Accès au coeur ..


Il est tellement facile pour plusieurs de faire rentré des gens dans notre coeur .. que ce soit un amour,  un  ami .. peut importe mais quand ils en sort .. il ne laisse qu’une cicatrice au coeur
 
Accès au coeur ..
 

 
 
Je fais bien de ne pas rendre l’accès de mon cœur facile ; quand on y est une fois entré, on n’en sort pas sans le déchirer ; c’est une plaie qui ne cautérise jamais bien.
 
Denis Diderot

Comment réagir aux insultes


Personne n’aime être insultée, c’est humiliant surtout s’il y a des gens autour de nous …Prendre la bonne attitude n’est certes pas facile et cela prend un temps avant d’agir avec doigté mais pourtant c’est ce qui peut nous faire sortir des mauvais pas la tête haut
  

Comment réagir aux insultes
 

  

photo :hirbec.chez.com
  
« Personne ne peut abuser de vous verbalement,
sans votre consentement. »
  
Il est difficile d’accepter les insultes, les injures et l’indélicatesse. En général, ce genre de comportement crée une réaction négative presque instantanée chez la personne offensée. Voici quelques approches pour mieux gérer nos réactions face aux insultes :
  
Ignorez les insultes (pour insultes mineures et/ou isolées)

Si vous réagissez en vous sentant blessé ou furieux, vous détruisez votre paix d’esprit. Par contre, si vous ignorez l’insulte en faisant la sourde oreille, vous vous protégerez contre cette blessure. Donc, s’il s’agit d’une insulte mineure ou isolée, vous pouvez simplement décider d’ignorer celle-ci. Par contre, si la personne continue à tenir des propos déplaisants à votre sujet, si elle persiste à vous couvrir d’insultes alors appliquez une des solutions suivantes.
  

Prenez la fuite

Si la situation le permet, éloignez-vous physiquement de la personne qui vous insulte. Ceci est une façon simple de diminuer votre exposition à ses attaques. Malheureusement, cette solution est parfois inapplicable parce que fuir pourrait sévèrement vexer une personne importante pour nous. Mais peu importe les circonstances, si des insultes répétitives deviennent un véritable abus psychologique, vous avez toujours le droit de fuir.
Faites semblant d’écouter

S’il n’est pas opportun d’appliquer les solutions précédentes, alors vous pouvez simplement fuir émotionnellement en retirant votre attention à celui qui vous insulte, ceci en prenant soin de faire semblant de l’écouter.
  
Comprenez la situation de l’autre
 Est-ce que vous connaissez toutes les circonstances qui ont poussé la personne qui vous a insulté à agir ainsi ? Non, nous ne connaissons jamais toute la vérité sur ces choses. Il n’est pas question ici d’excuser des gestes répréhensibles, mais plutôt de voir le côté humain derrière ceux-ci. Favorisez votre compréhension en vous disant :

 
“La personne qui m’a insulté devait réellement souffrir pour agir ainsi. Dans les mêmes conditions difficiles, peut-être que j’aurais agi de la même façon“.
 

Ceci contribuera à transformer votre rancoeur initiale en sentiment de compréhension et peut-être même en sympathie.

 

  
Apprenez

Beaucoup de circonstances désagréables sont des occasions d’apprendre. Essayez donc de transformer votre épreuve en opportunité. Les insultes qui vous sont faites ont peut-être une parcelle de vérité. Et même si elles sont complètement fausses; vous pouvez apprendre en observant le contexte qui a mené à ces insultes. Peu importe si vous êtes fautif ou pas, il y a toujours de nouvelles choses à apprendre.
  
Répliquez avec diplomatie

Lorsque nous sommes insultés, la situation impose parfois que nous répondions (ex. réunions d’affaire, discussions imposées, situations délicates…). Dans ce cas, efforcez-vous d’être respectueux et poli. Si vous manquez de courage pour démontrer ce respect, ou si la personne ne le mérite pas à vos yeux, alors faites-le pour vous-même. Cette marque de discipline vous placera au-dessus de la personne qui vous insulte. Montrez du respect à cette personne ne veut pas dire que vous abandonnez vos positions et vos idées. Cela signifie simplement que vous êtes mieux qu’elle.
 
Dédramatisez

Est-ce que vous vous attendiez à ne jamais être insulté ? Il est malheureusement normal de temps à autre d’être victime d’indélicatesse. Ça fait partie de la vie en société. Alors, dédramatisez la situation. Ça arrive à tout le monde. Ça vous est déjà arrivé dans le passé et vous avez survécu. Sachez de plus que ça vous arrivera encore.
 
Être en contrôle de sa réaction

Les paragraphes précédents ne suggèrent d’aucune façon qu’il est correct de laisser votre offenseur abuser de vous. Dans certaines circonstances, il est d’ailleurs approprié de répliquer activement (voir le paragraphe numéro six ci-dessus). Mais peu importe la situation, la façon dont vous réagissez face à l’insulte doit être votre décision. En d’autres termes, ne laissez pas votre offenseur déterminer votre conduite. Lorsque vous êtes insulté, le choix de l’attitude à prendre n’appartient à la personne d’autre que vous, et ce peu importe la sévérité de l’insulte.
 
Conclusion

Lorsque vous êtes blessé par les mots d’un autre, prenez l’attitude du soleil. Le soleil ne s’occupe pas des nuages ou des orages, il ne fait qu’étendre ses rayons partout sans distinction sans se soucier de savoir si ses rayons sont bienvenus ou pas. Imitez donc le soleil, et continuez à rayonner même si on vous offense. Avec cet état d’esprit, vous serez en meilleure position pour continuer à être courtois et diplomate en toutes les situations. Évidemment, vous n’avez pas à laisser qui que ce soit abuser de vous. Lorsque vous êtes insultés, sachez simplement, que c’est à vous d’identifier la bonne attitude à prendre. Cette décision n’appartient pas à la personne qui vous a insulté.
 
« Les insultes sont une occasion de démontrer
notre discipline personnelle et notre sagesse. »
 

Denis St-Pierre

 

Magasiner, une corvée?


J’ai savourer cet article .. car c’est exactement ce que je pense quand je vais au magasin … Je déteste magasiner !!! Flâner ca va.. mais acheter non c’est toujours trop cher et trop de  »stock » A l’épicerie, je le remarque surtout pour le pain et les produits laitiers le reste je vais au moins cher ..mais ou j’aime qu’il y ai autant de choix, de couleurs, de variété c’est bien aux fruits et légumes .. A part cela .. acheter n’importe quoi, linge, meubles, ordinateur, nous avons que l,embarras du choix et que nous comprenons pas nécessairement si cela réponds a nos réels besoins
 

Magasiner, une corvée?

 

magasiner corvee

 
J’ai besoin de shampoing. Au magasin, me voici devant une bonne vingtaine de marques et autant d’étiquettes à scruter. Tracasserie, perte de temps. Trop de choix, c’est comme pas assez!
 
Un rendez-vous annulé à la dernière minute? Tant mieux! Ça me laisse trois belles heures devant moi. J’en profiterai pour aller m’acheter des chaussures de marche. Puis je dînerai en lisant. Erreur et malheur! Je reviens à la maison bredouille, affamée, fâchée. Pourtant, ce n’était pas le choix qui manquait, croyez-moi! Mais c’est justement ça, le problème: il y en avait beaucoup trop. À force de butiner d’un modèle à l’autre, de branler dans le manche, de réfléchir et de calculer, les heures ont passé… et j’ai senti la frustration monter. J’aurais voulu claquer les portes tournantes à toute volée! J’ai simplement abandonné. Je n’ai même pas eu le temps de casser la croûte. Je sais, vous aussi, c’est pareil partout et pour tout: abondance, surabondance, méga-hyper-abondance. De produits, de fonctions, de formats, de couleurs, de marques et de prix.
 
Prenez les dentifrices: il y en a contre la carie, pour les enfants (les tubes sont tellement cute!), pour blanchir les dents, pour protéger l’émail, pour combattre la sensibilité gingivale, pour lutter contre la mauvaise haleine. Stop, s’il vous plaît: JE VEUX SEULEMENT ME BROSSER LES DENTS!
 
Même chose pour les voitures, les robots culinaires, les vernis à ongles, les crayons, les boulons, les bonbons… et même les soutiens-gorges (un gris qui pigeonne, un rouge qui comprime, un rose qui découvre, un noir qui recouvre, un léger qui s’étire, un résistant garanti 10 ans). Et je vous fais grâce des courses au supermarché. Ah! L’épicerie. La seule vue du comptoir des yogourts m’épuise, et je ne me suis pas encore approchée des détergents à lessive!
 
Mais il n’y a pas que le choix qui m’énerve, il y a aussi le temps perdu. C’est long, choisir. Et comme l’exercice vous gruge les nerfs tout autant que les minutes à l’horaire, le shopping cesse d’être une partie de plaisir pour devenir une réelle source de stress. Car magasiner, c’est comme partir en expédition!
 
À ce sujet, la journaliste Lucie Dumoulin a publié dans Internet un commentaire intéressant sur Le paradoxe du choix, un essai de Barry Schwartz, professeur de psychologie sociale:
  
«Il semble y avoir un rapport entre la plus grande source de stress de notre époque – le manque de temps – et la profusion de biens et services, car chaque option (restaurant, vêtement, destination de voyage, tondeuse à gazon) exige d’être analysée, comparée, évaluée au cours du processus de décision qui sous-tend nos choix. Et que dire de l’effet néfaste sur le bienêtre et la santé des sentiments engendrés par les comparaisons sociales basées sur les apparences d’aisance matérielle: jalousie, frustration, hostilité… Voilà ce qui vient automatiquement avec une culture de l’abondance.»
 
Magasinage: trop de choix?
 
Bon, trêve de lamentations. Soyons honnête et jetons aussi un coup d’oeil sur l’envers de la médaille. Je suis bien obligée d’en convenir: c’est peut-être tuant, mais c’est merveilleux d’avoir le choix. L’abondance est un bonheur, et nos arrière-grands- mères nous trouveraient chanceuses de pouvoir en profiter.
 
Il y a très longtemps, les produits existaient simplement pour répondre à une nécessité: du pain pour se nourrir, une maison où se loger, un manteau pour avoir chaud. Puis, avec l’essor économique des pays industrialisés, une fois tous les besoins vitaux comblés, les désirs ont pu se manifester. De nouveaux produits sont apparus, plus nombreux, plus spécialisés. La créativité s’en mêlant, le superflu, le luxe, le beau et l’inédit ont trouvé place à portée de nos mains (et de nos portemonnaies!) sur les tablettes des magasins. Le marketing jouant à fond sur nos envies – et sur l’envie tout court -, la période de «l’appartenance» s’est amorcée. L’objet lui-même est dès lors passé en second lieu au profit de la marque. C’est elle qui nous démarquait. On l’endossait, on en faisait partie comme d’un club. Et ça, c’était hier à peine.
 
Aujourd’hui, la pub s’est encore raffinée. Son leitmotiv n’est plus «Tout le monde portera un jean» ni «Tout le monde portera un Levi’s», mais «Chacun portera son jean». Sa marque, sa coupe, sa couleur. On n’achète plus, on s’exprime! On ne se procure plus ce qu’on aime, mais ce qu’on est. On le dit, d’ailleurs: «Moi, je suis très fibres naturelles» ou «très repas congelés».
 
Il ne s’agit plus de convaincre une clientèle, mais de répondre au goût de chacun des clients. Vive l’ère de l’individuation! Une trouvaille géniale vouée au succès: en effet, comment résister quand on vous offre la possibilité d’être unique au monde? À cet égard, nous ne sommes pas au bout de nos options: l’Américain Howard Moskowitz, docteur en psychologie comportementale, un monsieur très écouté dans son domaine, prône l’innovation de produits comme tests de marché. Au lieu de procéder à partir de simples sondages, on va bientôt nous titiller le désir d’acheter en nous proposant une manne de nouveautés parmi lesquelles on n’aura qu’à… choisir.
 
C’est de l’ouvrage, ça, madame! Pour les designers, pour les marchands (imaginez le stock inouï de marchandise à gérer!) et pour moi, pauvre consommatrice, qui devrai me dépêtrer de toutes ces tentations. Au bout du compte, faudra-t-il généraliser le sur-mesure sur commande? Plutôt que de farfouiller dans les étalages, chacun remplirait son formulaire d’achat dans Internet et passerait chercher son produit personnalisé au comptoir du coin. La techno de pointe nous permettra peut-être même bientôt, qui sait, de créer nos propres couleurs, nos outils, le design de nos meubles ou la texture de nos oreillers. La caverne d’Ali Baba et la lampe d’Aladin à mon service exclusif, quoi! Fini les pertes de temps! Fini le stress! Un fantasme à portée de clic. Plus personne ne ressemblerait à personne. Et chacun atteindrait au comble de son individualité.
 
Mais je fais quoi, en attendant ces jours heureux? Comment me sortir de l’enfer du magasinage? Je ne vois que deux solutions. Ou bien je m’abandonne à la simplicité volontaire et reviens aux seuls produits de première nécessité, histoire de réduire le plus possible le stress du choix. Ou bien je réfléchis sérieusement avant de me rendre au centre commercial. Pas franchement prête à sacrifier mon petit confort, j’ai privilégié la seconde option. J’ai donc dressé une liste de questions, auxquelles j’ai l’intention de répondre le plus honnêtement possible avant chaque blitz d’achats.
 
Magasinage: 7 questions à se poser avant de se lancer
  
 question avant magasiner 

1. Ce produit comble-t-il un besoin réel ou une simple lubie? S’agit-il d’une urgence ou si ça peut attendre?
 
2. Est-ce que je l’achète pour moi ou pour faire baver d’envie quelqu’un d’autre?
 
3. Quelles conséquences la fabrication et l’usage de ce produit ont-ils sur l’environnement et l’économie?
 
4. Ce produit-là vaut-il le stress que je devrai supporter pour me le procurer?
 
5. Suis-je capable de définir assez précisément le produit que je veux (format, matériau, couleur) et l’usage que j’en ferai?
 
6. Quel prix devrais-je raisonnablement payer? Puis-je espérer voir ce prix réduit à moyen terme (si j’attends que le produit soit en solde, par exemple)?
 
7. Où et quand ai-je de meilleures chances de le trouver?
  
Après ça, si j’ai encore bonne conscience, j’imagine que je me sentirai mieux armée en entrant dans une boutique. Et que je m’épargnerai, sinon de l’énergie et des sous, au moins quelques regrets…
  
N’empêche. Vous ne pensez pas que ce serait reposant, des fois, de ne pas avoir tant de choix au rayon des dentifrices?
 

 


Des animaux en pleine action .. certains sont tres affairées a travailler pour faire vivre leur colonies .. d’autres s’amusent, mais tous vivent  au gré du temps, au gré de l’environnement adapté spécialement pour eux
 

Les animaux guyanais en pleine action !

 

Les trémolos de Fido


La psychologique animale cela ne doit pas être facile a étudier .. néanmoins .. si je me réfère a Virgule et l’autre chat qui viens tous les matins chercher pitance dans la gamelle .. je crois que Virgule est un chat très optimiste et l,autre est un opportuniste pessimiste … Ce chat refuse que je m’approche et si je bloque toute tentative pour fuir, il est prêt a mordre .,.. Alors que Virgule l’an dernier, venait 2 fois par jour matin et soir,  a chaque fois, je le mettais dehors, il revenait .. et il voulait grimper sur moi, et s’agrippait sur mon linge et se colait a mon cou pour rester a la maison … Comment on fait après pour se débarrasser d’un tel chat !!!!!
 
Les trémolos de Fido
  
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Photo: Alain Labelle
 
Un caniche royal
 
 
L’état émotif d’un humain influe sur son évaluation d’une situation. Ainsi, une personne optimiste est plus encline à juger une situation ambiguë comme positive.
 
Des vétérinaires britanniques affirment avoir démontré que cette réalité s’applique également au meilleur ami de l’homme, le chien.
 
Le Pr Mike Mendl et ses collègues de la faculté des sciences vétérinaires de l’Université de Bristol ont démontré à l’aide de tests qu’un chien optimiste vivra mieux l’abandon qu’un chien pessimiste.
 
Pour évaluer ce trait de caractère, les chercheurs ont enseigné aux chiens qu’un bol placé à un certain endroit dans la pièce contenait de la nourriture, mais qu’il était vide lorsqu’il était placé à un autre endroit. Le bol était ensuite placé à un endroit ambigu. Les chiens qui avaient tendance à aller rapidement vers le lieu ambigu, espérant y trouver de la nourriture, était étiquetés optimistes.
 
D’après leurs résultats, la moitié des chiens abandonnés adoptent à un certain moment de leur vie un comportement négatif lié à l’abandon qui se traduit par :
 

des aboiements
une tendance à uriner
la destruction d’objets
 
Certains maîtres demandent l’aide d’experts afin de les aider à réprimer ces comportements. D’autres ignorent ces comportements et estiment que leurs chiens sont heureux. Plusieurs décideront de se défaire de leur meilleur ami.
  
Au Québec, chaque année, près de 500 000 chats et chiens sont abandonnés.
  
Selon la Dre Samantha Gaines, de la RSPCA (Royal Society for the Prevention of Cruelty to Animals), ces travaux laissent supposer que certains des chiens abandonnés ont des états émotionnels négatifs sous-jacents. Elle invite les propriétaires à chercher des traitements pour stimuler le bien-être de leur animal pour ainsi réduire le besoin de les abandonner.
 
Certains chiens peuvent aussi avoir tendance à développer ces comportements, et devraient être replacés chez des maîtres qui leur conviennent mieux, affirme-t-elle.
 

 

Des plantes terrestres il y a 472 millions d’années


Des spores qui sont très vieilles, je me demande s’il est possible de les faire reproduire et ainsi savoir a quoi elles ressemblaient il y a des millions d’années Si oui, ils vont sûrement être assez curieux pour tenter le coup …
 
Des plantes terrestres il y a 472 millions d’années
 
Des hépatiques
 
Photo: iStockphoto
 
Des hépatiques
 
 
Les plus anciennes preuves de l’existence des plantes terrestres ont été découvertes en Argentine.
 
Des spores de plantes ancêtres des hépatiques actuelles ont été mises au jour dans des couches sédimentaires du nord-ouest du pays, et elles datent de 472 millions d’années.
 
Les analyses montrent que ces spores, qui sont des cellules reproductrices disséminées par certains végétaux, ont pu se fossiliser sans se détruire en raison de leur vigueur.
 
La Dre Claudia Rubinstein, d’un institut scientifique argentin, et des collègues de l’Université de Cordoba ont identifié cinq espèces de plantes, ce qui montrerait que les végétaux se sont rapidement diversifiés.
 
En outre, cette découverte tend à confirmer que les hépatiques seraient possiblement les ancêtres de toutes les plantes terrestres.
 
Les hépatiques sont des plantes d’un type primitif qui aurait évolué à partir d’algues vertes.
 
Les spores des hépatiques sont très simples et sont appelées cryptospores. Celles que nous avons identifiées sont les plus vieilles découvertes à ce jour. Dr Rubinstein
 
Les traces des plus vieilles plantes découvertes avant celles-ci dataient de 462 millions d’années et avaient été trouvées en Arabie saoudite et en République tchèque.
 
En septembre dernier, des chercheurs argentins avaient annoncé la mise au jour en Patagonie du fossile d’une fleur vieux de 47 millions d’années.
 
Le détail de ces travaux est publié dans la revue New Phytologist.
 
Radio-Canada.ca avec
BBC
 

Sclérose en plaques: la méditation pour contrer


Je suis d’avis que la méditation et même la prière a des effets bénéfiques pour une personne très malade .. cela aide je crois, a transporter ses pensées ailleurs que sur la douleur
 
Sclérose en plaques: la méditation pour contrer la fatigue et la dépression

Sclérose en plaques: la méditation pour contrer la fatigue et la dépression

 
La méditation aiderait à réduire la fatigue et le risque de dépression chez les personnes atteintes de sclérose en plaques, selon un essai clinique1 suisse.
 
Les chercheurs ont évalué les effets d’un programme de méditation de pleine conscience auprès de 150 patients souffrant de sclérose en plaques légère à modérément grave. Tous les participants bénéficiaient d’un traitement médical classique tandis que 76 d’entre eux participaient, en plus, à un programme de méditation de pleine conscience d’une durée de 8 semaines.
 
Les résultats indiquent que ceux qui pratiquaient la méditation souffraient moins de dépression comparativement à ceux qui n’en faisaient pas. Ils avaient aussi une perception plus positive de leur qualité de vie. Ces résultats étaient observables à la fin de l’essai, de même que 6 mois plus tard, bien que l’ampleur de l’effet tendait à s’estomper. L’effet bénéfique de la méditation était plus marqué chez les sujets qui montraient davantage de signes de dépression et de fatigue au départ de l’essai, soulignent les auteurs de l’étude.
 
La méditation de pleine conscience
 
L’intérêt de la méditation comme outil de bien-être et de santé a connu un essor important grâce aux travaux de Jon Kabat-Zinn qui a mis au point la méditation de pleine conscience.
 
Inspirée des techniques du bouddhisme zen, cette technique de méditation repose sur une conscience attentive du simple moment présent, dans une attitude d’acceptation sans jugement.
 
Les chercheurs rapportent également que les sujets qui méditaient disaient moins souffrir d’anxiété que ceux du groupe témoin, bien que les symptômes physiques associés à la maladie ne différaient pas entre les deux groupes.
 
Rappelons que la dépression et la fatigue sont étroitement associées à la sclérose en plaques et que les médicaments visant à traiter cette maladie n’ont pas d’effet notable sur ces symptômes.
 
Ces résultats sont publiés dans le dernier numéro de Neurology, le journal médical de l’American Academy of Neurology. Dans le même numéro, un article éditorial2 souligne la pertinence d’interventions visant à aider les patients souffrant de la sclérose en plaques à surmonter les effets de cette maladie sur la santé mentale.
 
Pierre Lefrançois – PasseportSanté.net
 
1. Grossman P, Kappos L, et al. MS quality of life, depression, and fatigue improve after mindfulness training: a randomized trial. Neurology. 2010 Sep 28;75(13):1141-9.
2. Tavee J, Stone L. Healing the mind: meditation and multiple sclerosis. Neurology. 2010 Sep 28;75(13):1130-1.