

Vous ne toucherez point un papillon sans faire tomber la poudre qui colore ses ailes ; vous n’analyserez point l’amour sans en faire évanouir le charme.
Octave Pirmez
Vous ne toucherez point un papillon sans faire tomber la poudre qui colore ses ailes ; vous n’analyserez point l’amour sans en faire évanouir le charme.
Octave Pirmez
« Le plus souvent, les problèmes que l’on a avec les autres
ne sont que le reflet de ceux que l’on a avec soi-même. »
Omraam Mikhaël Aïvanhov
Pour éviter ou amenuiser les conflits, il peut être utile de prendre un temps d’arrêt avant l’escalade. Par exemple, avant de traîner votre voisin en cours parce qu’il a déplacé la clôture d’un centimètre, demandez-vous ce que vous avez à gagner et à perdre dans un tel conflit. Faites une pause afin de vous calmer et de réfléchir. Une fois que les vives émotions qui vous poussent au conflit seront apaisées, vous reconnaîtrez plus facilement les vrais motifs derrières ce type de pulsions. Vous pourrez alors prendre une décision éclairée.
« La race humaine doit sortir des conflits en rejetant
la vengeance, l’agression et l’esprit de revanche.
Le moyen d’en sortir est l’amour. »
Martin Luther King
Denis St-Pierre
Grandir auprès d’une sœur permettrait de garder une bonne santé psychologique.
Une étude irlandaise démontre que grandir auprès d’au moins une sœur rendrait plus heureux.
Le professeur de psychologie Tony Cassidy, de l’Université d’Ulster en Irlande, a interrogé 600 personnes de 17 à 25 ans. Il a constaté que peu importe que l’on soit une fille ou un garçon, si nous avons au moins une sœur, cela permettrait de conserver la forme, d’être plus joyeux et épanoui.
Les femmes qui ont des sœurs sont également plus indépendantes et accomplies. Par contre, les hommes qui ont des frères vivent plutôt le contraire. Ils auraient tendance à être moins heureux.
On croit que ce phénomène s’expliquerait par le fait que les femmes parlent plus en général et maintiennent donc la bonne santé psychologique de tout le monde autour d’elles.
Pour ce qui est des enfants uniques, ceux-ci se situeraient dans la moyenne. C’est-à-dire qu’ils se considèrent comme assez heureux et optimistes. Dans leur cas, ils arrivent à compenser l’absence de frères et sœurs par un cercle d’amis proches.
Les dauphins s’amusent
Photos.com
Agence France-Presse
La bouche n’échappe pas au culte de l’apparence, avec en particulier un engouement pour les dents bien blanches, parfois déraisonnable, témoignent des chirurgiens-dentistes à l’occasion du congrès de l’Association dentaire française (ADF).
Jeunes et moins jeunes, hommes et femmes, le blanchiment fait l’objet d’«une demande de plus en plus importante, au moins d’informations, par les patients», indique Eric Bonnet, dentiste à Lyon (France).«Le sourire, les dents blanches sont importants dans la vie professionnelle et privée», reconnaît le secrétaire général de l’ADF Patrick Hescot.
L’accès au sourire éclatant semble se démocratiser – des «bars à sourire» ont ouvert à Paris -, mais pour autant les dentistes mettent en garde contre les désillusions. Ils préfèrent d’ailleurs parler d’«éclaircissement» plutôt que de blanchiment.
La couleur de la dent n’est pas donnée par l’émail, la couche superficielle, mais par l’intérieur de la dent. Et quand on a la malchance d’avoir génétiquement des dents jaunes, il n’y a pas de miracle à attendre.
«La chose la plus difficile dans un traitement d’éclaircissement, c’est de poser l’indication, c’est à dire «ça va marcher ou ça ne va pas marcher»», explique le Dr Bonnet.Quant aux contre-indications, la première concerne les personnes qui ont déjà des dents blanches, mais «qui veulent du plus blanc que blanc». Ce qui n’est pas possible. «C’est quand même presque deux consultations sur trois», souligne le chirurgien-dentiste.
Le traitement est contre-indiqué sur des dents usées ou sensibles. Il faut aussi savoir qu’il n’éclaircit que les dents naturelles, et pas les couronnes, d’où un risque de résultat disgracieux si elles sont visibles.
L’éclaircissement ne peut se faire que «dans une bouche propre», précise le Dr Bonnet: caries traitées, dents détartrées…
«Le seul produit qui éclaircisse les dents est le péroxyde d’hydrogène, autrement dit l’eau oxygénée», affirme le Dr Bonnet.
Il est utilisé sous forme de gel appliqué sur les dents selon un temps plus ou moins long en fonction de la concentration du produit.
Le produit diffuse à travers l’émail et décolore l’intérieur de la dent, la rendant «plus claire et plus lumineuse». Il faut compter 8 à 10 jours de traitement lorsqu’il associe application chez le dentiste et port d’une gouttière à la maison.
Le principal effet secondaire est une augmentation de la sensibilité des dents pendant la durée du traitement.
Quant au prix, il se situe généralement autour de 500 à 700 euros (670 $ à 937 $), indique le Dr Bonnet. Un traitement d’entretien est conseillé tous les 2 à 3 ans.
Le Dr Bonnet est plus que sceptique sur les résultats à attendre des produits «achetés en grande surface ou en pharmacie».
«Leur concentration est tellement faible que le niveau d’efficacité est peu différent de zéro», estime-t-il.
Les dentifrices blanchissants ? «Ca n’existe pas», répond le Dr Bonnet. «Simplement, ça permet d’éliminer des tâches de café ou de thé par une action mécanique», ajoute-t-il.Vis-à-vis des «bars à sourire», qui promettent sur leur site «un blanchiment efficace» grâce à un procédé combinant l’application «du gel MSO» et l’exposition à une «lampe led électroluminescente», c’est la méfiance qui prévaut. «On n’arrive pas à savoir la composition du produit», indique le chirurgien-dentiste.
La mauvaise nouvelle, c’est que les dents foncent en vieillissant.
Pour limiter les dégâts, le dentiste conseille «un bon brossage», et au minimum un rinçage de la bouche après la consommation d’aliments ou de boissons fortement colorantes.
« Le gouvernement du Québec a entrepris le développement des ressources en gaz de la vallée du Saint-Laurent sans le consentement des Québécois », peut-on entendre en voix hors champ, dans cette vidéo d’une durée d’environ trois minutes.
Un Suédois est parvenu à diffuser de la musique depuis l’intérieur de ses entrailles via un système audio ultra-compact placé dans une capsule enveloppée d’un préservatif et avalée à grands renforts d’eau et de lubrifiant.
Photo: AFP
Agence France-Presse
Stockholm
Un Suédois est parvenu vendredi pendant quelques heures à diffuser de la musique depuis l’intérieur de ses entrailles via un système audio ultra-compact placé dans une capsule enveloppée d’un préservatif et avalée à grands renforts d’eau et de lubrifiant.
Le son? «Mauvais, mauvais. C’était un très mauvais son. Mais ce n’était pas l’essentiel, je voulais juste montrer que ça fonctionne», a déclaré à l’AFP Fredrik Hjelmqvist, propriétaire d’une boutique de matériel hi-fi haut de gamme du centre de Stockholm.
«C’est un succès, on est les premiers au monde à faire ça», assure ce Suédois de 45 ans, qui propose à la vente son petit bijou d’électronique pour la somme de 119 000 couronnes (environ 17 300 $).
Après trois tentatives manquées, il est parvenu à avaler une capsule d’environ 3 centimètres de long et 1,5 centimètre de diamètre, a constaté un journaliste de l’AFP.
A l’intérieur de la coque en plastique, elle-même glissée dans un préservatif pour la rendre imperméable, se trouvait un dispositif audio miniature fonctionnant par radio et alimenté par une minuscule batterie.
Un peu plus tard, l’équipe de M. Hjelmqvist est parvenue à détecter dans son ventre le son de la musique, grâce à un stéthoscope connecté à un ampli.
Après environ trois heures de fonctionnement, avec des échos vagues et sous-marins de «I Will Survive» de Gloria Gaynor ou de «YMCA» des Village People, couverts du battement de son coeur, le système a cessé de fonctionner.
Les morceaux joués avaient été choisis par des internautes sur le site consacré à l’expérience (www.thehumanjukebox.se).
«L’opération ne devait de toute façon pas durer au-delà de ce week-end, pour raisons naturelles», plaisante M. Hjelmqvist.
« Anthéa raconte à son papa le soir en rentrant à la maison :
« ce matin, on est passé devant un enterre-vie (enterrement). »
Anthéa 6 ans
Personnellement je ne vois pas l’intérêt en temps que Québecois de garder le lien avec la monarchie. Je peux comprendre que pour l’Angleterre la monarchie a sa place dans le coeur de ses sujets et je le respecte, mais pas ici au Québec .. A l’heure de la gestion économique des priorités des québecois … la dépenses pour la couronne me semble un vrai gaspillage
Monarchie : Le Québec veut le divorce
Kathleen Harris
Agence QMI
OTTAWA | Trente ans après le mariage royal de Charles et de Diana, c’est celui de leur fils aîné, le prince William, qui est en préparation. Malgré l’engouement planétaire pour cette union, une majorité de Québécois veut s’affranchir de la monarchie britannique et ne réclame rien de moins que le divorce.
Selon le sondage, les femmes sont plus susceptibles de s’intéresser à la famille royale : à peine 19% de la gent féminine souhaite couper les ponts avec la royauté, contre 30% chez les hommes.
Selon le vice-président de Léger Marketing, Dave Scholz, les données montrent que la population est divisée à propos de ses sentiments envers la famille royale du Royaume-Uni, surtout depuis la mort de Lady Di, survenue le 31 août 1997, qui a marqué en quelque sorte la fin d’une époque.
«Cela a beaucoup à voir avec la place du Québec au sein du Canada – premièrement, que les Québécois acceptent qu’ils fassent partie du Canada et, deuxièmement, qu’ils acceptent que la reine soit le chef d’État du Canada, a-t-il dit. Il n’y a jamais eu une grande acceptation [sur ces deux sujets]. Les Québécois ont beaucoup plus d’affiliations avec les États-Unis et la France qu’avec le Royaume-Uni.»
Le sondage révèle par ailleurs que 26 % des Canadiens pensent que le prince Charles et sa femme Camilla devraient renoncer au trône et laisser le prince William -et sa fiancée Kate Middleton -succéder à la reine Élizabeth II, qui règne depuis le 6 février 1952. Ce sentiment est plus fort chez les aînés et les femmes.
«Le prince William a montré qu’il se tient loin des scandales. Il forme avec Kate un couple jeune et beau qui nous donne envie d’en savoir plus et d’en apprendre davantage sur ce qu’ils font», a ajouté M. Scholz.
Mais sauter une génération dans l’ordre de succession au trône britannique n’est pas chose facile. Robert Finch, président de la Ligue monarchiste du Canada, a dit qu’il y a de sérieux enjeux constitutionnels à considérer et qu’une telle avenue exigerait le consentement de tous les pays du Commonwealth, soient les anciennes colonies et protectorats de l’Empire britannique, lesquels reconnaissent à la reine un pouvoir symbolique.
«C’est amusant d’en discuter, mais je ne pense pas que ce soit sérieux. Une des forces de la monarchie réside dans le fait que nous savons qui sera le prochain chef d’État», a-t-il indiqué.
«Ce n’est pas une institution très visible. La couronne travaille majoritairement en arrière scène et nous le voyons quand la reine ou des membres de la famille royale viennent ici, ou quand il y a des événements avec le gouverneur général dans l’exécution de certains devoirs», a dit M. Finch.
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