

« N’acceptez jamais la défaite, vous êtes peut-être à un pas de la réussite. »
Jack E. Addington
« N’acceptez jamais la défaite, vous êtes peut-être à un pas de la réussite. »
Jack E. Addington
Bon, ce n’est peut-être pas des trucs qu’on utilise a tous les jours, mais quand un problème arrive … c’est le «fun» d’avoir des idées qui peuvent servir au moment opportun
5 trucs à faire avec des ballons
Découvrez comment les ballons peuvent servir à protéger une blessure, éloigner les intrus du jardin et encore plus.
On les retrouve de toutes les couleurs et de toutes les formes, ils égaient nos fêtes, mais que faire des ballons une fois les invités partis? Voici quelques manières de faire un usage pratique de ces jolis décorations.
Improviser une tête porte-chapeau
Pour éviter que bonnets de laine et chapeaux de toile fraîchement lavés ne se déforment, faites-les sécher sur un ballon gonflé. Pour empêcher le ballon de glisser, fixez-le avec du ruban adhésif.
Ballons d’invitation
Gonflez un ballon (si possible avec une pompe pour des raisons d’hygiène) et pincez-en l’extrémité sans faire de nœud. Écrivez le texte de votre invitation sur le ballon au feutre indélébile, puis assurez-vous que l’encre est bien sèche avant de le dégonfler. Placez le ballon dans une enveloppe et envoyez-le à votre invité, qui n’aura plus qu’à le regonfler pour lire votre message.
Transporter des fleurs coupées
Remplissez un ballon avec 150 ml d’eau et glissez l’extrémité des tiges de vos fleurs fraîchement coupées dedans. Pour l’empêcher de glisser, fermez-le à l’aide d’un élastique.
Éloigner les intrus du jardin
Découpez des bandes verticales dans des ballons aux couleurs métallisées (il en reste sans doute de la dernière fête d’anniversaire !). Fixez ces bandes sur des tuteurs en bambou autour des légumes du potager et dans les arbres fruitiers pour faire fuir les intrus.
Protéger un doigt bandé
Si faire un pansement sur une blessure au doigt ne présente pas une grande difficulté, il est plus délicat de le garder au sec. La solution : glisser un petit ballon gonflable sur le doigt pour faire la vaisselle, prendre un bain ou, plus simplement, se laver les mains.
Eilean Donan Castle, à l’ouest des Highlands
Urquhart Castle
Ville la plus peuplée d’Ecosse, Glasgow a le vent en poupe si l’on en croit son bouillonnement culturel. La cité de la vallée de la Clyde peut aussi se targuer de posséder quelques trésors de l’époque victorienne comme en témoignent les collections du musée Kelvingrove. © Isabelle Vuillermoz
St Abb’s Head
Les ruines d’Ardvreck Castle sont à voir sur les berges du Loch Assynt au nord-ouest des Highlands. Construite à la fin du VIe siècle et aujourd’hui peu connu, ce château serait hanté par deux fantômes. © Georges Washington
L’île de Handa
Classée réserve naturelle, l’île de Handa se trouve à 5 km des côtes nord-ouest des Highlands. Un ferry permet de la rejoindre depuis Tarbet, indiqué depuis l’A 894, pour observer les colonies d’oiseaux de mer qui y nichent. © Sylvain Bagni
Éric Boilard, chercheur du CHUQ, a mis en évidence le rôle que les plaquettes sanguines jouent dans l’arthrite et, possiblement dans plusieurs autres maladies.
Le Soleil, Patrice Laroche
Le Soleil
(Québec) Longtemps ignorées par la recherche, les plaquettes sont ramenées sous les projecteurs par un chercheur du CHUQ.
Du point de vue de la recherche médicale, les plaquettes ont longtemps été une sorte de «vilain petit canard». Pas trop sexy. Relativement ignorées. Mais en janvier dernier, Éric Boilard, un chercheur du Centre hospitalier universitaire de Québec (CHUQ), les a en quelque sorte transformées en cygne (moyennant un petit effort d’imagination) en leur découvrant un lien jusque-là très sous-estimé avec l’arthrite et, possiblement, plusieurs autres maladies.
Rôle connu
Les plaquettes sont cette partie du sang responsable de la coagulation, qui fait que l’on ne se vide pas de son sang quand survient une blessure. Elles sont connues depuis très longtemps, mais à part les maladies qui affectent les plaquettes elles-mêmes ou qui impliquent leur capacité à s’agréger (c’est le cas de l’arthérosclérose), on présumait qu’elles avaient peu à voir avec les autres maladies.
«Il y a des vieilles publications où des gens avaient montré que lorsqu’il y avait arthrite, il semblait y avoir dans le sang des dysfonctionnements au niveau des plaquettes, mais […] ça restait toujours un peu obscur. Des articles disaient « Il semble y avoir quelque chose avec les plaquettes, » mais ça n’allait jamais au-delà de ça», dit le Dr Boilard.
«Avec une technologie sans doute plus avancée que ce qui avait été utilisé dans le passé, j’ai pu voir plein de petites choses, se souvient-il : il y avait des cellules, comme il y en a tout le temps dans le liquide synovial des gens qui font de l’arthrite, mais en plus, j’ai aussi vu des quantités énormes de choses encore plus petites. Et c’est en s’y attardant qu’on a vu que ça venait des plaquettes.
Détection
«Ces microparticules, on en a détecté des quantités vraiment abondantes dans les liquides synoviaux des patients qui ont de l’arthrite. Et ce n’est pas juste anodin, elles ne sont pas là par hasard, elles participent à la maladie et à l’inflammation en transportant des molécules inflammatoires.»
Dans un article publié dans Science et dont il est le premier auteur, le Dr Boilard montre que ces «microparticules» sont en fait des fragments de plaquettes. Ces morceaux s’en détachent quand un récepteur particulier à la surface des plaquettes, récepteur que tous ne possèdent pas, est activé.
Afin de prouver le lien entre ces fragments et l’arthrite, le chercheur et son équipe ont mené des expériences sur des souris modifiées – un groupe de rongeurs n’avaient carrément pas de plaquettes, alors qu’un autre en possédait mais n’avait pas le fameux récepteur. Et dans les deux cas, il s’est avéré que ces souris souffraient nettement moins d’arthrite que les souris «normales».
Parmi les meilleurs
Cette publication a d’ailleurs été classée parmi les cinq articles les plus importants de 2010 par le prestigieux groupe Faculty of 1000, une organisation de chercheurs qui identifie et évalue les travaux les plus marquants en biologie et en médecine.
Et pour cause : non seulement le lien entre les fragments de plaquettes et l’arthrite était-il inconnu, mais c’est tout ce que l’on croyait savoir sur le rôle général des plaquettes dans les maladies que l’article du Dr Boilard incite à revoir.
Autres maladies
«On parle d’arthrite dans l’article, mais beaucoup de gens qui étudient d’autres maladies en ce moment nous appellent parce qu’ils se disent que ça peut avoir un lien avec leur objet de recherche. Et peu après notre publication, il y a un groupe français qui a montré que les plaquettes avaient un rôle dans le lupus, et je ne serais pas surpris d’apprendre que les plaquettes jouent un rôle dans d’autres maladies. C’est juste qu’on ne les avait pas étudiées, parce qu’on se disait : « Ce sont juste des plaquettes, ça sert à la coagulation et puis c’est tout. »»
Et comme le veut le dicton: on trouve ce que l’on cherche, et on a peu de chance de trouver ce qu’on ne cherche pas…
Par Marie-Josée Richard, MSN Finances
Et si vous mettiez votre carte de crédit dans un verre d’eau au congélateur, pour refroidir vos folles envies de dépenser? Votre nouvelle méthode de paiement : l’argent comptant. Voici cinq bonnes raisons de retourner à la monnaie papier !
► 1) Du tangible, s’il-vous-plaît!
« En payant comptant, on a une idée bien plus précise de ce qui sort de notre portefeuille, révèle Sylvie De Bellefeuille, avocate et conseillère budgétaire à Option consommateurs, une association à but non lucratif qui promeut et défend les intérêts des consommateurs. Quand on présente un billet de vingt, cinquante ou cent dollars au commerçant, l’effet psychologique est bien plus fort que si l’on paie par carte de crédit, où la transaction est virtuelle ».
Vous avez du mal à résister à la tentation ? « Laissez votre argent à la maison, conseille Mme De Bellefeuille. Cette tactique s’avère particulièrement efficace pour lutter contre les achats impulsifs, poursuit-elle. Sur le trajet du retour, vous aurez le temps de réfléchir : cet achat s’avère-t-il être une bonne affaire pour moi ou non? Une fois rendu à domicile, vous n’aurez peut-être pas le goût de sortir à nouveau pour vous procurer l’article en question. »
► 2) Garder un œil sur son budget
« Avec l’argent en espèces, on est davantage porté à respecter son budget, poursuit la spécialiste. Si on veut être capable de payer nos dépenses courantes sans avoir recours au crédit, on est obligé de planifier davantage. C’est ainsi que les dépenses de Noël deviennent des imprévisibles prévisibles. Comme il s’agit d’une dépense qui revient d’année en année à pareille date, on aura su épargner durant les mois qui précèdent en mettant de l’argent dans une enveloppe ou dans un compte prévu à cet effet. »
Le truc de la conseillère budgétaire pour ne pas dépenser outre mesure? « Allez faire vos courses qu’avec le montant prédéterminé pour vos cadeaux de Noël… et tenez-vous en qu’à ce que contient cette enveloppe. De cette manière, on ne dépense que l’argent que l’on a vraiment, sans dépasser ses moyens financiers. »
« Le plus difficile, c’est de respecter les limites que l’on s’est imposé, » soutient la dame.
Et si vous transformiez cette contrainte de budget en défi? Plutôt que de grommeler, vous pourriez essayer d’optimiser chaque dollar dépensé. Cette attitude nouvelle pourrait vous amener à développer de meilleurs réflexes de consommation et de mettre de l’avant des habiletés créatrices insoupçonnées.
Ces questions vous aideront à payer comptant et à respecter votre budget :
Ai-je vraiment besoin de ce bien ou service ? Pour nourrir vos réflexions, procurez-vous l’un des nombreux ouvrages sur la consommation responsable et la simplicité volontaire à la Bibliothèque nationale… et c’est gratuit! Un exemple?
Vivre simplement pour vivre mieux, ou, La simplicité volontaire en 130 conseils pratiques : le guide des décroissants, par Philippe Lahille, aux éditions Escalquens Dangles, 2009.
Quel est au juste l’impact écologique de cet achat?
Pourrais-je trouver un article semblable à meilleur prix? En étant à l’affût des différentes offres et des soldes sur le marché, vous pourriez faire des économies substantielles!
Plutôt que d’acheter neuf, peut-être pourrais-je dénicher un équivalent usagé de bonne qualité… à prix modique ?
En vue de la période des Fêtes, pourrais-je fabriquer ou cuisiner certains cadeaux ? Les avantages? Vos présents seront plus personnalisés et vous ne vivrez pas la folie du magasinage pré-Noël.
► 4) Payer, sans laisser de traces!
Vous n’aimez pas vous sentir observés? Raison de plus pour payer comptant. C’est que de cette manière, vous ne laisserez pas de traces sur nos achats. En utilisant une carte de crédit ou des cartes de type Air Miles, il est possible pour les entreprises d’étudier vos habitudes de consommation. Déjouez-les en ne payant qu’en espèces!
► 5) Réduire ses frais bancaires et taux d’intérêts
« Avec les cartes de crédits, les consommateurs ont tendance à réaliser des achats dont la valeur est au-dessus de leur capacité de payer, » explique Mme De Bellefeuille d’Option consommateurs.
« Même si l’article acheté était en rabais, il se peut que vous en veniez à payer bien plus que si vous l’aviez payé comptant à prix régulier ! »