10 trucs pour économiser et rentabiliser votre épicerie


Un peu de publicité mais le site soscuisine est vraiment un des meilleurs site qui existe pour la nutrition … surtout qu’il tiens compte des spéciaux de la semaine dans les différentes épiceries du Québec et sans compter qu’il peut calculer une recette qu’on soit un ou 10 personnes C’est vraiment génial
 
10 trucs pour économiser et rentabiliser votre épicerie
 
 

Epicerie
Le prix du gaz augmente. Les frais de scolarités augmentent. Les taxes municipales augmentent. Le coût des aliments augmente. Bon, vous avez compris, tout augmente! Mais… il existe des moyens futés pour économiser et faire durer nos achats à l’épicerie, sans pour autant perdre en saveurs et en qualité! Et juste avant les Fêtes, il me semble que d’économiser un peu, ça tombe juste bien!
 
 Planifier – rien de tel que de prévoir les repas de la semaine. Si vous ne connaissez pas encore le site www.soscuisine.com, c’est le temps ou jamais! Ce site vous permet de planifier votre menu selon votre type d’alimentation (végétarien, célibataire, pour enfants, etc.) et selon le nombre de personnes dans votre famille. Vous recevez ensuite votre menu chaque semaine, accompagné de votre liste d’épicerie que vous pouvez imprimer. Simple, pratique et économique. 
 
 Manger avant de faire l’épicerie – c’est un classique. Mais… ça marche! Sinon, TOUT semble bon quand on est affamé!
  
 Faites l’épicerie seul ou seule. Premièrement, vous aurez plus de temps pour lire les étiquettes, comparer les prix, arpenter les allées; deuxièmement vous serez surpris de constater à quel point on achète impulsivement quand on est accompagné d’un enfant (surtout s’il a faim!).
 Achetez des produits sans nom – de toute façon, ils sont souvent fabriqués par des noms plus connus. Bien sûr, l’étiquette n’est pas aussi jolie, mais bon, votre portefeuille ne le remarquera pas!

 Préparez-vous même vos salades, crudités et salades de fruits. Achetez le jambon, la dinde ou le poulet quand ils sont est en spécial et préparez vos viandes froides que vous pourrez trancher puis congeler. Si vous avez un appareil à sous-vide, c’est l’idéal pour conserver plus longtemps au congélateur.

 Quand vous préparez votre souper, cuisinez une ou deux portions de plus en prévision des lunchs du lendemain. Sinon, congelez les restes et gardez-les pour dépanner les soirs où il n’y a rien à manger au frigo!

 Préparez moins de repas à base de viande. Cuisinez plutôt des plats de pâtes, de légumineuses, de riz, de couscous ou de quinoa, tous plus économiques que la viande.  Si vous cuisinez de la viande : sortez vos recettes de braisés et de mijotés, à base de pièces de viandes plus coriaces, mais aussi plus économiques : palette de bœuf ou de veau, épaule de porc, jarret de porc, etc.  
 Cuisinez les grains entiers – plus nutritifs et surtout, plus bourratifs. Mettez-en quelques poignées dans vos soupes, mijotés et braisés. Même chose pour les légumineuses, qui ajoutent des protéines à vos plats tout en coûtant une fraction du prix de la viande : lentilles, pois chiches, pois cassés, etc.

 

 
 Faites de la soupe! Au lieu de jeter vos restes de légumes un peu vieillis, de jus de cuisson, et de reste de pâtes ou de riz, congelez-les tous et ressortez-les pour préparer une soupe ou un potage.  

 Préparez vos collations ou celles de vos enfants. Plutôt que d’acheter un sac de Ficello, optez plutôt pour une brique de fromage que vous couperez en cubes ou en languettes. Pour une fraction du prix!

http://lafouinecuisine.ca

Les chutes hivernales


Oui, les chutes .. avez vous remarquez quand vous tombez, on se releve très vite et on regarde a gauche et a droite pour savoir si quelqu’un nous a vue tomber pour ajuter notre réaction … Mais bon, faut être prudent .. c’est sur que sortir en soulier ca va plus vite, que de belles bottes chics c’est ben beau, mais risqué de se faire mal a cause d’une chute … ca vaut pas la peine
 
Les chutes hivernales

 
Évitez de glisser sur la neige ou la glace: prenez votre temps!

Journal de Montréal
Richard Giguère –

L’émerveillement du paysage des premières gelées hivernales peut vite tourner au cauchemar si, une fois dans le tableau, vos pieds glissent sur la chaussée glacée et décident de vous envoyer voir des étoiles. S’il est peu souhaitable, ce cauchemar est pourtant bien réel. Les chutes par glissade sont l’une des premières causes de blessures neuro-musculo- squelettiques durant la saison froide.

Selon une étude menée par l’Agence de la santé et des services sociaux de Montréal, pas moins de 960 chutes extérieures ont nécessité une intervention ambulancière entre décembre 2008 et janvier 2009 pour les seules villes de Montréal et Laval. C’est dire combien les conditions climatiques (et particulièrement les épisodes de verglas) contribuent à accentuer le nombre de blessures par chute

Vous vous direz peut-être que la proportion de ce type d’accident survient majoritairement chez les personnes âgées. Eh bien, détrompez-vous: que nenni! Quelque 59% des victimes de chutes à l’extérieur ont moins de 65 ans et seulement 6% de ces accidents surviennent chez des aînés de 85 ans et plus!

Chaque année, les professionnels de la santé traitent un nombre toujours croissant d’entorses et de fractures dues aux mauvaises conditions météorologiques.

Comme personne n’est à l’abri, le rappel de mesures de prévention demeure incontournable. Un minimum de précautions peut vous éviter bien des soucis.

 PRÉVENIR LES BLESSURES

Préparer la voie avant de vous engager

Vous n’avez certes aucun contrôle sur la praticabilité de la chaussée et des trottoirs, mais il vous est toutefois possible de vérifier la sécurité de vos marches d’escalier extérieur ou de votre entrée de maison. Si vous le pouvez, agissez de façon préventive. Surveillez les conditions météorologiques et épandez du sel ou du sable avant que ne tombe la première bordée de neige ou de verglas. N’oubliez pas de refaire un traitement de sel si vous pelletez à la suite d’un premier épandage. Pour un meilleur résultat, il est préférable de procéder à l’application de sel après la tombée du jour.

Bien se chausser

Tous les types de bottes ne sont pas recommandables lorsque vient le temps de se frotter à la glace ! Évitez les bottes à talons hauts ainsi que celles ayant une semelle mince. Si vous devez chaque jour faire de longues marches ou si vous avez des ennuis de santé qui rendent votre équilibre fragile, songez à vous munir de crampons que vous appliquerez sous vos bottes au besoin. Si vous n’en avez pas en votre possession, privilégiez une semelle de caoutchouc plutôt qu’une semelle de bois.

Ne pas se presser

Un matin ou un lendemain de tempête, prévoyez de partir plus tôt afin de ne pas avoir à presser le pas. Les mauvaises chutes surviennent généralement lorsqu’on est peu attentif à l’état de la route. Ainsi, non seulement vous dépêcher inutilement ne vous aidera pas à parvenir à temps à destination, mais il y a fort à parier que cela vous mènera d’abord et avant tout chez le médecin!

 VULNÉRABILITÉ DES PERSONNES ÂGÉES

Bien que les personnes âgées ne soient pas les principales victimes des chutes en hiver, les chiffres nous apprennent qu’entre 25% et 75% des chutes impliquent une composante environnementale. La vulnérabilité des aînés en hiver les expose à bien plus que des blessures et va jusqu’à mettre leur précieuse autonomie en péril.

Dans ce groupe d’âge, la prévention s’opère au quotidien. Des examens fréquents de l’ouïe et de la vue ainsi qu’une révision régulière des médicaments par des professionnels de la santé dûment formés sont fortement recommandés.

Les jours de tempête, utilisez les crampons sans hésiter. Si vous devez vous déplacer avec une canne, sachez qu’il existe sur le marché des cannes avec pic à glace intégré.

 EXERCICES DE RENFORCEMENT MUSCULAIRE

Chez les personnes âgées comme chez les plus jeunes, une bonne santé générale est essentielle pour prévenir les accidents. L’activité physique quotidienne renforcera votre résistance musculaire en réduisant vos risques de chutes.

Par un ajustement vertébral, votre chiropraticien saura également vous aider à libérer votre système nerveux d’interférences, vous assurant ainsi une meilleure stabilité.

Cet hiver, prenez les moyens nécessaires pour prévenir les chutes et gardez les deux pieds sur terre!

http://sante.canoe.com

La marijuana affaiblit le système immunitaire


Étant donné que la mari est reconnu a être néfaste sur la santé, alors sa légalisation serait la pire betise …
 
La marijuana affaiblit le système immunitaire
 


Les gens qui fument du cannabis diminuent leurs défenses immunitaires contre le cancer et d’autres infections.

Selon une étude américaine publiée dans l’European Journal of Immunology, la marijuana affecte le système immunitaire.

L’équipe du Dr Prakash Nagarkatti, de l’Université de la Caroline du Sud, a étudié les composés du cannabis. On croit que son inhibition du système immunitaire est due à des cellules immunes que l’on a découvertes tout récemment, les cellules suppressives dérivées de myéloïdes (MDSC).

Habituellement, les cellules immunitaires combattent les tumeurs et les infections, mais les MDSC agissent de façon contraire. Chez les personnes atteintes de cancer, elles sont très présentes et affectent également la réussite des traitements.

Or, fumer de la marijuana active ces cellules MDSC et diminue donc les défenses naturelles.
 
«Le cannabis est l’une des drogues les plus consommées au monde et nous savons déjà qu’il a la propriété d’éliminer les fonctions immunes en sensibilisant le fumeur aux infections et à certains types de cancer», mentionne le Dr Nagarkatti.

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Les parasites se «déguisent» pour décimer les cultures


Les parasites ont plus d’un tour dans leur sac, des stratégies que même l’être humain avec toute sa connaissance n’arrive pas a combattre
 
Les parasites se «déguisent» pour décimer les cultures
 
Les parasites se «déguisent» pour décimer les cultures
 


Les chercheurs ont établi les génomes de deux des principaux parasites pouvant ravager des cultures entières de maïs, de pommes de terres ou encore de vigne, notamment dans les zones froides et humides d’Amérique du Nord, d’Europe et d’Asie.

Photo: Archives AFP
Agence France-Presse
Washington
 

Les parasites capables de décimer en un rien de temps des cultures entières agissent comme des «bombardiers furtifs», dissimulant leur vraie nature afin de déjouer les défenses des plantes, révèle une étude parue jeudi dans la revue Science.

«Les parasites sont capables d’évoluer tellement vite parce que de nombreux éléments présents dans leur génome, connus comme étant des éléments transposables, les aident à se déguiser et à s’attaquer incognito aux défenses des plantes», indique le principal auteur de l’étude, Pietro Spanu.

 
Les chercheurs sont arrivés à cette conclusion après avoir établi les génomes de deux des principaux parasites pouvant ravager des cultures entières de maïs, de pommes de terres ou encore de vigne, notamment dans les zones froides et humides d’Amérique du Nord, d’Europe et d’Asie.

Les deux agents pathogènes étudiés dans cette étude, menée par les chercheurs de l’Imperial College de Londres, sont le Blumeria graminis et l’Hyaloperonospora arabidopsidis. Ils provoquent notamment des moisissures cotonneuses blanches sur les feuilles et les tiges des plantes.

L’Hyaloperonospora arabidopsidis est responsable de deux types de maladies: le mildiou, provoqué par des algues, et l’oïdium (ou maladie du blanc), causé par des champignons.

Les agriculteurs tentent de se débarrasser de ces parasites en alternant les cultures et en utilisant des fongicides, mais souvent sans succès du fait de la rapidité avec laquelle ils se propagent.

Les scientifiques tentent de trouver une réponse génétique à ces agents pathogènes en développant des plantes capables de mieux leur résister, alors que chaque année entre 20 et 40% des récoltes mondiales à cause de ce fléau.

«De telles cultures nécessiteront moins de pesticides et leur rendement sera meilleur vu qu’il y aura moins de pertes dues aux maladies», explique ainsi Dale Sanders du John Innes Centre, un institut britannique de recherche et d’expérimentation en botanique.

Une équipe de chercheurs du Sainsbury Laboratory britannique et de l’université américaine Virginia Tech ont également participé à l’étude.

http://www.cyberpresse.ca