Europe du Nord ont une fréquence plus élevée de dépression que les pays du Sud où le régime méditerranéen domine, fait valoir le Dr Martinez-Gonzalez. La plus faible luminosité dans le Nord de l’Europe est également un facteur contribuant à plus de dépressions, note-t-on par ailleurs.

Une recherche parue dans l’American Journal of Psychiatry en janvier 2010, qui a analysé la santé mentale et le régime de 1046 femmes avec des questionnaires pendant plus de dix ans, montre que celles suivant un régime de type occidental (hamburgers, pain blanc, pizzas, chips, aliments riches en sucre, etc.) avaient un risque de dépression accru de 50%.

Les auteurs de l’étude espagnole relèvent que l’incidence des dépressions augmente depuis ces dernières années dans le monde avec actuellement 150 millions de personnes affectées.

Cette communication est publiée dans la revue scientifique américaine PLoS ONE, une publication de la Public Library of Science.

http://www.cyberpresse.ca

Un nouveau test pour la maladie d’Alzheimer


Espérons que le fait de détecter plus vite la maladie d’Alzheimer, puisse un jour donner des moyens pour retarder de manière très significative ou mieux encore que cette maladie soit guérissable …

 
Un nouveau test pour la maladie d’Alzheimer
 
Cerveau humain
 
Photo: Inserm/C. Fallet-Bianco
 
Coupe d’un cerveau humain atteint de la maladie d’Alzheimer. Il est possible d’y voir une atrophie corticale et une dilatation ventriculaire.
 

Une équipe de chercheurs de l’Université de la Colombie-Britannique a développé une technologie qui permettrait de détecter la maladie d’Alzheimer plus rapidement.
 
Le test utilise un biomarqueur pour déceler les protéines qui apparaissent avant la formation de plaques toxiques. Ces plaques détruisent les cellules du cerveau et nuisent à la mémoire.
 
Les compagnies pharmaceutiques pourraient aussi utiliser le test pour déterminer l’efficacité des thérapies sur certaines protéines.

Auparavant, la présence de ces plaquettes ne pouvait être déterminée qu’après le décès du patient, lors de l’autopsie.

http://www.radio-canada.ca

Communiquer


 

Prendre le temps de parler pour etre mieux compris, laisser le temps d’écouter pour mieux comprendre les autres et puis il faut des silences pour écouter
 
Communiquer
  

 

 
Communiquer suppose aussi des silences, non pour se taire, mais pour laisser un espace à la rencontre des mots.
  

 Jacques Salomé

 

 

 

On se fait un film !?


Nous sommes des êtres vivants qui parlent beaucoup mais ne savent pas écouter.. Nous croyons souvent que nous savons ce que pensent l’autre alors nous inventons les événements, les situations et pourtant la réalité serait tout autre .. si nous avions pris le temps de communiquer .. non pas un monologue, mais un dialogue, une discussion entre deux ou plusieurs personnes, C’est fou que le monde serait plus compréhensible si nous savions seulement échanger avec les autres ..
 
On se fait un film !
 
 
  
Vous est-il déjà arrivé de rentrer dans un restaurant, vous asseoir, passer votre commande et constater que le couple qui est entré bien après vous… est servi avant vous ! 
 
Vous n’avez de cesse de vous demander ce qu’ils peuvent bien faire « ces incapables » ! 
 
D’où leur vient cette maladresse et l’inorganisation de vous oublier !  
 
Vous les observez manger, et vous attendez, attendez… A chaque fois que vous voyez le garçon, vous l’interpellez pour attirer l’attention sur l’endroit vide en face de vous et il vous répond en courant : « ça vient monsieur, ça vient »… Vous vous impatientez de plus en plus, vous avez interpellé le serveur à chacun de ses passages où il vous a répondu à chaque fois : « votre plat arrive, monsieur ». 
 
Jusqu’à ce que vous constatez que le temps à continué sa course, et que ce couple vient de finir de manger ! Quel culot ! Vous envisagez de faire appel au patron, vous voulez exprimer votre frustration, votre colère, votre faim aussi accessoirement… Vous ne le tolérerez pas plus longtemps ! 
 
Le serveur file devant vous, vous montez le ton (parce que vous ne vous fâchez jamais) : « et ma commande ! ». 
 
« Elle arrive, monsieur » rétorque-t-il tout paniqué. 
 
C’est alors que vous vient l’idée de génie de lui poser une autre question : 
 
« Mais pourquoi est-ce si long ? ». 
 
Le serveur marque un temps d’arrêt et vous explique : « ces personnes ont commandé le menu rapide. Le vôtre dépend du chef et il est débordé en ce moment parce que nous avons aussi une réception dans la salle d’à côté. Je suis désolé de vous avoir fait patienter si longtemps. » 
 
Subitement, votre colère fait place à la compréhension. Cette réponse donne une toute autre dimension à ce que vous avez ressenti. Vous avez peut-être même un peu honte d’avoir jugé hâtivement tout le personnel de l’établissement. 
  
Dans cette histoire, la tentative de communiquer s’est soldée par un échec parce qu’il n’y avait pas de place pour la compréhension de la situation. Vous vous êtes limité à observer de votre table une situation dont vous ne connaissiez pas tous les tenants et aboutissants. En plus, c’est vous qui aviez commandé un menu plus élaboré… 
 
Dans des moments de conflits, la communication devient un mirage. Nous cherchons souvent à nous faire comprendre, à culpabiliser l’autre ou à l’intimider. Le conflit ne peut alors que s’amplifier jusqu’à atteindre un niveau inégalé la fois précédente… 
 
La force de la communication puise son dynamisme dans le partage et le désir de comprendre. C’est un dialogue, c’est interactif. 
 
En soit, la communication ne résout rien, c’est le désir de comprendre l’autre qui enrichit les relations alors qu’à l’inverse, l’incompréhension est la « gangrène » de la relation : cela fini souvent par une rupture… 
 
Entretenir une communication bilatérale demande beaucoup d’énergie. Ce qui nourrit la communication, c’est le désir sincère de d’abord vouloir comprendre l’autre avant de se mettre sur la « défensive ». 
 
Il m’est arrivé de rencontrer des couples qui ne savaient communiquer qu’en criant, en s’insultant, culpabilisant l’autre et surtout en lui disant « il (elle) ne m’écoute jamais ! » ou « de toute façon, je sais ce qu’il (elle) pense ! ». L’homme et la femme vivent leurs émotions de façon très différentes dans leurs perceptions et sensibilités. L’homme et la femme ont besoin d’un décodeur pour se comprendre semble-t-il. Ce décodeur est pourtant bien simple c’est l’écoute pour comprendre avant de forcer « l’autre à me comprendre ». 
 
Il arrive qu’on confonde comprendre avec « être d’accord ». On peut comprendre quelqu’un sans pour autant être d’accord avec ce qu’il exprime. Pour ce dernier, le comprendre est synonyme de consentement. Comprendre ne veut pas dire « accepter ». En revanche « respecter » est de rigueur. Le respect du ressenti de l’autre est un élément majeur dans la compréhension. C’est faire preuve de tolérance, d’empathie, de respect, d’amour. Au fond, il existe plusieurs perceptions des choses, la vôtre n’est pas la seule. Parti de cet état de fait, cela motive la compréhension. 
 
D’autres fois des couples sont convaincus de faire tout ce qui est en leur pouvoir pour « sauver » leur relation. Et chacun de son côté est convaincu de faire sa part. Et c’est justement là où le bas blesse… le couple travaille chacun « de son côté » sans avoir pris le temps d’aligner leur vision sur le problème et la résolution. Chacun, individuellement, travaille à « sa » solution que l’autre… ne comprend pas. Une spirale infernale s’amplifie, accompagnée de frustrations, d’incompréhension, de rejet, d’isolement émotionnel, de solitude dans le couple. Rien de pire que de se sentir seul(e) dans un couple ! Et vous savez quoi ? Le pire, c’est qu’ils ont souvent tous les deux raison ! Personne ne doute qu’ils mettent toute leur énergie à sauver leur couple, tous deux parlent peut-être de la même chose sans s’en rendre compte. Je compare cela souvent à une voiture en panne. On la pousse pour la faire redémarrer, seulement voilà, l’un pousse derrière alors que l’autre pousse devant. La voiture reste immobile, les efforts sont là, tous deux sont épuisés et se reprochent de ne rien faire alors qu’à leurs yeux… ils font quelque chose !!! 
 
C’est alors qu’il est important de « synchroniser » le couple de « recentrer » leur vision, leur perception avec respect et volonté sincère de d’abord comprendre le conjoint. Il faut prendre le temps de réaliser qu’il faut pousser la voiture tous les deux dans la même direction. Même si c’est à l’envers, eh bien tant pis, poussez-la à l’envers ! Vous remarquerez bien tôt ou tard qu’il faut, ensemble, changer de position. Vous risquez même d’en rire ! L’énergie utilisée sera la même, mais vous l’aurez dépensée ensemble, dans la même direction, parce que vous avez pris le temps de vous comprendre mutuellement. Vous n’avez pas gaspillé l’énergie à vous disputer, à vous faire des reproches. La plupart des tension, dans un couple ou dans une autre relation même commerciale ou professionnelle, proviennent des malentendus. Il y a cette fâcheuse tendance de vouloir toujours se défendre par peur de se faire agresser alors qu’il n’en est rien. La société a démocratisé la susceptibilité en entretenant des sentiments constants d’obligation de performance et de comparaisons. Nous en reparlerons une autre fois. 
 
Que pouvons-nous faire alors pour améliorer la compréhension ? 
 
Pour mieux comprendre les autres, il est indispensable de se comprendre mieux soi-même. 
 
Souvenons-nous et acceptons que l’homme et la femme perçoivent les choses différemment. 
 
Réalisez que votre « sagesse » peut vous faire défaut et que les apparences peuvent être trompeuses. Ce que vous interprétez peut signifier autre chose chez l’autre ! Ne projetez pas vos propres (ré)actions sur les autres ! Un plissement des lèvres de quelqu’un peut signifier autre chose que si vous l’aviez fait vous-même. C’est l’expression de son émotion et non le reflet de la vôtre. Acceptez cela, cela vous simplifiera la vie !
 
Ayez conscience que ce qui peut vous paraître simple ne l’est pas systématiquement pour les autres. Soyez patient. 
 
Faites attention aux mots. Leur puissance diffère chez chaque individu. Ce qui peut vous paraître anodin peut blesser quelqu’un d’autre qui ressentira ce mot différemment que vous. 
 
Admettez que ce qui est bon pour vous ou une bonne idée pour vous ne l’es pas obligatoirement pour un(e) autre. 
 
Tenez compte que nous parlons tous différemment. Même si la langue est la même, les mots sont perçus de façon unique. Le mot « chien » n’aboie pas (à méditer). 
 
Pour conclure, l’amour ne peut s’alimenter que par le partage dans tous les sens du mot. Et ce partage commence par le désir de vouloir comprendre l’autre et de faire preuve de tolérance. 

  

Michel Poulaert  

Truc express ► Bien nettoyer son réfrigérateur‏


Le réfrigérateur est bien pratique mais il demande un minimum d’entretien qui en plus d’éliminer le plus possible les bactéries et les mauvaises odeur permettra d’une plus longue durée de vie 
 

Bien nettoyer son réfrigérateur
 

Étant donné que votre réfrigérateur n’est pas à l’abris des bactéries, il est essentiel de le nettoyer régulièrement.

Vous devez le nettoyez toutes les semaines ou toutes les deux semaines, si les produits entamés sont correctement emballés. Le mieux est de le nettoyer lorsqu’il est presrque vide, donc avant de faire vos courses.

Pour le nettoyage intérieur, utilisez un mélange d’eau et de vinaigre. Frottez avec une éponge et séchez tout simplement avec un chiffon propre. Vous n’avez pas besoin de rincer. Surtout, évitez d’utiliser des produits ménagers. Ils peuvent être toxiques s’ils ne sont pas bien rincés et dégagent une forte odeur qui peut s’imprégner dans les aliments. N’utilisez  pas d’eau de Javel.

Quand à l’extérieur de votre réfrigérateur, lavez tout simplement à l’eau savonneuse. N’oubliez pas de passer de temps en temps un coup d’aspirateur sur la grille arrière du réfrigérateur (le condenseur). La poussière a tendance à s’y accumuler, ce qui empèche une bonne évacuation de la chaleur de votre appareil .

la semaine / Nov 2010 

C’est la Semaine de la prévention du suicide


Le suicide est un choix d’un non retour … et ceux qui reste pour la plupart n’ont pas vue cela venir ni compris les raisons de ce geste irrémédiable .. Chez nos jeunes, certains trouverons la vie difficile que leur selon eux le seul issus sera le suicide. La prévention, le dialogue demeure le meilleur moyen pour l’éviter .. autant chez nos ados que tous les groupes d’âges
 
C’est la Semaine de la prévention du suicide

 
MONTRÉAL – La Semaine de la prévention du suicide s’amorce dimanche, au Québec.
Suicide Action estime qu’il faut poursuivre les opérations de sensibilisation de la population sur ce fléau qui continue de faire un nombre important de victimes chaque année.

En 2009, au Québec, 1068 personnes se sont enlevées la vie.

Cette année, la Fédération des cégeps joint sa voix à celle des groupes et organismes qui travaillent à la prévention du suicide. La majorité des quelque 173 000 étudiants inscrits cette année au cégep appartiennent au groupe d’âge des 15-24 ans, au sein duquel un tiers des décès est attribuable à un suicide.

La présidente du Réseau intercollégial des intervenants psychosociaux et directrice des services aux étudiants au Cégep de Sherbrooke, France Turgeon, souligne que la prévention du suicide et la promotion de la santé mentale chez les jeunes sont des enjeux prioritaires.

Les cégeps ont mis en place, au cours des dernières années, plusieurs mesures concrètes visant la prévention et l’intervention auprès des étudiants.

http://actualites.ca.msn.com