Changer le monde


Changer le monde c’est trop lourd sur les épaules .. c’est impossible de voir a changer tout un monde dans sa totalité Mais changer sa façon d’agir, sa propre vision des choses, alors là tout est possible car c’est l’exemple que d’autre vont vouloir suivre ..
 
Changer le monde
 
 
Pour modifier sa vision du monde, il est plus efficace de commencer par modifier sa façon d’agir.
 
Paul Watzlawick

Qu’est-ce qu’on peut apprendre des oies ?


C’est toute une technique que le vol des oies sauvages lors des migrations .. Pour capable de voyager si longtemps et de profiter des vents au bon moment c’est un vrai travail d’équipe .. c’est une très belle leçon de vie que nous donne ces oiseaux migrateurs ..
 
Qu’est-ce qu’on peut apprendre des oies ?
 
 
Photo : Éric Laforge (linternaute.com)
 
Lorsque les oies volent en formation, elles vont environ 70 % plus vite que lorsqu’elles volent seules.
 
Les oies partagent la direction.
 
Lorsque la meneuse fatigue, elle reprend sa place dans le V et une autre prend la tête.
 
Les oies tiennent compagnie à celles qui tombent.
 
Lorsqu’une oie malade ou faible doit quitter la formation de vol, au moins une autre oie se joint à elle pour l’aider et la protéger.
 
En faisant partie d’une équipe, nous aussi nous pouvons faire beaucoup plus et beaucoup plus rapidement.
 
 Les mots d’encouragement et d’appui (comme les cris de l’oie) contribuent à inspirer et à stimuler ceux qui sont en première ligne, les aidant à soutenir le rythme, les tensions et la fatigue quotidienne.
 
Il y a enfin la compassion et l’altruisme envers ceux qui appartiennent à l’ultime équipe que représente l’humanité…
 
La prochaine fois que vous verrez une formation d’oies, rappelez-vous que c’est à la fois un enrichissement, un défi et un privilège que d’être membre à part entière d’une équipe.
 
(par Wallace Co. Inc. , texte envoyé par Nicole Z., source inconnu)

Lueur d’espoir pour les vertébrés face à la menace d’extinction


De bonnes nouvelles pour démontrer que les efforts fait pour la conservation des espèces animales vaut la peine d’y faire des efforts .. Il n’est jamais trop tard pour bien faire .. mais il faut continuer la lutte car la victoire est loin d’être gagnée
 

Lueur d’espoir pour les vertébrés face à la menace d’extinction
 

 
Lueur d'espoir pour les vertébrés face à la menace d'extinction
 
Un cinquième des espèces de vertébrés (mammifères, oiseaux, amphibiens, reptiles et poissons) de la planète sont menacées d’extinction.
 
Photo: AP
Agence France-Presse
Nagoya
 
 
Un cinquième des espèces de vertébrés (mammifères, oiseaux, amphibiens, reptiles et poissons) de la planète sont menacées mais les efforts de protections portent «indiscutablement» leurs fruits, selon une étude publiée mercredi.
 
Chaque année, en moyenne, 50 espèces de mammifères d’oiseaux et d’amphibiens «sont poussées un peu plus vers l’extinction» sous l’effet conjugué de l’expansion agricole, de l’exploitation des forêts, de la surexploitation des ressources et des espèces exotiques envahissantes.
 
L’Asie du Sud Est connait les pertes les plus graves, en raison essentiellement de la plantation de cultures d’exportation comme les palmiers à l’huile, de l’exploitation commerciale des forêts de feuillus, de la transformation des terres en rizières et d’une chasse non durable.
 
Selon ses auteurs, cette étude, publiée dans Science et qui s’est appuyée sur les données relatives à 25 000 espèces de la Liste rouge de l’UICN des espèces menacées, confirme une tendance lourde de «pertes constantes» dans la diversité du vivant.
 

Mais elle apporte aussi «des preuves indiscutables» des effets positifs des efforts de conservation.
 
Les scientifiques ont mis en évidence 64 mammifères, oiseaux et amphibiens dont l’état de conservation s’est amélioré grâce à des mesures de conservation.
 
Parmi ceux-ci, trois espèces qui étaient éteintes à l’état sauvage et qui ont été réintroduites dans la nature: le condor de Californie (Gymnogyps californianus), le putois à pieds noirs (Mustela nigripes), aux États-Unis, et le cheval de Przewalski (Equus feru), en Mongolie.
 
La lutte contre les espèces exotiques envahissantes sur les îles s’est révélée particulièrement efficace. La population du shama des Seychelles (Copsychus sechellarum) est passée de moins de 15 oiseaux en 1965 à 180 en 2006 grâce aux mesures de lutte contre les prédateurs introduits et à des programmes d’élevage en captivité et de réintroduction.
 
Sur Maurice, l’état de six espèces d’oiseaux s’est amélioré, notamment celui de la crécerelle de Maurice (Falco punctatus), dont la population est passée de quatre oiseaux en 1974 à près de 1000.
 
Cette étude est «un appel au clairon pour nous tous (…) à mobiliser les ressources pour les actions requises», a commenté, dans un communiqué, Julia Marton-Lefèvre, directrice générale de l’UICN.
 
«La conservation est payante, mais elle a besoin de notre appui et vite!», a-t-elle ajouté.
 
Un total de 174 auteurs de 38 pays ont collaboré à cette étude rendue publique à l’occasion de la réunion internationale sur la biodiversité à Nagoya, dans le centre du Japon, qui rassemble les 193 pays de la Convention sur la diversité biologique (CBD).
 
 

 

L’étonnante vie sous-marine


Dans les mers, sous les vagues, il y a certes des poissons de toutes grosseurs, des requins, dauphins et encore bien des créatures que nous connaissons, mais aussi d’autres moins bien connu voir même inconnu pour la plupart d’entre nous
 

Crabe poilu (Kiwa hirsuta)
  
  
 
© Ifremer, A. Fifis, 2006
 
Bernard l’ermite et anémone (Paguridae)
 
 
 
 
© Susan Middleton 2007
 
Anémone de mer (Actinoscyphia aurelia)
 
 
 
© Ian MacDonald, Florida State University
 
Siphonophore (Marrus orthocanna)
 
 
 
 
 © Kevin Raskoff
 
 Concombre nageur (Enypniaste)
 
 
 

 
Méduse rouge (Crossota norvegica)
 
 
 
© Kevin Raskoff
 
Ver arbre de Noël (Spirobranchus giganteus)
 
 
 
© John Huisman-Murdoch Univ.
 
Poisson à grosse tête (Psychrolutes microporos)
 

© NORFANZ Founding Parties Photographer Kerryn Parkingson;
additional thanks to Peter McMillan and Andrew Stewart
 
Escargot de mer (Cyphoma gibbosum)
 
 
 
© Kacy Moody
 
Poisson Napoléon (Cheilinus undulatus)
 
 
 
© Molly Timmers, NOAA PIFSC Coral Reef Ecosystem Division
 
Pycnogonide mâle portant des œufs
 
 
 
© Pablo J. Lopez-Gonzalez, Universidad de Sevilla
 
Ver-encornet
 
 
 
© Laurence Madin, WHOI
 
Escargot des sources hydrothermales
 
 

© Yoshihiro FUJIWARA / JAMSTEC
 
© Laurence Madin, Woods Hole Oceanographic Institution

 

L’étonnante vie sous-marine

 

Les couples d’ados se violentent… par textos!


Je suis d’avis au risque de me faire tirer des roches .. qu’il y a un age ou on ne devrait pas tout permettre c’est bien a l’adolescence … la technologie prend trop de place dans leur vie qu’il mélange réalité et virtuelle trop facilement et commettent des gestes qui peuvent être irréparables
 

Agence QMI 
Sheena Goodyear
 
Harcèlement - Les couples d’ados se violentent… par textos!
 
10 % des couples d’adolescents ont déjà vécu une situation de «violence électronique dans leurs fréquentations». 
 
© Agence QMI 
 
 
JUPITER, Floride – Les nouvelles technologies seraient le nouveau théâtre de relations de violence entre les jeunes amoureux, dévoile le «Cyberbullying Research Centre» (CRC).

Une étude menée par le CRC, en Floride, a révélé qu’environ 10 % des couples d’adolescents ont déjà vécu une situation de «violence électronique dans leurs fréquentations».
  
L’enquête, qui a sondé 4400 élèves âgés de 11 à 18 ans, démontre que 10,4 % des garçons et 9,8 % des filles ont déjà reçu un message menaçant sur leur téléphone portable de la part de leur partenaire et 7 % ont admis avoir déjà émis un tel message.
 
Plus encore, 5,4 % des garçons et 3,4 % des filles ont révélé que leur partenaire amoureux avait mis en ligne des photos compromettantes ou humiliantes d’eux; 5,5 % des gars et 3 % des filles ont avoué l’avoir eux-mêmes fait.
 
Selon le co-directeur du CRC et professeur en criminologie à Florida Atlantic University, Sameer Hinduja, les jeunes ne connaissent pas les limites du raisonnable, ce qui les poussent à commettre des gestes abusifs sans qu’ils n’en aient conscience. Il souligne que quelqu’un de violent dans ses propos virtuels, risque de l’être dans la vie réelle.
 
«Ce que vous voyez est ce que vous aurez», a dit M. Hinduja.
 
Les couples d’ados se violentent… par textos!

 

Produits naturels – Les dangers de la glucosamine


Ce n’est pas parce que c’est naturel que cela n’est pas sans danger .. La prudence est toujours un atout .. surtout que ceux qui en vendent ne connais pas tous les risques dans l’organismes et les informations sur internet sur les bienfaits de ces produits ne sont pas nécessairement tous fiables
 

Produits naturels – Les dangers de la glucosamine

 

Produits naturels - Les dangers de la glucosamine

Des doses importantes de glucosamine ou une consommation prolongée causent la mort de cellules du pancréas, ce qui pourrait augmenter le risque de diabète, préviennent des chercheurs québécois.


Vendue couramment dans les pharmacies et les boutiques de produits naturels pour traiter les douleurs articulaires et l’ostéoporose, la glucosamine ne serait pas sans danger.

 
Des chercheurs de la Faculté de pharmacie de l’Université Laval ont démontré que des doses élevées ou une consommation prolongée de la substance provoquent la mort de cellules du pancréas, ce qui peut augmenter le risque d’avoir un diabète.
 
Le Pr Frédéric Picard et ses collègues ont procédé à des tests in vitro qui ont révélé que l’exposition à la glucosamine provoque une augmentation considérable de la mortalité des cellules pancréatiques responsables de la production d’insuline.
 
D’autres études ont déjà montré que de nombreux consommateurs de glucosamine augmentaient la posologie dans le but d’obtenir de meilleurs résultats.
 
En détails
 
La présence de glucosamine active un mécanisme de soupape qui sert à abaisser un taux de sucre sanguin trop élevé.
 
Toutefois, ce mécanisme a aussi un effet sur la protéine SIRT1 qui joue un rôle central dans la survie des cellules.
 
Ainsi, une concentration élevée de glucosamine baisse le niveau de SIRT1 et favorise la mort cellulaire dans les tissus où cette protéine est abondante, comme dans le pancréas.
 
De plus, il a été montré que le niveau de SIRT1 diminue avec l’âge chez de nombreux mammifères. Le phénomène n’a pas encore été démontré chez l’humain, mais, si c’était également son cas, les personnes âgées qui constituent la clientèle cible de la glucosamine seraient encore plus vulnérables.
 
Le détail de ces travaux est publié dans le Journal of Endocrinology .
 
En juillet dernier, des chercheurs européens avaient démontré que la glucosamine n’était pas plus efficace qu’un placebo.
 
Déjà en 2006, une étude montrait que la glucosamine et le sulfate de chondroïtine, seuls ou en association, ne réduisaient pas la douleur efficacement chez les personnes souffrant d’arthrose.
 

Une nouvelle espèce découverte tous les trois jours en Amazonie


Tous ces nouvelles espèces découvertes a sûrement causé l’euphories auprès des savants mais d’un autre côtés si ces découvertes sont aussi nombreuses c’est peut-être justement qu’il y a moins d’endroit pour que ces espèces y survivent .. On en parle beaucoup de ces découvertes de ces nouvelles créatures .. mais aussi on nous préviens que l’environnement est toujours en danger
 
Une nouvelle espèce découverte tous les trois jours en Amazonie
 
Une nouvelle espèce découverte tous les trois jours en Amazonie
 
 
Entre 1999 et 2009, plus de 1200 nouvelles espèces ont été identifiées en Amazonie, dont cette grenouille ornée de surprenants dessins de flammes sur la tête.
 
Photo: AFP
  Jérôme Cartillier
Agence France-Presse
Nagoya
 
 
Grenouille ornée de surprenants dessins de flammes sur la tête ou perroquet chauve aux couleurs vives: une nouvelle espèce est découverte tous les trois jours en Amazonie, mais le «scénario effrayant» de la disparition de cette incroyable diversité inquiète.
 
Entre 1999 et 2009, plus de 1200 nouvelles espèces ont été identifiées dans cette région du monde, selon un rapport du WWF publié mardi à Nagoya (Japon), en marge de la 10e Conférence des parties de la Convention sur la diversité biologique (CBD).
 
Au coeur de la forêt amazonienne, dans les zones désertiques ou au fond des océans, la diversité du vivant n’a jamais été aussi bien documentée, mais les études qui se succèdent font aussi toutes le même constat: la menace que font peser sur elle certaines activités humaines est alarmante.
 
L’étonnant inventaire coloré présenté mardi au Japon par le WWF rassemble les récentes découvertes faites dans ce vaste bassin qui s’étend sur neuf pays: 637 plantes, 257 poissons, 216 amphibiens, 55 reptiles, 16 oiseaux et 39 mammifères.
 
 

Un gigantesque poisson chat a été découvert en 2005 dans le fleuve Amazone. Un spécimen de ce «poisson Goliath» mesurant 1,5 m et pesant 32 kg a été capturé en 2007 au Venezuela.
 
Parmi les reptiles, une nouvelle espèce de tortue, 28 serpents et 26 lézards ont été découverts au cours de la décennie écoulée.
 
Un dauphin de rivière en Bolivie, sept singes, deux porcs-épics, huit souris, cinq rats font partie des nouvelles espèces de mammifères identifiées.
 
«Cette région incroyable est sous pression en raison des activités humaines. Le paysage se transforme à grande vitesse», a mis en garde Francisco Ruiz, qui a coordonné ce rapport.
 
Après des siècles de perturbations humaines très limitées sur cet environnement, «l’humanité a causé la destruction d’au moins 17% de la forêt tropicale amazonienne au cours des 50 dernières années», a-t-il rappelé mettant en exergue une demande croissante de terre (élevage, culture du soja et biocarburants).
 
Même foisonnement de découvertes en mer: la publication, début octobre à Londres, d’une vaste étude (Census of marine life), qui a mobilisé 2700 scientifiques de plus de 80 pays pendant dix ans, a mis en lumière «une profusion inattendue d’espèces».
 
Avec des surprises, comme la «crevette jurassique», que l’on croyait disparue depuis 50 millions d’années et qui a été trouvée dans les eaux australiennes ou encore la découverte d’une nouvelle espèce de homard géant sur les côtes malgaches.
 
L’estimation du nombre d’espèces connues est désormais de 250 000. En extrapolant, les scientifiques estiment qu’il en existe «au moins un million» dans les océans.
 
Ces annonces en cascade de l’identification de nouvelles espèces, superbes photos à l’appui, sont importantes  –
 
 «Il y a toujours une joie de la découverte» – estime Jean-Christophe Vié, du Programme pour les espèces de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Toutefois, met-il en garde, il faut rester attentif à ce qu’elles ne «brouillent pas le message».
 
«Le risque est que le gens se disent: ‘pas d’inquiétude, des espèces apparaissent tous les jours’. Mais elles n’apparaissent pas, elles sont simplement découvertes ou décrites, c’est très différent !», ajoute-t-il.
 
Selon la liste rouge de l’UICN, une espèce d’amphibien sur trois, plus d’un oiseau sur huit, plus d’un mammifère sur cinq et plus d’une espèce de connifère sur quatre sont menacés d’extinction au niveau mondial.
 
Réunis depuis près de dix jours à Nagoya, les représentants de 193 pays tentent de se mettre d’accord sur les moyens d’enrayer cette érosion, en particulier grâce à une hausse sensible d’aires protégées, sur terre comme en mer.