Le mur


Il ne faut pas s’arrêter quand un obstacle nous barre
la route, bien au contraire il faut chercher a se
surpasser pour être en mesure de le franchir
 
Le mur
 
 
Si vous rentrez dans un mur,
n’abandonnez pas.
Trouvez un moyen de l’escalader,
le traverser, ou travaillez autour.
 
Michael Jordan

La Paix


La Paix est un tout petit mot qui pourtant a une grande signification .. Depuis toujours l’homme reve a la paix sans jamais etre en mesure de la concrétiser car quelque part il y a toujours une guerre de mots, une guerre coups, et la GUERRE qui sévit … Il serait peut etre temps pour faire la paix avec nous-même pour la partager avec d’autres
 
La Paix
 
 
Le monde n’a jamais été en paix durable :
ni entre peuples, ni entre voisins, ni au sein de la famille.
 
La paix est aussi difficile à trouver en soi-même, dans l’acceptation de soi, de ses semblables ou des autres.
 
Notre univers n’a pas connu cet état que l’on appelle la paix.
 
Michel Poulaert

5 trucs à faire avec du dentifrice


Pour avoir de belles dents et éviter les caries, il faut se brosser les dents .. Le dentifrice est un atout important pour la santé dentaire .. mais .. le dentifrice peut aussi être utile pour résoudre d’autres petits problèmes
 
5 trucs à faire avec du dentifrice
 
 
Le dentifrice peut faire bien plus que de vous donner un beau sourire. Voici cinq autres endroits où brosser.
  

 Éviter la buée

Pour éviter la buée (toujours dangereuse) sur les masques de bricolage, de ski ou de plongée, étalez du dentifrice à l’intérieur, puis essuyez les verres.
  
 Nettoyer les touches d’un piano

Nettoyez les touches avec du dentifrice et une brosse à dents, puis essuyez avec un chiffon humide. L’astuce fonctionne aussi bien avec les touches en ivoire des pianos anciens que sur le plastique des instruments modernes.
  
 Désodoriser un biberon

Le dentifrice supprime l’odeur de lait des biberons. Mettez un peu de dentifrice sur le goupillon avant de laver le biberon. Rincez abondamment.
  
 Estomper des rayures sur le cuir

Pour estomper des rayures sur des chaussures en cuir,
étalez une noisette de dentifrice sur la zone à traiter, frottez avec un chiffon doux et enlevez l’excédent à l’aide d’un chiffon humide.
 
 Assécher un bouton d’acné

Pour vous débarrasser d’un bouton déjà mûr, recouvrez-le de pâte dentifrice et laissez sécher une nuit. Le lendemain matin, le bouton devrait être sec.
 
Le saviez-vous? En ancienne Égypte, on utilisait un mélange de cendre de sabot, de coquilles d’œufs brûlées, de myrrhe, de pierre ponce et d’eau pour se brosser les dents. La formule telle que nous la connaissons aujourd’hui n’existe que depuis 1850
 

 

Un regard sur les couleurs d’automne


Avant que l’hiver viennent effacer toute trace de vie, d’abondance et de couleurs … quelques images pour nous rappeler que malgré tout l’automne demeure la plus belle saison car elle est la concrétisation de toutes les états du temps pour en laisser l’expérience d’une année et sur une note de sagesse nous montrer qu’une beauté qui même flétrie est magnifique …
 
  
Un regard sur les couleurs d’automne
 

Le Walkman de Sony tire sa révérence


Je me souviens quand les baladeurs ont sortis .. tous les jeunes en voulaient .. enfin écouter de la musique avec un appareil qui se transportait facilement .. C’est une autre époque … un époque maintenant révolue pour laisser place au Ipod ..
 
Le Walkman de Sony tire sa révérence  
 
Le buzz du jour - Le Walkman de Sony tire sa révérence
 
Le Walkman de Sony s’est vendu à 220 millions d’exemplaires en 30 ans comparativement au iPod qui a été vendu à 275 millions d’exemplaires en moins de 10 ans. 
 
 
Crédit: www.mashable.com 
 
Après trente ans de loyaux services, le Walkman de Sony prend sa retraite, ce qui marque la fin d’une époque et rappelle à bien des gens beaucoup de souvenirs.
 
Certains seront surpris d’apprendre que la production du walkman n’avait pas été interrompue depuis tout ce temps, mais beaucoup d’autres aussi se demanderont de quoi il s’agit. Ce sont les plus de trente ans qui se souviennent de l’arrivée sur le marché de cet appareil révolutionnaire.
 
 
La compagnie Sony a confirmé en avril dernier la fin de la vente de ses baladeurs à cassette magnétique Walkman au Japon. Par le fait même, les ventes se termineront une fois le stock écoulé dans les magasins.
 
Pour dire à quel point l’appareil de Sony a eu une présence significative, surtout dans les années 1990, rappelons que le mot Walkman en français était le terme générique qui désignait les baladeurs.
 
Sony affirme avoir vendu plus de 220 millions de Walkmans à cassette depuis le lancement de son tout premier modèle en 1978, crée par l’ingénieur Nobutoshi Kihara. L’arrivée des Discman, puis des iPod, on contribué à sa perte de popularité.
 
À titre comparatif, l’iPod à lui seul, a été vendu à 275 millions d’exemplaires en moins de 10 ans.
 
L’arrivée du Walkman de Sony marque néanmoins une révolution dans l’histoire de la musique. C’était la première fois qu’il était possible d’écouter de la musique ailleurs qu’à la maison, et ce, de façon individuelle.
 

Chirurgie esthétique: 4 raisons de vous méfier


Je trouve dommage que nous sommes a ce point préoccupé a notre apparence extérieure que cultiver notre intérieure .. Et avec tout ce qui est véhiculé comme valeur il est clair que la chirurgie esthétique fait de bonnes affaires .. Personnellement, la chirurgie esthétiques ne devraient exister que pour des corrections du genre bec de lièvres ou suite a un accident .. sans plus .. Mais notre monde de consommation de la beauté en a décider autrement .. il est important de savoir dans quoi on s’embarque ..
 
Chirurgie esthétique: 4 raisons de vous méfier
 
La chirurgie plastique et esthétique, au Québec, est un véritable far west dans la mesure où n’importe quel médecin peut s’improviser plasticien. Les raisons de s’inquiéter sont nombreuses. C’est pourquoi il est vital de se poser les bonnes questions avant de mettre sa peau entre n’importe quelles mains.
 
Trouver le bon spécialiste n?est pas chose facile.
 
 
 Quelle est la formation du médecin qui va vous opérer?
 
Plus de 302000 procédures esthétiques ont été pratiquées au Canada en 2003, une augmentation de près de 25% par rapport à 2002. Des statistiques plus récentes? Des chiffres plus précis pour le Québec? N’essayez pas d’en trouver, il n’y en a pas. Un peu comme si ce secteur, pourtant en plein essor, n’intéressait personne!
 
Aucun registre public ne recense non plus les «bavures» de la chirurgie esthétique Le Collège des médecins ne rend publiques que les plaintes ayant donné lieu à des mesures disciplinaires; en 2006 et 2007, seulement deux d’entre elles concernaient la chirurgie esthétique!
 
Et trouver un vrai pro de la chirurgie plastique est d’autant plus difficile qu’au Québec, même s’il existe une association de chirurgiens plastiques et esthétiques qualifiés, n’importe quel médecin ayant suivi une formation d’appoint peut jouer du bistouri. Omnipraticiens, ophtalmologistes, dermatologues… ils sont de plus en plus nombreux à ajouter une technique esthétique à leur pratique.
 
Y a-t-il une formation minimale requise? Même pas. Elle est parfois offerte par les compagnies pharmaceutiques, parfois acquise derrière l’épaule d’un chirurgien.
 
Ces largesses font bouillir certains membres de l’Association des spécialistes en chirurgie plastique et esthétique du Québec, qui regroupe une centaine de vrais spécialistes.
 
«Pourquoi ferait-on 10 ans d’études et suivrait-on un entraînement chirurgical très astreignant s’il suffit au bout du compte de faire médecine générale?» s’interroge Eric Bensimon, chirurgien esthétique et professeur à l’Université de Montréal.
 
Lui et ses étudiants ont pratiqué cinq ans sous la surveillance d’un chirurgien, en plus de leurs cinq années de médecine.
 
«Entre ça et un stage de trois mois, il y a une différence», s’indigne-t-il.
 
 Comment vous protéger?
 
Contactez l’Association des spécialistes en chirurgie plastique et esthétique du Québec afin d’obtenir les coordonnées de chirurgiens en fonction de la spécialité recherchée.
 
Vérifiez auprès du Collège des médecins que le spécialiste de votre choix ne fait l’objet d’aucune plainte.
 
Ne faites pas confiance aux certificats accrochés au mur. Demandez quelles formations le médecin a suivies, où et en combien de temps.
 
Vous a-t-on bien informé?
 
«Des femmes me disent qu’elles ont une rupture d’implant mammaire, mais pas d’argent pour une intervention supplémentaire», raconte Jannick Desforges, alors avocate chez Option consommateurs.
 
Dans le domaine de la médecine esthétique, le manque d’information est la plainte numéro un.
 
Le code de déontologie oblige bien sûr le médecin à bien informer son patient afin d’obtenir un consentement éclairé.
  
«Mais il ne suffit pas de dire qu’une liposuccion n’est pas très risquée, poursuit Lise Goulet. Il faut parler des complications possibles, mettre des chiffres sur les mots.»
 
Combien de femmes savent, par exemple, qu’elles devront sans doute changer d’implants mammaires un jour? Selon le Dr Bensimon, 90% d’entre elles vont repasser sous le bistouri. Un implant peut être «garanti» 15 ans par le fabricant – le produit de remplacement ne coûtera donc rien à la cliente –, mais celle-ci devra probablement couvrir les frais du retrait de l’ancien et de la pose du nouveau.
 
Des femmes se laissent aussi berner par des stratagèmes douteux, comme les clauses d’exonération de responsabilité, derrière lesquelles croient se cacher certains médecins.
 
«Celles-ci sont nulles, rappelle Lise Goulet. Aucun médecin ne peut se dégager de ses responsabilités.»
 
 Comment vous protéger?
 
Faites-vous accompagner chez le médecin et notez toutes les informations (ou mieux, enregistrez-les) qu’il vous donnera. Cela facilitera la preuve en cas de litige.
  
Renseignez-vous sur les risques, aussi minimes soient-ils, et sur les effets secondaires.
  
Informez bien le médecin de votre état de santé, actuel et antérieur. Car il existe peut-être une contre-indication entre un aspect de votre santé et l’intervention que vous désirez.
  
Demandez au médecin l’explication des termes techniques figurant sur le formulaire de consentement.
  
Posez des questions sur le «service après-vente». Qu’il y ait faute ou non, qu’arrivera-t-il si les résultats ne sont pas à la hauteur de vos attentes?
  
• Rappelez-vous que toute clause de décharge ou d’exonération de la responsabilité est nulle.
 
Dans quelles conditions va-t-on vous opérer?
 
En 2005, le Collège des médecins a publié un «Guide d’exercice des chirurgies en milieu extrahospitalier». Ce document encadre étroitement les conditions d’opération en milieu privé et peut donner lieu à des contrôles… qui, de l’aveu même du secrétaire du Collège des médecins, ont peu de chances d’être effectués
 
«Avec 19000 médecins membres, la priorité est donnée aux soins médicalement requis», admet Yves Robert.
 
Et pour cause: le Collège ne dispose que de six inspecteurs pour toute la province.
 
 Comment vous protéger?
 
Dans la mesure du possible, essayez de visiter les lieux, d’observer les équipements, de discuter avec le personnel pour connaître les conditions de votre opération. Si vous avez un doute, visitez d’autres cliniques.
  
• Demandez au médecin combien d’opérations de ce genre il a déjà pratiquées et depuis combien de temps.
 

Le traitement choisi a-t-il fait ses preuves?
 
Il y a trois ans, Jeannette Lechasseur, 65 ans, a subi une blessure à la joue en tombant. Comme l’accident lui avait laissé une vilaine marque, on lui a proposé des injections de Dermalive. Ce produit devait redonner du corps à sa joue, tout comme il regonfle les lèvres ou les rides à d’autres
 
«Mais un an après les injections, des bosses rouges et granuleuses sont apparues, raconte-t-elle. On me traite depuis à la cortisone, et ce n’est pas fini.»
 
Le fabricant du produit – et Santé Canada qui l’a autorisé – pourrait faire l’objet d’un recours collectif, car des dizaines de Québécois souffrent des mêmes granulomes.
  
Les implants mammaires réservent eux aussi de mauvaises surprises: pour se protéger, l’organisme produit une sorte de membrane autour de la prothèse, mais il arrive aussi qu’elle épaississe au point de devenir ce que l’on appelle une «coque fibreuse», durcissant le sein et le rendant parfois très douloureux.
  
 «Mais ça, on ne peut jamais le savoir avant», admet le chirurgien Eric Bensimon.
 
Cette masse fibreuse peut parfois aussi entraver la détection de cancers du sein, lors des mammographies.
 
 Comment vous protéger?
 
Rencontrez plusieurs médecins pour obtenir différents diagnostics ainsi que leur avis sur les techniques qu’on vous a proposées ailleurs.
  

Ne vous fiez jamais entièrement à l’information trouvée sur Internet: elle est rarement complète ou totalement objective.

 

 

 

Petit cours de médias sociaux 101


Je ne suis pas trop intéressé par le livre néanmoins il est vrai que nous allons vers le changement .. juste a voir les jeunes aujourd’hui qui sont autant branché Mais je pense que nous devons quand même faire attention … car si il arrive une défaillance pour un long temps au niveau techno .. comment les jeunes vont faire pour se débrouiller avec de bonnes vieilles méthodes ..
 
Petit cours de médias sociaux 101

Agence QMI  Marie-France Bornais
 

Livre - Petit cours de médias sociaux 101 

 
Michelle Blanc propose un ouvrage grand public qui démystifie ce monde virtuel qui prend de plus en plus de place dans la vie quotidienne. 

 

 
© Agence QMI/Étienne Laberge 
 
QUÉBEC – Pour se démêler dans l’univers des Facebook, Twitter, LinkedIn et tirer le meilleur de ce que les médias sociaux ont à offrir, Michelle Blanc propose «Les médias sociaux 101», un ouvrage grand public qui démystifie ce monde virtuel qui prend de plus en plus de place dans la vie quotidienne.

Construit à partir des billets du blogue de la conseillère en stratégie Web Michelle Blanc, la spécialiste des médias sociaux du Québec, le livre fait le point sur ces nouveaux médias qu’il faut apprivoiser, et vite, car la société est en pleine mutation.
 
« La société occidentale a été modelée pour les besoins des baby-boomers. Depuis 30 ans, le marketing est dirigé vers ce qu’ils veulent. Sauf qu’au moment où on se parle, il y a 7,3 millions de baby-boomers au Canada et 8 millions de jeunes de la Generation Net, ceux qui sont nés avec internet et qui arrivent tous sur le marché du travail. La courbe vient de changer. Ils n’ont pas la même vision, pas les mêmes outils, pas les mêmes besoins », analyse la titulaire d’une maîtrise scientifique en commerce électronique des HEC de Montréal.
 
À son avis, les entreprises ne sont pas prêtes à faire le virage, ni les écoles. « Quand j’ai fait ma maîtrise aux HEC de Montréal, c’était obligatoire d’avoir un portable. Si le prof était plate, les étudiants jouaient en réseau. Ils se disaient en chat comment le prof était plate. Si le prof était passionnant, tout le monde écoutait et tripait avec lui. Et on était à la maîtrise. Imaginez quand le portable va être partout dans les classes… La clef, c’est de maintenir l’intérêt », indique la consultante.
 
Facebook et Twitter
 
Le livre fait le point sur les médias sociaux, ce qu’ils sont et comment ils affectent les secteurs fondamentaux de notre société : journalisme et communications, politique, relations interpersonnelles, relation entreprise-consommateur.
 
« Il y a 42 % des Québécois qui sont sur Facebook. C’est la moitié des Québécois. À peine 5 % de la population est sur Twitter, mais c’est le deuxième groupe le plus influent du Web après les médias traditionnels. Ce sont les journalistes, les recherchistes, les cyberblogueurs, les faiseurs de tendances qui s’y trouvent. »
 
Michelle Blanc prévoit que le paysage québécois est appelé à changer, mais constate avec dépit que le Québec est en retard de deux ans sur le reste du monde.
 
 « Ce deux ans nous donne le temps de voir venir, d’apprendre des erreurs et des succès des autres, mais, en quelque part, c’est malheureux. On paye des coûts exorbitants pour internet et notre très haute vitesse, c’est la très basse vitesse du Japon et de la Corée. »
 
Au niveau mondial, le Québec n’a donc pas de quoi se péter les bretelles, estime-t-elle. La clef?
  
« Pousser dans le c… du gouvernement. Au lieu qu’il fasse des projets de Cité du commerce électronique et de Cité du multimédia, au lieu d’investir dans le béton, il faudrait qu’il investisse dans le transfert des connaissances pour que les entreprises et les organisations comprennent vraiment où on s’en va, où on en est. »
 
Une infrastructure technologique accessible à tous les citoyens s’impose donc, à son avis.
 
« Internet devrait être une ressource essentielle, au même titre que l’électricité. Si on avait une politique numérique pour le Québec, ça aiderait. Il y a des pays qui s’en sont dotés et, nous, on se pose encore la question. Au niveau politique, quand un parti aura vraiment pris le virage des médias sociaux, les autres vont suivre. »