À la minute


On juge le moment présent sans tenir compte du contexte, des conditions ..
Il serait bien avant de juger de voir les autres aspects qui entourent une parole, une action

À la minute
 

 

L’homme juge tout dans la minute présente, sans comprendre qu’il ne juge qu’une minute : la minute présente.
 
Antonio Porchia 

La tête de Henri IV est retrouvée


Même mort Henri IV a vécu des péripéties vraiment rocambolesques, Juste sa tête a fait beaucoup de chemin depuis qu’il a été extirpé de sa tombe ….
 
 
La tête de Henri IV est retrouvée
 

La tête de Henri IV est retrouvée

Les scientifiques qui ont authentifié la relique estiment que leur méthode pourrait permettre d’identifier d’autres restes royaux enterrés dans la fosse commune et les restituer à leurs caveaux d’origine.

Photo: AP
  Sandra Lacut
Agence France-Presse
Paris
 

Des scientifiques ont authentifié la tête du roi Henri IV, retrouvée après plusieurs siècles de pérégrinations rocambolesques chez un retraité en 2008, une découverte stupéfiante qui pourrait permettre de mettre au jour d’autres reliques royales oubliées.

La tête de Henri IV est «en très bon état de conservation» et comporte des cheveux et des restes de barbe, souligne une étude du British Medical Journal (BMJ), publiée marcredi, qui détaille cette étonnante découverte.

Elle est «légèrement brunie, avec les yeux à demi clos et la bouche ouverte» et porte plusieurs signes distinctifs: «une petite tache sombre de 11 mm de long juste au-dessus de la narine droite, un trou attestant du port d’une boucle d’oreille dans le lobe droit, comme c’était la mode à la cour des Valois, et une lésion osseuse au-dessus de la lèvre supérieure gauche, trace d’une estafilade faite au roi par Jean Châtel lors d’une tentative de meurtre le 27 décembre 1594».

L’étude a été réalisée par 19 scientifiques rassemblés autour du Dr Philippe Charlier, médecin légiste de Garches baptisé «l’Indiana Jones des cimetières», connu pour avoir révélé l’empoisonnement au mercure d’Agnès Sorel, favorite de Charles VII, et démontré que les restes conservés au château de Chinon n’étaient pas ceux de Jeanne d’Arc.

Le Dr Charlier a travaillé en collaboration avec l’un des historiens d’Henri IV les plus connus, Jean-Pierre Babelon.

L’étude a été filmée par deux journalistes documentaristes et sera diffusée en février à la télévision, selon leur société de production, Galaxie Presse.

Assassiné par Ravaillac, un fanatique catholique, le 14 mai 1610, Henri IV a été enterré à la Basilique Saint-Denis le 1er juillet avec tous les autres rois de France.

Mais en 1793, son cercueil a été ouvert par les révolutionnaires, a expliqué à l’AFP Rodolphe Huguet, président du Cendre (Cercle d’études des nécropoles dysnastiques et royales européennes), passionné par l’histoire de ce roi.

«Le corps a été jeté dans une fosse commune avec les autres. C’est à ce moment-là, vraisemblablement, que la tête en a été séparée. Aucun document ne dit qui l’a prise. Après la Révolution, des morceaux de dépouilles royales sont réapparus chez des particuliers, un os, un doigt, des cheveux, une omoplate de Hugues Capet», poursuit-il.

 

La dépouille d’Henri IV, souligne cet historien, était «en très bon état de conservation, car elle avait été embaumée. A l’époque, les gens n’en revenaient pas quand le cercueil a été ouvert car la croyance voulait que seuls les cadavres de saints fussent exempts de putréfaction».

On retrouve la trace de la célèbre tête dans la collection privée d’un comte allemand au 19e siècle, puis on perd à nouveau sa trace. Elle réapparaît en 1919 lors d’une vente aux enchères à l’Hôtel Drouot, où un antiquaire de Dinard l’achète pour trois francs.

«Il a remué ciel et terre pour prouver qu’il s’agissait bien de la tête du roi, la proposant au Louvre, au musée Carnavalet, mais personne ne l’a cru», ajoute M. Huguet.

A la mort de l’antiquaire, la relique a sans doute été un temps entre les mains de sa soeur, puis sa trace a de nouveau été perdue.

Elle a été retrouvée «il y a deux ans chez un retraité de 84 ans qui la gardait en secret depuis 1955», selon la société de production.

Les scientifiques qui ont authentifié la relique estiment que leur méthode pourrait permettre d’identifier d’autres restes royaux enterrés dans la fosse commune et les restituer à leurs caveaux d’origine.

Les circonstances précises dans lesquelles la tête du roi Henri IV a été retrouvée ainsi que les résultats complets des analyses scientifiques qui ont permis de l’authentifier doivent être présentés jeudi à Paris lors d’une conférence de presse.

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Les plus beaux voyages nature de Jean Robert‏


De très belle images qu’au long de son parcours le photographes a voulu immortalisées .. Certaines d’elles, je trouve extraordinaire car il peut nous faire sentir la grandeur de la nature devant notre petitesse
 
Les plus beaux voyages nature de Jean Robert


Le reporter et photographe Jean Robert parcourt le monde depuis plus de vingt ans. Il a compilé les plus belles images de déserts, îles, banquises ou montagnes dans son livre « Les plus beaux voyages nature ».

 

 La côte Atlantique du Panama

 

panama, atlantique

 

Le bal des orques
 
orques
 
Nager avec les tortues

 

nager avec les tortues

 
Lumière dans le désert
 
lumière dans le désert
 
Pleine lune et rêves de talc
 
désert blanc
 
Le tassili secret d’Australie
 
bungle bungle, australie

Sur la piste de la migration des rennes
 

migration des rennes

 
Sur les traces de la horde sauvage
 
 
gnous et zèbres
 
 
Les lions du Serengeti
 
 
les lions du serengeti
 
 
Voyage au cœur de l’enfer
 
 
le dallol
 
 
Macareux moines en Islande
 
macareux moines en islande

 
 
Au centre de la Terre
 
 
site géothermique
 
 

Grandes marées: alerte ratée à cause d’un bogue


L’informatique c’est bien beau, mais il faudrait s’assurer que les messages d’alertes se rendent bien … je pense qu’il ne faudra sûrement pas écarté le bon vieux téléphone
 
Grandes marées: alerte ratée à cause d’un bogue

 
Grandes marées: alerte ratée à cause d'un bogue

Un raté informatique explique que les municipalités de Sainte-Flavie (photo) et de Sainte-Luce n’aient pas reçu un avertissement d’onde de tempête.
 
Photothèque Le Soleil
  Carl Thériault, collaboration spéciale
Le Soleil
 

(Rimouski) Un problème de «communication» a empêché les autorités responsables – la Sécurité civile du Québec et plusieurs municipalités de l’Est-du-Québec – d’être préalablement informées que les hautes marées et les vents violents frapperaient durement le 6 décembre des municipalités riveraines comme Sainte-Luce-sur-Mer et Sainte-Flavie, près de Mont-Joli.

Le 6 décembre, soit la journée de la grande tempête, un bogue informatique explique que les municipalités de Sainte-Flavie et de Sainte-Luce n’aient pas reçu un «avertissement d’onde de tempête».

En ce qui concerne les messages antérieurs au 6 décembre envoyés par Environnement Canada, les versions sont contradictoires.

Environnement Canada avait déjà lancé un avis d’onde de tempête, dont Le Soleil a eu copie, le samedi 4 décembre à 18h32, soit plus de 36 heures avant les hautes marées.

«Les municipalités ont reçu l’avertissement du samedi 4 décembre, mais pas celui du lundi 6 décembre à 9h39, ce qui est dû à un problème de serveur informatique qui a sélectionné un groupe d’adresses vide. Les 4 et 5 décembre, les services d’urgence des MRC ont été contactés», affirme Guylaine Rousseau, directrice de la Sécurité civile pour le Bas-Saint-Laurent et la Gaspésie.

Les alertes sont envoyées par Environnement Canada à la Sécurité civile, qui les redistribue ensuite aux municipalités.

Le maire de Sainte-Flavie, Damien Ruest, soutient n’avoir reçu aucun message par l’intermédiaire de la Sécurité civile.

«Nous n’avons jamais reçu de document d’alerte, ni de la Sécurité civile, ni de la MRC de la Mitis, qui ne l’a pas eu non plus. Il y a vraiment un bogue. Dimanche après-midi, quand j’ai vu que la marmite était haute, j’ai appelé l’employé municipal de garde pour savoir s’il y avait eu une alerte. La réponse a été non», soutien Damien Ruest, maire de Sainte-Flavie. Aucun courriel n’est entré dans les ordinateurs de la municipalité cette fin de semaine.

«Il y a eu une lacune au déclenchement préalable de l’alerte, mais à partir du moment où on est tombé en urgence, la Sécurité civile a bien joué son rôle…», a souligné Jean-François Fortin, coordonnateur des mesures d’urgence à Sainte-Flavie. La personne de garde à la municipalité est dotée d’un téléphone portable conventionnel.

«Notre document a été envoyé à la Sécurité civile. Il n’est pas, je pense, sur le site Web d’Environnement Canada ou envoyé dans les médias», a précisé René Héroux, des services de relations médias d’Environnement Canada.

La note, émise conjointement par Pêches et Océans Canada et par le Service hydrographique et météorologique du Canada, faisait état «d’une onde de tempête, de risque de déferlement de vagues». Après le grand verglas et les inondations au Saguenay-Lac-Saint-Jean, les autorités publiques avaient pourtant convenu qu’une des priorités en cas de mesures d’urgence serait de régler les problèmes de communication.

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Deux ancêtres communs pour les plantes


Pourquoi pas … un genre Adam et Eve dans les plantes .. enfin leur histoire n’est pas la meme que les etre humains mais ce monde a été creer avec un et deux pour se multiplier …a travers le temps avec des changements du a leur environnement, nourriture etc …
 
 
Deux ancêtres communs pour les plantes


 

Plante-main
 
Photo: iStockphoto
 

Tous les végétaux ont uniquement deux ancêtres en commun, ont montré des biologistes français en reconstituant l’histoire des plantes au cours de 150 millions d’années d’évolution.

Le premier possède 5 chromosomes et regroupe la famille des monocotylédones, c’est-à-dire les céréales comme le riz et le maïs.

Le second possède 7 chromosomes et regroupe la famille des dicotylédones, comme les légumineuses et les arbres.

Selon Jérôme Salse, de l’institut français de recherche agronomique, ces ancêtres comportaient chacun environ 10 000 gènes « fondateurs ». Ces gènes se sont dupliqués il y a environ 65 millions d’années (entre le tertiaire et le crétacé), une période durant laquelle les plantes ont dû s’adapter aux bouleversements environnementaux qui ont marqué cette période.
 
Des réorganisations de chromosomes sont ensuite intervenues, ce qui a permis aux plantes d’acquérir de nouvelles fonctions et d’aboutir à de nouvelles espèces.

Les génomes de plantes modernes apparaissent ainsi comme une mosaïque des chromosomes ancestraux.
— Jérôme Salse

Ces travaux, qui ont duré deux ans, devraient permettre de mieux connaître les génomes qui n’ont pas pu être décryptés jusqu’à présent et ouvrent la voie à la découverte de gènes d’intérêt agronomique, par exemple, pour améliorer le rendement.

Le saviez-vous?
À ce jour, les génomes de 13 espèces ont été totalement ou partiellement séquencés : le blé, le riz, le maïs, le sorgho, le brome, la vigne, l’arabette, le peuplier, la papaye, la luzerne, le soja, le pommier, le concombre et la patate. Les génomes séquencés à ce jour contiennent de 25 500 à 46 500 gènes pour un nombre de chromosomes allant de 5 à 20.

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À la frontière du système solaire


Cette nouvelle me fait penser au premier film . (pas la télé-série) de Start trek quand ils ont trouver Voyager se suffisant a lui-même .. Quoiqu’il en soit, il est vraiment extrordinaire, sachant comment la technologie a avancer d’avoir des nouvelle de ce satellite
 
À la frontière du système solaire

La sonde Voyager 1
La sonde de 825 kg est le premier objet de fabrication humaine à atteindre les limites du système solaire.
 

La sonde américaine Voyager 1 est arrivée à un point culminant de son voyage amorcé il y a 33 ans en atteignant la limite extérieure de notre système solaire, là où les vents du Soleil ne soufflent plus.

Depuis 2004, la sonde traverse une région de l’espace appelée héliogaine, là où le vent solaire ralentit alors qu’il entre en collision avec le gaz de faible densité qui existe entre les étoiles.
 
Le système solaire
 
Photo: NASA
Le système solaire
 

L’extrême limite de cette région se nomme héliopause, et elle marque la zone d’influence des vents solaires lorsqu’ils rencontrent le milieu interstellaire.

La NASA affirme que des données reçues récemment démontrent que le vent solaire est maintenant nul, ce qui signifie que Voyager 1 s’approche sans cesse des confins de notre système.

Selon les responsables de la mission, dont certains travaillent depuis le lancement de la sonde dans les années 1970, il faudra encore environ 4 ans avant que Voyager 1 ne quitte définitivement le système solaire et entre dans l’espace interstellaire.

Le saviez-vous?
La sonde Voyager 1 et sa jumelle Voyager 2 ont été lancées en 1977 pour explorer les planètes géantes (Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune). La mission a été prolongée depuis, afin d’étudier les limites de notre système.

 
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