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Je ne suis pas superstitieuse, mais j’ai bien aimer savoir ce que croient les gens en rapport a l’argent … qui n’est pourtant qu’un moyen d’échange contre un produit, ou un service
Nuage
Argent: êtes-vous superstitieux?
Ficelle verte, peau de serpent, monnaie dans une chaussure : les superstitions liées à l’argent varient selon les régions du globe.
 iStock
Par Rhian Nicholson
Certains ont un chiffre chanceux, d’autres jettent des sous dans des fontaines ou encore transportent de la peau de serpent dans leur portefeuille – tout cela au nom de la prospérité et de la bonne fortune. Mais alors que plusieurs de ces superstitions sont plutôt irrationnelles, d’autres ont peut-être un fond de vérité.
Droite pour donner, gauche pour prendre
 En Russie, plusieurs croient qu’il faut recevoir de la main gauche et donner de la droite. D’autres sont convaincus que de laisser de la petite monnaie dans des sacs, des tiroirs ou des armoires amènera la fortune parce que « l’argent attire l’argent ».
Cette tradition n’est peut-être pas pour vous si vous êtes maniaques du rangement et de l’ordre. Au fait, laisser glisser accidentellement quelques pièces de monnaie entre les coussins du sofa ne compte pas.
Le folklore russe soutient aussi que vous ne devez pas compter votre argent après la nuit tombée ni en prêter à moins que vous rêviez de faire faillite. C’est peut-être bon de vous en souvenir la prochaine fois qu’un ami vous demandera cinq dollars après quelques consommations dans un bar.
Argent contagieux
 Ramasser de l’argent sur le sol n’est pas une bonne idée pour les gens de Trinidad-et-Tobago. Ils sont avisés de rester loin de l’argent tombé des poches d’autrui de peur que des « problèmes financiers » y soient liés.
En outre, certains croient que de poser votre sac à main sur le plancher vous fera perdre votre bonne fortune. Et bon, ça empêchera toujours vos amis d’y envoyer quelques coups de pied dans les restaurants.
Monnaie chanceuse
 Les mariages impliquent de grandes dépenses dans toutes les cultures. Dans certains pays, les mariés reçoivent de la « monnaie chanceuse ». En Ukraine, celle-ci est attachée à la robe de la mariée tandis qu’en Hongrie, elle peut être enfouie dans la chaussure de la mariée – en échange d’une danse. Et quoi de plus agréable que de l’argent gratuit?
Les couples grecs reçoivent une pluie de « monnaie chanceuse » durant leur mariage. Cette superstition vient peut-être du fait que les Grecs croient que l’argent attire l’argent : en ce pays, vous ne devez jamais laisser votre poche, votre portefeuille et votre compte en banque complètement vide.
Sagesse de portefeuille
 Selon les Japonais, ce n’est pas seulement de l’argent que vous devez placer dans votre portefeuille. La légende veut que d’y insérer une peau de serpent avec votre facture permette de devenir riche ou de trouver de l’argent. Comme les serpents sont synonymes d’argent et de fortune au Japon, certains croient que de tuer un serpent vous amènera à perdre tout votre argent. La couleur de l’argent
 En Chine, on pense que la couleur fait davantage qu’influencer votre humeur. Le rouge est traditionnellement associé à la prospérité mais, selon l’art du fengshui, la seule façon d’améliorer votre sort est d’y ajouter un peu de vert et de violet aux endroits où vous gardez notamment votre argent.
Le vert symbolise la vitalité et la croissance tandis que le violet est la couleur de la fortune – voilà peut-être une donnée à garder en tête si vous pensez décorer bientôt. Si c’est un effort trop grand, vous pouvez toujours enlacer une ficelle verte cinq fois autour de votre petit doigt ou porter un anneau de jade – à votre main droite si vous êtes une femme et à la gauche si vous êtes du sexe opposé.
Jeux de nombres
 On croit que certains chiffres sont liés à la bonne fortune – et nous ne parlons pas ici des numéros qui sortent à la loto. Selon la superstition chinoise, le chiffre huit est prononcé de la même façon que les mots fortune et richesse et il est donc considéré comme un chiffre chanceux.
Neuf et six ont aussi des connotations positives et sont souvent demandés pour les numéros de téléphone, les adresses, les numéros de comptes en banque et les plaques d’immatriculation – et ceci même si ça implique de l’argent pour s’assurer de les garder. Au contraire, le chiffre quatre est considéré comme malchanceux dans la tradition chinoise parce que le chiffre se prononce un peu trop comme le mot mort.
Dieux de l’argent
 Plusieurs cultures ont des festivals liés à l’argent où les fauchés comme les mieux nantis tentent d’augmenter leurs finances personnelles.
Tous les ans, plus d’un million d’hommes d’affaires, d’investisseurs et de chercheurs de fortune japonais convergent vers le temple du VIe siècle Imamiya-Ebisu à Osaka afin de prier pour la prospérité du saint patron de la fortune, Ebisu.
Célébrer l’argent
 Les hindous pendant ce temps espèrent que leurs finances seront en croissance en adulant la déesse de la fortune Lakshmi lors de la première journée des célébrations de Diwali. Plusieurs adeptes croient que c’est le temps idéal pour se lancer en affaires ou faire des achats importants comme des voitures ou des bijoux.
Au contraire, les Chinois préfèrent se départir de leur argent durant leurs festivals. Lors du Nouvel An chinois, le 14 février cette année, les gens qui ne sont pas mariés reçoivent de la « monnaie chanceuse » dans de petites enveloppes rouges. Celle-ci devra être gardée pour une raison future et non pas dépensée pour des objets frivoles
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Archives du 11 septembre 2010
Sommets de l’Image
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Avec l’objectif d’un appareil photo, milles et une images se figent dans le temps, laissant entrevoir contrastes, couleurs, créatures dans leur plus beaux atours
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Sommets de l’Image
Ours brun, Alaska
 © Matthias Breiter / Fuji Film / AGF / HSBC
Baleine à bosse, Mexique
 © Gérard Soury / Fuji Film / AGF / HSBC Oryx, Namibie
 © Jim Brandenburg / Fuji Film / AGF / HSBC / Canon
Manchots, Iles subantarctiques françaises
 © Stefano Unterthiner / Fuji Film / AGF / HSBC Arc-en-ciel, Kenya
 © Christine et Michel Denis-Huot / Fuji Film / AGF /
Dunes et leurs reflets
 © Francis Tack / Fuji Film / AGF / HSBC Eléphants, Kenya
 © Christine et Michel Denis-Huot / Fuji Film / AGF / HSBC
Jeune lionceau, Kenya
 © Christine et Michel Denis-Huot / Fuji Film / AGF / HSBC
Girafes, Kenya
 © Christine et Michel Denis-Huot / Fuji Film / AGF / HSBC
Léopard, Kenya
 © Christine et Michel Denis-Huot / Fuji Film / AGF / HSBC
Femelle léopard, Kenya
 © Christine et Michel Denis-Huot / Fuji Film / AGF / HSBC
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Première médicale pour un chercheur montréalais
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Si cette technique est employer qu’en cas de besoin par manque d’anesthésiste c’est une très belle avancé en autant qu’il n’y ai pas de coupure virtuelle
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Première médicale pour un chercheur montréalais
 MONTRÉAL – Des chercheurs de l’Université McGill ont contribué à la mise au point d’une nouvelle méthode pour anesthésier un patient sans avoir besoin de se trouver dans la même pièce – voire sur le même continent – que ce patient.
Lors de ce qui est caractérisé de première mondiale, le docteur Thomas Hemmerling et son équipe du département d’anesthésie ont traité pendant deux semaines, à partir de Montréal, vingt patients subissant une chirurgie au niveau des glandes thyroïdes en Italie. La durée des opérations de ce projet pilote a oscillé entre 45 minutes et trois heures.
Cette approche fait partie d’une percée technologique connue comme la «téléanesthésie».
Cette dernière implique des ingénieurs, des chercheurs et des anesthésistes administrant des médicaments par intraveineuse qui sont ensuite contrôlés par un système automatisé. Quatre caméras vidéos placées stratégiquement ont permis à l’équipe canadienne de surveiller tous les aspects de l’opération. Le processus implique également une connexion Internet haute vitesse et le logiciel Skype pour le lien vidéo.
Les chercheurs indiquent que l’utilisation de la vidéoconférence pourrait potentiellement éliminer les problèmes logistiques des patients qui doivent effectuer de longs déplacements et souvent attendre plusieurs heures pour rencontrer un anesthésiste.
Cet exploit s’inscrit dans le cadre d’une collaboration continue entre l’équipe du docteur Hemmerling et des chercheurs de l’Université de Pise, en Italie. Deux systèmes automatisés sont en place à Montréal et à Pise, de sorte qu’une interruption technique ne poserait pas problème pour l’anesthésie.
Le docteur Hemmerling a indiqué qu’il y avait déjà eu des tentatives similaires où des communications vidéos étaient utilisées, et même des satellite, pour aider quelqu’un dans une région éloigner à résoudre un problème particuler. Cela était toutefois fait sur une base consultative, du moins en ce qui concerne l’anesthésie.
Il a ajouté qu’il y a une tendance internationale pour la télémédecine, impliquant la médecine ou le contrôle de procédures à distance. Il manque également de spécialistes, entre autres en Afrique, où il y a moins de dix anesthésistes dans chaque pays.
Selon le docteur, l’opération devra être répétée plusieurs fois avec un plus grand nombre de patients et une plus grande variété d’opérations.
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Les mauvaises habitudes de respiration à chasser
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Nous respirons sans nous en rendre compte .. mais malheureusement la plupart respire mal et ne peuvent donc pas profiter pleinement des bienfaits de la respiration … et c’est le corps qui en paie les frais ..
Nuage Les mauvaises habitudes de respiration à chasser
 Prenez une bonne respiration, parce qu’il y a quelque chose que vous devez entendre : il est bien possible que vous respiriez mal. Eh oui ! Un geste que l’on pratique en moyenne 20 000 fois par jour et que l’on fait peut-être mal ! Vérifiez : êtes-vous en train de retenir votre respiration en ce moment ?
Si l’on tient compte du fait que l’on respire depuis notre naissance, on pourrait penser qu’on est devenu expert en la matière. Quand on sait que respirer est vital pour filtrer les germes et les débris, pour apporter de l’oxygène frais à nos organes et à nos tissus, pour éliminer les gaz dont notre corps n’a plus besoin, on pourrait penser qu’on s’en serait préoccupé un peu plus. Pourtant, la plupart des gens n’y accordent que très peu d’importance.
De mauvaises habitudes respiratoires peuvent littéralement vous rendre malades. Elles peuvent empêcher votre corps d’avoir accès à la quantité d’oxygène dont il a besoin et peuvent vous rendre vulnérable à la maladie et au stress.
La respiration lente, courante dans la pratique du yoga, a montré qu’elle réduisait l’essoufflement, augmentait la saturation d’oxygène du sang et améliorait la capacité d’exercice. La méditation, qui est axée sur la respiration réfléchie, a aussi été associée à une diminution du stress, à une réduction du risque de certaines affections cardiovasculaires et à une augmentation du taux de guérison.
Parmi les mauvaises habitudes respiratoires se retrouvent le fait de respirer par la bouche et celui de respirer trop rapidement ou trop superficiellement.
Votre nez est au courant
Ah, le pauvre nez… On lui accorde bien peu de respect et pourtant il est si essentiel à une saine respiration. Le nez filtre les germes et les particules présentes dans l’air et il humidifie et réchauffe l’air avant de le faire pénétrer dans nos poumons. Quand vous contournez votre nez en respirant par la bouche, vous invitez tous ces germes et particules à pénétrer directement dans votre système et vous augmentez votre risque d’infection tout en ralentissant votre apport en oxygène. Quand c’est possible, inspirez et expirez par le nez, considérez qu’il s’agit de la barrière de sécurité qui vous sépare du monde extérieur. Si vous avez un problème de congestion nasale qui vous empêche de respirer par le nez, renseignez-vous auprès de votre médecin sur les solutions de traitement. Respirer par le ventre
Nous sommes nombreux à ne pas tirer avantage de notre merveilleux diaphragme. Le diaphragme est le muscle situé juste en dessous des poumons qui peut être très puissant et qui n’attend que vous lui demandiez de vous aider à inspirer et à expirer. Lorsque vous inspirez, votre diaphragme se resserre et s’aplatit de façon à ce que vos poumons puissent prendre toute la place pour saisir l’air. Quand vous expirez, votre diaphragme et vos muscles thoraciques se relâchent et poussent l’air en dehors des poumons. Certaines personnes ont aussi tendance à respirer trop superficiellement et à garder l’air uniquement dans la partie supérieure du thorax sans qu’il ne descende jusqu’au diaphragme. Parfois, il leur arrive de rentrer leur ventre en respirant, ce qui a pour effet de pousser le diaphragme vers le haut et d’empêcher ainsi l’oxygène de se rendre aussi bas qu’il le devrait. Si vous laissez votre ventre se détendre plutôt que de tenter de le rentrer, vous respirez avec votre diaphragme.
Il ne fait aucun doute que réapprendre un geste aussi instinctif que la respiration prend de la discipline et de la concentration, mais les bienfaits en valent certainement l’effort. Donc, respirez plus lentement, plus profondément, laissez vos poumons se remplir avec plein d’oxygène et vous tirerez le profit maximal de chacune des 20 000 respirations que vous faites par jour !
Amy Toffelmire
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Le chemin
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C’est au cours de la route que nous apprenons .. des fois ils faut changer notre façon de faire, de pensée, d’autres fois on s’est trompée, il faut recommencer .. d’autres fois tout vas bien .. et nous arrivons au but fixé
Nuage
Le chemin
Paulo
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Quand l’horizon …
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Malgré les jours gris qui peuvent venir nous mettre de l’ombre, soyons assurée que le soleil rebrillera de nouveau.. Même si nous avons des problèmes qui paraissent insurmontable, le temps saura les résoudre a un moment où a un autre
Nuage
Quand l’horizon …
 Quand l’horizon se dépouille de ses couleurs
et se perd dans le noir, quitte l’ombre de tes peurs, rallume ton espoir ; d’une seule flamme, d’une seule lueur, tu retrouveras ton pouvoir. François Gervais |
Nuage Ciel d'Azur 