
s’il fallait d’abord répondre à toutes les objections»
Samuel Johnson
Samuel Johnson
Paysage d’Hiver
Photo: François Roy, Archives La Presse
La Presse Canadienne
Montréal
Les élèves et le personnel des écoles secondaires du Québec seront informés sur la question de l’image corporelle.
Les écoles de mode du Québec seront également sensibilisées à l’importance de promouvoir une image saine et réaliste du corps.
Ces mesures figurent dans un plan d’action triennal élaboré pour mettre en oeuvre la Charte québécoise pour une image corporelle saine et diversifiée.
Le plan a été rendu public par la ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, Christine St-Pierre.
Il prévoit aussi le développement d’une formation visant à outiller les professionnels travaillant auprès de mannequins face aux troubles alimentaires.
Les délégations du Québec feront par ailleurs la promotion de la charte au Canada et à l’étranger.
On a aussi annoncé que la journaliste de sports Marie-Claude Savard devenait coprésidente du comité de travail de la Charte pour une image corporelle saine et diversifiée.
Elle prend la relève d’Esther Bégin, journaliste et animatrice, qui doit quitter ses fonctions en raison d’obligations professionnelles qui la retiennent à l’extérieur du pays.
Pina Arcamone, directrice générale d’Enfant-Retour Québec, rappelle qu’un enfant disparu sur cinq retrouve le chemin de la maison grâce aux informations recueillies du public.
Alors que de nombreux Québécois arpenteront les routes du Québec au cours des prochains jours, Mme Arcamone croit que l’occasion est de mise pour aller consulter les fiches d’enfants disparus sur le site Internet d’Enfant-Retour.
Elle sollicite notamment l’aide du public pour imprimer l’affiche rassemblant les informations de 12 enfants et l’exposer dans des endroits publics.
L’organisme rappelle également aux parents d’être vigilants lors du magasinage du temps des Fêtes.
Dans la mesure du possible, Mme Arcamone recommande aux parents de faire leurs emplettes sans la présence de leurs enfants. Dans le cas contraire, elle demande aux parents de clairement identifier des personnes ressources qu’un enfant perdu pourra aller consulter en cas de besoin.
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Ce qui nous inquiète présentement, c’est le gel qui arrive dans les prochains jours, en plus des glissements de terrain»
© Jean-François Desgagnés/ Journal de Québec/ Agence QMI
«Quand même qu’on s’assied ici et qu’on pleure, la seule chose qu’on peut faire, c’est prendre un jour à la fois. On va commencer par le ménage», a lancé la propriétaire, Johanne Jean, en accueillant l’auteur de ces lignes dans un si triste décor.
«On a pleuré, on était découragés», a-t-elle dit devant l’ampleur des dégâts, retenant ses sanglots.
«Au début, on disait « non, on n’ouvre plus, c’est fini », mais le monde nous disait « non non, il faut rouvrir ce dépanneur-là, on va aller vous aider, vous ne pouvez pas »», a raconté Mme Jean en souriant.
Passant de la parole aux actes, plusieurs personnes venaient d’ailleurs lui prêter main-forte au moment où Le Journal a quitté les lieux.